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Intrigue policière à Schefferville

Littérature

Intrigue policière à Schefferville

Littérature

Dualité nordique

par Éric Cyr

« J'ai eu beaucoup de plaisir à écrire ce livre. »

Après la sortie remarquée en 2019 de son premier livre, Terminal Grand Nord, récipiendaire du Prix Jacques-Mayer du premier roman, et dont le récit se déroule à Schefferville, Isabelle Lafortune récidive en novembre 2022 avec une nouvelle œuvre de fiction, Chaîne de glace, qui ne laissera pas le lectorat de glace. Bien au contraire, la trame narrative suscitera l’intérêt jusqu’à la dernière page.

Selon la romancière, cet accouchement littéraire s’inscrit dans la continuité de Terminal Grand Nord, mais il n’est nul besoin d’avoir lu ce dernier pour se plonger dans le nouvel ouvrage qui déploie un univers en soi et présente un scénario indépendant du précédent. L’autrice redonne vie à certains personnages connus des lecteurs de Terminal Grand Nord que l’on retrouve sept ans après leurs premières péripéties. Elle renoue notamment avec l’enquêteur Émile Morin, quelque peu ébranlé mentalement par la précédente affaire, et son collègue Giovanni Celani, qui pose un regard parfois cynique et décapant sur la société dans laquelle on vit, mettant en relief certaines contradictions humaines.

C’est à l’occasion d’une visite à sa fille Angelune pour les fêtes de Noël qu’Émile Morin se trouve malgré lui mandaté pour enquêter sur le meurtre d’un ressortissant chinois, dont le cadavre a été découvert à la centrale hydroélectrique de La Romaine-1. Un « hasard » surprenant puisqu’il ne se passe jamais rien du genre dans le coin. Parallèlement, lui et Giovanni, qui l’accompagne, sont sans nouvelles depuis un moment de leur ami Sam, disparu sans que personne ne sache où il se trouve. Une série de pistes les mèneront à se demander si les deux histoires pourraient être reliées. Quel peut être le rapport entre la mort d’un Chinois à Havre-Saint-Pierre et la disparition de Sam à Schefferville ?

Humanité et profondeur

C’est dans cette optique qu’entre en scène la dimension philosophique du roman. L’autrice fait intervenir le philosophe Baruch Spinoza pour créer un effet d’écho à ce qui se trame dans l’histoire. « J’aimais l’idée d’éprouver la théorie du déterminisme de Spinoza. Comment ça s’articule dans la vraie vie, ça ? C’est pourquoi j’ai organisé cette succession d’actions pour la mettre à l’épreuve. Et… ça fonctionne ! Mais soyez rassurés, c’est écrit de façon que tout le monde puisse comprendre. »

L’écrivaine explique que le lecteur peut aborder ce roman de diverses façons et que les événements, tout comme c’est le cas dans la réalité, sont interreliés dans un tourbillon de causes à effets et que ce vortex donne une idée de la complexité du monde.  « Chacun d’entre nous possède une part d’ombre et personne n’est à l’abri de la corruption. J’avais envie d’illustrer la dualité qui habite chacun des protagonistes et j’explore plusieurs aspects de leurs personnalités. Qui sont réellement les méchants ? Personne n’est complètement innocent… », confie Isabelle Lafortune qui avoue être très fière de ce dernier opus.

« J’ai eu beaucoup de plaisir à écrire ce livre destiné à un public diversifié et qui constitue plus qu’une simple intrigue policière en raison de sa dimension sociologique, psychologique et philosophique. »

Effectivement, dans cette seconde parution dont la structure est composée de courts chapitres qui produisent un effet haletant et dynamique, Isabelle Lafortune pointe certains enjeux sociaux. Elle considère que nous devrions nous préoccuper davantage de ce qui se passe dans le territoire nordique en gérant mieux les ressources qui s’y trouvent.

Qui sait si celle-ci, qui déclare avoir le goût d’aller visiter Fermont, pourra un jour s’inspirer de cette autre localité nordique pour la rédaction d’un nouveau bouquin ?

Bonne lecture.

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Publié le 16 janvier, 2023, dans la publication : Numéro_01 Volume_41

  • Autrice
  • ChaĂ®ne de glace
  • DĂ©terminisme
  • Écrivaine
  • Enjeux sociaux
  • Fiction
  • Intrigue policière
  • Isabelle Lafortune
  • LittĂ©rature
  • Livre
  • Polar
  • Roman
  • Romancière
  • Spinoza
  • Terminal Grand Nord

Publié sur le site le 16 janvier 2023

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Littérature jeunesse

Deux Fermontoises publient un livre

par Éric Cyr

Les Fermontoises Myriam Desjardins-Malenfant (à gauche) et Isabelle Grenier (à droite) ont récemment fait paraître en autoédition un premier livre issu de leur collaboration, Nos expéditions au nord du 52e parallèle, saison 1, qui, en plus de piquer la curiosité des jeunes lecteurs de 5 à 12 ans sur différents sujets reliés au plein air, les incite à découvrir le Nord et ses attraits. Le lancement officiel s’est fait, le 10 décembre, dans le centre commercial du mur-écran de Fermont lors de l’événement Expo-fêtes 2022, le salon des artisans locaux.

C’est par pur hasard lors d’une rencontre dans le cadre d’un événement caritatif sur les réseaux sociaux qu’est née l’association entre les deux femmes qui, constatant des affinités et une complémentarité professionnelle, ont décidé d’unir leurs talents afin de concrétiser ce projet littéraire et artistique.

Selon l’auteure Myriam Desjardins-Malenfant, cette première saison, qui englobe sept histoires et totalise 100 pages, n’est que le début d’une longue série d’aventures illustrées pour le duo créatif qui a l’intention de poursuivre la démarche en donnant éventuellement vie à d’autres péripéties et à de nouveaux personnages nordiques. « J’ai toujours rêvé d’inspirer des jeunes par l’écriture de récits d’aventures. La photographie animalière, que je considère comme une passion, m’a amenée à prendre part à plusieurs expéditions qui ont contribué à alimenter mon imagination », confie l’écrivaine qui a étudié en environnement et en géographie. « J’ai toujours été interpellée par la resplendissante nature et la fascinante faune sauvage. L’histoire du territoire que l’on habite est aussi un aspect que j’aime découvrir à travers mes lectures et qui m’inspire dans mes écrits. Cela m’amène à entretenir un respect et un grand intérêt pour les peuples autochtones et leurs traditions qui sont d’ailleurs abordés dans ces aventures. »

Cette publication de contes nordiques comprend aussi des illustrations qui attirent l’œil et permettent d’aider à visualiser l’intrigue. C’est l’illustratrice Isabelle Grenier de Les Créations Yzart, qui donne vie aux images. Artiste peintre et détentrice d’un diplôme d’études professionnelles en infographie, cette globe-trotter, qui a travaillé en administration et en gestion, en est à sa seconde participation artistique à un livre jeunesse puisqu’elle a aussi illustré le livre Le rêve de Nicolas, de l’auteure Manon Coulombe, paru à l’automne 2018. « Je suis passionnée par la transmission de mes connaissances en arts. Durant mes nombreux voyages à travers le monde, l’artiste en moi a laissé sa trace sous la forme de murales et de toiles un peu partout au Québec et en Colombie-Britannique, mais aussi en Australie et en Nouvelle-Zélande », explique la dessinatrice.

Les deux artistes travaillent actuellement sur le second volet de cet ouvrage et planifient qu’il y aura d’autres épisodes subséquents.

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter la page Facebook : Nos expéditions au nord du 52e parallèle. Pour vous procurer un exemplaire du livre, vous pouvez contacter les créatrices en personne ou aller sur le site internet : expeditionnord52.ca.

Un exemplaire du livre est disponible à la bibliothèque municipale de Fermont.

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Publié le 12 décembre, 2022, dans la publication : Numéro_21 Volume 40

  • Artiste peintre
  • Auteure Myriam Desjardins-Malenfant
  • Contes nordiques
  • Édition
  • Illustratrice
  • Isabelle Grenier
  • Le rĂŞve de Nicolas
  • Les CrĂ©ations Yzart
  • LittĂ©rature jeunesse
  • Livre
  • Manon Coulombe
  • Nos expĂ©ditions au nord du 52e parallèle
  • Ouvrage littĂ©raire
  • Photo animalière
  • Publication
  • RĂ©cits d'aventures

Publié sur le site le 12 décembre 2022

  • Publication prĂ©cĂ©dente
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Récit d’aventures

Une Fermontoise publie un livre

par Éric Cyr

Sur la photo, l’écrivaine lors du lancement de son premier livre.

La Fermontoise Ingrid Anderson-Aylestock a récemment publié son premier livre aux Éditions du Panthéon, Le journal d’une supervagabonde-Australie. Sa démarche littéraire, qui s’inscrit dans l’objectif de relater de façon imagée ses récits de voyage, n’a rien à voir avec un guide touristique, mais est plutôt inspirée de son vécu et de ses carnets personnels rédigés sur la route. Le premier volet se déroule au pays des kangourous et des koalas et son processus d’écriture devrait se poursuivre avec d’autres publications subséquentes. L’auteure a d’ailleurs déjà rédigé un second tome de ses aventures et effectue actuellement des démarches pour trouver un éditeur.

Nord-côtière originaire de Sept-Îles, où elle a fait le lancement de son bouquin à la bibliothèque Louis-Ange Santerre, le 29 décembre dernier, Mme Anderson-Aylestock s’est installée à Fermont en février 2021 où elle est éducatrice au CPE Le Mur-mûr en plus de travailler au restaurant pub Le Réphil et, à l’occasion, comme manœuvre pour la municipalité. Celle-ci a obtenu un diplôme d’études collégiales en Organisation nationale et internationale de voyages au collège April-Fortier à Montréal en 2017. L’année suivante, elle s’envole pour l’Ukraine afin de tourner une minisérie culinaire appelée Cuisine vagabonde. Après avoir entre autres occupé un emploi de guide touristique et suivi un cours d’anglais intensif dans la métropole québécoise, elle décide de partir en Australie à l’âge de 18 ans dans le cadre d’un voyage d’immersion afin de parfaire la langue de Shakespeare. Grâce à des recherches sur le site internet AuPairWorld, elle se déniche un emploi de fille au pair (nounou) dans la petite ville de Blackwater connue pour ses mines de charbon dans la région des Central Highlands dans l’arrière-pays au centre du territoire du Queensland. Après quatre mois au sein de cette famille, elle souhaite explorer le pays et part à sa découverte avec une auto achetée par son copain qui travaille dans les mines.

« J’ai écrit ce texte narratif, en quelque sorte un journal de bord qui contient une description du quotidien sur la route et mes expériences lors de mes déplacements, pour inciter les gens à voyager et à foncer afin de réaliser leurs rêves. Cette publication c’est une tranche de vie et mon rêve à moi », raconte celle qui a aussi été Gentil Organisateur (G.O.) au Club Med de Punta Cana en République dominicaine et qui envisage éventuellement d’animer des émissions de télévision relatives au voyage. « J’ai terminé l’écriture d’un second ouvrage, mais il n’est pas encore publié pour l’instant. Ce manuscrit relate un autre voyage que j’ai fait au Belize en Amérique centrale avec un saut à Hawaï et en Irlande. Je caresse aussi le projet d’écrire sur mon périple qui s’est déroulé aux États-Unis. Je remercie les lecteurs de leurs encouragements et les Fermontois de leur accueil. J’espère qu’ils vont aimer mes péripéties. »

L’éditeur français du bouquin de 168 pages dĂ©crit ainsi l’œuvre : « Beaucoup en rĂŞvent, peu franchissent le pas. Prendre un aller simple, dĂ©couvrir le bout du monde, expĂ©rimenter, vivre… C’est cette expĂ©rience et tout un art de vivre que partage Ingrid Anderson-Aylestock dans ce tĂ©moignage galvanisant ! »

Le livre peut être emprunté à la bibliothèque municipale de Fermont et vous pouvez contacter directement l’auteure pour l’acheter. Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site internet supervagabonde.com et la page Facebook : Le Journal d’une Supervagabonde.

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Publié le 14 février, 2022, dans la publication : Numéro_3 Volume 40

  • Australie
  • CĂ´te-Nord
  • Écrivaine
  • Fermont
  • Ingrid Anderson-Aylestock
  • Le journal d’une supervagabonde
  • Livre
  • Notes de voyage
  • RĂ©cit d’aventures
  • Voyages

Publié sur le site le 14 février 2022

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Littérature

Intrigue policière à Schefferville

par Éric Cyr

L’écrivaine Isabelle Lafortune a publié récemment son tout premier livre, Terminal Grand Nord, un roman policier dont l’action se déroule à Schefferville où elle s’est déplacée périodiquement sur une période d’une décennie. Elle ignorait à l’époque que son expérience sur place lui inspirerait un bouquin.

La romancière qui s’est laissée imprégner de ce milieu nordique unique réussit à bien communiquer la beauté et la rudesse de cet endroit. « Je me suis sentie ailleurs, complètement dépaysée. C’est tout un monde à découvrir. Une poésie se dégageait de la ville. J’avais envie de faire découvrir cette région aux gens d’en bas, de brosser un portrait inspiré de la réalité ». L’auteure confie avoir d’abord éprouvé un sentiment de grande liberté doublé d’une grande solitude face à l’immensité des éléments, malgré la proximité des gens qui y habitent et dont elle s’est progressivement rapprochée en travaillant à l’hôtel et aussi à l’école secondaire pour quelques suppléances. Cette présence lui a permis de côtoyer certains fondateurs de la ville, des pionniers aux histoires savoureuses, un cadeau du ciel selon elle.

Huis clos/Les souches

Isabelle Lafortune a, sans s’en douter, fait provision de matériaux bruts non polis pour une future rédaction qui s’est imposée naturellement. Elle les a ensuite transformés en les façonnant en personnages fictifs à partir des sensations ressenties.

« Je m’intéresse aux gens, à leur histoire et j’aime leur parler. Je ne me doutais pas à ce moment-là que j’allais rédiger un polar. C’est devenu une évidence plus tard. Bien qu’entourée de grands espaces générant des sensations fortes et une grande liberté, à un moment il m’est apparu que la ville se prêtait bien à une histoire en huis clos. Les chapitres sont découpés en courtes scènes, ce qui crée une dynamique cinématographique et qui permet aux lecteurs, si je peux m’exprimer ainsi, de voir des images. J’écris, entre autres, pour partager une vision du monde à travers une histoire qui me semble intéressante. Les mots murissent. Il faut trouver l’angle propice afin de transmettre ces émotions. »

Synopsis

En 2012, on retrouve les corps violentés de deux jeunes femmes autochtones récemment portées disparues, dans un banc de neige en bordure d’une piste de motoneige non loin de Schefferville. Dépêché sur place, le réputé inspecteur Émile Morin tentera de résoudre le mystère de ce qui est arrivé aux deux sœurs innues de Mani-Utenam.

Une suite dont l’action se déroulera également dans le Nord est envisagée. D’ici là, une adaptation cinématographique est déjà en branle. Les droits ont été achetés par le Groupe PVP et la réalisation sera confiée à François Bouvier qui a produit les films La Bolduc et Paul à Québec. Le projet a déjà été financé par Téléfilm et la Sodec.

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Publié le 13 mai, 2019, dans la publication : Numéro_09 Volume 37

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Publié sur le site le 13 mai 2019

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