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  • Aucune augmentation de taxes

    Budget de la Ville de Fermont

    Aucune augmentation de taxes

  • Le siège social de Champion déménage

    Mine de fer du Lac Bloom

    Le siège social de Champion déménage

  • La Côte-Nord s’enclave dans les bureaux du Ministère

    Transports Québec

    La Côte-Nord s’enclave dans les bureaux du Ministère

  • Un paradis hivernal

    Les joies de l’hiver

    Une 20 janvier, 2020

    Un paradis hivernal

Numéro_01

Aucune augmentation de taxes

Budget de la Ville de Fermont

Aucune augmentation de taxes

Le siège social de Champion déménage

Mine de fer du Lac Bloom

Le siège social de Champion déménage

La Côte-Nord s’enclave dans les bureaux du Ministère

Transports Québec

La Côte-Nord s’enclave dans les bureaux du Ministère

Un paradis hivernal

Les joies de l’hiver

Une 20 janvier, 2020

Un paradis hivernal

Budget de la Ville de Fermont

Aucune augmentation de taxes

par Véronique Dumais

Le 11 décembre dernier, lors d’une séance extraordinaire, la Ville de Fermont a présenté et adopté son budget pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2020. Aucune augmentation d’impôt n’est prévue.

Le maire Martin St-Laurent et ses conseillers étaient fiers d’annoncer que le taux de taxation demeurerait le même et que les citoyens fermontois n’auraient pas à subir une hausse de taxes. Sur le budget dépassant les 18 millions de dollars, la Ville prévoit puiser dans le surplus pour réaliser certains projets.

« Je suis satisfait de tous les choix que le conseil a faits en matière de revitalisation des infrastructures. Ceux-ci nous permettent d’offrir les meilleurs services possible aux citoyens », mentionne le maire.

Pour le conseil municipal, l’année 2020 est synonyme de revitalisation et le budget en est la preuve. La Ville envisage d’investir 606 644 $ de plus qu’en 2019 pour les loisirs et la culture pour un investissement total de 4 739 205 $ pour l’achat et la réparation de matériel aquatique, un projet d’amélioration du skateparc, l’embauche d’un nouvel employé à temps plein à l’aréna, et la revitalisation de ses estrades par un coup de pinceau.

Du côté des infrastructures, on prévoit d’investir 100 000 $ pour le réaménagement des sentiers pédestres Tour de ville et du mont Daviault. Un autre 100 000 $ est réservé à l’étude de faisabilité pour les plateaux extérieurs tels que la piste d’athlétisme et le terrain de soccer.

Les acquisitions d’immobilisations sont toutes aussi importantes et totalisent plus de 2 millions de dollars. La Ville souhaite injecter plus de 300 000 $ pour des réparations majeures aux unités de la venelle communautaire et 45 000 $ pour des travaux dans le centre L.J. Patterson. Le chalet de service se verra offrir une modernisation au coût de 75 000 $ et le conseil municipal a opté pour une revitalisation des vestiaires de l’aréna et des estrades de la piscine pour la somme de 150 000 $.

Un projet de structure d’entraînement pour les pompiers verra le jour et le département des incendies offrira à ses pompiers volontaires une contexture adaptée à leurs besoins d’entraînement.

Le budget concernant l’hygiène du milieu connait une augmentation de 225 485 $ en partie expliquée par l’opération de la nouvelle usine d’eau potable, l’embauche de deux nouveaux techniciens des eaux et trois ans de rattrapage de masse salariale depuis la dernière convention collective qui datait du 1er mars 2016. Au cours de l’hiver 2019-2020, des tests seront effectués pour étudier ce qui est réalisable en matière d’écocentre. On projette de construire un centre de récupération écologique à deux kilomètres du périmètre de la ville au cours des prochaines années, un projet évalué de 400 000 $ à 500 000 $. La prochaine étape avant d’en arriver là sera le compostage via les poubelles brunes; les études réalisées à Fermont ont démontré que 60 % des matières résiduelles (déchets) de la municipalité étaient composés de matières compostables.

Du côté de la sécurité publique, le conseil municipal a prévu 2 601 182 $ de son budget annuel. De ce montant, 800 000 $ est réservé à la Sûreté du Québec et plus d’un million de dollars sont accordés au Service de prévention des incendies.

Comme tous les ans, la Ville de Fermont conserve une partie de son budget pour soutenir financièrement des organisations locales. En 2020, c’est 212 000 $ qui seront partagés entre divers organismes fermontois. Parmi ceux-ci, le Taïga Carnaval recevra 25 000 $, les organismes jeunesse bénéficieront de 55 000 $ et le comité de spectacles se verra octroyer 35 000 $.

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Publié le 20 janvier, 2020, dans la publication : Numéro_01 Volume 38

  • Budget municipal
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  • Taxes municipales
  • Ville de Fermont

Publié sur le site le 20 janvier 2020

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Mine de fer du Lac Bloom

Le siège social de Champion déménage

par Éric Cyr

Source photo : MFQ

La multinationale Champion, la maison mère de Minerai de fer Québec (MFQ) qui exploite la mine du Lac Bloom située à proximité de Fermont, semble suivre le courant inverse de la tendance de déménagement des sièges sociaux d’entreprises à l’extérieur de la province et a adopté une résolution visant à transférer le sien de l’Australie vers le Québec.

Les dirigeants de la minière croient que la nouvelle structure proposée augmentera l’attractivité sur des marchés financiers plus diversifiés et devrait recevoir l’approbation des actionnaires, en mars prochain. Il ne restera alors qu’à obtenir le feu vert des différentes autorités règlementaires, une formalité.

Relocalisation stratégique

L’entreprise, qui conserve des racines solides en Australie, souhaite préserver son importante base d’actionnaires sur ce continent tout en s’implantant officiellement au Canada où elle pourra courtiser des investisseurs canadiens et québécois qui préfèrent investir dans une société domiciliée au pays, ce qui préoccupe moins les Australiens. C’est au centre-ville de Montréal dans ses bureaux déjà existants où travaillent une quarantaine d’employés que Champion anticipe d’avoir pignon sur rue.

La décision du conseil d’administration d’installer les assises de l’organisation dans la métropole québécoise est destinée à mieux servir les intérêts de la compagnie en attirant notamment de nouveaux capitaux et ne modifiera pas ses activités actuelles ou son exploitation.

Avantages

Selon le chef de la direction de Champion, David Cataford, l’objectif de cette manœuvre est de diversifier son actionnariat et d’élargir le bassin d’investisseurs institutionnels potentiels. Cette décision devrait aussi permettre de propulser la visibilité de la minière sur le parquet de la bourse de Toronto (TSX) où elle pourra mieux susciter l’intérêt en négociant des actions tout comme elle le fait actuellement sur la bourse australienne (ASX). Ce dernier précise que ce remaniement est logique puisque toutes les activités de Champion sont en sol québécois.

Expansion

Des travaux préliminaires d’ingénierie totalisant 68 M $ se poursuivent en parallèle dans le cadre d’un projet d’agrandissement de la mine du Lac Bloom, la future phase 2, ayant pour cible de doubler sa capacité de production de minerai de fer qui devrait s’accroître jusqu’à 15 millions de tonnes annuellement. Selon des évaluations, cet élargissement pourrait totaliser, une fois son achèvement complété, 450 M $ américains soit l’équivalent de près de 600 M $ canadiens. C’est une filiale d’Investissement Québec, Ressources Québec, qui demeure, après le récent rachat par Champion de la part de 36,8 % dans sa filiale MFQ auparavant détenue par le gouvernement du Québec, le second bailleur de fonds de Champion avec une participation de près de 9 %.

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Publié le 20 janvier, 2020, dans la publication : Numéro_01 Volume 38

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Publié sur le site le 20 janvier 2020

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Transports Québec

La Côte-Nord s’enclave dans les bureaux du Ministère

par Éric Cyr

Source photo : CSN

Des membres de la Coalition Union 138 et de la Société du Pont sur le Saguenay, soutenus par leurs élus, ont occupé de façon pacifique les bureaux de la direction des grands projets du ministère des Transports à Québec, le 13 décembre dernier, afin de réitérer au ministre québécois des Transports, François Bonnardel, la nécessité de poursuivre les travaux du bureau de projet de la construction d’un pont à l’embouchure de la rivière Saguenay.

La délégation nord-côtière, qui refuse de considérer la position de M. Bonnardel et juge inacceptables les réponses obtenues par le ministre lors de ses récentes déclarations, n’a pas été bien accueillie et s’est fait évincer des lieux par les policiers sans avoir pu au préalable transmettre à qui de droit ses doléances légitimes. Les représentants considèrent que le gouvernement agit de façon sournoise pour gagner du temps dans le dossier du désenclavement de la Côte-Nord. « Nous devons obtenir l’assurance que les travaux du bureau de projet pour le pont sur le Saguenay reprennent de la façon initialement convenue et annoncée par l’ancien gouvernement libéral » explique le porte-parole de la Coalition Union 138, Guillaume Tremblay. « On ne demande pas à monsieur Bonnardel de construire un pont. On lui demande tout simplement de poursuivre l’étude déjà débutée pour ensuite prendre une décision éclairée dans l’intérêt des contribuables québécois », souligne à son tour le président de la Société du Pont sur le Saguenay, Marc Gilbert.

Conviction et détermination

Le front commun, qui était accompagné des préfets des MRC de Charlevoix-Est et de Manicouagan (Baie-Comeau) ainsi que du maire de Sept-Îles, dénonce le fait que la Côte-Nord est recluse depuis trop longtemps et qu’il est impératif pour la région de conserver son seul acquis dans le dossier du désenclavement de son territoire en s’assurant de la reprise des travaux du bureau de projet, qui était inscrit au programme québécois des infrastructures et que le gouvernement Legault s’était engagé à maintenir lors de la dernière campagne électorale.

Par cette action engagée à Québec, dans un endroit symbolique qu’est le bureau des grands projets du MTQ, la Côte-Nord réaffirme de façon claire et sans équivoque au gouvernement qu’elle espère obtenir un soutien et une collaboration réelle et qu’il démontre véritablement de la considération pour les citoyens et les citoyennes de la région.

« Monsieur Bonnardel dit comprendre nos préoccupations, il doit maintenant le démontrer et ordonner la poursuite des travaux et le désenclavement de la Côte-Nord. C’est un signe inquiétant de constater qu’on n’est pas capable de parler à personne. On ne demandait même pas un pont, mais juste un appel d’offres pour lancer une étude de faisabilité. Ce qu’on en tire comme constat, c’est que le gouvernement n’a pas du tout l’intention d’aller de l’avant dans ce dossier. Ça en dit long et ça démontre qu’il va falloir se serrer les coudes et qu’on devra inévitablement se mobiliser comme région », a conclu le syndicaliste Guillaume Tremblay.

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Publié le 20 janvier, 2020, dans la publication : Numéro_01 Volume 38

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Publié sur le site le 20 janvier 2020

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Les joies de l’hiver

Un paradis hivernal

par Éric Cyr

Quand on parle d’activités hivernales, la région a beaucoup à offrir et a tout le potentiel pour accueillir des événements uniques majeurs. Que l’on songe à la plupart des sports de glisse ou qui nécessitent la présence de neige, le choix est très diversifié à Fermont et au Labrador Ouest voisin. Cette spécificité unique contribue à attirer certains touristes et même des athlètes d’envergure internationale.

Ski de fond

On n’a qu’à songer à la finale de la deuxième compétition mondiale annuelle de ski de fond organisée par la Fédération internationale de ski (FIS) à Labrador City le 27 mars 1983 principalement à cause de la qualité de la neige, celle-ci n’étant pas abondante en Europe à cette période. Le club de ski de fond Menihek de Labrador City dont le chalet suisse en bois rond est très accueillant a par la suite été désigné centre d’entraînement national en 1984 après avoir été l’hôte de l’entraînement des fondeurs canadiens et américains en 1981, du Championnat nord-américain et des épreuves de la coupe Shell en 1982. Le lancement de la saison de la Coupe du monde de ski de fond s’est aussi déroulé sur place en 1985. Fermont a eu le club de ski de fond Anyk, qui a cessé ses activités au début des années 2000. Son successeur, le club Les traceurs de Fermont, voyait le jour en 2017.

Chiens de traîneau

Le climat propice aux sports de neige attire également des meneurs de chiens et des courses de traîneau à chiens qui sont aussi populaires . La compétition Labrador 400 se tenait au Labrador Ouest il y a quelques années et celle du Défi Taïga 200 a été remplacée par les Taïga courses depuis l’an dernier.

Motoneige

La motoneige ne laisse pas sa place. La deuxième édition du Raid international de motoneige hors-piste Harricana, où 96 concurrents s’affrontaient entre Val-d’Or en Abitibi et Labrador City au Labrador, a fait escale à Fermont en 1991 et le départ biennal de la plus longue course d’endurance à motoneige au monde, le Cain’s Quest, s’effectue à Labrador City.

Hockey, patinage, ski alpin, surf des neiges

Les adeptes de sports peuvent pratiquer la plupart de ceux se rapportant à l’hiver. On retrouve bien évidemment le sport national au pays, le hockey sur glace, ainsi que le patinage artistique :
Fermont, Labrador City et Wabush disposent chacune d’un aréna. Le ski alpin et le surf des neiges sont aussi pratiqués au centre de ski alpin et de planche à neige Smokey Mountain fondé en 1961 à Labrador City et qui a subi une cure de rajeunissement la saison dernière. Avec des pentes de ski qui cumulent à 845 m d’altitude (2769 pi), ses infrastructures ont été complètement restaurées et incluent deux remontées mécaniques neuves de type téléski de la marque française Poma et un télésiège quadruple de marque Skytrac, qui mène au sommet par voie aérienne donnant ainsi accès à l’entièreté des pistes. Des poteaux d’éclairage aux diodes électroluminescentes (DEL) sont aussi très utiles pour les randonnées nocturnes.

Raquettes, trottinette des neiges, etc.

On peut aussi croiser dans les sentiers de la région dont la plupart sont entretenus durant la saison hivernale, des adeptes des traditionnelles raquettes à neige, mais aussi de ski raquette, de trottinette des neiges et de vélo tout-terrain à pneus surdimensionnés (fatbike). Certains intrépides ont aussi essayé la planche aérotractée ou planche volante (kitesurf/snowkite) sur le lac Daviault à Fermont.

Deux premières mondiales à Fermont

Dans des domaines plus inusités, deux courses ont suscité un vif intérêt soit la fameuse course de souffleuses du Taïga Carnaval, un concept innovateur qui n’avait jamais été tenté auparavant ailleurs et dont les images ont été abondamment relayées sur les réseaux sociaux tout comme une vidéo de la course d’accélération de surfaceuses (dameuses) qui s’est aussi tenue sur le lac Daviault pour la première fois l’an passé.

 

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Publié le 20 janvier, 2020, dans la publication : Numéro_01 Volume 38

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Publié sur le site le 20 janvier 2020

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