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  • Numéro 15

  • Prise de bec avec l’Association minière  du Québec

    Santé et sécurité du travail dans les mines

    Prise de bec avec l’Association minière du Québec

  • La loge Anik au Labrador depuis 1976

    Franc-maçonnerie

    La loge Anik au Labrador depuis 1976

  • Des investissements fort attendus

    Commission scolaire du Fer

    Des investissements fort attendus

  • La 18e édition de la grande corvée des monts Groulx

    Monts Groulx-Uapishka

    Une 25 septembre, 2017

    La 18e édition de la grande corvée des monts Groulx

Numéro 15

Prise de bec avec l’Association minière  du Québec

Santé et sécurité du travail dans les mines

Prise de bec avec l’Association minière du Québec

La loge Anik au Labrador depuis 1976

Franc-maçonnerie

La loge Anik au Labrador depuis 1976

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La 18e édition de la grande corvée des monts Groulx

Monts Groulx-Uapishka

Une 25 septembre, 2017

La 18e édition de la grande corvée des monts Groulx

Santé et sécurité du travail dans les mines

Prise de bec avec l’Association minière du Québec

par Éric Cyr

Le Syndicat des Métallos et l’Association minière du Québec (AMQ) sont en désaccord concernant les conditions de travail et la sécurité des travailleurs dans le secteur minier québécois. Une rupture qui aurait été initiée par l’AMQ a contribué à une recrudescence des accidents mortels (deux à ce jour en 2017) et avec blessés graves dans le domaine minier au Québec depuis le début de l’année.

À couteaux tirés

Le Syndicat des Métallos déplore le fait que des gens meurent pendant que les minières boudent les comités de prévention. « L’AMQ et les minières doivent cesser les enfantillages et collaborer pour la santé et sécurité du travail (SST). » Le directeur québécois des Métallos, Alain Croteau est cinglant : « Le carnage doit cesser dans les mines du Québec! Les minières doivent mettre fin à leur boycottage des comités de travail de la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail (CNESST) qui dure depuis près d’un an et travailler sérieusement à améliorer la santé et la sécurité dans les mines. La ministre [québécoise] du Travail doit aussi mettre son poids dans la balance pour qu’il y ait un vrai coup de barre [en la matière]. » C’est le message lancé au lendemain d’un second décès dans les mines au Québec depuis le début de l’année et qui est appuyé par la majorité des présidents de sections locales du secteur minier de partout au Québec.

Mauvaise foi des minières

Voilà maintenant près d’un an que les sous-comités de travail de la CNESST n’ont pu se réunir faute de participation des représentants des minières, vraisemblablement à cause d’un mot d’ordre de l’AMQ. Cette abstention coïncide avec une ordonnance de la CNESST de cesser le travail de soutirage minier (le fait de retirer du minerai), lorsque des charges explosives sont installées ou prêtes à être déclenchées. « La CNESST est au courant, la ministre du Travail aussi, nous lui avons écrit en mai pour lui demander d’intervenir. Maintenant, l’hécatombe se poursuit et nous sentons que les minières ne sont plus du tout en mode prévention. Elles rejettent le modèle de comités paritaires qui a pourtant permis de faire des avancées majeures depuis 30 ans dans le secteur minier », fait valoir le syndicaliste. Un point de presse destiné à dénoncer la situation problématique s’est tenu devant le siège social de l’AMQ, qui représente les minières du Québec.

« Tout est paralysé en matière de prévention et d’élaboration de plan d’action en santé et sécurité du travail. Nous dénonçons l’AMQ, ce lobby des minières, ce syndicat des boss, qui semble avoir donné un mot d’ordre de bouder les comités de la CNESST parce qu’ils ne sont pas d’accord avec une ordonnance. Ils se livrent à des avocasseries et des enfantillages alors que des vies de travailleurs sont en jeu. On sent un relâchement en matière de santé et de sécurité au cours des dernières années. Les mines ont déjà été beaucoup plus meurtrières, le bilan s’était amélioré dans les 40 dernières années grâce à la prévention qui se fait en partenariat entre les employeurs et les représentants des travailleurs. Il ne faut pas revenir en arrière. La situation doit être redressée rapidement », s’est exclamé Alain Croteau.

Le coordonnateur régional des Métallos pour la Côte-Nord, Nicolas Lapierre abonde dans le même sens et déplore que l’AMQ boude ces outils essentiels à la santé et sécurité des travailleurs à cause d’un dossier en litige devant le tribunal administratif du travail mettant ainsi les bâtons dans les roues à de nouvelles mesures de prévention destinées à favoriser une réglementation efficace s’adaptant aux réalités du monde minier qui pourrait éviter de graves accidents et sauver des vies. « On ne veut pas revenir au Far West. Nous avons sommé le gouvernement du Québec et la CNESST à forcer l’AMQ à revenir participer aux travaux des sous-comités. »

Sur la défensive

L’AMQ déplore quant à elle la sortie publique des Métallos qui laisse planer le doute sur le sujet. Selon la présidente-directrice générale de l’AMQ, Josée Méthot : « Jamais, au grand jamais, les entreprises minières ne mettront en danger leurs travailleurs. Leur santé et leur sécurité passent avant tout, ça doit être clair. » Cette dernière précise que grâce aux efforts déployés chaque jour en prévention, le bilan en santé et sécurité du travail (SST) s’améliore continuellement. « La SST est l’affaire de tous dans les mines, peu importe le niveau hiérarchique. Le dévouement de tous les travailleurs et des gestionnaires a permis de diminuer de 22 % la fréquence des accidents dans les mines souterraines au cours des six premiers mois de 2017, comparativement à la même période en 2016. » Mme Méthot poursuit en expliquant que les accidents diminuent parce que la vigilance est à son maximum et que rien n’est plus prioritaire que d’offrir un milieu de travail sécuritaire. « C’est faux de dire le contraire »,  soutient-elle. « Pour l’AMQ, il est clair que l’industrie minière, comme tous les secteurs d’activité, n’est pas à l’abri [d’incidents malheureux] » SIC. « Oui, des accidents surviennent sur les sites miniers malgré toutes les actions que l’industrie met en place. Ce qu’il faut faire et ce qu’on fait d’ailleurs, c’est de s’assurer de [limiter les risques au minimum] SIC et de travailler en collaboration pour conserver le bilan fort enviable de l’industrie minière en matière de SST », a conclu Mme Méthot.

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Publié le 25 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 15 Volume 35

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Publié sur le site le 25 septembre 2017

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Franc-maçonnerie

La loge Anik au Labrador depuis 1976

par Éric Cyr

Légende : La loge Anik, de l’inuktitut « petit frère », nommée en référence au premier satellite non-militaire à être placé en orbite géostationnaire, située juste à côté du centre commercial Mall à Labrador City est un lieu de rassemblement des francs-maçons depuis 41 ans.

Considérée à tort ou à raison comme une société secrète depuis des siècles, la franc-maçonnerie est certainement, si tel est le cas, la société fraternelle séculière la plus ancienne et la plus connue du grand public. Bien que différentes origines soient attribuées aux francs-maçons, la plus répandue fait référence au métier de maçon qu’ils exerçaient principalement en Europe au Moyen-Âge alors qu’ils oeuvraient à la construction d’églises, de cathédrales et de châteaux. D’ailleurs, le compas et l’équerre, des symboles très significatifs dans la franc-maçonnerie, rappellent cette époque et sont liés à des traditions médiévales.

Pour démystifier cette confrérie

Ils étaient nombreux à travailler en tant que tailleurs de pierre et c’est à cette période que serait née la première loge sur les chantiers afin de nourrir et d’abriter ces travailleurs venus de partout. Leurs voyages dans plusieurs pays leur ont permis d’apprivoiser différentes techniques de construction, mais aussi d’assimiler de nombreuses connaissances en côtoyant des bâtisseurs de cultures et de confessions variées. Ils auraient travaillé sur plusieurs projets d’architecture de concert avec les Chevaliers de l’ordre du Temple (les Templiers), avec qui ils auraient entretenu des liens étroits, en utilisant une technique très spécifique appelée « géométrie sacrée ». La discrétion des francs-maçons remonte peut-être au fait qu’ils devaient se méfier de l’Inquisition qui a « officiellement » sonné le glas de l’ordre des Templiers. Plusieurs traditions des francs-maçons sont échelonnées sur des siècles. La légende se mélange parfois à l’histoire et il est difficile de bien démêler les deux. La première grande loge maçonnique fut fondée à Londres en Angleterre en 1717 par contre, les origines exactes de la franc-maçonnerie sont plus nébuleuses. Des documents attestent la présence de loges en Écosse dès 1598 où la maçonnerie serait possiblement née. Les rites maçonniques les plus répandus dans le monde sont le rite d’York, le rite émulation, le rite écossais ancien et accepté et le rite français. Tous les membres des Shriners, qui financent des hôpitaux pour enfants, sont obligatoirement au départ des francs-maçons.

Des lois universelles

Malgré leurs liens historiques avec la chrétienté, ils ont été excommuniés par l’Église catholique en 1738, et de nombreuses références bibliques intégrées à leurs rituels, les francs-maçons sont ouverts aux autres religions et prônent un caractère inclusif sans discrimination. D’ailleurs selon le grand maître du District Grand Lodge de Terre-Neuve-et-Labrador issu de la grande loge d’Écosse, W. Scott Bartlett qui était à la loge Anik no. 1707 à Labrador City dans le cadre d’un banquet lors de l’assermentation des membres officiers, le 9 septembre dernier : « La franc-maçonnerie n’est pas une religion et n’endosse aucune cause politique, mais accepte des gens de multiples croyances. L’objectif est de rassembler des hommes bons et d’en faire des hommes meilleurs. Nous sommes essentiellement une association philosophique et philanthropique. Les francs-maçons contribuent à des œuvres de bienfaisance et de charité de façon désintéressée. La franc-maçonnerie propose des valeurs qui reposent sur les lois universelles de la vie, non pas des dogmes ou des règles sociales édictées par des hommes en quête de pouvoir pour asservir leurs semblables. » Comme s’il se doutait que le journaliste allait lui poser la fameuse question se rapportant au caractère du secret, le frère Frederick Hiscock lance à la blague : « Nous sommes une société avec des secrets, mais pas du tout une société secrète ! » Assez loin de la théorie du complot.

Il existe 11 loges qui relèvent de la grande loge d’Écosse et 32 loges de la grande loge de Terre-Neuve-et-Labrador. Le Québec pour sa part compte 74 loges franc-maçonniques. Il y aurait plus de 6 millions de francs-maçons à travers le monde.

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Publié le 25 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 15 Volume 35

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Publié sur le site le 25 septembre 2017

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Commission scolaire du Fer

Des investissements fort attendus

par Éric Cyr

La Commission scolaire du Fer, qui procède actuellement à la réfection du système de ventilation de l’auditorium de la polyvalente Horizon-Blanc, a adopté des mesures concernant le maintien d’actifs immobiliers qui concernent Fermont lors de la séance extraordinaire du Conseil des commissaires, le 5 juin dernier. De nécessaires investissements seront accordés à plusieurs projets prioritaires dans le cadre du budget consenti pour 2017-2018.

Les travaux ciblant plutôt l’extérieur, qui devraient débuter à l’été 2018, consisteront en une mise en marche des humidificateurs et une révision du chauffage au Centre éducatif de Fermont pour une somme de 200 000 $. Un remplacement des portes extérieures couvertes de buée en été et givrées en hiver est prévu au coût de 150 000 $. Une réfection de l’enveloppe extérieure et de la toiture du corridor qui coule dans le secteur de la résidence du personnel dans le mur-écran a aussi été planifiée et une somme de 3 M $ a été allouée à la première phase de cette cure de rajeunissement. Le remplacement de la toiture et la décontamination d’une maison unifamiliale appartenant à la commission scolaire située au 4, rue Duchesneau coûteront pour leur part 125 000 $.

Beaucoup de rattrapage à faire

Selon le directeur général de la C.S. du Fer, Lucien Maltais, les travaux les plus urgents ont été priorisés dans le cadre de cette enveloppe ministérielle tout comme ce fut le cas lors du remplacement des fenêtres de l’école il y a quelques années. « Les sommes allouées à ces travaux ne prennent pas en considération les opérations courantes qui sont dans une catégorie à part. Nous sommes conscients des nombreuses lacunes et du fait qu’il y a beaucoup de modernisation à apporter aux infrastructures afin de préserver les bâtiments en bon état. Il faut investir afin de tenter de rattraper le retard accumulé au cours des années, mais cette situation problématique est analogue dans plusieurs localités de la Côte-Nord et du Québec. On veut s’assurer de favoriser les endroits appropriés afin d’atteindre la cible. » Ce dernier explique que le gouvernement du Québec a fait le constat il y a quelques années d’un déficit d’entretien des infrastructures et semble finalement avoir quelque peu ajusté le tir cette année. « Ce sont des infrastructures québécoises qui appartiennent à la collectivité et éventuellement la situation, je l’espère, devrait s’améliorer avec le temps puisque le gouvernement investit plus récemment qu’il y a dix ans. » M. Maltais confie que le remplacement des vestiaires du gymnase a aussi été orchestré pour la seconde phase des travaux en 2019 qui devrait s’attarder à l’aspect intérieur des logements incluant le câblage et l’électricité, la tuyauterie et la plomberie, mais aussi au remplacement des fenêtres des appartements de la commission scolaire dans le mur-écran et à l’amélioration des patios.

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Publié le 25 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 15 Volume 35

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Monts Groulx-Uapishka

La 18e édition de la grande corvée des monts Groulx

par Éric Cyr

Légende : Des bénévoles bien outillés au départ d’une journée agréable et productive. Photo : Michel Michaud

La traditionnelle grande corvée annuelle, organisée par L’Association des amis des monts Groulx, a regroupé 42 bénévoles soucieux de l’environnement d’origines diverses et de tous les milieux durant le long congé de la fête du Travail du 1er au 4 septembre dernier. L’événement prisé des adeptes de plein air contribue à assurer la préservation de l’état sauvage du lieu fréquenté par des randonneurs.

Perpétuer l’esprit des montagnes

Des gens de plusieurs nationalités se déplacent habituellement pour l’occasion afin de participer au nettoyage des sentiers qui ont célébré leur 30e anniversaire l’an passé et dont quelques-uns donnent accès aux plateaux toundriques où la situation géographique leur procure un climat subarctique. À la base, on trouve la forêt boréale et la taïga alors qu’au sommet c’est la toundra et dans les hautes vallées la forêt alpine. Cet écosystème unique a été façonné par le passage des glaciers. En parcourant le massif on aura une vue sur l’un des plus grands cratères du monde, l’astrolabe de Manicouagan visible de l’espace, surnommé l’œil du Québec.

Territoire d’autonomie

Selon un fervent amateur de plein air et participant de longue date à cette activité, Michel Michaud, cet endroit féérique respire l’air pur et la camaraderie dans une immensité boréale où domine le blanc et le vert : « C’est un concept inspiré du principe de plaisir-travail, un rassemblement de gens qui ont à cœur la nature et l’environnement nordique, des passionnés qui aiment s’investir dans cette cause. Les sentiers sont surtout fréquentés par des gens aguerris qui ont acquis de l’expérience ailleurs. Tout se passe dans une ambiance où l’entraide est de mise et la bonne humeur et l’harmonie règnent dans un climat fraternel. » L’ancien administrateur de l’organisation des Amis des monts Groulx explique que les monts Groulx-Uapishka ont la particularité d’être un milieu encore sauvage accessible par la route et de constituer une aire protégée attrayante pour les randonneurs qui est gérée et administrée par des bénévoles et non par la Société des établissements de plein air du Québec (Sépaq).

« On souhaite conserver l’accessibilité gratuite pour les randonneurs. »

Phénomène plutôt rare, la neige tombée le 31 août tapissait le sol à plusieurs endroits. Une randonnée d’interprétation du milieu a été offerte pour les nouveaux et des travaux ont été effectués sur le pont du ruisseau Harfang endommagé par l’épaisseur de la couche de neige cet hiver. Un volet culturel, la cabane à création, a aussi été animé par une artiste. Des soupers communautaires près du feu de camp se sont aussi tenus tous les soirs près du chapiteau de la Ville de Fermont installé à proximité.

La réserve de biodiversité Uapishka inclut une bonne partie du territoire protégé des monts Groulx nommés en l’honneur du chanoine Lionel Groulx, un prêtre catholique, professeur, historien, intellectuel, nationaliste et écrivain québécois l’année de son décès en 1967 et rebaptisés Uapishka du nom innu qui signifie « sommets blancs ». Les monts Groulx-Uapishka sont logés au cœur de l’aire centrale de Manicouagan-Uapishka, qui a été reconnue en 2007 par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) comme la plus grande réserve de la biosphère au pays.

 

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Publié le 25 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 15 Volume 35

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Publié sur le site le 25 septembre 2017

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