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    Société des traversiers

    Une grève qui dérange

  • Une couverture cellulaire déficiente

    Route nationale 389

    Une 28 mai, 2024

    Une couverture cellulaire déficiente

Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan

Une grève qui dérange

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Une grève qui dérange

Une couverture cellulaire déficiente

Route nationale 389

Une 28 mai, 2024

Une couverture cellulaire déficiente

Société des traversiers

Une grève qui dérange

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Les officiers de navigation et les mécaniciens de cinq traverses de la Société des traversiers du Québec (STQ) incluant celles de Matane-Côte-Nord et de Tadoussac-Baie-Sainte-Catherine, ont déclenché une grève qui affecte particulièrement les citoyens nord-côtiers en période de vacances estivales et les camionneurs qui devront se résoudre à emprunter une route alternative qui rallonge inévitablement leur trajet routier.

Cette grève de 10 jours, dont les deux premiers jours d’interruption du service ont eu lieu les 21 et 22 juin 2024, est survenue après un vote des 150 syndiqués de la section locale 9599 du Syndicat des Métallos qui se sont prononcés dans une proportion de 93 %, le 12 juin, en faveur d’un mandat de tenir jusqu’à 10 jours de grève dans les cinq principales traverses de la STQ. Les huit autres dates n’ont pas encore été déterminées. « Nos membres gagnent environ 10 $ de l’heure de moins que les autres officiers ayant des brevets comparables. Les salaires ne sont pas compétitifs à la STQ comparativement à ce qui se fait ailleurs. La STQ paie deux à trois fois plus cher que ce qu’elle offre à ses propres officiers pour des employés d’agence. Si la STQ payait correctement, elle aurait assez de personnel et n’aurait pas besoin d’avoir recours à une agence », confie le président de l’unité 9599, le capitaine Simon Charbonneau. » Selon le Syndicat, les employés qui n’ont pas eu d’augmentation salariale depuis le 1er avril 2022 sont déterminés à faire avancer le dossier. « Nos membres sont exaspérés par la lenteur des négociations…Le Conseil du trésor doit donner les mandats nécessaires pour dénouer l’impasse », souligne le représentant syndical des Métallos, Luc Roberge.

Région en otage

La Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan (CCIM), la Chambre de commerce de Sept-Îles Uashat concernant les impacts négatifs engendrés par les moyens de pression exercés dans le cadre de ces négociations qui risquent, selon ces organisations, d’affecter l’image de la région sur la scène nationale et de modifier le choix de la destination touristique de plusieurs pour les vacances estivales. « Il est inacceptable en 2024 de tenir une région en otage… Nous considérons que c’est la responsabilité de l’employeur et du syndicat de conclure une entente et que les deux sont responsables de la menace qui pèse sur la Côte-Nord. La pression ne sera pas mise sur le gouvernement lors des arrêts prévus par le syndicat, mais sur les entreprises, les touristes et l’économie de notre région », a déclaré le directeur général de la CCSIUM, John James Blanchette.

Le coprésident de la CCIM, Antonio Hortas, ajoute : « Nous voulons sensibiliser les partis à considérer le maintien du service comme une priorité absolue durant la saison la plus achalandée de l’année pour les traverses entre la Côte-Nord et le Bas-Saint-Laurent. Tous devront mesurer la gravité des séquelles potentiellement permanentes qu’un arrêt, même ponctuel, causerait à la Côte-Nord. »

Le directeur général de la CCIM, Jeff Dufour Tremblay, conclut : « Les négociations doivent être menées sans porter atteinte aux entreprises et aux touristes de la Côte-Nord. Si le syndicat souhaite avoir l’appui de la population et la STQ améliorer son image déjà entachée dans la région, ils doivent trouver un moyen de régler la situation dans les plus brefs délais. »

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Publié le 25 juin, 2024, dans la publication : Numéro_12 Volume_42

  • Camionneurs
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  • Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan
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  • Trajet routier

Publié sur le site le 25 juin 2024

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Route nationale 389

Une couverture cellulaire déficiente

par Éric Cyr

Source photo : Escorte routière Baie-Comeau

En réaction à l’article « Enjeux de communication sur la 389 ? » publié par le diffuseur public Radio-Canada Côte-Nord, le 4 mai dernier, les Chambres de commerce de Fermont et de Manicouagan (Baie-Comeau) s’inquiètent également du manque de couverture cellulaire et des impacts que cette lacune occasionne sur la sécurité des usagers de ce lien routier interprovincial.

Les intervenants socio-économiques considèrent que le transport sur la Côte-Nord est depuis toujours un enjeu qui nécessite des efforts de concertations, de mobilisation et même des pressions politiques pour que les dossiers avancent quand il est question de sécurité sur nos routes. Selon ces derniers, il est nécessaire de passer à la vitesse supérieure pour régler la situation.

« On parle ici d’enjeux de sécurité qui ont un impact direct sur l’efficacité économique des entreprises. Quand il arrive un accident et que la route est fermée pendant 20 h et que les camions ne peuvent plus circuler, il y a un impact direct sur l’économie. Si nous avions des moyens efficaces et modernes de communiquer quand un événement survient sur la route, il pourrait y avoir un meilleur contrôle routier et une planification faite en conséquence par les entreprises de transport afin de rentabiliser le temps ou la route est fermée », explique la directrice générale de la Chambre de commerce de Fermont, Mélissa Gauthier.

« La sécurité des usagers de la route 389 ne doit pas être prise à la légère. Si nous sommes capables de transmettre instantanément des messages à des gens à l’autre bout du globe, il s’avère urgent que nous puissions avoir un réseau de communication fiable sur la route qui mène à Fermont pour que si par malheur un incident se produit, les secours et la sécurité publique soient informés immédiatement », ajoute le coprésident de la Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan, Antonio Hortas.

« Dans les dernières années, le gouvernement du Québec et plus spécifiquement le cabinet du premier ministre, qui, je le rappelle, est aussi ministre responsable de la couverture Internet et cellulaire, a fait des efforts incroyables pour brancher les Québécois à Internet. Il est grand temps que la Côte-Nord soit connectée sur l’ensemble de son réseau routier et soyez assuré que les chambres de commerce de la Côte-Nord seront unies et appuieront n’importe quelle annonce qui sécurisera les secteurs routiers qui ne disposent actuellement pas d’une couverture cellulaire », précise le directeur général de la Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan, Jeff Dufour Tremblay.

« Ce que nous souhaitons, d’abord et avant tout, c’est que ce dossier soit traité comme une urgente question de sécurité par les gouvernements du Québec et du Canada. Nous ne manquerons pas d’en discuter avec les élus nord-côtiers lors de nos séances de travail avec eux à l’Alliance des chambres de commerce de la Côte-Nord », conclut Mélissa Gauthier.

Lire aussi un article lié à ce sujet dans l’édition du journal Le Trait d’union du Nord du 14 mai dernier « Route nationale 389. Des camionneurs mécontents » et sur le site Internet www.journaltdn.ca.

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Publié le 28 mai, 2024, dans la publication : Numéro_10 Volume_42

  • Chambre de commerce et d’industrie de Manicouagan
  • Chambres de commerce de Fermont
  • Couverture cellulaire
  • Enjeux de communication
  • Lacune sur la sécurité des usagers
  • Lien routier interprovincial
  • Route 389
  • Transport sur la Côte-Nord

Publié sur le site le 29 mai 2024

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