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    Humour

    Rendez-vous avec le rire désopilant

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    Ville de Fermont

    Une 3 décembre, 2018

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Numéro 20

Rendez-vous avec le rire désopilant

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Ville de Fermont

Une 3 décembre, 2018

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Humour

Rendez-vous avec le rire désopilant

par Lynda, collaboration spéciale

Tordus de rire ou pliés en deux, les spectateurs ont pu rire aux éclats, aux larmes, à gorge déployée, à en perdre haleine, à se décrocher la mâchoire et à se rouler par terre. Ces expressions décrivent bien l’ambiance hilarante qui régnait dans le cadre du spectacle « Malade » de l’humoriste Simon Leblanc présenté à l’auditorium des écoles à Fermont, le 28 novembre dernier.

Vaut mieux en rire qu’en pleurer

L’artiste originaire de Sainte-Anne-des-Monts en Gaspésie arrive sur scène et commence par faire connaissance avec son public. Parmi eux, un membre de l’auditoire avait particulièrement beaucoup de « jasette », ce qui réchauffe la salle et démarre bien le show avant que Simon Leblanc ne reprenne la parole avec un humour assez convaincant! Il poursuit en nous confiant ses problèmes de santé, graves et gênants, avec des mots simples et clairs, mais dans des tournures absurdes ne nous laissant pas d’autre choix que d’en rire haut et fort avec lui.

Avoir le mot pour rire

Le jeune pince-sans-rire nous raconte des péripéties et aventures de sa vie quotidienne ou celles survenues lors de ses voyages, toujours avec une attitude sérieuse accompagnée parfois de grimaces, question de bien illustrer le sujet, et parsemée de mini fous rires contagieux pour ridiculiser la situation embarrassante ou dangereuse qu’il décrit. On pourrait modifier l’expression : « On peut rire de tout, mais pas avec n’importe qui! » en « On peut rire de tout avec Simon Leblanc!».

Mort de rire

L’humoriste enchaîne ses anecdotes, toutes aussi drôles les unes que les autres, dans une certaine suite logique en nous rappelant le sérieux de l’histoire, mais aucun moment de répit pour le public qui rit intensément plié en deux. Certains ont même dû sortir un Kleenex et faire des efforts pour reprendre leur souffle. La foule n’en pouvait plus de rire comme des fous!

Rire de bon cœur

Un personnage que l’on gagne à connaître! Comique, gentil, innocent, intéressant, original, positif et attachant, tels sont les qualificatifs qui décrivent celui qui s’exprime sincèrement et avec beaucoup d’humour. Sans oublier de glisser un mot gentil pour sa femme, qu’il fait sa complice et qu’il dépeint comme sa sauveuse.

Malgré les crampes au ventre à force d’avoir tellement ri, le public en sueur l’acclame et réclame un rappel à la fin du spectacle. C’était trop bon! Et, généreusement, l’humble humoriste revient avec enthousiasme et, dès les premiers mots, il nous rembarque dans le manège euphorique des éclats de rire avec un bout de son prochain spectacle en rodage. Bref, pour terminer mon appréciation de cette belle soirée, c’est certainement à l’unanimité que la galerie a adoré ce spectacle. Ça s’entendait!

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Publié le 3 décembre, 2018, dans la publication : Numéro 20 Volume 36

  • Comique
  • Fermont
  • Hilarant
  • Humoriste québécois
  • Humour
  • Rire
  • Simon Leblanc
  • Spectacle «Malade»

Publié sur le site le 3 décembre 2018

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Syndicat des Métallos

Assemblée annuelle panquébécoise

par Éric Cyr

Source photo : Métallos

C’est sous le thème « force, solidarité et respect » que s’est tenue la 54e assemblée québécoise annuelle du syndicat des Métallos au Manoir Richelieu à La Malbaie, du 21 au 23 novembre dernier. Le rassemblement a réuni près de 450 travailleurs.

Les représentants des sections locales de partout au Québec ont pu entendre une conférence de l’ancien conseiller politique, auteur et professeur d’université John Parisella sur l’accord de libre-échange États-Unis–Mexique-Canada et discuter des tarifs sur l’acier et l’aluminium. « Les délégués ont réitéré l’importance de lever les tarifs sur l’acier et l’aluminium préalablement à une éventuelle signature. On ne peut parler de libre-échange si ces tarifs injustes sont maintenus », a plaidé le directeur québécois des Métallos, Alain Croteau.

Force majeure

Des lockoutés de l’aluminerie de Bécancour à la rue depuis plus de dix mois sont venus rencontrer les participants au congrès qui ont annoncé des dons totalisant 165 000 $ afin de venir en aide à ces derniers et qui s’ajoutent à plusieurs contributions récurrentes. Une résolution a été adoptée afin de demander qu’un lockout dans une aluminerie ne puisse plus être considéré comme un cas de force majeure permettant aux multinationales de l’aluminium de se soustraire à leurs obligations. « Le lockout a coûté aux Québécois presque 200 millions de dollars jusqu’à présent. Québec doit corriger ces contrats injustes qui déséquilibrent les rapports de force », a fait valoir le syndicaliste qui a invité les Métallos à manifester dans les jours suivants devant le siège social d’Hydro-Québec.

L’assemblée a donné le ton des revendications des prochaines années en demandant que les mesures de prévention prévues dans la Loi sur la santé et la sécurité du travail s’appliquent enfin à l’ensemble des milieux de travail. Pour l’heure, seulement 16 % des travailleurs sont couverts par les dispositions sur la prévention en santé et sécurité.

« On a gagné la bataille des clauses orphelin discriminatoires pour les nouveaux travailleurs cette année grâce à l’engagement des militants et militantes syndicaux. Notre prochain grand combat se fera pour que la prévention en santé et sécurité se fasse dans tous les milieux de travail, et ce, avec les représentants des travailleurs. Qu’on soit employeur ou travailleur, tout le monde a intérêt à ce qu’on prévienne mieux les accidents et les maladies professionnelles. Il est temps que les règlements le reflètent », a ajouté Alain Croteau.

Les Métallos ont aussi promis de maintenir la pression sur le gouvernement fédéral pour que la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies protège mieux les retraités et les anciens travailleurs. Pour l’heure, lorsqu’un régime de retraite est déficitaire et qu’une entreprise fait faillite, les travailleurs et les retraités n’ont que des miettes, une fois que les banquiers se sont servis.

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Publié le 3 décembre, 2018, dans la publication : Numéro 20 Volume 36

  • Alumineries
  • Clauses orphelin
  • LACC
  • Lockout
  • Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies
  • Métallos
  • Monde syndical
  • Régimes de retraite
  • Syndicalisme

Publié sur le site le 3 décembre 2018

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Presse écrite à l’agonie

Crise des médias au pays

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

À l’heure où la plupart des journaux souffrent énormément de la baisse des ventes publicitaires au profit des géants du Web comme Google et Facebook, la députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois (BQ) considère qu’Ottawa compte parmi les fossoyeurs de la presse écrite et a fait une sortie à ce sujet, le 14 novembre dernier.

« La presse écrite est en crise partout au Québec et que font les partis fédéraux ? Les conservateurs partent en guerre contre les médias et les libéraux les laissent mourir. On a besoin d’une presse libre et forte au Québec pour une démocratie saine. Il faut que le gouvernement fédéral se sorte immédiatement la tête du sable », a déclaré la députée bloquiste de Manicouagan qui a accusé Ottawa de contribuer au déclin de la presse écrite.

Alors que le quotidien La Presse avait déjà aboli 158 postes en septembre 2015 incluant 43 à la rédaction, il annonçait récemment la suppression de 37 postes additionnels, dont 19 dans sa salle de rédaction. Le Bloc québécois réclame un crédit d’impôt remboursable sur les dépenses salariales des médias écrits. Marilène Gill s’attend également à ce que le gouvernement fédéral fournisse une aide financière immédiate aux journaux régionaux de la Côte-Nord.

David contre Goliath

Le Bloc demande aussi au gouvernement Trudeau une vaste refonte des lois encadrant le commerce électronique afin de soumettre les géants du Web, comme Facebook et Amazon, aux lois québécoises et canadiennes. Actuellement, ces multinationales profitent, entre autres, d’un avantage injuste face aux médias traditionnels dans la vente d’espaces publicitaires parce qu’elles ne sont pas soumises à la Loi sur l’impôt.

« Non seulement le gouvernement Trudeau est à la traîne, il fait même partie du problème. Il a triplé ses achats de publicité sur Facebook en sachant très bien que Facebook ne paie pas d’impôt chez nous. Ça prend un vrai changement de culture à Ottawa parce qu’actuellement, le gouvernement fédéral fait partie des fossoyeurs de la presse écrite », a conclu la députée.

La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) a aussi fait connaître ses inquiétudes pour l’avenir de l’information en soulignant le contexte de précarité occasionnant des fermetures récurrentes d’entreprises de presse un peu partout au pays. La FPJQ juge que c’est un autre signe de la maladie qui ronge la presse écrite. Selon le président de l’organisme, Stéphane Giroux : « Seule une intervention des gouvernements permettra de sauver nos médias d’information. »

Soupir de soulagement

Le gouvernement Trudeau a finalement annoncé, le 21 novembre dernier, des mesures d’aide aux médias d’information totalisant 595 M $ sur cinq ans pour l’ensemble du pays et qui prendra la forme de deux crédits d’impôt. Le premier ministre Justin Trudeau confie qu’il est préoccupé par la situation. Il a admis la nécessité d’une information fiable et de qualité et que le gouvernement a la responsabilité d’aider et de faciliter la transition vers la numérisation : « On ne peut pas avoir une démocratie en santé si les citoyens ne sont pas bien informés. » La FPJQ croit que ces nouvelles mesures devraient aider les salles de rédaction à passer au travers de cette crise qui menaçait à moyen terme la survie du journalisme, un des piliers de la démocratie, et souligne qu’il était temps que les responsables fédéraux s’attaquent au problème afin de résorber la situation. Tous les partis d’opposition se réjouissent de cette décision sauf les conservateurs qui accusent les libéraux de tenter d’acheter les journalistes avant les prochaines élections.

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Publié le 3 décembre, 2018, dans la publication : Numéro 20 Volume 36

  • Bloc québécois
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Publié sur le site le 3 décembre 2018

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Ville de Fermont

Nécessaire ajustement des revenus anticipés

par Éric Cyr

Fermont doit s’inspirer constamment de sa devise « Faire front, faire face » puisqu’elle peut parfois être assaillie par certaines industries établies sur son territoire qui tentent de faire diminuer l’évaluation foncière de leurs installations résidentielles et minières, ce que la Ville a réussi jusqu’à présent à contenir au maximum afin d’éviter une incidence sur les services offerts aux citoyens.

Réévaluations foncières à répétition

Trois entreprises contestaient initialement leurs comptes d’impôt foncier, ArcelorMittal, Champion (propriétaire de Minerai de fer Québec), et les liquidateurs de Cliffs, l’ancien propriétaire de la mine du lac Bloom. L’administration municipale a réglé deux dossiers en signant d’abord un accord avec ArcelorMittal, en juillet 2017 et en concluant une entente avec Minerai de fer Québec (MFQ), en novembre dernier, ce qui clarifie la situation et permet d’entrevoir un avenir à plus long terme. La Ville a réajusté son revenu en conséquence après avoir puisé dans un montant qui avait été conservé en provision en raison de l’incertitude relative aux dossiers de contestation judiciaire de l’avis d’imposition des minières en suspens.

ArcelorMittal

La Ville, qui a accepté de réduire la valeur des infrastructures d’ArcelorMittal en sol fermontois d’environ 5 %, dans le cadre d’un règlement concernant les années 2016 à 2018, a dû émettre un chèque de 1 196 000 $ à la multinationale, occasionnant une baisse des revenus en impôts pour la municipalité de 556 000 $ pour cette période. Port-Cartier, qui avait pourtant également obtenu une entente en 2013, alors qu’ArcelorMittal avait contesté son compte de taxes de 2013 à 2015, a plutôt choisi d’emprunter la voie des tribunaux afin de régler un nouveau litige pour les années 2016 à 2018. C’est donc la Cour supérieure du Québec qui tranchera dans le dossier l’opposant à la compagnie. Selon la mairesse port-cartoise de l’époque, Violaine Doyle, ArcelorMittal a bafoué sa parole et n’a pas respecté ses engagements. Son successeur, le nouveau maire Alain Thibault, espère obtenir gain de cause par crainte de devoir composer avec un manque à gagner important. Il considère pour sa part que l’entreprise « n’agit pas en bon citoyen corporatif. »

Minerai de fer Québec/Champion

Fermont s’est aussi entendu récemment avec Minerai de fer Québec (MFQ), une filiale de Champion, et doit réduire la valeur foncière des installations de la minière qui avaient auparavant été estimées à 336 M $ par l’évaluateur municipal sans obtenir de consensus sur ce montant et qui sont dorénavant fixées à 199 M $ à la suite d’un règlement.

En plus de devoir réajuster ses revenus de près de 4 M $ par année, la Ville doit rembourser à la société plus de 11 millions de dollars en taxes foncières perçues en trop pour les années 2016 à 2018 à la suite de la révision de l’évaluation des équipements et des bâtiments du site minier de la mine du lac Bloom.

Cliffs Natural Resources

Les démarches juridiques se poursuivent dans le cadre du litige en suspens opposant la Ville de Fermont au contrôleur de la faillite de la défunte minière Cliffs, qui exploitait la mine du lac Bloom, FTI Consulting. Une requête pour faire appel de la décision rendue par le tribunal administratif du Québec (TAQ), qui avait tranché en faveur de la municipalité, a été déposée. Le différend concerne le compte d’impôt foncier des années 2013 à 2015. La première manche a été remportée par Fermont qui a été fortement appuyé par l’Union des municipalités du Québec (UMQ) puisque dans ce cas particulier, c’est beaucoup plus que simplement l’évaluation foncière qui est contestée. Le requérant souhaite une interprétation plus large de la Loi sur la fiscalité municipale (LFM) demandant à ce que la totalité des bâtiments faisant partie de l’unité d’évaluation soit écartée de la démarche d’imposition, ce qui pourrait avoir une incidence sur une vingtaine de localités québécoises. Le maire de Fermont, Martin St-Laurent, demeure optimiste et espère que la Cour du Québec maintiendra le précédent verdict.

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Publié le 3 décembre, 2018, dans la publication : Numéro 20 Volume 36

  • ArcelorMittal
  • Champion
  • Cliffs
  • Évaluation foncière
  • Fermont
  • Impôt foncier
  • Minerai de fer Québec
  • Taxes municipales
  • UMQ
  • Union des municipalités du Québec

Publié sur le site le 3 décembre 2018

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