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  • Numéro 17

  • L’émergence du pôle touristique de Fermont

    Présentation du Refuge Taïga

    L’émergence du pôle touristique de Fermont

  • Plaidoyer pour la survie de Mines Wabush

    Les vestiges DE Cliffs

    Plaidoyer pour la survie de Mines Wabush

  • Dévoilement  des gagnants  du concours  photo

    Randonnée du solstice

    Dévoilement des gagnants du concours photo

  • Expansion anticipée pour le quartier industriel

    Économie fermontoise

    Une 10 octobre, 2016

    Expansion anticipée pour le quartier industriel

Numéro 17

L’émergence du pôle touristique de Fermont

Présentation du Refuge Taïga

L’émergence du pôle touristique de Fermont

Plaidoyer pour la survie de Mines Wabush

Les vestiges DE Cliffs

Plaidoyer pour la survie de Mines Wabush

Dévoilement  des gagnants  du concours  photo

Randonnée du solstice

Dévoilement des gagnants du concours photo

Expansion anticipée pour le quartier industriel

Économie fermontoise

Une 10 octobre, 2016

Expansion anticipée pour le quartier industriel

Présentation du Refuge Taïga

L’émergence du pôle touristique de Fermont

par Véronique Dumais

L’Association Touristique de Fermont (ATF), qui chapeaute le Défi Taïga depuis quatre ans, consolide ses sources de financement afin de bâtir Le Refuge Taïga, un centre d’accueil dans le secteur de l’écotourisme et du tourisme d’aventure pouvant accueillir jusqu’à huit personnes et 60 chiens au pied des monts Severson.

Présentation du projet

Organisme sans but lucratif ayant pour mission de promouvoir Fermont et le développement touristique au nord du 52e parallèle, l’ATF organise le Défi Taïga, une course de chiens de traîneaux de 230 kilomètres, la plus longue dans l’Est du Canada, qui bénéficie déjà d’une notoriété nationale. Avec le Refuge Taïga, l’organisme désire consolider le Défi Taïga lui-même en produit d’appel du pôle touristique émergent de Fermont.

Le bâtiment principal du refuge comprendra deux dortoirs, une salle commune, des toilettes, des douches, une cuisine, un bureau administratif, un centre d’interprétation, un bureau d’accueil ainsi que quatre enclos ayant une capacité de 60 chiens. De petites cabines d’hébergement sur pilotis seront installées en périphérie du bâtiment principal. D’une capacité d’accueil de quatre personnes maximum chacune, elles offriront une vue unique sur Fermont, les monts Severson et la forêt boréale.

Équipé d’un système électrique combiné éolien et solaire, le bâtiment comprendra un volet écologique incluant également un système de récupération d’eau potable. Ces bâtiments fourniront un lieu propice au repos des clients. Favorisant le contact avec la nature, l’échange entre les résidents et touristes, il deviendra le camp de base pour tous les amateurs de ski hors-piste, de randonnée, de canot-camping ou autres sports de plein-air.  L’ATF prévoit aussi l’aménagement et l’entretien d’un sentier multi-usager. Ce dernier pourra être utilisé pour des promenades en traîneaux, des sorties en raquette, le ski hors-piste et le skijorring combinant le ski de cross-country et le chien de traîneaux. En période estivale, les amateurs de canicross ou de canibike, pourront également l’utiliser à leur guise.

Objectifs du Refuge Taïga

L’organisme fondé en 1987 considère que la promenade en traîneau à chiens fait partie intégrante de la vie et de la culture nordique. Depuis la fin des années 1980, à chacune des consultations publiques, les gens de Fermont se prononcent largement en faveur du développement de l’activité de traîneau à chiens. C’est donc tout naturellement que l’ATF met ses efforts à créer les conditions favorables à l’essor de ce sport. En bâtissant le Refuge Taïga, l’ATF favorise le développement d’une nouvelle activité économique portant sur la thématique du chien de traîneau et du tourisme d’aventure. Le Refuge bénéficiera autant aux organismes qu’aux résidents de Fermont.

Concept unique sur la Côte-Nord, l’établissement permettra à l’ATF de bonifier l’offre d’activités de plein-air cadrant parfaitement dans la thématique du futur circuit du Grand-Nord en augmentant le nombre de touristes dans la région en plus de diversifier les clientèles. Le Défi et le Refuge Taïga sont complémentaires, le centre d’accueil deviendra une attraction touristique ouvert à l’année. Un autre objectif de l’organisme est de développer un programme d’éducation et de formation en collaboration avec les écoles de Fermont, du Labrador et de la Côte-Nord.

L’ATF souhaite encourager et promouvoir des pratiques de gestion privilégiant un tourisme durable et responsable, le tout dans un souci et un respect certain pour notre environnement.

Comité organisateur

Afin de porter à terme ce projet ambitieux qu’est le Refuge Taïga, l’Association Touristique de Fermont souhaite mettre sur pied le comité organisateur pour la suite du processus. L’ATF recherche donc de trois à cinq personnes désirant s’impliquer au sein de l’ATF pour ce projet; le comité sera chapeauté par l’organisme. Toute personne intéressée, peut faire valoir son intérêt en envoyant un courriel avec ses coordonnées à : associationtouristiquefermont@gmail.com.

Déjà, grâce à la collaboration spéciale d’ArcelorMittal, l’ATF peut aménager, de façon temporaire, ses bureaux administratifs via le projet Genèse, un endroit où l’association peut accueillir ses ressources humaines venues de partout au Québec en plus d’entreposer son matériel et de relancer le centre d’interprétation en le rendant à nouveau disponible à la population. Le projet Genèse se veut quant à lui la première étape menant à l’ouverture du Refuge Taïga. L’ATF prévoit l’inauguration officielle du projet Genèse au début 2017.

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Publié le 10 octobre, 2016, dans la publication : Numéro 17 Volume 34

  • Architecture
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  • chiens de traineau
  • Dortoirs
  • Écotourisme
  • Fermont
  • Hébergements
  • Monts Serversons
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  • Taïga
  • Tourisme

Publié sur le site le 11 octobre 2016

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Les vestiges DE Cliffs

Plaidoyer pour la survie de Mines Wabush

par Éric Cyr

Trois représentants de l’ouest du Labrador incluant le député provincial libéral du Labrador, Graham Letto, et les maires de Labrador City et de Wabush, Karen Olford et Colin Vardy, ont livré un vibrant témoignage devant un juge d’une Cour fédérale à Montréal durant les audiences sur la faillite de l’entreprise Cliffs Ressources naturelles, à la fin septembre, afin de tenter de trouver une alternative permettant de donner un second souffle à la minière et de protéger les fonds de pension des retraités.

Le maire de Wabush qui est aussi vice-président de la chambre de commerce de l’Ouest du Labrador a eu l’occasion d’expliquer au juge fédéral Stephen Hamilton l’impact négatif de cette fermeture dans la collectivité et a signifié son opposition claire d’accorder un délai supplémentaire à Cliffs Ressources naturelles prévu par la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC) pour tenter une restructuration. « Cliffs a eu amplement de temps, plus que nécessaire. Cette entreprise voyou utilise ce répit à mauvais escient en tentant de dilapider ses actifs avant de déguerpir. Ce délai empêche un éventuel successeur de se manifester promptement. Cela paralyse notre communauté et nous empêche d’aller de l’avant et d’envisager l’avenir. » Le trio labradorien a plaidé en faveur d’une décision qui minimiserait le démantèlement des infrastructures et qui favoriserait la reprise des activités minières en permettant à un éventuel investisseur de se manifester et d’assurer le relais des opérations. Selon le député provincial du Labrador Graham Letto : « Le juge doit rendre une décision qui prend en considération les intérêts des communautés de Labrador City et de Wabush. Un acheteur s’est montré potentiellement intéressé à reprendre le flambeau et nous devons nous assurer que tous les atouts sont disponibles pour lui permettre de faire une offre raisonnable en lui donnant un coup de pouce pour redémarrer les activités. » La mairesse de Labrador City, Karen Olford a pour sa part fait ressortir la dévastation ressentie par les anciens employés congédiés et les retraités de Cliffs trahis et abandonnés : « Certaines personnes souffrent du cancer et ne peuvent se payer de médicaments alors que d’autres, doivent se résigner à déménager pour des raisons de santé, mais ne peuvent parvenir à vendre leur maison parce que les prix de l’immobilier sont inférieurs à leur hypothèque à la suite du départ de Cliffs. »

La fermeture des installations de Cliffs Ressources naturelles à Mines Wabush en 2014 a dévasté l’économie de l’ouest du Labrador. Le prix de l’immobilier a chuté, des commerces ont fermé leur porte et des retraités ont été laissés pour compte.

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Publié le 10 octobre, 2016, dans la publication : Numéro 17 Volume 34

  • Champion Minerals
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Publié sur le site le 11 octobre 2016

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Randonnée du solstice

Dévoilement des gagnants du concours photo

par Éric Cyr

Les finalistes du concours photo annuel de la randonnée du solstice 2016, organisé conjointement par le Club photo Caniapiscau et le bureau d’information touristique, se sont rassemblés au bureau d’information touristique pour le dévoilement des gagnants et la remise des prix, le 28 septembre dernier. Le tout était agrémenté d’une présentation diapositive des photos sur un écran géant.

La randonnée du solstice consiste en une excursion de quelques kilomètres au cœur des monts Severson près de Fermont durant la période où la nuit est la plus courte de l’année et le lever du soleil très hâtif. Les photographes qui ont pris part à cette aventure ont pu récolter des images originales et inusitées mais devaient respecter certaines exigences particulières. Les œuvres retenues ont été déterminées selon des critères précis : la qualité photographique, la qualité artistique, la mise en valeur de l’immensité du territoire et le respect du thème de cette année qui était « l’esprit de la randonnée ». Un jury composé de trois personnes a choisi les gagnants de chaque catégorie sauf le prix du public qui a été décerné à la suite d’un vote populaire. La photographe professionnelle Valérie Boutin alias The North Soul, l’artiste peintre Yves Downing et l’un des instigateurs de cet évènement, Michel Michaud se sont prononcés sur les photos gagnantes en juillet mais la remise des prix s’est faite juste après l’équinoxe de septembre afin de réunir le plus de participants possible. Le prix du jury a été décerné à Jocelyn Blanchette, le prix coup de cœur du jury a été remis à Bogdan Carasava qui s’est aussi mérité le prix du public. Le choix a été difficile compte tenu de la qualité impressionnante des photos présentées.

L’artiste Jocelyn Blanchette confie : « C’est une super belle folie ce projet de randonnée du solstice. J’aime les activités reliées au cycle du soleil. Je suis heureux de contribuer à perpétuer ce concours. C’est un évènement unique de plein air qui nous amène à apprécier la nature dans une belle ambiance et des conditions inhabituelles de nuit. » Le photographe et cinéaste Bogdan Carasava a aussi apprécié l’expérience : « J’avais déjà été me balader dans les monts Severson mais c’est la première fois que je participe à la randonnée du solstice et au concours photo. C’était très agréable. »

Les photographes ont généreusement accepté que leurs photographies soient publiées dans le journal. Une photo vaut mille mots et celles-ci sont à couper le souffle. Merci à l’organisateur Marc-André Martin et à tous les participants.

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Publié le 10 octobre, 2016, dans la publication : Numéro 17 Volume 34

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Publié sur le site le 11 octobre 2016

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Économie fermontoise

Expansion anticipée pour le quartier industriel

par Éric Cyr

À première vue, les observateurs pourraient penser que le parc industriel de Fermont stagne depuis plusieurs années et que rien ne semble bouger depuis sa construction au milieu des années 1970 malgré un regain d’activité lors de la période du dernier boom minier. Une poignée d’entreprises s’y sont établies lors de son ouverture et quelques autres durant la relance, coïncidant avec la flambée du prix des métaux, mais plusieurs des nouveaux ajouts ont plié bagage par la suite et ne se sont pas implantés à long terme.

Au-delà des apparences, la municipalité régionale de comté (MRC) de Caniapiscau a cependant une stratégie, n’a pas baissé les bras et travaille de concert avec la Ville de Fermont à faire avancer ce dossier depuis plusieurs années en misant sur l’acquisition de nouveaux terrains dans le cadre d’une revitalisation et d’une expansion de ce secteur d’activité économique.

Le boom minier a profité au Labrador

C’est un tout autre scénario au Labrador voisin qui a une longueur d’avance et où les parcs industriels fourmillaient d’activités durant le boom minier. Ils affichent complet malgré le récent ralentissement économique et aucun espace vacant n’est disponible. Plusieurs commerces se sont établis dans des zones résidentielles à cause du manque d’espace et ce phénomène d’étalement urbain a motivé un projet de création d’un troisième quartier industriel qui serait situé non loin du nouvel hôpital de Labrador City et dont le démarrage attend pour l’instant une remontée significative des prix du fer. Certains dirigeants d’entreprises ayant pignon sur rue dans le parc industriel fermontois sont moins enthousiastes par rapport au boom minier alors qu’ils ont vu leur compte de taxes commerciales tripler durant cette période.

Approche différent

Pourtant les villes de Labrador City et de Wabush presqu’exclusivement mono-industrielles doivent composer avec les mêmes réalités que Fermont à la différence qu’elles sont situées dans une autre province où le principal employeur, la minière IOC, une filiale de Rio Tinto oblige les entreprises et fournisseurs qui souhaitent faire affaire avec la compagnie à avoir une succursale ou un siège social au Labrador, ce qui a grandement contribué à l’expansion des commerces et à la vitalité économique de l’ouest du Labrador.

Aucune obligation à Fermont

La minière ArcelorMittal située à Fermont au Québec bénéficie également depuis plusieurs années de l’implantation de nombreuses entreprises spécialisées au Labrador, car elle fait affaire avec plusieurs de celles-ci, mais n’a jamais considéré obliger ses fournisseurs à avoir une succursale en sol québécois, ce qui pourrait avoir une incidence grandement bénéfique sur la création d’emplois et le développement de l’économie locale. Les retombées profiteraient également à la Ville de Fermont. La défunte Cliffs qui était propriétaire de la mine du lac Bloom jouait également des deux côtés de la frontière et on verra si le récent achat de ses actifs par la société Minerai de fer Québec dont le gouvernement du Québec est l’un des principaux actionnaires aura un impact sur l’activité du parc industriel fermontois lors du redémarrage anticipé de la minière actuellement en veilleuse.

Évolution du dossier

Le défunt Centre local de développement (CLD) de Caniapiscau auquel le gouvernement libéral de Philippe Couillard a donné le coup de grâce avait réalisé un sondage auprès des entreprises intéressées à s’implanter dans le quartier économique fermontois il y a quelques années et ce sondage a été repris par la MRC afin d’étoffer sa vision de développement de la zone industrielle. À l’époque, la Ville de Fermont souhaite développer un parc industriel plus élargi afin de combler les besoins criants et répondre aux nombreuses demandes d’entreprises, mais aucun terrain industriel n’est disponible à la suite du boom économique majeur de 2010 et du déploiement du Plan Nord. Une étude est alors réalisée par la firme Roche en 2011 et un plan de développement est présenté par le directeur général, secrétaire trésorier de la MRC et directeur de l’urbanisme de la Ville de Fermont, Jimmy Morneau, dans le cadre du programme relatif à une cession à titre gratuit des terres du domaine de l’État en faveur des municipalités nordiques. Plus tard en 2013, un mémoire sur le projet de loi numéro 43 sur les mines expose la position de la Ville dans le dossier du parc industriel :

« La réalisation des projets des deux minières (du côté québécois) fait en sorte que leur service d’entretien doit être effectué par des fournisseurs qui désirent s’établir près de Fermont et des installations des minières, et ce, normalement, dans un parc industriel. L’aménagement de 36 terrains représente un coût estimé de construction et d’aménagement d’au moins 15 millions $. Une liste de 20 entreprises est désireuse d’acquérir un terrain dans ce futur parc industriel. »

La Ville poursuit : « Malheureusement, faute d’argent, autant des titulaires de droit minier que du gouvernement, et considérant sa capacité financière, la Ville de Fermont n’a pas pu réaliser jusqu’à présent ce projet, de telle sorte que plusieurs de ces entreprises sont allées s’installer à Labrador City ou Wabush, ce qui signifie une perte importante de revenus pour la Ville. »

Vision d’avenir

M. Morneau est enthousiaste et se dit prêt à relever le défi. Selon ce dernier, la MRC et la Ville de Fermont ont entrepris des démarches afin d’acquérir plusieurs terres du ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles du Québec (MERN) afin de réaliser ce projet et le dossier progresse rapidement. « Des requêtes ont été déposées et  on attend une confirmation incessamment pour l’obtention de terrains stratégiques avant le dépôt de demandes de financement par le biais de divers programmes et du Plan Nord. » Ce dernier confie que l’expansion est prévue dans le secteur du nouveau tracé de la route nationale 389 de Fire-Lake vers Fermont. Les nouvelles infrastructures seraient raccordées au service d’aqueduc et d’égout sur la rue Bertrand. « On s’attend à ce que les terrains soient cédés à la municipalité d’ici peu. »

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Publié le 10 octobre, 2016, dans la publication : Numéro 17 Volume 34

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Publié sur le site le 11 octobre 2016

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