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  • Numéro 5

  • Le graphineige sur une toile blanche naturelle

    Nouvel art éphémère du plein air nordique

    Le graphineige sur une toile blanche naturelle

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    Sauvetage animal

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    Portes ouvertes à la caserne 12

    Une 20 mars, 2017

    Véritable engouement pour le centre de mesures d’urgence

Numéro 5

Le graphineige sur une toile blanche naturelle

Nouvel art éphémère du plein air nordique

Le graphineige sur une toile blanche naturelle

Un refuge  qui a du chien

Sauvetage animal

Un refuge qui a du chien

Hydro-Québec, le talon d’Achille des mesures d’urgence

Panne d’électricité à Fermont

Hydro-Québec, le talon d’Achille des mesures d’urgence

Véritable engouement pour le centre de mesures d’urgence

Portes ouvertes à la caserne 12

Une 20 mars, 2017

Véritable engouement pour le centre de mesures d’urgence

Nouvel art éphémère du plein air nordique

Le graphineige sur une toile blanche naturelle

par Éric Cyr

Légende : Symbole de paix en forme de flocon créé par Simon Beck.

Depuis quelques années, plusieurs mordus d’art et de plein air tentent de combiner les deux domaines. Le graphineige, appelé Snow Art en anglais, vise à créer un tableau original en imprégnant les paysages neigeux vierges d’un canevas à large échelle souvent inspiré d’images géométriques. Cette nouvelle forme d’art s’est fait connaître par l’artiste britannique Simon Beck, qui a notamment créé des œuvres sur neige au parc national de Banff en Alberta au Canada et dans les Alpes françaises et autrichiennes, mais aussi sur des espaces enneigés (et parfois sablonneux) partout à travers la planète.

Contrairement aux tracés terrestres de Nazca au Pérou, les pistas, destinés à être vus du ciel et composés de dessins et de figures géométriques, les créations « graphineigeuses » ne dureront pas des siècles, mais plutôt jusqu’à la prochaine bordée de neige. L’artiste réalise des œuvres géométriques gigantesques simplement en marchant dans la neige. Sans doute le premier et le plus connu des artistes de cette forme d’art baptisée « Snow Art », cet ancien ingénieur et cartographe combine son obsession pour l’orientation, sa passion pour la neige et son amour du plein air pour tracer dans la neige fraîche des motifs complexes et fascinants. Simon Beck a aussi publié un livre qui illustre ses créations, Snow Art.

Le graphineige est la parfaite activité de plein air pour faire ressortir l’artiste en vous à condition que vous sachiez vous servir d’une boussole, l’instrument principal pour réussir un gigantesque tableau hivernal grâce au calcul des azimuts. Il faut aussi un plan et des points de repère destinés à vous orienter en plus d’un promontoire naturel ou d’un drone destiné à pouvoir par la suite admirer et immortaliser le tableau hivernal pour la postérité. Le matériel nécessaire en plus de la boussole est un grand espace enneigé vierge, idéalement un lac gelé, et une paire de raquettes qui constitue le pinceau, mais attention vous devez planifier votre concept artistique avec soin, car une trace de raquettes mal placée peut complètement dénaturer votre tableau. Selon l’instigateur de cette nouvelle forme d’art, Simon Beck, il faut d’abord esquisser comme un squelette au milieu pour ensuite détailler un peu à l’image d’un flocon de neige.

L’artiste de renommée internationale a dessiné une figure sur le lac Marlou dans la station Arc 2000, située à 2100 mètres d’altitude, un des quatre sites de la station de ski des Arcs dans le domaine skiable de Paradiski qui relie Les Arcs/Peisy-Vallandry à la Plagne. Arc 2000 se situe sur le versant nord du massif de la Vanoise en Tarentaise dans l’est du département français de la Savoie en région Rhône-Alpes.

« J’ai dessiné ça sur le lac Marlou, le 20 janvier 2017, le jour de l’inauguration (du président américain) Donald Trump. Le motif représente un grand symbole de paix, avec des représentations de pacification plus étriquées qui sont dessinées dans les cercles plus petits. Le message de fraternité n’est pas aussi évident que je l’aurais espéré. Je vous invite à partager ces images sur Internet afin de promouvoir la paix dans le monde. »

Le parc national de la Mauricie au Québec offre une activité de graphineige. Pour en savoir plus et admirer de nombreuses créations artistiques, consultez la page Facebook Simon Beck’s Snow Art ou sur Internet avec les mots clés Simon Beck Snow Art.

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Publié le 20 mars, 2017, dans la publication : Numéro 5 Volume 35

  • Activité de plein-air
  • Art en plein-air
  • Art éphémère
  • Art nature
  • Art nordique
  • Grand espace
  • Graphineige
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  • Oeuvre géométrique
  • Simon Beck
  • Snow Art
  • Tableau naturel

Publié sur le site le 21 mars 2017

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Sauvetage animal

Un refuge qui a du chien

par Éric Cyr

Légende : Mike Hinks et ses deux chiens qu’il a adoptés, à gauche, Koda de la côte du Labrador, et à droite, Mya de Schefferville.

L’organisme Northern Frosty Paws K-9 Rescue à Labrador City existe depuis trois ans et a vu le jour grâce à l’initiative d’un citoyen dévoué, Mike Hinks, qui souhaitait contribuer à améliorer les conditions de vie des chiens de la région loin des sociétés qui offrent leurs services afin de venir en aide aux animaux maltraités, abandonnés ou errants.

Originaire de l’île de Terre-Neuve, M. Hinks a suivi sa copine de l’époque au Labrador, il y a cinq ans, où il a fondé cette organisation sans but lucratif qui vient en aide aux chiens dans sa maison privée avec le soutien d’autres résidents de l’endroit. Le bon samaritain de la cause animale reçoit en moyenne une centaine de chiens par année qu’il réussit à placer en totalité dans de bonnes familles. « Je fais tout mon possible pour réussir à leur prodiguer de bons soins et je m’assure qu’ils puissent rencontrer le vétérinaire quand ils en ont besoin. Je paie très souvent de ma poche, mais je reçois aussi des dons de citoyens de la communauté qui me permettent de poursuivre cette œuvre. » Mike Hinks adore les animaux et héberge en moyenne de trois à cinq chiens à la fois à son domicile en plus de ses deux propres protégés qu’il a adoptés. Parallèlement, ce dernier place d’autres bêtes en familles d’accueil transitoires avant une éventuelle adoption. Selon le mécène de la cause animale, 75 % des chiens qu’il reçoit proviennent des communautés du Nord du Québec et il travaille en étroite collaboration avec la Sûreté du Québec à Schefferville qui fait appel à ses services pour donner un coup de pouce aux chiens en difficulté. « Je reçois aussi des chiens de plusieurs communautés autochtones de la baie d’Hudson, je travaille de concert avec des conseils de bande de cette région et l’autre 25 %
des chiens provient de la côte du Labrador », confie-t-il.

« Je ne prendrais jamais de chiens errants sans la permission du conseil de bande, des autorités policières compétentes ou sans l’autorisation du propriétaire légitime. »

Prendre son envol

La compagnie d’aviation PAL est un partenaire incontournable puisque cette entreprise aérienne transporte gratuitement les animaux vers leur nouvelle destination. « Sans cette aide précieuse, les chiens abandonnés et errants n’auraient pas de seconde chance et se feraient certainement euthanasier dans le meilleur scénario. » Le fervent défenseur des animaux domestiques souhaite contribuer à éduquer le public et le sensibiliser à la problématique de la surpopulation des chiens et des chats et à l’importance de faire stériliser vos animaux de compagnie afin d’éviter des souffrances inutiles et des abandons occasionnés par des naissances non désirées.

« J’encourage les gens à adopter des animaux dans des refuges. J’ai un programme de jumelage avec des chiens pour voir s’il y a des affinités et permettre de faciliter ainsi une éventuelle adoption. Je dois bientôt récupérer une cinquantaine de chiots de race nordique croisée à Schefferville et les acheminer par le chemin de fer Tshiuetin jusqu’ici puisque PAL ne se rend pas dans cette localité isolée ».

M. Hinks s’est également investi dans la création d’une clinique vétérinaire mobile pour la côte du Labrador qui a démarré ses activités il y a six mois et qui se consacre principalement à la stérilisation des animaux, la North Atlantic Remote Veterinary Services. Un vétérinaire et un technicien font partie de l’équipe de trois bénévoles qui assurent ce service ambulant.

Familles d’accueil et adoption

Les gens peuvent faire des dons, devenir une famille d’accueil ou adopter un animal. « Certains viennent me voir pour faire des dons en personne, car c’est une petite communauté et les gens me connaissent. J’ai toujours adoré les animaux et quand je suis déménagé ici, j’ai constaté qu’il y avait un problème et j’ai voulu m’impliquer afin de contribuer à assurer une vie meilleure pour les animaux dans le Nord. Je suis autonome en ce qui a trait aux installations, mais j’ai quand même besoin de dons pour assurer un bon fonctionnement. La SPCA la plus proche est située à Goose Bay au Labrador et on a une bonne collaboration, ils m’envoient aussi des chiens qui ont besoin de réhabilitation plus poussée avant l’adoption. » Il est aussi possible de faire un don pour Northern Frosty Paws K-9 Rescue à la clinique vétérinaire Lab West Vetenary Clinic sur Circular Road à Labrador City ou par PayPal via Internet.

Et les chats dans tout ça…

Il existe un autre refuge géré par des bénévoles dans la région. Celui-ci se spécialise dans les chats abandonnés et errants. Faith Haven est une roulotte de chantier mobile chauffée stationnée sur un terrain de la Ville de Wabush dans le parc industriel. « Pour ma part, je suis plus spécialisé dans les chiens. J’adore aussi les chats, mais je réfère ceux qui m’amènent des chats à cette autre organisation sans but lucratif. » M. Hinks cherche actuellement l’aide de bénévoles afin d’assurer la continuité du projet et les personnes intéressées peuvent le contacter.

Téléphone : 709-944-1408
Courriel : mikehinks@hotmail.com
Page Facebook : Northern Frosty Paws K-9 Rescue

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Publié le 20 mars, 2017, dans la publication : Numéro 5 Volume 35

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Publié sur le site le 21 mars 2017

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Panne d’électricité à Fermont

Hydro-Québec, le talon d’Achille des mesures d’urgence

par Éric Cyr

Une rupture de courant a plongé Fermont dans le noir, le 4 mars dernier, nécessitant l’application des mesures d’urgence et l’intervention de la Sécurité publique alors que la température ressentie avoisinait les – 35 degrés Celsius avec le facteur éolien. L’avarie, attribuable à un bris d’équipements, a privé d’électricité 1637 des 1644 clients de la société d’État près du 53e parallèle durant près de 7 heures. Certains résidents ont été forcés de patienter jusque tard dans la nuit avant que la situation ne rentre dans l’ordre. Une équipe d’Hydro-Québec a dû être mobilisée et un hélicoptère nolisé afin de se déployer sur les lieux pour réparer le bris ayant causé l’interruption de service compte tenu du manque d’effectifs local qui se chiffrait à un seul travailleur, c’est d’ailleurs la raison invoquée pour justifier le délai d’intervention.

Une épée de Damoclès

Une porte-parole d’Hydro-Québec pour la Côte-Nord, Sandra Chiasson, blaguait sur le fait que certains médias nationaux aient traité l’évènement. « Il ne devait pas y avoir beaucoup de nouvelles sur le réseau national. » La société d’État parle de gestion de risque pour motiver la raison pour laquelle il n’y avait qu’un seul employé sur place durant la situation de crise, qui aurait pu être grave si elle avait perduré. En plus des dangers encourus par la population à cause du froid extrême, plusieurs infrastructures totalisant des millions de dollars étaient menacées. Un responsable des mesures d’urgence souhaitant conserver l’anonymat pose la question suivante : « Que serait-il advenu si l’hélicoptère n’avait pu décoller à cause de forts vents ou d’une tempête ? Si les forts vents ont abîmé les équipements, serait-il possible qu’ils puissent aussi empêcher un hélicoptère de se rendre à destination afin d’assurer la relève et donc faire avorter un éventuel branchement avec le Labrador en cas de nécessité ? » Hydro-Québec a précisé qu’un employé ne peut travailler seul sur une ligne en tension, mais ne pouvait spécifier pourquoi il n’y avait qu’un seul monteur de ligne à Fermont. La porte-parole a toutefois assuré qu’une équipe complète allait être affectée à Fermont pour les prochaines semaines en évitant le sujet du manque de personnel sur place par la suite.

« Il faut faire venir quelqu’un de Sept-Îles ou de Baie-Comeau éventuellement, mais dans ce cas-ci, il y avait des équipes de monteurs à Sept-Îles. La personne à Fermont peut patrouiller, identifier le secteur, préparer le terrain. »

Recrutement difficile

Ce n’est pas la première fois que le manque d’effectifs dans la MRC de Caniapiscau vient jouer des tours à la société qui détient le quasi-monopole de l’électricité au Québec puisque le même scénario s’est déjà produit à quelques reprises par le passé. « Le recrutement est difficile et on essaie de gérer ça de façon stratégique. C’est un grand territoire » explique la porte-parole qui compare Fermont à un petit village de pêcheurs de 150 habitants de la Basse-Côte-Nord. « On nolise aussi un hélicoptère pour Kegaska. » Mme Chiasson poursuit : « Un disjoncteur (gros fusible) a ouvert, les fils se sont touchés et les conducteurs seraient entrés en contact à cause de forts vents, c’est ce qu’on appelle du galopage ». La porte-parole n’a pas précisé si le galopage était survenu sur une ligne de transmission ou une ligne de distribution et n’a pas non plus indiqué l’endroit précis.

« On cherche à se rendre le plus rapidement possible et on peut alimenter Fermont par le Labrador avec une attache d’urgence, un lien de 44 kV via le poste Chantal » explique cette dernière qui avoue ne pas être une spécialiste du réseau.

Dans les faits, rattacher Fermont avec la ligne de transmission du Labrador n’est pas si évident puisque bien qu’il existe des ententes interprovinciales difficilement applicables, une telle décision doit d’abord être approuvée.

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Publié le 20 mars, 2017, dans la publication : Numéro 5 Volume 35

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Publié sur le site le 21 mars 2017

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Portes ouvertes à la caserne 12

Véritable engouement pour le centre de mesures d’urgence

par Éric Cyr

Légende : Des intervenants d’urgence heureux d’accueillir le public de la région lors de l’événement rassembleur.

Après les employés municipaux, le 8 mars dernier, la population a pris d’assaut le nouveau centre de crise, les 9, 10 et 11 mars, lors d’une activité portes ouvertes de l’ouvrage architectural récemment achevé qui monte fièrement la garde à l’entrée de la ville de Fermont fidèle à la devise de la municipalité « Faire front faire face ». Quelques groupes, notamment composés d’enfants de différentes garderies et d’élèves de classes scolaires ainsi que des familles, se sont déplacés pour venir admirer les nouvelles installations et ont pu bénéficier d’une visite en compagnie de pompiers et d’ambulanciers. Ceux-ci les ont accompagnés afin de détailler les différentes facettes des équipements et des infrastructures sur place et faire des démonstrations de leur fonctionnement.

Dans l’antre des superhéros

Le jeune public a particulièrement apprécié cet évènement où il a pu admirer de nombreux véhicules d’urgence reflétant sous la lumière du soleil, de gros camions rouges et des ambulances jaunes semblaient leur sourire. Tout avait été planifié pour les accueillir. Les enfants ont pu enfiler un casque de pompier en plastique léger pour les plonger dans l’ambiance et poser des questions à leurs héros. En effet, quel enfant n’a pas déjà rêvé de devenir plus tard policier, pompier ou ambulancier? Un léger goûter santé principalement composé de fruits et de légumes frais était aussi offert aux tout petits. Une lueur de curiosité et d’admiration brillait dans les yeux de plusieurs bambins visiblement ravis d’avoir la chance de pouvoir découvrir cet univers qui pour eux, pourrait ressembler au quartier général du repère de leurs idoles dont la vocation principale est d’accomplir des exploits et de sauver des vies au péril de la leur.

Achalandage marqué

Plusieurs pompiers et ambulanciers se sont relayés durant ces trois jours afin d’offrir à la population un plus vaste éventail de disponibilités permettant ainsi à plus de gens d’avoir l’occasion de venir visiter la nouvelle caserne selon une plage horaire diversifiée. Un flot continu de citoyens totalisant près de 400 personnes a déferlé sur le nouvel emménagement qui a connu pour ainsi dire son baptême populaire.Quelques pompiers du Labrador se sont même rendus sur place. Les intervenants d’urgence sont très heureux d’avoir pu accueillir les citoyens et de pouvoir tirer parti de ces locaux qui facilitent leur travail en améliorant grandement l’efficacité des procédures d’urgence. Le directeur du Service de sécurité incendie, Jean-Sébastien Allard confie que les objectifs ont été atteints.

« Nous sommes très heureux d’avoir reçu les citoyens pour leur faire découvrir le nouveau bâtiment. Pour ceux qui n’ont pu se déplacer, ce n’est que partie remise, car il y aura une journée familiale d’information et de prévention au mois de juin prochain. »

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Publié le 20 mars, 2017, dans la publication : Numéro 5 Volume 35

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Publié sur le site le 21 mars 2017

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