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  • Numéro 4

  • Une expérience inoubliable pour deux jeunes Fermontois

    Tournoi international de hockey pee-wee de Québec

    Une expérience inoubliable pour deux jeunes Fermontois

  • Désopilante autodérision

    Valérie Blais en spectacle

    Désopilante autodérision

  • L’appel du grand froid

    Corvée hivernale des monts Groulx

    L’appel du grand froid

  • Cancer Fermont : 320 000 $ distribués en 10 ans

    6e édition de la Guignolée à Réginald

    Une 7 mars, 2016

    Cancer Fermont : 320 000 $ distribués en 10 ans

Numéro 4

Une expérience inoubliable pour deux jeunes Fermontois

Tournoi international de hockey pee-wee de Québec

Une expérience inoubliable pour deux jeunes Fermontois

Désopilante autodérision

Valérie Blais en spectacle

Désopilante autodérision

L’appel du grand froid

Corvée hivernale des monts Groulx

L’appel du grand froid

Cancer Fermont : 320 000 $ distribués en 10 ans

6e édition de la Guignolée à Réginald

Une 7 mars, 2016

Cancer Fermont : 320 000 $ distribués en 10 ans

Tournoi international de hockey pee-wee de Québec

Une expérience inoubliable pour deux jeunes Fermontois

par Guillaume Rosier avec la collaboration de Sylvain Turcotte

Du 11 au 21 février dernier se tenait au Centre Vidéotron le Tournoi international de hockey de pee-wee de Québec. Marc-Olivier Bissson et Olivier Dupuis, deux jeunes Fermontois, y ont pris part au sein du Petit Drakkar de la Côte-Nord.

Vendredi le 12 février. Dans le tout nouvel édifice de hockey de la Vieille Capitale, le Petit Drakkar fait face aux Voltigeurs de Drummondville. Sur la glace, Marc-Olivier Bisson et Olivier Dupuis représentent leur région avec fierté. Leur équipe s’impose 4 à 0.

Au mois d’aout dernier, les deux jeunes joueurs avaient été sélectionnés après avoir participé à un camp d’entrainement. Prendre part au tournoi à Québec représente pour eux une opportunité exceptionnelle, tant sur le plan sportif que personnel.

Après la victoire du 12 février, le Petit Drakkar peut de nouveau disputer une par-tie de hockey au centre Vidéontron. Cette fois-ci, les choses se corsent. L’équipe nord-côtière affronte les New-York Americans, une formation avec des joueurs aux habiletés hors du commun, et dirigés par Mark Messier et Mike Richter, deux grands anciens de la LNH. Cette fois-ci, le Petit Drakkar s’incline 4 à 0.

Hormis ces deux rencontres, l’équipe a pris part à quatre matchs hors-concours, face à des équipes venant Calgary, de New York, de la Californie et de la Finlande. En dehors de la glace, les jeunes ont notamment visité l’Aquarium de Québec et l’Hôtel de Glace.

L’aventure restera gravée dans la mémoire des deux joueurs. « Ce sont des souvenirs qu’ils vont garder toute leur vie. C’est le rêve de tout joueur de hockey de participer au Tournoi international de hockey pee-wee de Québec. Ceux qui évoluent en ligue nationale sont pratiquement tous passés par là », note Gino Dupuis, entraineur pour le bantam du Blizzard à Fermont et père d’Olivier. En somme, une semaine de rêve.

Guillaume Rosier avec la collaboration de Sylvain Turcotte

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Publié le 7 mars, 2016, dans la publication : Numéro 4 Volume 34

  • Centre Vidéotron
  • Côte-Nord
  • hockey
  • pee-wee
  • petit drakkar

Publié sur le site le 7 mars 2016

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Valérie Blais en spectacle

Désopilante autodérision

par Louise Vachon, collaboration spéciale

Le 24 février dernier, au Centre multifonctionnel Cliffs, la comé-dienne et humoriste Valérie Blais est venue présenter son tout premier one-woman-show. Ce spectacle représente un défi de taille pour l’artiste, qui se lance la tête la pre-mière dans un milieu de l’humour qu’elle qualifie elle-même de saturé.

Un tutu rose, quelques petits pas gracieux. Valérie Blais n’a pas peur du ridicule. Elle ne craint pas non plus l’autodérision, l’un des fils conducteurs de son spectacle. Elle rit volontiers de son apparence physique, s’autoproclamant d’emblée « grosse ». Par contre, il ne faut pas lui parler de « grassette », terme qu’elle juge hypocrite et déteste profondément.

Née en 1968 à Montréal, Valérie Blais a fait ses débuts en interprétant Rafi, l’énergique ratonne, dans la série pour enfants Cornemuse. En 2009, elle obtient le rôle de Jocelyne Rondeau dans la série dramatique pour ados Tactik. En 2010, elle joue dans Le Journal d’Aurélie Laflamme où elle interprète Marie-Claude, la prof de français d’Aurélie. Son rôle le plus marquant est sans équivoque celui dans l’émission Tout sur moi, une comédie qui surfe entre réalité et fiction.

Lors du spectacle, Valérie Blais aborde avec un réalisme débilitant sa maternité à 42 ans, âge où ses amies ont des enfants prêts à quitter la mai-son. Un âge où l’épuisement propre à l’arrivée d’un bébé dure un tantinet plus longtemps. Rien à voir, assure-t-elle, avec la paternité tardive dont se targuent certaines personnalités. Une flèche bien placée.

La comédienne enchaine avec le thème du conflit générationnel. Elle écorche, un brin baveuse, les différentes générations, sans ménager la sienne, les « X ». Le portrait qu’elle brosse de la société actuelle est tout à fait poilant. Elle oppose une jeune femme montréalaise de la génération « Y », accroc de son téléphone intelligent, à une représentante des baby-boomers qui ne cesse d’être nostalgique de son époque. Cette scène, qui peut être visionnée sur Internet, vaut le détour.

Sans trop verser dans l’humour politique, elle fait bien rigoler la salle lorsqu’elle se paie la tête de Gilles Vaillancourt.

Valérie Blais affirme qu’un bon diver-tissement doit comporter au moins 20 % de… et un monsieur de répondre dans la salle « de sexe ». Toutefois il n’y en aura pas. Si des jurons fusent de temps à autre, l’artiste, très pudique, n’est pas une adepte de l’humour en dessous de la ceinture.

Valérie Blais se démarque par un humour différent et rafraichissant. Elle a su charmer la salle, tantôt colérique, tantôt touchante, mais toujours vraie. Mission réussie pour l’artiste, qui rejoint avec brio la scène humoristique québécoise. À noter qu’en raison des mauvaises conditions climatiques, les habitants d’Havre-Saint-Pierre n’ont pas eu la chance d’assister au spectacle, qui a dû être annulé.

Louise Vachon, collaboration spéciale

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Publié le 7 mars, 2016, dans la publication : Numéro 4 Volume 34

  • Désopilante
  • Spectacles
  • Valérie Blais

Publié sur le site le 7 mars 2016

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Corvée hivernale des monts Groulx

L’appel du grand froid

par Guillaume Rosier

Lors de la première fin de semaine du mois de février s’est déroulée la quatrième édition officielle de la corvée hivernale des monts Groulx, le rendez-vous incontournable des mordus de plein air et… de températures glaciales.

Rassemblés autour d’une carte topographique, les 11 bénévoles de la corvée étudient le meilleur itinéraire à emprunter. Michel Denis, président de la Société des Amis des monts Groulx, pro-digue de précieux conseils.

L’objectif de la corvée hivernale est de faciliter l’accès des som-mets aux randonneurs. Pour ce faire, les volontaires ouvrent un sentier dans la neige. Michel Michaud, administrateur au CA de la Société des Amis des monts Groulx, explique : « Nous partons à plusieurs à ski ou en raquettes. Le sentier que nous ouvrons totalise 18 kilomètres aller-retour. Je peux vous garantir que la nuit, ça dort bien. Cette année, on s’enfonçait profondément dans la neige. Pour les raquetteurs, elle arrivait facilement au-dessus des genoux. »

Le soir, bien au chaud dans la maison de Michel Denis, un tradi-tionnel souper festif est organisé. Solange Vachon, qui en est à sa troisième corvée hivernale, apprécie grandement l’évènement. « Les gens qui viennent ici ne sont pas forcément des randonneurs aguerris. Ils viennent surtout chercher quelque chose de diffé-rent. Le temps d’une fin de semaine, on peut se coupe du monde
moderne. Aussi, lorsque l’on voit qu’à de nombreux endroits sur la planète la neige manque, on se dit que la corvée va bientôt devenir exotique
».

Trentième anniversaire

À la fin de l’été prochain aura lieu la Grande corvée des monts Groux. Celle-ci revêtira un aspect festif, puisqu’il s’agira du trentième anniversaire de l’ouverture des sentiers. Le pont du ruisseau aux Pékans, sur lequel les bénévoles ont travaillé au cours des dernières années, sera inauguré. La Société des Amis des monts Groulx s’attend à une participation de plus de 80 personnes.

Les monts Groulx

Le massif des monts Groulx se situe à l’est du réservoir Mani-couagan, à près de 300 km au nord de la ville de Baie-Comeau. Ils font partie du territoire Manicouagan-Uapishka, considéré en 2007 comme réserve mondiale de la biosphère par l’UNESCO.

« Contribuer à l’entretien des sentiers dans un environnement extraordinaire en compagnie de personnes motivées et de bonne humeur, c’est ce qui m’attire dans la corvée. »
(Louisa Maria Mansault)

« J’avais déjà participé à la corvée estivale, je voulais vivre une expérience similaire l’hiver. Mon rêve, c’est de traverser le massif des monts Groulx. Ici je peux rencontrer des gens qui peuvent me donner des conseils. »
(Robert Côté)

« Avant même l’ouverture de la route 389, on marchait en raquettes à partir de Manic-5 jusque dans les monts Groulx. »
(Michel Denis)

Avec la collaboration de Solange Vachon

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Publié le 7 mars, 2016, dans la publication : Numéro 4 Volume 34

Publié sur le site le 7 mars 2016

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6e édition de la Guignolée à Réginald

Cancer Fermont : 320 000 $ distribués en 10 ans

par Guillaume Rosier

Légende photo : Denis Grenier, président et fondateur de Cancer Fermont, se voit remettre un chèque du Syndicat des Métallos (local 5778).  De gauche à droite : Mario Lepage, Serge Côté, Jocelyn Bilodeau, Joël Dumont, Denis Grenier, Nadine Joncas, Yves-Aimé Boulay, Sébastien Meilleur.

L’ aventure de Cancer Fermont débute le 8 octobre 2005. À l’époque, Denis Grenier et sa femme, Marlène Rioux, décident d’aider un ami atteint d’un cancer de moelle osseuse en organisant une levée de fonds. À la suite de cette expérience, M. Grenier lance Cancer Fermont, un organisme sans but lucratif, qui récolte des dons non pas pour la recherche mais pour venir en aide aux personnes malades et, surtout, à leurs proches.

À la suite de la 6e édition de la Guignolée à Réginald, Cancer Fermont a amassé près de 52 000 $ de dons. Un record absolu.

« Chaque année, la barre est haute. Malgré un contexte économique difficile, les Fermontois font preuve d’une incomparable générosité », affirme Denis Grenier, président et fondateur de Cancer Fermont. À l’image de cette belle générosité, le Syndicat des Métallos section locale 5778, a remis un chèque de 12 500 $ à l’organisme.

Toute l’équipe de Cancer Fermont remercie chaleureusement tous ceux qui ont donné à la guignolée, que ce soit les particuliers, les organismes ou les entreprises. Denis Grenier rappelle que la générosité de la communauté contribue dans une très large mesure à la guérison des Fermontois atteints de cancer.

M. Grenier tient à remercier tout particulièrement Manon Bouchard et son équipe, ainsi que toutes les personnes qui donnent de leur temps pour Cancer Fermont.

À noter que les dons se poursuivent tout au long de l’année. Il suffit tout simplement de contacter Denis Grenier au 418 284-3987 ou au 709 280-7557.

Démarrer Cancer Fermont n’a pas été facile pour Denis Grenier. Il a fallu qu’il fasse connaitre l’organisme, qu’il frappe aux portes des compagnies et qu’il recherche des personnes pour former une équipe de bénévoles. De fil en aiguille, Cancer Fermont a gagné l’admiration de tous par son implication au sein de la communauté.

Cancer Fermont est un organisme tout à fait unique en son genre. Les dons ne servent pas à financer la recherche ou de l’équipement comme c’est généralement le cas; ils sont directement distribués aux malades ainsi qu’à leurs proches. À terme, M. Grenier espère que le concept de Cancer Fermont s’exportera à l’extérieur de Fermont.

Une aide substantielle

Cancer Fermont se charge de payer les frais reliés aux déplacements extérieurs pour les traitements, les billets de stationnement, les frais de taxi et les locations de voiture. Il absorbe également les couts pour le déblaiement des entrées, l’aide ménagère, les bouquets de fleurs et les spectacles. Cancer Fermont paie également pour le sac recommandé lors d’un cancer des intestins, sac que le gouvernement ne paie pas.

Les proches sont très importants  pour l’équipe bénévole; il arrive que l’organisme débourse pour des services de massothérapie et de coiffure pour un proche d’une personne atteinte. Dans certains cas, Cancer Fermont peut défrayer le cout du billet d’avion pour se rendre à Fermont.

À noter que l’organisme rend des visites régulières aux malades ainsi qu’aux proches lorsqu’ils en font la demande. Ces visites se font toujours dans le respect de la confidentialité.

L’importance des dons

Les personnes combattant un cancer peuvent recevoir jusqu’à 3500 $ par année pendant cinq ans de Cancer Fermont. Depuis 2005, l’organisme a distribué plus de 320 000 $ aux personnes malades ainsi qu’à leurs proches, dont 50 000 $ pour la seule année 2015.

D’année en année, les montants distribués sont plus importants, en raison d’une augmentation du nombre de cas de cancers. Alors que 17 personnes étaient atteintes de la maladie l’an passé, on en compte actuellement une trentaine. « Il y a presque un nouveau cas de cancer par mois. Il est essentiel que les dons se poursuivent, pour que nous puissions venir en aide à ceux qui en besoin, mais aussi à ceux qui en auront malheureusement besoin un jour ou l’autre », explique Denis Grenier.

Le président et fondateur de l’organisme rappelle qu’une mauvaise alimentation, un manque d’exercice ou encore la pollution peuvent favoriser l’apparition du cancer. « Nous vivons dans un monde difficile. L’athlète Mylène Paquette, qui a traversé l’Atlantique à la rame, a pu constater de ses propres yeux à quel point l’océan est jonché de détritus. Qu’on le veuille ou non, nous subissons tous à un moment donné les conséquences de cette dégradation de l’environnement », soutient Denis Grenier.

Un 3e demi-marathon

L’automne prochain, un demi-marathon sera organisé pour la troisième année consécutive. Cet évènement festif permet d’amasser des dons pour Cancer Fermont et de promouvoir de saines habitudes de vie.

L’équipe de Cancer Fermont se compose de Denis Grenier à la présidence, Suzanne Caron à la vice-présidence et à la trésorerie, Caroline Boudreault au secrétariat et Angèle Kenny comme infirmière pivot et soins oncologiques du CISSS de la Côte-Nord, Point de service de l’Hématite.

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Publié le 7 mars, 2016, dans la publication : Numéro 4 Volume 34

  • Cancer Fermont
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  • Fermont
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  • Oeuvre caritative

Publié sur le site le 7 mars 2016

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