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  • Numéro 12

  • De belles annuelles pour climat subarctique

    Chronique horticole

    De belles annuelles pour climat subarctique

  • Jacinthe Brodeur, une sportive accomplie

    7e édition du Prix Distinction Fermont

    Jacinthe Brodeur, une sportive accomplie

  • Entre ciel et terre

    13e édition de la randonnée du solstice

    Entre ciel et terre

  • Certains Fermontois s’inquiètent des répercussions

    AUGMENTATION DES TAXES À TERRE-NEUVE-ET-LABRADOR

    Certains Fermontois s’inquiètent des répercussions

  • La communauté amasse 30 000 dollars de dons

    2e édition du relais pour la vie

    Une 27 juin, 2016

    La communauté amasse 30 000 dollars de dons

Numéro 12

De belles annuelles pour climat subarctique

Chronique horticole

De belles annuelles pour climat subarctique

Jacinthe Brodeur, une sportive accomplie

7e édition du Prix Distinction Fermont

Jacinthe Brodeur, une sportive accomplie

Entre ciel et terre

13e édition de la randonnée du solstice

Entre ciel et terre

Certains Fermontois s’inquiètent des répercussions

AUGMENTATION DES TAXES À TERRE-NEUVE-ET-LABRADOR

Certains Fermontois s’inquiètent des répercussions

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2e édition du relais pour la vie

Une 27 juin, 2016

La communauté amasse 30 000 dollars de dons

Chronique horticole

De belles annuelles pour climat subarctique

par Francine Marcoux

Quoi de plus agréable que de sortir le matin sur le balcon siroter un bon café tout en admirant les nouvelles fleurs qui viennent d’éclore. Pour moi c’est du pur bonheur! Elles sont si belles, et produisent des boutons floraux durant toute la saison. Mais pendant seulement une saison. Eh oui, elles complètent leur cycle vital sur une seule année. Contrairement aux vivaces, qui repoussent le printemps suivant, les annuelles vivent à 100 milles à l’heure tout l’été durant, et produisent des dizaines, des centaines et même des milliers de fleurs selon l’espèce.

Les avantages

En plus de fleurir constamment, les annuelles nous permettent de changer d’espèce ou de couleur à chaque année. Faciles d’entretien, elles requièrent un arrosage régulier. Nul besoin de les fertiliser, si elles sont plantées dans un bon terreau fertile avec du compost. Surtout ici à Fermont, notre saison estivale est si courte! D’ailleurs une surfertilisation peut attirer les pucerons.

Un des avantages le plus apprécié, est le fait qu’il n’y a pas de désherbage à faire. Étant donné, que l’on replante à chaque année, soit que l’on remplace la terre ou qu’on l’amende avec un peu de terre enrichie de compost, après avoir enlevé tous les débris de l’an passé. Elles sont adaptées à vivre en contenant : boite à fleurs, paniers suspendues, etc.

En règle générale elles sont moins dispendieuses que les vivaces. Les variétés les plus courantes sont vendues en caissettes de 6 ou 9 plants. Les variétés hybrides, créées par les généticiens, quant à elles sont vendues à l’unité et sont interdites de reproduction car il y a des royautés à payer pour obtenir le droit de les propager, ce qui explique le prix plus élevé.

Il existe sur le marché une grande variété d’annuelles, des petites, de très grandes, des retombantes, des grimpantes, des couvre-sols, etc. Il y en a aussi pour tous les gouts au niveau des couleurs. À chaque année, de nouvelles variétés et de nouvelles couleurs font leur apparition.

Lesquelles choisir?

Évidemment, elles ne sont pas toutes adaptées pour vivre en région nordique. En fait les chercheurs développent des espèces de plus en plus résistantes à la chaleur et à la sècheresse. Il y en a tout de même plusieurs qui apprécient les climats plus frais.

Une de mes préférées est sans contredit l’osteospermum. Sa fleur en forme de marguerite surprend par son cœur bleu. Elle fleurit abondamment surtout lorsque la température se situe entre 10 et 20 degrés Celsius le jour, et entre 5 et 15 degrés la nuit. De plus elle résistera à un gel léger.
La scaevola, tellement belle et fournie, s’utilise souvent seule en paniers suspendus ou comme couvre sol. Ses pétales disposés en éventail sont bleus ou blancs. Son feuillage ciré la rend très tolérante à la sècheresse. C’est donc une bonne plante pour les endroits venteux.

Enfin, on peut faire le choix d’une viola (pensée). Il s’agit d’une valeur sure pour les régions froides. Elle est disponible dans toutes les couleurs : bicolore, moustachue ou non, grande ou petite fleur, dressée ou retombante, il y en a pour tous les gouts. Bisannuelle, la pensée nous fait parfois la surprise de repousser le printemps suivant, et ce bien avant tous les autres végétaux. Préférant les températures froides, on la plante en septembre, dans les régions plus chaudes, pour remplacer les annuelles frileuses et ainsi on peut l’admirer jusqu’aux premières neiges.

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Publié le 27 juin, 2016, dans la publication : Numéro 12 Volume 34

  • Climat subarctique
  • Fleurs annuelles
  • Horticulture
  • Horticulture fermontoise
  • Osteospermum
  • Scaevola
  • Viola

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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7e édition du Prix Distinction Fermont

Jacinthe Brodeur, une sportive accomplie

par Éric Cyr

Au début du mois, Jacinthe Brodeur s’est vu décerner le Prix Distinction Fermont pour ses prouesses ainsi que sa belle implication dans le domaine sportif. Le comité organisateur du prix a dressé le portrait de cette Fermontoise d’exception, qui vit depuis plusieurs années dans les Rocheuses canadiennes.

Dès son primaire, Jacinthe comble sa passion des arts et du sport par la pratique du ballet et de la nage synchronisée. Au secondaire s’ajoutent le ski, le badminton, le crosscountry et la natation de compétition. Elle participe à de nombreux championnats régionaux et provinciaux. Au cégep, elle s’inscrit dans un club de plein air et découvre de nouvelles passions : ski de randonnée, vélo de montagne, escalade et expéditions. C’est avec quatre jeunes de ce club qu’elle gravit le plus haut sommet des Amériques, le mont Aconcagua (6959 m), en janvier 1998. En 2000, elle réalise la  traversée Yukon-Alaska à vélo.

Ses nouvelles passions pour les sports de plein air l’amènent à s’établir dans les Rocheuses canadiennes. Elle élit domicile à Canmore, en Alberta. En décembre 2004, une chute en escalade de glace l’oblige à troquer, pour quelques mois, ses équipements de plein air contre un fauteuil roulant. Elle a en effet plusieurs fractures aux deux jambes. Comme Jacinthe s’avère être une personne tenace et persévérante, elle suit à la lettre son programme de réhabilitation et, deux ans après cette chute, elle retrouve toutes ses habiletés physiques. Par la suite, elle participera à quatre triathlons de distance olympique et à deux triathlons XTERRA. Lors de sa dernière compétition, en 2014, sa 2e position dans sa catégorie d’âge lui fait rater de peu sa chance de participer aux championnats du monde.

Jacinthe possède maintenant sa propre clinique de physiothérapie, à Banff. Tous les gens qui y travaillent sont également des adeptes du sport et sont engagés à aider les gens par des conseils, des exercices et des soins appropriés.

Son cheminement dans nos écoles et dans notre communauté a permis à Jacinthe de développer sa confiance en elle et de croire en ses rêves. Le sport en parascolaire a animé sa passion et elle a, dès son plus jeune âge, compris l’importance d’avoir un mode de vie sain. Ceci fait d’elle un excellent modèle pour les jeunes Fermontois.

Toutes nos félicitations à madame Jacinthe Brodeur. À noter que sa candidature a été présentée par Mme Louise Vachon.

Le prix de l’excellence fermontoise

Initiative des conseils d’établissement de l’école Des Découvertes et de la Polyvalente Horizon-Blanc, le Prix Distinction Fermont vise à promouvoir le dépassement de soi, l’implication dans un domaine particulier, la ténacité et l’effort constant. Chaque année, le prix met en avant des personnes issues de la communauté fermontoise qui peuvent servir de modèles aux plus jeunes.

 

Le comité organisateur

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Publié le 27 juin, 2016, dans la publication : Numéro 12 Volume 34

  • Discipline sportive
  • Escalade
  • Physiothérapeute
  • Prix distinction
  • Prouesses sportives
  • Rocheuses canadienne

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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  • Prochaine publication

13e édition de la randonnée du solstice

Entre ciel et terre

par Guillaume Rosier

La traditionnelle randonnée du solstice, qui s’est déroulée dans la nuit du 17 au 18 juin dans les Severson, a de nouveau remporté un franc succès.

Il est 11 h 30 du soir passé. Le bus vient de déposer les randonneurs à la mine des chinois, en plein cœur des Severson, ces petites montagnes situées non loin de Fermont. Chacun allume sa lampe frontale et suit, en file indienne, le guide et vétéran de la randonnée du solstice, Michel Michaud. Sa conjointe, Martine Cotte, ferme la marche.

À travers les épinettes, la lune joue à cachecache avec les marcheurs. Une aurore boréale apparait timidement. « Les astres sont alignés pour cette randonnée. Il fait doux, il ne pleut pas et pour une fois, nos bas sont secs », se réjouit M. Michaud. Sur le sentier, le groupe s’informe sur la flore environnante : ici du thé du Labrador, par là du tabac du diable et un peu partout de splendides amélanchiers fleuris.

L’obscurité est de courte durée. Très tôt (ou très tard c’est selon), l’horizon s’éclaircit. Alors que la lune se couche derrière les collines qui dominent le lac Moiré, de l’autre côté, le soleil annonce son arrivée par une douce et magnifique lueur. Spectateurs de ce paysage à couper le souffle, les randonneurs se figent, perdus dans leurs pensées. Encore une fois, comme c’est souvent le cas à Fermont, la magie des paysages nordiques opère.

Après un bon 8 km et plusieurs heures de marche, le groupe arrive au point d’arrivée. Pascale Castilloux, de la MRC de Caniapiscau, accueille les randonneurs avec une délicieuse soupe, bien chaude. Des prix de présence sont tirés. Assurément, on reviendra, tant qu’on le pourra.

 

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Publié le 27 juin, 2016, dans la publication : Numéro 12 Volume 34

  • Couché de soleil
  • Jour et nuit
  • Lever du soleil
  • Marche nocturne
  • Monts-Severson
  • Randonnée
  • Solstice
  • Spectaculaire

Publié sur le site le 22 septembre 2016

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AUGMENTATION DES TAXES À TERRE-NEUVE-ET-LABRADOR

Certains Fermontois s’inquiètent des répercussions

par Guillaume Rosier

Les augmentations de taxes mises en place par le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador, qui doivent aider à éponger un déficit abyssal, inquiètent certains citoyens fermontois.

Terre-Neuve-et-Labrador est lourdement handicapée par un énorme trou budgétaire. En effet, le déficit du budget 2015-2016 se chiffre à 2,2 milliards de dollars, soit 7,3 % du PIB. Le déficit a été légèrement supérieur au double de ce qui avait été prévu il y a un an. En proportion du PIB, le déficit 2015-2016 est quatre fois plus grand que le plus lourd de tous les autres déficits provinciaux.

Avec le statuquo, le déficit de la province aurait atteint 2,7 milliards de dollars en 2016-2017, mais des décisions budgétaires strictes doivent faire baisser le déficit à 1,8 milliard de dollars en 2016-2017, soit 6,2 % du PIB.

Parmi toute une série de mesures prises pour réduire la taille du trou budgétaire, on peut par exemple évoquer une augmentation du cout de l’essence qui est déjà entrée en vigueur au début du mois. Le 1er juillet, date officielle, les taxes augmenteront sur presque toute la ligne, en commençant par la taxe de vente harmonisée, qui passera de 13 % à 15 %. On peut également mentionner une hausse de l’impôt sur le revenu de 1 % pour les tranches de revenus situées entre 35 149 et 125 000 dollars.

Cette austérité est loin, très loin de faire l’unanimité chez nos voisins, qui pâtissent déjà d’un climat de morosité économique. À Fermont, certains s’inquiètent des répercussions que peuvent avoir les augmentations de taxes, en raison de l’étroitesse des liens entre la ville minière et le Labrador.

Cout de la vie plus élevé?

Une citoyenne fermontoise explique :

« Il y a énormément de produits que l’on ne trouve pas à Fermont et que l’on doit se procurer au Labrador. Avec l’augmentation de la taxe de vente harmonisée, forcément, le portefeuille va s’alléger plus vite. » Un autre citoyen va plus loin : « Les taxes vont avoir pour effet de diminuer la consommation de certains ménages. À terme, cela peut menacer les commerces et cela nous concerne directement ».

Concernant la hausse des prix de l’essence, certains pensent que cela aura une répercussion sur le prix de plusieurs produits en magasin en raison de la hausse du cout du transport, et peut-être également sur le prix des déplacements en avion faits depuis l’aéroport de Wabush.

À contrario, une autre citoyenne estime que les augmentations de taxes dans la province voisine auront un effet bénéfique sur l’achat local, à la fois de la part des Fermontois et des Labradoriens.

Il va falloir attendre un peu pour voir quels seront les effets de l’austérité à Labrador sur Fermont. Quoi qu’il en soit, la situation va se détériorer pour les ménages de la province voisine.

« Il n’y a aucun doute que chaque famille va ressentir les effets du déficit dans lequel notre province est plongée. C’est une réalité », a récemment déclaré la mairesse de Labrador City, Karen Oldford.

Prévisions économiques

D’après le Conference Board du Canada, qui a présenté à la mijuin ses prévisions économiques pour l’ensemble du pays, les choses vont mal à Terre-Neuveet- Labrador. La baisse générale du prix des matières premières porte un coup dur à l’économie de cette province selon ce groupe de réflexion. De plus, des projets majeurs en cours de réalisation depuis quelques années devraient être bientôt terminés. Ils cesseront ainsi de contribuer à la croissance économique.

Les mesures d’austérité budgétaires prises par le gouvernement, dont l’augmentation des taxes et impôts, ralentissent aussi la croissance à moyen terme. Le Conference Board prévoit un repli de 1,2 % du PIB l’an prochain.

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Publié le 27 juin, 2016, dans la publication : Numéro 12 Volume 34

  • Augmentation
  • économie
  • Labrador
  • Répercussion
  • Taxes
  • Terre-Neuve
  • Terre-Neuve-et-Labrador

Publié sur le site le 22 septembre 2016

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2e édition du relais pour la vie

La communauté amasse 30 000 dollars de dons

par Guillaume Rosier

Dans la nuit du 18 au 19 juin, à la piste d’athlétisme, s’est déroulée la deuxième édition fermontoise du Relais pour la vie qui permet d’amasser des fonds pour la Société canadienne du cancer. La communauté a de nouveau fait preuve d’un bel élan de solidarité.

Peu avant que le Relais pour la vie ne démarre, une pluie violente fait craindre le pire. Heureusement, elle s’arrête vite et le temps sera par la suite relativement clément.

Lucie Gaudet, membre du comité organisateur, lance l’évènement en prononçant le discours d’ouverture :

« Le Relais pour la vie est une belle occasion de se réunir pour amasser de précieux dons qui serviront pour la recherche. Célébrons le courage, l’espoir et la victoire. »

Après plusieurs témoignages, les 125 membres des 11 équipes participantes s’échauffent sous la direction dynamique d’Annie Desrosiers. Ils vont bientôt s’élancer sur la piste pour une marche de solidarité qui durera toute la nuit, pour symboliser que le cancer lui, ne dort jamais.

Vers 19 h, les « porteurs d’espoir », survivants ou combattants du cancer identifiables à leur chandail jaune, entament la marche sous les applaudissements nourris de la foule. L’émotion est vive, que ce soit pour les proches, pour ceux qui ont récemment perdu quelqu’un ou pour ceux qui connaissent quelqu’un luttant actuellement contre la maladie. Les 11 équipes embarquent sur la piste à la suite des « porteurs d’espoir », dans une belle communion.

« Ça a vraiment été une belle nuit », raconte Marie-Nathalie Lapointe, capitaine de l’équipe Judo Fermont et qui a vaincu la maladie voilà quelques années.

« Le Relais pour la vie contribue à faire reculer la maladie. C’est important pour les générations futures, car ce que nous faisons maintenant les concerne directement. »

Tout au long de la nuit, la capitaine a motivé les membres de son équipe. « Même si l’on ressent parfois de la faiblesse ou un peu de souffrance durant les 12 heures de marche, ce n’est rien comparé à ce que peuvent vivre les personnes atteintes du cancer.

« Il faut continuer d’avancer, car comme le combat que l’on mène contre le cancer, il ne faut jamais renoncer, ne jamais perdre espoir », explique-t-elle.

« L’an dernier, j’ai été diagnostiqué d’un cancer. J’ai été opéré et j’ai réussi à passer au travers sans chimio, sans radio et sans traitement autre que le traitement après l’opération. J’arrive de Sept-Îles où j’ai appris que toute trace de mon cancer avait disparu. J’aime la vie. Faites attention à vous, faites des examens le plus tôt possible. Le cancer peut être combattu. Le cancer peut être battu. » Raynald Lapierre, porteur d’espoir, lors de la cérémonie d’ouverture du 2e Relais pour la vie à Fermont.

Sur le bord de la piste d’athlétisme, les personnes ne marchant pas se rassemblent autour du feu, discutent, sympathisent ou réconfortent quelqu’un ayant récemment perdu un proche. Karl Gagné Côté anime le Relais au microphone, soutenant les marcheurs par ses encouragements.

Le lever du soleil donne un regain d’énergie aux équipes. Finalement, lorsque l’évènement se termine, un montant total de près de 30 000 dollars a été amassé par les équipes et les commanditaires. Il s’agit d’un montant substantiel, surtout lorsque l’on tient compte du contexte économique plutôt morose.

« Il a fallu mettre plus d’eau au moulin par rapport à l’année dernière. Vers la fin on ne savait pas trop si on allait y arriver, mais finalement nos efforts ont été payants », indique Monique Cassista, présidente du comité organisateur, qui espère que l’évènement pourra se poursuivre d’année en année.

Mme Cassista tient à remercier les participants, les commanditaires ainsi que les personnes suivantes du comité organisateur : Guylaine Langlois et Diane Horth (finances et logistique évènement); Frédéric Turbide (logistique terrain); Caroline Turbide (logistique évènement); Louise Savard et Caroline Frappier (coordination des équipes); Nancy Emond (animation); Annie Desrosiers (entrainement); Lucie Gaudet (cérémonie des vainqueurs); Karol-Ann Bérubé (cérémonie des luminaires).

Les équipes

Chaque équipe participante a réuni des dons afin de lutter contre le cancer.

  • Les espoirs du Nord
  • Les débrouillards
  • Les relayeurs de la nuit
  • Judo Fermont!
  • Les jonquilles de l’espoir
  • Les joyeuses voisines
  • Les tournesols
  • FER MON efforT!
  • Effort +
  • Caserne 12
  • Les Hang-Overs

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Publié le 27 juin, 2016, dans la publication : Numéro 12 Volume 34

  • campagne financement
  • Cancer Fermont
  • communauté
  • dons
  • Relais pour la vie

Publié sur le site le 18 août 2016

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