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  • Un demi-siècle pour le drapeau du Labrador

    Identité culturelle

    Une 16 avril, 2024

    Un demi-siècle pour le drapeau du Labrador

  • Un accueil chaleureux et fraternel

    Expédition des Premières Nations

    Un accueil chaleureux et fraternel

  • Le retour attendu de  Cain’s Quest tombe Ă  l’eau

    Course d’endurance à motoneige

    Le retour attendu de Cain’s Quest tombe Ă  l’eau

Inuits

Un demi-siècle pour le drapeau du Labrador

Identité culturelle

Une 16 avril, 2024

Un demi-siècle pour le drapeau du Labrador

Un accueil chaleureux et fraternel

Expédition des Premières Nations

Un accueil chaleureux et fraternel

Le retour attendu de  Cain’s Quest tombe Ă  l’eau

Course d’endurance à motoneige

Le retour attendu de Cain’s Quest tombe Ă  l’eau

Identité culturelle

Un demi-siècle pour le drapeau du Labrador

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, le drapeau du Labrador (à droite) est hissé à un mat en face du bureau touristique Gateway Labrador à Labrador City dans le cadre d’une cérémonie pour marquer son cinquantième anniversaire. Source photo : Keith Fitzpatrick.

Le cinquantenaire du drapeau du Labrador a été souligné en présence du député provincial du Labrador Ouest, le néodémocrate Jordan Brown, au bureau touristique Gateway Labrador situé le long de la route Translabradorienne à Labrador City, le 31 mars 2024. Créé en 1974 et reconnu de façon officielle par le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador en 2016, ce symbole identitaire labradorien flotte depuis aux frontières avec le Québec.

Le premier ministre de cette province à l’époque, le libéral Dwight Ball, avait pris part à la cérémonie d’intronisation du drapeau à la frontière avec le Québec à la fin de la route nationale 389 et le début de l’autoroute Nichols-Adams, la route 500, dans l’ouest du Labrador, le 19 août 2016. Avant sa reconnaissance légitime, des citoyens avaient hissé, en douce et à de multiples reprises, cet étendard à la frontière au cours des années afin de signifier leur caractère distinct et les particularités culturelles et géographiques de ce vaste territoire. Un mat en bois avait même été installé à côté des trois autres drapeaux officiels afin d’accueillir le symbole dissident. Les combats menés par les citoyens du Labrador depuis des années pour faire reconnaitre cette marque identitaire ont donné des résultats puisque le gouvernement provincial s’est finalement décidé à accorder une place à cette figuration qui côtoie désormais les drapeaux du Canada, de Terre-Neuve-et-Labrador et le Union Jack britannique. « Le drapeau du Labrador qui était auparavant source de débats politiques dans cette province sera officiellement hissé aux frontières avec le Québec avec l’appui des autorités gouvernementales. Celui-ci met en relief la spécificité et le caractère unique de ce territoire et fait valoir la culture de ses habitants », avait lancé le premier ministre lors de l’événement historique qui s’était déroulé en parallèle avec une autre levée du drapeau simultanée au sud du Labrador également à la frontière québécoise.

Un peu d’histoire

Cet emblème représentant le territoire du Labrador a été conçu en 1974 par un député provincial du Labrador, Michael S. Martin, afin de mettre en évidence le caractère singulier des citoyens de cette région dans le cadre du 25e anniversaire de l’adhésion de Terre-Neuve à la Confédération canadienne en 1949 et pour dénoncer par la même occasion l’indifférence de l’ancien premier ministre terre-neuvien (et principal instigateur de cette affiliation avec le Canada), Joey Smallwood, par rapport au Labrador. Il a été adopté rapidement par les habitants de l’endroit jusqu’à devenir même un symbole sécessionniste associé au Labrador Party, un parti provincial défendant les intérêts des résidents de cette région géographique.

Signification du drapeau

La bande blanche du haut représente la neige, l’élément qui colore cette culture nordique, la bande bleue, les eaux des rivières des lacs et des deux océans qui bordent le Labrador alors que la bande verte au centre symbolise la terre verte et abondante qui se veut l’élément connecteur unissant les trois cultures de ce territoire. Les trois branches de la brindille d’épinette évoquent les trois races du territoire. Les Inuits, les Autochtones et les colons européens. La brindille poussant d’une seule souche désigne l’origine commune de tous les peuples sans égard à la race.

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Publié le 16 avril, 2024, dans la publication : Numéro_07 Volume_42

  • Autochtones
  • Bureau touristique Gateway Labrador
  • Cinquantenaire
  • Colons europĂ©ens
  • Culture nordique
  • Drapeau du Labrador
  • Gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador
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  • Translabradorienne Ă  Labrador City

Publié sur le site le 16 avril 2024

  • Publication prĂ©cĂ©dente
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Expédition des Premières Nations

Un accueil chaleureux et fraternel

par Éric Cyr

Source photo : Audrey McMahon

Les représentants de l’expédition des Premières Nations ont chaleureusement été accueillis par des citoyens visiblement heureux de venir à leur rencontre lors de leur passage dans la région de la MRC de Caniapiscau, du 1er au 3 mars 2023, d’abord dans les communautés innue de Matimekush-Lac John et naskapie de Kawawachikamach dans le secteur de Schefferville, puis à Fermont.

La soixantaine de participants de la délégation de motoneigistes de la grande expédition du feu sacré, composée de membres de près de la moitié des 11 nations autochtones distinctes habitant au Québec, incluant le conjoint de feue Joyce Echaquan, Carol Dubé de Manawan, neuf femmes et quatre allochtones québécois, aura parcouru, du 16 février au 4 mars, une distance de 4275 kilomètres jusqu’à sa destination finale, la communauté innue de Uashat mak Mani-utenam (Sept-Îles).

Comment résumer cette démarche sinon en la qualifiant de belle aventure vers la réconciliation entre peuples ? Comment décrire ces échanges amicaux sinon en les désignant de rapprochement enrichissant, harmonieux et respectueux entre nations ? Que retenir sinon que les premiers occupants du territoire sont là depuis des temps immémoriaux et que malgré une histoire malheureusement trop souvent tragique, leurs racines sont bien ancrées dans le sol de leurs ancêtres ? Ils sont toujours là et font partie à part entière du lieu qu’ils habitent dans leur cœur, dans leur mémoire et dans leur vie.

Les communautés de Chisasibi, Kawawachikamach, Lac-Simon, Manawan, Matimekush-Lac John, Nutashkuan, Opitciwan, Oujé-Bougoumou, Pikogan, Uashat mak Mani-utenam, Unamen Shipu et Wemotaci existent bel et bien et ne se situent pas dans un monde parallèle. Les Abénakis, Anishnabe (Algonquins), Atikamekw, Cris, Hurons-Wendat, Innus (Montagnais), Inuits, Malécites, Micmacs, Mohawks et Naskapis sont bien vivants et souhaitent une réconciliation, un rapprochement avec les autres peuples, les Acadiens, les Québécois, les nouveaux arrivants…

Le moment n’est-il pas venu de mieux se connaître et de se découvrir ? Quelle belle occasion de tisser des liens d’amitié avec des représentants de divers peuples autochtones en se réchauffant à même le feu sacré en face d’un tipi érigé pour l’occasion à Fermont par des Innus de Uashat. Les astres semblent alignés sous un ciel d’aurores boréales. Nous ne réécrirons pas l’histoire et il n’est pas question de l’effacer, mais nous pouvons contribuer à dessiner l’avenir sur la mère nourricière, la Terre, qui est notre maison commune.

Innu signifie « être humain » dans la langue innue. Nous avons déjà un lieu commun, le territoire que nous habitons, voici maintenant un lien qui nous unit « mamou ». Ensemble, il est temps de créer un pont entre nous. Les Premières Nations ne sont pas folkloriques, mais bien vivantes avec leurs langues, leurs cultures et leurs traditions. L’influence des Amérindiens et des Inuits ne se limite pas au canot d’écorce, aux traîneaux à chiens, à la crosse (l’ancêtre du hockey sur glace), aux épis de maïs sucré, à la raquette, au sirop d’érable et au toboggan.

Le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, qui a accompagné le convoi en motoneige lors de son départ de Fermont jusqu’à un cimetière innu situé au lac Ashuanipi à 140 km de sa localité, était enchanté d’accueillir ces ambassadeurs. Il considère que c’est un grand honneur d’avoir reçu cette expédition inspirante qu’il a décrite lors de son allocution comme une « aventure remarquable qui vise à promouvoir la réconciliation communautaire, culturelle, sociale et spirituelle entre les peuples autochtones et allochtones. Nous avons été honorés de faire partie de cette initiative qui porte un message de paix, d’harmonie et de guérison à travers les communautés. »

Réconciliation entre peuples

Une grande aventure spirituelle Ă  motoneige

L’Expédition des Premières Nations 2023 est un événement historique rassembleur d’envergure imaginé et créé par des hommes et des femmes autochtones du Québec afin de montrer qu’ils ont été très touchés par les récents événements que vivent leurs peuples à l’échelle du pays. L’organisation de cette grande aventure à motoneige avait également pour objectif d’amorcer une campagne publique de sensibilisation au sujet du sort qui leur est réservé. La démarche visait aussi à rendre hommage aux enfants des pensionnats « indiens » et aux femmes autochtones assassinées ou disparues ainsi qu’à la mémoire de Joyce Echaquan.

Ce trajet à motoneige hors-piste totalisant un parcours enneigé ardu de plus de 4200 kilomètres a regroupé près de 60 participants issus des nations anishnabe (algonquine), atikamekw, crie, innue, naskapie et québécoise. Les motoneigistes ont sillonné l’immense parcours avec l’intention de mettre en commun les connaissances culturelles des différents occupants du territoire à travers un défi de taille et un objectif conjoint où des valeurs telles que l’amour, la bravoure, le courage, l’entraide, la force, l’harmonie, la persévérance et le respect ont été de mise. De plus, un message d’espoir pour la jeunesse ainsi que de réconciliation et de paix, dans le grand respect de mère Terre, porté par les femmes durant le périple aura rapproché les différents peuples du Québec autour du feu sacré en les incitant à trouver des solutions afin de les guider vers une réconciliation durable.

Selon l’instigateur de cette épopée nordique, Christian Flamand, dont la motoneige a éprouvé des difficultés mécaniques avant de prendre feu alors qu’il était en route vers le village cri de Waskaganish à l’embouchure de la rivière Rupert (Baie-James), cette portion sur la banquise de la baie James jusqu’à Chisasibi a été la plus périlleuse. La plupart des participants du cortège nordique ont dû contourner les rochers, la glace, les détroits et les tourbillons de la forêt en plus de devoir composer avec de nombreux bris mécaniques dans ce secteur. Les bosses incessantes ont même eu raison de plusieurs attelages en acier de traîneaux tirés par les motoneiges.

L’organisateur principal, un ancien commando du régiment aéroporté canadien (Airborne), explique que le froid était extrême et le danger omniprésent. « Ce voyage extraordinaire vers la guérison a permis aux participants de prendre conscience de leur appartenance à leur communauté pour lesquelles l’expérience aura permis de renouer avec la vie sur leurs territoires traditionnels comme des rassemblements sur le Nitaskinan (notre terre) pour les Atikamekw. L’amour pour les diverses communautés autochtones que visait cette expédition a démontré une ouverture vers un avenir très prometteur pour les Premières Nations. » M. Flamand a été ému de l’accueil chaleureux que les participants ont reçu dans les diverses communautés visitées et de la fierté qu’il y a perçue. 

À la fin de la traversée de cette gigantesque terre ancestrale, les participants de cette odyssée unique au monde, qui a commencé à Manawan, ont été accueillis en héros par la population de Uashat mak Mani-utenam (Sept-Îles), leur destination finale, le 4 mars dernier. Cette excursion sur ces territoires traditionnels restera gravée dans la mémoire collective pour les décennies à venir.

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Publié le 13 mars, 2023, dans la publication : Numéro_05 Volume_41

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Publié sur le site le 13 mars 2023

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Course d’endurance à motoneige

Le retour attendu de Cain’s Quest tombe Ă  l’eau

par Éric Cyr

La plus longue course d’endurance à motoneige, la Cain’s Quest, un titre que revendique aussi la Iron Dog en Alaska aux États-Unis, a gagné en popularité depuis sa création en 2006. L’épreuve sportive biennale est reconnue comme ayant l’un des parcours les plus difficiles au monde. Le départ et l’arrivée de l’événement se font à Labrador City.

Le nombre de coureurs a malheureusement diminué après une annulation en raison de la pandémie en 2022. Qu’à cela ne tienne, une trentaine d’équipages composés de deux motoneigistes expérimentés a relevé ce défi biennal d’envergure, nécessitant une préparation de longue haleine, en s’alignant au départ de cet affrontement de calibre international qui s’échelonne sur un itinéraire de 3100 kilomètres à travers le vaste territoire du Labrador, le 4 mars dernier.

Les participants ont franchi le fil de départ de l’édition de 2023 qui s’est effectué sur le lac Tanya. Ils ont enfourché leurs bolides rugissants, mais tous n’ont pas réussi à terminer le trajet dont le degré de difficulté est très rehaussé et qui exige une détermination, une discipline et une ténacité exemplaires. Cette année, les athlètes provenaient tous du Canada et étaient exclusivement originaires du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador à l’exception d’un motoneigiste de Kitimat, en Colombie-Britannique, et d’un autre coureur de Fort McMurray, en Alberta, ainsi que d’une équipe finlandaise, Wild Nordic Finland, dont les coéquipiers sont de la région d’Ostrobotnie du Nord, situé juste au-dessous de la Laponie, soit de la petite station de sports d’hiver d’Iso-Syöte et de la ville de Pudasjärvi au nord de la Finlande en Europe.

Délégation des Premières Nations

Plusieurs représentants autochtones incluant des Cris (Chisasibi et Mistissini, Nord-du-Québec), des Innus (Matimekush-Lac John, Schefferville, Côte-Nord ainsi que Natuashish et Sheshatshiu, Labrador), des Naskapis (Kawawachikamach, Schefferville, Côte-Nord) et des Inuits (Kuujjuaq, Nunavik, Nord-du-Québec), se sont aussi élancés vers la grande aventure sur des sentiers non damés à travers les régions sauvages du Labrador où ils ont pu mettre à l’épreuve leur courage et leur débrouillardise. De nombreuses difficultés attendaient les athlètes endurcis qui ont dû affronter les caprices de dame nature durant leur parcours rempli d’embûches naturelles.

Avant de prendre part à Cain’s Quest et en symbole de solidarité, certains motoneigistes autochtones ont été rendre visite à leurs confrères de l’Expédition des Premières Nations dans la ville voisine de Fermont, le 2 mars.

Représentation féminine

Aucune participante n’était inscrite à cette compétition dominée par les hommes. Coreen Paul, originaire du Labrador et habitant au Nouveau-Brunswick, qui était auparavant la seule femme motoneigiste à avoir terminé l’épreuve en 2012 partage aujourd’hui cet exploit avec sa coéquipière de l’édition de 2020, l’Américaine originaire de l’Alaska, Rebecca Charles, avec qui elle a pris l’alignement de cette année-là au sein de la première équipe féminine à avoir complété le très difficile circuit enneigé.

Annulation et déception

La course a malheureusement été annulée à mi-parcours, le 7 mars, à cause de la pluie et de la fragilité de la nappe de glace de mer. En route vers un point de contrôle à Port Hope Simpson à plus de 900 km du départ, un membre de l’équipage finlandais s’est retrouvé dans l’eau glacée. Heureusement, il s’en est sorti indemne.

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Publié le 13 mars, 2023, dans la publication : Numéro_05 Volume_41

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Publié sur le site le 13 mars 2023

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