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Bureau d’accueil touristique

Les travaux de construction sont amorcés

par Éric Cyr

La première pelletée de terre en vue de la construction d’un bureau d’information touristique s’est faite en compagnie de représentants de partenaires locaux, le 13 juin 2022 en matinée, sur le site de l’emplacement de l’attraction touristique « le camion en ville » dans le parc Jean Fortin à l’entrée de la municipalité de Fermont. Le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de la localité, Martin St-Laurent, a eu l’honneur de procéder au pelletage officiel.

C’est la firme Cevico qui a été mandatée pour réaliser le projet durant la période estivale, entrecoupée par les vacances de la construction, et qui devrait s’échelonner durant environ une dizaine de semaines. Les travaux d’excavation ont été confiés à l’entrepreneur local Philippe St-Pierre et ont commencé la même journée alors qu’une pelle mécanique s’est activée à remuer le sol du futur édifice destiné à accueillir les touristes et visiteurs qui devraient pouvoir profiter des nouvelles installations vers le milieu de 2023. Il est prévu que le nouvel édifice abrite certains attraits touristiques spécifiques à la région comme un espace dédié au monde minier incluant des contenus numériques et audiovisuels ainsi qu’une visite virtuelle de la mine de fer du Mont-Wright.

Le principal instigateur de cette initiative, la MRC de Caniapiscau, souhaite remercier les partenaires qui se sont investis dans la démarche qui totalisera 868 000 $ : le ministère des Affaires municipales et de l’Habitation, ArcelorMittal Mines et Infrastructure Canada qui s’est engagé à fournir 100 000 $, la Société du Plan Nord, Tourisme Côte-Nord et la Société d’aide au développement des collectivités (SADC) Côte-Nord.

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Publié le 20 juin, 2022, dans la publication : Numéro_12 Volume 40

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Publié sur le site le 16 juin 2022

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Recyclage et environnement

Englobe de passage à Fermont

par Éric Cyr

Trois représentants de l’entreprise internationale spécialisée en ingénierie, en sciences de l’environnement et en traitement des sols et de la biomasse, Englobe, étaient à Fermont, du 6 au 16 juin 2022, afin de faire une étude sur l’économie circulaire pour Recyc-Québec, le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles et la Société du Plan Nord.

Le directeur de projets pour Englobe au Québec, Jean-Luc Bugnon, qui s’est rendu sur place en compagnie de la professionnelle en milieu humain et environnement, Camille Vinette, et du chargé de projets en environnement industriel, Dominic Lafleur, confie que l’objectif de la démarche locale est de développer des stratégies d’économie circulaire, qui ne s’orientent pas uniquement autour des rejets, mais aussi par l’utilisation durable des matières, en dressant d’abord un portrait de l’utilisation des ressources sur le territoire de Fermont afin de privilégier la durabilité plutôt que l’obsolescence programmée. Il s’agit dans un premier temps de réaliser des entrevues avec des citoyens et des chefs d’entreprise, de récolter des données grâce à un questionnaire et de produire une caractérisation des matières résiduelles par une analyse des rejets thermiques (de chaleur), liquides et boueux incluant les résidus et les stériles miniers afin entre autres d’avoir une idée des stocks qui pourraient contenir d’autres ressources minérales. « Nos travaux de caractérisation des matières générées par les citoyens de Fermont visent à connaître la proportion des matières qui sont rejetées et enfouies. Par exemple, nous voulons déterminer la quantité de carton, de métaux et de plastiques qui sont envoyés au lieu d’enfouissement. Les matières organiques (résidus alimentaires) s’avéreraient très intéressantes pour produire du compost, qui pourrait être utilisé pour verdir les parcs à résidus. »

Selon M. Bugnon, la Ville de Fermont souhaite créer une cellule d’enfouissement et mettre en valeur les matières résiduelles par une gestion appropriée incluant la récupération, le recyclage, le réemploi et le compostage. « Il existe du recyclage à Fermont grâce à un centre de récupération, cependant l’écocentre ne recycle pas le carton, le plastique et le bois. Notre travail se situe en amont afin de contribuer à aider à réduire les résidus par une meilleure gestion des détritus. »

Industrie minière

Dans le domaine minier, le spécialiste explique que le séchage du minerai se fait souvent en partie avec du combustible fossile produisant d’importantes quantités de dioxyde de carbone (CO2) à la sortie des cheminées et que la technologie existe pour capter ce gaz carbonique et le transformer en carbonate de calcium afin de le retirer du cycle du carbone. Des scientifiques travaillent aussi actuellement sur un projet afin de remplacer les explosifs utilisés pour le dynamitage par des explosifs verts, ce qui pourrait éventuellement changer l’approche des entreprises minières.

Un total de sept rapports seront produits par Englobe, six au sujet de communautés incluant Fermont et un pour le secteur minier. Les résultats de l’étude seront disponibles à l’hiver 2023 sur le site internet recyc-quebec.gouv.qc.ca.

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Publié le 20 juin, 2022, dans la publication : Numéro_12 Volume 40

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Publié sur le site le 16 juin 2022

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Route nationale 389

Collision entre un train et un poids lourd

par Éric Cyr

Une collision entre une locomotive et un camion semi-remorque à benne basculante effectuant du rechargement granulaire est survenue, le 5 juin 2022 vers 12h30, à un passage à niveau au kilomètre 526 de la route nationale 389 dans le tronçon routier situé entre les mines de Fire Lake et du Mont-Wright forçant la fermeture complète du lien interprovincial sur plus de 200 kilomètres durant près de quatre heures.

On ne dénombre qu’un blessé le conducteur du poids lourd qui a été transporté en ambulance au Centre de santé de Fermont. Selon la Sûreté du Québec, malgré une bonne frousse, ce dernier n’a heureusement subi que des blessures mineures. Le chef de train a aussi été quelque peu ébranlé. Les autorités policières expliquent que le camionneur-artisan se serait engagé et aurait commencé à traverser la voie ferrée alors que le feu rouge clignotait juste avant que la barrière signalant l’arrivée d’un train ne se mette à s’abaisser. Le chauffeur a effectué in extremis une manœuvre en marche arrière (à reculons) afin de tenter de se sortir de cette fâcheuse posture, mais, peine perdue, il n’a pas eu le temps de dégager complètement les rails et le train de minerai de fer vide circulant en direction nord a percuté le devant du camion-benne qui retournait dans le secteur de Fermont pour aller récupérer un nouveau chargement de terre. À la suite de l’impact, les wagons du train ont dû être détachés afin de séparer le convoi en deux pour libérer l’intersection et dégager le camion. Une équipe d’ArcelorMittal a été transportée sur les lieux en hélicoptère afin de constater les dégâts, de réparer les bris et de relayer l’équipe sur place. Le camion a par la suite été remorqué. La minière a indiqué que le passage à niveau à cet endroit est muni d’une signalisation complète et qu’une enquête est en cours afin de déterminer la chronologie de l’événement.

Ce tronçon problématique, qui comporte 11 passages à niveau et qui ne respecte pas les normes minimales de sécurité routière, devrait être contourné d’ici 2025 selon les prévisions de Transports Québec.

Trois accidents de camions en une semaine

Selon Transports Québec deux autres accidents impliquant des poids lourds sont survenus sur la route 389. Le premier, le 12 juin, une sortie de route d’un camion au kilomètre 126 n’a occasionné aucune entrave. Le lendemain, le 13 juin, une collision entre un camion transportant des billots de bois et une camionnette vers le kilomètre 45 a nécessité une circulation en alternance durant quelques heures afin de retirer le camion et les débris entravant la route.

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Publié le 20 juin, 2022, dans la publication : Numéro_12 Volume 40

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Publié sur le site le 16 juin 2022

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De multiples talents

Passion artisanat et restauration

par Éric Cyr

Le Fermontois Yan Poirier a un talent inné pour la restauration d’objets en tout genre en plus d’être artisan et de s’adonner à la photographie, un don qu’il a peaufiné en suivant les traces de son père, Donald Poirier, qui, aujourd’hui retraité, fabrique de ravissants jouets en bois recyclé à Sept-Îles pour passer le temps.

La maison et le garage de celui qui est aussi collectionneur ressemblent à une caverne d’Ali Baba. Il parle avec passion des nombreux objets précieux à ses yeux et qu’il affectionne particulièrement. On peut y apercevoir un gramophone Victor Victrola de 1928 qui fonctionne ainsi que des instruments de musique comme un harmonium des années 1930 qu’il a restauré avec l’aide de son paternel à partir de deux modèles identiques. « On l’a complètement démonté et décapé avant de le remonter. Chaque note a deux lamelles », explique celui qui en joue à l’occasion. Il y a aussi un piano Willis & Sons de la fin des années 1800 qu’il a récupéré à Fermont lorsque quelqu’un voulait s’en débarrasser en le jetant aux poubelles. Il s’est alors empressé de contacter des amis afin de l’aider à aller le chercher avant qu’il ne subisse un sort tragique. Après avoir été rescapé des ordures, l’instrument à cordes a lui aussi minutieusement été restauré.

L’art du recyclage

Un jour, il y a une douzaine d’années, son père lui montre une photo d’une petite moto conçue à partir de vieux métaux prise dans un marché aux puces et c’est le déclic qui l’incite à tenter de donner une seconde vie aux matériaux en créant des œuvres originales et des sculptures à partir de métal recyclé. L’artiste autodidacte commence alors à accumuler de vieilles chaînes de bicyclettes, des tondeuses, des souffleuses, des morceaux brisés, de vieux moteurs et de la ferraille qu’il ramasse ou que les gens lui apportent afin d’intégrer des pièces à ses créations. Il a depuis produit plusieurs conceptions artisanales à partir de matériaux en métal récupérés ici et là.

« J’ai toujours eu ça dans le sang. Quand j’étais jeune, j’exprimais ma créativité avec des constructions en jeu de blocs LEGO. Par la suite, j’ai assemblé et réparé des bicyclettes pour le magasin Célavi Sports pour me faire un peu d’argent de poche. Je me suis finalement spécialisé dans les motoneiges et c’est à cette époque que j’ai décidé de devenir mécanicien », confie celui qui est arrivé à Fermont à l’âge de 5 mois en 1978 et qui a obtenu un diplôme d’études professionnelles en mécanique d’engins de chantier.

L’homme aux multiples passions a commencé simultanément plusieurs autres projets avant de souffrir de maux de dos, entre autres la restauration d’une voiture de collection Dodge Challenger RT 1972 de couleur d’origine vert lime et de deux motoneiges de marque Bombardier, soit une Olympique 1964 et une Alpine 1972 à un ski et deux chenilles. Yan Poirier, qui participe souvent aux expositions de l’Association des artistes et des artisans de Fermont, peut compter sur l’œil averti de sa conjointe, Nancy Pageau, qui est aussi une artiste peintre sur verre douée et qui lui donne de bons conseils.

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Publié le 6 juin, 2022, dans la publication : Numéro_11 Volume 40

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Publié sur le site le 6 juin 2022

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Transport de marchandises

En route vers une solution durable

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Un comité composé d’acteurs économiques et de partenaires du milieu fermontois préoccupés par les modalités de transport a récemment été fondé et travaille à l’élaboration d’un projet pilote afin de mieux desservir les entreprises d’ici. Ce regroupement aiderait notamment les commerces à réduire les coûts liés à l’acheminement de marchandises et à l’approvisionnement en denrées.

Selon l’agente de développement économique à la MRC de Caniapiscau, Mélanie Roy, le nouveau comité composé de représentants de la MRC de Caniapiscau, de la Ville de Fermont, de la Chambre de commerce Fermont et de six entreprises œuvrant dans des secteurs variés, dont une en économie sociale, sollicite actuellement d’autres établissements commerciaux qui pourraient avoir un intérêt dans un tel concept ou qui voudraient se joindre à cette initiative.

Une association profitable

Mme Roy explique qu’une diminution des coûts de transport serait bénéfique non seulement aux commerçants et aux marchands, mais aussi aux consommateurs. Les instigateurs de cette idée analysent au préalable les besoins des entreprises et les enjeux du transport avant d’étudier et d’envisager différentes options. Ils contactent simultanément les principaux intéressés afin de tenter de trouver des solutions à la problématique des dépenses d’expédition et de livraison de produits qui est en constante augmentation.

« L’objectif principal est d’abord d’évaluer les scénarios possibles et de déterminer les enjeux du milieu en lien avec la logistique de transport afin de mieux comprendre les impacts et les défis associés entre autres aux frais de carburant qui ont récemment subi une hausse vertigineuse. Pour le moment, nous n’écartons aucune piste de solution. »

La Ville de Fermont qui adhère à cette démarche dispose d’un atout puisqu’elle est membre de IVÉO, un organisme à but non lucratif financé par le ministère québécois de l’Économie et de l’Innovation et ses villes partenaires et peut donc compter sur cet appui qui favorise le montage de projets pilotes et le déploiement de solutions innovantes et durables tout en contribuant à accélérer la validation et la commercialisation d’innovations technologiques sur son territoire.

Manifestez votre intérêt

Les gens intéressés par cette nouvelle approche ayant pour but d’améliorer les services en transport et de réduire les frais qui y sont associés peuvent contacter l’agente de développement économique de la MRC de Caniapiscau, Mélanie Roy, par courriel à : mroy@caniapiscau.ca ou par téléphone en composant le 418 287-5339.

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Publié le 6 juin, 2022, dans la publication : Numéro_11 Volume 40

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Publié sur le site le 6 juin 2022

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Ateliers de danse sur rouli-roulant

Une formatrice polyvalente à Fermont

par Éric Cyr

Bien plus qu’une instructrice de planche à roulettes (skateboard) Ariane Lamontagne-Pruneau a un riche vécu. Membre de l’Union des artistes, la comédienne a décroché plusieurs rôles au cinéma et à la télévision depuis qu’elle a 15 ans et apparaît dans des séries Web et des publicités en plus d’être réalisatrice à l’occasion. Celle qui est également mannequin se lance constamment des défis et fonce dans ses peurs, ce qu’elle a tenté de transmettre aux jeunes venus suivre ses enseignements.

La jeune femme passionnée qui mord dans la vie à pleines dents a vécu des moments difficiles durant sa jeunesse et aime bien sortir de sa zone de confort. C’est ce qui l’a amenée à développer de multiples talents. Elle pratique le chant, joue de la guitare et est aussi adepte d’escalade, de moto, de motocross, de parachutisme et de surf en plus d’avoir pris part à des épreuves sportives de planche de descente (downhill longboard). Invitée par la Maison des jeunes Alpha, celle-ci a animé des ateliers de danse sur planche à roulettes longue (longboard dancing) qui se sont déroulés à l’aréna Daniel-Demers, les 21 et 22 mai 2022 dans le cadre d’une fin de semaine axée sur une introduction à cette discipline. Cette nouvelle tendance sportive de style libre (freestyle) allie la musique et la planche à roulettes à de gracieuses chorégraphies et des figures aériennes exécutées sur une planche plus longue, plus maniable et plus souple utilisée comme plancher de danse. Les mouvements sont inspirés de la danse et de figures acrobatiques dans l’esprit du surf.

Ce que femme veut…

« Mes frères, des durs à cuire, pratiquaient le skate et je me disais que moi aussi je pouvais le faire.  J’ai commencé ce sport à 11 ans. J’aime les sensations fortes et je voulais me prouver que j’étais capable de réussir dans ce domaine en tant que femme en faisant fi des limites. Je voulais exercer un certain contrôle sur ma vie tout en me défoulant et en évacuant une certaine colère, ce qui me procurait un sentiment de puissance », confie l’artiste, qui, à la suite d’une dépression survenue à l’âge de 15 ans alors qu’elle vivait seule en appartement à Montréal, a poursuivi inlassablement sa quête d’adrénaline dans les sports extrêmes en faisant notamment de la moto et en obtenant un permis de parachutisme. « Je saute seule. Quand je me lance dans le vide, c’est un sentiment indescriptible d’accomplissement et de liberté. »

Ariane Lamontagne-Pruneau voyage beaucoup dans le cadre de sa profession d’actrice et de mannequinat et prépare actuellement un périple en Europe. Cette dernière, qui se définit comme une grande anxieuse qui a besoin de s’extérioriser, rédige ce qu’elle appelle « une liste irrationnelle » dans laquelle elle inscrit ses aspirations et des objectifs qu’elle se fixe ainsi que des défis qu’elle souhaite réaliser. « Dire oui à la vie ça élargit les possibilités de me réaliser et ça ouvre des portes insoupçonnées. Je dois saisir les occasions quand elles se présentent, car il se peut qu’elles ne surgissent plus. »

L’athlète, qui a distribué des cadeaux offerts par l’entreprise québécoise Zenit aux participants, conclut : « J’étais heureuse de voir autant de jeunes filles audacieuses virevolter sur leur planche avec dextérité et légèreté à Fermont. Elles constituaient la majorité de ceux qui ont pris part à la formation puisque seulement deux garçons étaient inscrits. »

Nouvelle discipline olympique, la planche à roulettes a fait sensation lors de son apparition aux Jeux olympiques d’été de 2020 à Tokyo et sera de retour pour les olympiades de Paris en 2024.

Cette activité a vu le jour grâce à l’initiative du conseiller municipal Bernard Dupont, qui fait partie du conseil d’administration de la Maison des jeunes, et de sa conjointe l’enseignante Marie-Pierre Brodeur. Ces derniers mijotaient le projet depuis un an en attendant le moment propice pour sa concrétisation. C’est la compagnie Zenit, qui conçoit et produit à la main dans son atelier montréalais des planches ergonomiques artisanales haut de gamme à partir de matériaux renouvelables avec des finitions de bois et des motifs uniques, qui a fait l’intermédiaire entre Mme Lamontagne-Pruneau et les organisateurs. La Ville de Fermont l’a hébergée durant son séjour.

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Publié le 6 juin, 2022, dans la publication : Numéro_11 Volume 40

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Mine de fer du Lac Bloom

Inauguration officielle de «La phase II»

par Éric Cyr

L’entreprise Minerai de fer Québec (MFQ), une filiale de la société Champion Iron qui exploite la mine de fer du Lac Bloom, a officiellement inauguré, le 17 mai 2022, « La Phase II » dans le cadre de l’expansion de son site minier en compagnie de dignitaires et de nombreux travailleurs. Une simple formalité puisque dans les faits sa mise en service, qui permettra de doubler la production annuelle de 7,4 millions de tonnes de concentré de minerai de fer à haute teneur la propulsant à 15 millions de tonnes, a déjà eu lieu plus tôt que prévu. Les premiers chargements en provenance des nouvelles infrastructures ont déjà été expédiés par chemin de fer jusqu’à Pointe-Noire (Sept-Îles), le 3 mai dernier.

Le ministre de l’Économie, Pierre Fitzgibbon, et le ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles qui est aussi le ministre responsable de la région de la Côte-Nord, Jonatan Julien,  ainsi que la députée de Duplessis, Lorraine Richard, du Parti québécois, le chef innu de Uashat mak Mani-utenam, Mike Mckenzie et le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, étaient sur place pour l’occasion tout comme le président du conseil de direction de Champion, Michael O’Keeffe et le chef de la direction, David Cataford.

La journée a commencé par une annonce à Sept-Îles lors de laquelle MFQ a indiqué avoir procédé à l’acquisition, au coût de 2,5 millions de dollars, de l’ancienne usine de bouletage de Pointe-Noire, construite en 1965, qui appartenait à la compagnie Cliffs ressources naturelles jusqu’en 2013 et qui a ensuite été rachetée par la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire. La minière a également annoncé un protocole d’entente avec un aciériste d’envergure internationale pour la réalisation d’une étude de faisabilité portant sur la remise en service de cette installation qui pourrait éventuellement produire des boulettes de fer à réduction directe de haute pureté.

Ce produit pourrait ultimement être intégré dans la fabrication de l’acier par fours à arcs électriques, un procédé d’avenir beaucoup moins polluant et qui a le potentiel de réduire de façon significative les émissions de carbone de l’industrie sidérurgique. L’usine de bouletage, dont l’emplacement est situé à proximité d’infrastructures ferroviaires et portuaires déjà existantes, pourrait offrir une fenêtre relativement rapide de production commerciale. Elle nécessitera toutefois des investissements importants avant sa remise en service et l’étude de faisabilité réalisée par MFQ permettra d’évaluer plus précisément les montants requis notamment pour y intégrer les technologies les plus efficaces.

Lors d’une allocution, M. Cataford a expliqué que l’acquisition de l’usine de bouletage représente une occasion de miser sur l’expertise de la Côte-Nord pour envisager la transformation additionnelle du produit de MFQ et ainsi développer davantage la vision de la compagnie de contribuer à la chaîne d’approvisionnement de la fabrication d’acier plus vert. Avec ce nouveau projet, MFQ veut continuer de développer le plein potentiel de la région en maximisant les occasions d’affaires pour ses différents partenaires.

Des personnalités politiques et des représentants de médias nationaux qui assistaient à la conférence de presse se sont ensuite déplacés en avion jusqu’à Wabush au Labrador avant d’être transportés par la route vers le site minier situé à proximité de Fermont, en sol québécois, pour assister à l’événement.

Dynamitage réussi…

Au menu, tournée protocolaire guidée des infrastructures minières en autobus suivi d’un dynamitage auquel les invités ont pu assister. C’est le ministre Fitzgibbon qui a eu l’honneur d’appuyer sur le bouton déclenchant les explosifs qui ont soulevé un nuage de poussière au grand bonheur des caméramans et des journalistes qui ont capté des images de la scène symbolique. La visite s’est ensuite poursuivie dans l’usine abritant le nouveau concasseur (broyeur) pour la coupe officielle du ruban, non pas rouge, mais bleu.

La deuxième phase du site minier du Lac Bloom permettra de sécuriser près de 1000 emplois permanents sur la totalité du plan minier. Les investissements de 633 millions de dollars de MFQ dans ce projet ont engendré l’octroi de plusieurs contrats à des fournisseurs québécois qui s’ajoutent aux retombées économiques générées par la compagnie depuis la relance des activités à la mine du Lac Bloom.

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Publié le 6 juin, 2022, dans la publication : Numéro_11 Volume 40

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Publié sur le site le 6 juin 2022

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Baladodiffusion

Une balade en balado à Fermont

par Éric Cyr

L’ancien coanimateur de la populaire émission radiophonique « La soirée est encore jeune », une revue humoristique de l’actualité diffusée jusqu’à tout récemment sur les ondes du diffuseur public Radio-Canada, l’animateur et chroniqueur Fred Savard était de passage à Fermont, le 9 mai 2022, dans le cadre de l’enregistrement d’un épisode de « La balado de Fred Savard » après avoir parcouru la route nationale 389 en auto.

Après avoir évolué au sein du groupe d’humoristes québécois Les Zapartistes, Fred Savard a travaillé notamment à Télé-Québec dans le cadre des émissions de télévision « Il va y avoir du sport » avec Anne-Marie Brazzo et « Cette année-là » avec Marc Labrèche. Il a été scripteur et chroniqueur à Radio-Canada pour l’émission de radio « Le sportnographe » devenue « La soirée est encore jeune » avant de décider de tenter sa chance avec un nouveau projet de balado en 2018. Cette décision s’est avérée un bon choix, car bien qu’il traite de sujets dits de niche il produit depuis une quarantaine d’épisodes par saison. « J’avais fait le tour du concept de cette émission. J’avais envie d’animer, je voulais avoir les coudées franches et une plus grande liberté. J’ai donc choisi de créer mon propre podcast. »

Un million de téléchargements

Le balado d’actualité hebdomadaire totalement autonome grâce à des campagnes de financement suscite l’intérêt puisqu’il a dépassé, en avril, le million de téléchargements. La quatrième saison, où des épisodes courants côtoient des épisodes sur la route, englobe des segments plus longs qui abordent des sujets d’actualité générale enregistrés partout au Québec afin de faire ressortir des réalités régionales québécoises dignes d’attention.

« Mon balado a franchi le cap du million de téléchargements et je suis très fier de ce projet complètement indépendant, sans publicités ni subventions. Merci à tous ceux qui appuient le projet et qui l’écoutent depuis ses débuts ! », confie Fred Savard, qui se définit comme quelqu’un qui a une grande curiosité, qui aime découvrir de nouveaux sujets qui contribuent à stimuler son intellect.

Une parole indépendante

M. Savard était de passage à Fermont pour la première fois et a pu visiter la mine de fer du Mont-Wright d’ArcelorMittal en compagnie de la responsable du tourisme, Pascale Castilloux, et de son conjoint, Pascal Bérubé. Celui-ci prépare ses voyages et anticipe la matière de ses balados. Cependant, il arrive bien souvent qu’il déniche un sujet imprévu lors de rencontres spontanées sur le terrain, ce qui contribue à enrichir son contenu, et qui fut le cas localement. Ce dernier ne veut pas vendre la mèche de sa couverture à Fermont où il aborde la condition des retraités, mais il se laisse finalement tirer les vers du nez. « Il y aura un long segment avec la famille Dionne, j’ai parlé avec Chloé, la serveuse au restaurant Le Zonix, j’ai discuté avec le retraité Camil Truchon et avec une auditrice, Cathy Barriault. J’ai pu véritablement constater la problématique de la route 389. »

L’épisode consacré à la réalité fermontoise a été organisé de concert avec Tourisme Côte-Nord. « Je veux changer la perception des gens par rapport aux régions éloignées et comme Fermont est un peu considéré comme un endroit mythique dans l’imaginaire québécois cette ville s’avérait un incontournable. » Après Fermont, M. Savard était au Salon du livre de Sept-Îles et s’est rendu dans la communauté innue de Maliotenam ainsi qu’à Baie-Johan-Beetz sur la Basse-Côte-Nord. Il prévoit une tournée en Gaspésie, cet été, et en Acadie du Nouveau-Brunswick l’an prochain.

« La balado de Fred Savard » est disponible sur toutes les plateformes gratuites de baladodiffusion : Apple Podcasts, Google Play Musique, Spotify, Stitcher, Podbean, etc. Vous pouvez aussi consulter le site internet fredsavard.com et la page Facebook : La balado de Fred Savard.

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Publié le 23 mai, 2022, dans la publication : Numéro_10 Volume 40

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Neuropsychologie

CASEN de passage à Fermont

par Éric Cyr

Légende : De gauche à droite sur la photo : l’ergothérapeute Laurence Coulombe, la neuropsychologue Marie-Pier Tremblay, l’orthophoniste Myriam Arseneau de CASEN et la responsable de la bibliothèque municipale Myriane Chicoine lors du lancement de Biblio-Jeux à Fermont.

Une équipe de cinq professionnels multidisciplinaires de la Clinique ambulatoire de services en neuropsychologie (CASEN) s’est déplacée à Fermont, du 18 au 22 avril derniers, afin d’offrir des services d’évaluation. Certains de ceux-ci étaient à la bibliothèque publique, le 21 avril, lors du lancement du programme éducatif d’apprentissage et de stimulation langagière par le jeu, Biblio-Jeux, pour soutenir son implantation locale et proposer des services spécialisés notamment en orthophonie.

L’orthophoniste Myriam Arseneau, une Acadienne originaire du Nouveau-Brunswick qui réside à Sherbrooke a donné une formation pour l’occasion et répondu aux questions des parents qui ont assisté à l’événement. L’ergothérapeute Laurence Coulombe de Montréal et la présidente de la clinique mobile, la neuropsychologue Marie-Pier Tremblay de Québec, étaient aussi heureuses de discuter avec des parents sur place. Le vice-président de l’organisation, le neuropsychologue Jérémie Lefrançois et la psychoéducatrice Marie-Philippe Leclerc étaient aussi du voyage.

Polyvalence mouvante

Mme Tremblay explique que CASEN, fondée en mars 2020, est la première clinique de psychologues et de neuropsychologues au Québec dont la mission principale consiste à offrir des services ambulatoires spécialisés au cœur des régions et peut compter sur l’appui de 16 professionnels avec des expertises différentes. « Nos spécialistes se déplacent afin d’accommoder une clientèle jeunesse et adulte éloignée et isolée qui a besoin de nos services. Dans la dernière année, nous sommes allés aux Îles-de-la-Madeleine, à Forestville, au Saguenay-Lac-Saint-Jean et nous avons desservi plusieurs écoles de Québec, mais c’est la première fois que nous nous rendons à Fermont et nous avons prévu de revenir en fonction des besoins exprimés localement. Les personnes qui jugent avoir besoin de nos services peuvent nous contacter afin d’en bénéficier lors de notre prochaine visite », confie la neuropsychologue. Cette dernière précise que les intervenants polyvalents qui œuvrent au sein de CASEN aiment ce concept dynamique qui leur permet de relever des défis d’adaptation à différents milieux tout en explorant diverses localités.

« C’est très stimulant. On doit s’ajuster à des cultures, des réalités et des fonctionnements différents selon l’endroit où l’on se trouve et nous pouvons mettre à profit et déployer nos expertises à une clientèle diversifiée qui s’étend sur un plus vaste territoire et qui autrement aurait plus de difficulté à y accéder. »

Pour en savoir plus ou pour planifier une rencontre lors d’un prochain déplacement à Fermont, vous pouvez consulter le site internet casen.ca et la page Facebook CASEN ou envoyer un courriel à info@casen.ca.

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Publié le 9 mai, 2022, dans la publication : Numéro_9 Volume 40

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Bibliothèque publique

Lancement de l’Espace Biblio-Jeux

par Éric Cyr

La bibliothèque municipale de Fermont a adhéré, le 21 avril dernier, à un programme éducatif gratuit d’apprentissage et de stimulation langagière par le jeu élaboré par le département d’orthophonie de l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR), Biblio-Jeux, qui s’adresse aux enfants de six mois à douze ans. Un public nombreux composé principalement de parents et de leurs bambins s’est déplacé pour l’occasion.

Cette démarche, au départ une initiative de l’organisme Trois-Rivières en action et en santé, bénéficie d’un encadrement de professionnels de l’orthophonie et propose des activités de stimulation du langage oral et de l’écrit destinées aux enfants et à leurs familles.

Au cours de leur voyage à travers l’Espace Biblio-Jeux, l’enfant et son parent s’aventurent dans l’univers du langage, de l’éveil à l’écrit, de l’écriture et des mathématiques avec leurs amis, des personnages qui feront découvrir les jeux que l’enfant doit parcourir durant son apprentissage progressif. Ceux-ci offriront aux parents de l’information pertinente, des stratégies à appliquer durant le jeu choisi ainsi que des suggestions de livres et d’activités pour le retour à la maison. L’Espace Biblio-Jeux comprend plusieurs jeux divisés en deux volets selon les catégories d’âges. Chacun des jeux est associé à une fiche d’activité qui suggère des pistes d’animation aux parents selon l’objectif choisi. Les jeux sont répartis en fonction des aspects langagiers stimulés, de l’âge de l’enfant ou du cycle scolaire.

Ce concept, d’abord rendu accessible aux membres de l’Association des bibliothèques publiques du Québec en 2018 grâce à une subvention du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, est aujourd’hui offert à l’ensemble des bibliothèques du réseau public québécois. Son implantation à Fermont a été rendue possible grâce à une contribution financière du Centre intégré de santé et de services sociaux de la Côte-Nord.

Selon la responsable de la bibliothèque municipale locale, Myriane Chicoine, cette initiative centrée sur le plaisir d’apprendre répond à un besoin et sera bénéfique aux jeunes usagers qui sauront certainement tirer parti de l’expérience éducative.

« J’invite la population à venir profiter de cet outil pédagogique. Ce nouvel apport dynamique va certainement contribuer à accroître l’achalandage de la bibliothèque qui s’est procuré plus de 90 jeux et qui participe aux deux volets proposés soit de zéro à six ans et de six à douze ans. » Mme Chicoine est très heureuse de la participation de l’enseignante de niveau préscolaire et primaire, Sarah-Anne Grenier, qui a accepté d’animer des ateliers mensuels en rapport avec ces jeux et qui seront publicisés sur la page Facebook Ville de Fermont.

Venez rencontrer les employées de la bibliothèque municipale ouverte du mardi au dimanche. Myriane Chicoine, Catherine Bérubé, Marisol Grondin, Marie-Noël Dubuc et Ingrid Anderson-Aylestock vous attendent pour vous conseiller sur une panoplie de livres, de bandes dessinées, de revues, de films, de casse-têtes et de jeux.

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Publié le 9 mai, 2022, dans la publication : Numéro_9 Volume 40

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Publié sur le site le 9 mai 2022

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Nouveau service

Dépanord voit le jour

par Éric Cyr

Les entrepreneures fermontoises Véronique Dumais et Kathy Savard, déjà propriétaires de la boutique de vêtements et d’articles de motoneige Panoramique52, ont mis sur pied Dépanord, leur second commerce dans le centre commercial du mur-écran de Fermont. L’ouverture s’est faite le 25 avril 2022.

Le défi est audacieux, si l’on considère que deux commerces de même type situés à cet emplacement ont déjà mis la clef sous la porte par le passé soit Variétés Fermont, en 2015 et Délices et trouvailles, en 2019. Ces deux fermetures, en un laps de temps rapproché, n’ont pas dissuadé les deux associées d’aller de l’avant, bien au contraire. Malgré la pénurie de main-d’œuvre et la déconfiture de leurs prédécesseurs, les deux femmes enthousiastes et fonceuses ont tout de même fait le choix de s’investir dans cette démarche destinée, entre autres, à contrer la morosité de l’espace intra-muros en créant un nouveau lieu de discussion et de rassemblement commun où les clients peuvent s’asseoir en prenant un café ou un thé aux perles tout en contribuant à redonner une certaine vitalité économique et sociale à ce secteur envahi par des cafétérias qui nourrissent des travailleurs de l’industrie minière. Les ouvriers, tout comme les familles, sont ciblés comme clientèle potentielle tout comme les employés des petites et moyennes entreprises locales.

Un nouveau bourdonnement

Le commerce est en pleine effervescence depuis son démarrage et cela est certainement dû à l’énergie consacrée à son bon fonctionnement par les femmes d’affaires qui se sont investies à fond afin d’assurer le succès et la viabilité de leur nouveau projet. Les deux copropriétaires, convaincues que leur initiative comble un besoin, affichent une confiance et une détermination exemplaire et ont même démissionné de leurs emplois respectifs chez ArcelorMittal, en janvier dernier, après s’être fait refuser un congé sans solde, afin de se consacrer entièrement à leur nouvelle vocation entrepreneuriale. « Nous nous retrouvions à la croisée des chemins. Ça a été l’élément déclencheur, le signal que le moment était venu de tout miser sur notre objectif. En cour de route, nous avons été heureuses de constater l’entraide qui existe au sein des entrepreneurs locaux. Nous avons reçu un coup de main de plusieurs commerçants qui ont fait preuve de solidarité. » Très heureuse de l’engouement du public, Mme Savard confie que quelques problèmes d’approvisionnement, notamment la livraison de réfrigérateurs, ont quelque peu retardé l’ouverture qui était initialement prévue en février, mais le recrutement de personnel n’a pas été un problème puisque plus d’une cinquantaine de candidats potentiels se sont manifestés pour pourvoir les postes.

Produits diversifiés

Selon Mme Savard, qui est heureuse de l’appui de la population et du soutien de la clientèle, le créneau du dépanneur est quelque peu différent de ses prédécesseurs.

« Nous mettons des produits régionaux en valeur grâce à des partenariats que nous avons établis. Dépanord propose une formule de petit bistrot et de bar laitier en plus d’offrir un choix diversifié d’articles de consommation et des menus préparés pour emporter ou pour manger sur place. Il y a aussi des bières de microbrasseries québécoises. Venez nous rencontrer et nous vous servirons avec plaisir ! »

Reconnaissances bien méritées

Dépanord a fait partie des finalistes régionaux de la 24e édition du Défi OSEntreprendre Côte-Nord au Centre des congrès de Sept-Îles, le 28 avril dernier, où il a récolté deux distinctions : le prix Volet création d’entreprise dans la catégorie commerce et le prix Honneur jeune entrepreneur.

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Publié le 9 mai, 2022, dans la publication : Numéro_9 Volume 40

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Publié sur le site le 9 mai 2022

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Caserne 12

Les pompiers fermontois se syndiquent

par Éric Cyr

Les pompiers de la caserne 12 de Fermont ayant manifesté, en février dernier, leur intention de se syndiquer, le Syndicat des Métallos a déposé une demande d’accréditation syndicale en leur nom auprès du Tribunal administratif du travail. Après une étude du dossier, le tribunal administratif québécois a officiellement confirmé la légitimité des Métallos à les représenter. Le Syndicat enclenche actuellement les prochaines étapes destinées à officialiser le processus.

Selon le coordonnateur régional des Métallos pour la Côte-Nord, le Bas-Saint-Laurent, la Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine, Nicolas Lapierre, qui pilotera le dossier, les pompiers souhaitent améliorer leurs conditions de travail et une rencontre est prévue à Fermont dans la semaine du 25 avril dans le cadre d’une assemblée destinée notamment à élire un premier exécutif syndical et un comité de négociation afin de préparer les demandes des travailleurs et travailleuses en vue de l’obtention d’une première convention collective négociée avec
l’employeur.

M. Lapierre qui n’anticipe pas de problèmes particuliers dans le cadre de cette démarche confie : « La requête en accréditation s’est très bien déroulée et la Ville de Fermont qui est habituée à évoluer avec une structure syndicale qui fait partie inhérente de l’organisation municipale ne s’y est pas opposée. Tous les pompiers volontaires fermontois, soit environ 25, ont manifesté leur intérêt à se syndiquer. Il n’existe aucune structure syndicale pour l’instant, mais nous allons interpeller les pompiers au sujet de leurs besoins dans le cadre d’un processus de consultation et nous allons les aider à former un comité de négociation avec pour objectif l’obtention d’une première convention collective avec la Ville de Fermont. »

Le syndicaliste qui connaît bien le milieu fermontois se dit prêt à travailler de concert avec les pompiers locaux et les instances municipales afin de conclure une entente qui répond aux aspirations légitimes des nouveaux membres des Métallos qui seront intégrés au sein de la section locale 7065 de Sept-Îles. Ce regroupement dont l’avantage principal est de mutualiser les cotisations syndicales, ce qui amplifie la force du nombre, représente une cinquantaine de petites unités syndicales, totalisant près de 1400 membres, issues de milieux de travail différents notamment de l’entreprise Orica, du magasin Canadian Tire à Sept-Îles et du chemin de fer du lac Knob et Timmins qui fournit des services ferroviaires entre Schefferville et des mines de fer situées à environ 20 km au nord-ouest.

Le Syndicat des Métallos, affilié à la Fédération des travailleurs et travailleuses du Québec (FTQ), est très bien implanté dans le domaine de l’industrie minière de la région et constitue le plus important syndicat du secteur privé au Québec. Les Métallos comptent 60 000 membres de tous les secteurs économiques à l’échelle du Québec.

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Publié le 11 avril, 2022, dans la publication : Numéro_7 Volume 40

  • Accréditation syndicale
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  • Convention collective
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Publié sur le site le 11 avril 2022

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Infrastructure hôtelière

Vent du Nord se lève

par Éric Cyr

Le nouveau motel Vent du Nord a été officiellement inauguré à Fermont, le 28 mars 2022, en présence du préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, et du directeur général de la MRC, Jimmy Morneau. L’ouverture officielle au public s’est faite quelques jours plus tard, le 1er avril. Le nouveau bâtiment de 20 chambres situé à l’entrée du chemin qui mène au terrain de camping local se veut l’aboutissement d’un rêve caressé par l’entrepreneure Mireille Arsenault, qui a concrétisé ses aspirations après un travail de longue haleine.

La femme d’affaires fermontoise qui a été épaulée dans ses démarches par la MRC et qui a fait appel à l’entreprise locale Pigment Design Solutions pour l’aspect visuel notamment le logo et l’affiche extérieure est très satisfaite du résultat final. Cette dernière explique que ce nouvel hébergement à vocation principalement touristique répond à un besoin et que les réservations affluent déjà puisque le motel affiche complet pour le mois d’avril. « Le cheminement entrepris en mars 2021 a été une démarche familiale qui a mijoté au préalable durant un an et qui a nécessité une étude de marché avant la présentation du projet aux instances municipales. Il a d’abord fallu obtenir les autorisations officielles et acquérir un terrain propice à cette vocation avant de faire monter par la route les 13 modules nécessaires à l’assemblage sur place de la structure de base qui a été grandement améliorée par la suite grâce à de nombreux travaux de réfection effectués principalement par l’entrepreneur local RPO Construction. Ils ont reconstruit le bâtiment et remplacé le revêtement extérieur et les planchers en plus de s’occuper de la refonte de la réception et du bureau. » La nouvelle structure, qui dispose d’un système intelligent de gestion des clés Keycafe, qui peut automatiser la logistique d’arrivée des clients en leur simplifiant l’accès aux clés à n’importe quelle heure grâce à l’envoi d’un code par texto (message texte), est divisée en deux sections qui se déploient en deux ailes de 10 chambres insonorisées accessibles par un couloir intérieur et par une porte extérieure qui donne sur une galerie.

Mme Arsenault mise sur l’expérience client et souhaite rendre le séjour des visiteurs le plus agréable possible. Sa formule repose sur le service à la clientèle et la propreté du motel. Elle confie : « Je suis contente de pouvoir contribuer à améliorer l’offre locale de services et je tiens à préciser, afin de défaire un mythe qui circule, que l’installation qui est membre de la Corporation de l’industrie touristique du Québec (CITQ) n’est pas destinée exclusivement à des entrepreneurs, mais l’est tout autant pour monsieur et madame Tout-le-Monde et fonctionne sur le principe selon lequel la priorité est accordée selon l’ordre d’arrivée. Autrement dit : premier arrivé, premier servi. » 

Chaque chambre comprend les commodités suivantes : un réfrigérateur compact, un lit confortable mesurant 1 m 52 (60 pouces), une petite table, deux chaises, des armoires et une garde-robe, un lavabo, un bain-douche, une télévision intelligente branchée sur le câble, l’accès à un service de réseau internet de type Wi-Fi, un chargeur de téléphone portable cellulaire et un réveille-matin qui sont intégrés à une lampe multifonctionnelle. Il est possible de fournir un lit pliant pour accommoder les familles. Une grande télévision est disposée sur un foyer dans le hall d’entrée afin que les clients puissent se regrouper pour écouter un match sportif par exemple. Deux fours à micro-ondes destinés à l’usage des clients sont installés dans un espace commun. Une machine distributrice devrait aussi être installée prochainement.

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Publié le 11 avril, 2022, dans la publication : Numéro_7 Volume 40

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Publié sur le site le 11 avril 2022

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Mine de fer du Lac Bloom

Feu vert sur toute la ligne…

par Éric Cyr

Source photo : MFQ

Québec a donné son aval à la société Minerai de fer Québec (MFQ), une filiale de Champion Iron, pour l’agrandissement du parc d’entreposage de stériles et de résidus miniers de la mine de fer du Lac Bloom située à proximité de Fermont dans le cadre d’un décret adopté par le Conseil des ministres, le 9 mars dernier, malgré un avis défavorable du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) qui avait recommandé, en mars 2021, de ne pas accepter le projet tel que présenté en suggérant de revoir les solutions retenues.

L’économie à tout prix

Le gouvernement Legault a donné carte blanche à MFQ en choisissant sciemment d’ignorer les recommandations du BAPE, qui n’a pas le pouvoir de recommander ou de refuser un projet, les réticences des groupes environnementaux qui proposaient des solutions de remplacement au scénario retenu par la minière tout comme il n’a aucunement pris en considération les doléances du comité des résidents du lac Daigle habitant dans le secteur qui sont directement interpellés par le projet et dont la représentante, Martine Cotte, a, elle aussi, suggéré d’autres possibilités qui ont été ignorées. Cette décision contestée permettra à l’entreprise de doubler sa production annuelle de concentré de fer de haute pureté qui devrait atteindre 15 millions de tonnes.

Divergences flagrantes

Les partis sont diamétralement opposés sur le sujet et semblent irréconciliables. La minière prétend avoir retenu la meilleure solution de développement durable et pour la gestion de ses résidus miniers ce qui n’est pas du tout l’avis d’un regroupement de multiples groupes environnementaux qui, bien que favorables à l’agrandissement de la mine, sont farouchement opposés au déversement et à l’entreposage de déchets miniers dans des cours d’eau et qui souhaitent que Québec revienne sur sa décision. Selon la coalition écologiste Québec Meilleure mine, cette situation est aberrante et constitue un retour en arrière dans les façons de faire de l’industrie minière puisque de nombreuses mines de fer à travers le monde remplissent une vaste majorité de la fosse de laquelle les résidus ont été extraits plutôt que d’envisager le remplissage d’étendues d’eau avoisinantes. Selon un porte-parole de l’organisation, Ugo Lapointe, cette décision n’a aucun sens et MFQ choisit la facilité au détriment de l’environnement. Même constat pour un responsable de Mining Watch Canada, Rodrigue Turgeon : « Le gouvernement peut encore revenir à la raison en faisant deux choses simples. Premièrement, révoquer l’autorisation accordée à la minière de détruire huit lacs pour y déverser ses déchets miniers et deuxièmement adopter un règlement interdisant clairement le déversement de déchets miniers dans des lacs et cours d’eau du Québec. » Une pétition en ligne a été lancée en ce sens par les groupes Eau Secours, Québec Meilleure mine et Mining Watch Canada et a déjà recueilli 2000 signatures en une fin de semaine : https://eausecours.org/agir/fr-petition-mine-bloom/.

MFQ assure pour sa part ne pas avoir le choix de procéder de cette façon lors de l’excavation de la deuxième phase de son expansion minière qui générera 900 millions de tonnes de résidus par année en assurant ne pouvoir les entreposer sur la terre ferme et fait valoir que l’entreprise devra investir 20 millions de dollars additionnels pour compenser la perte d’habitat du poisson et la destruction de milieux humides et hydriques environnants.

Mme Cotte affirme pour sa part que les citoyens du lac Daigle, qui se sont retrouvés en sandwich entre MFQ et les environnementalistes, considèrent qu’il y a de nombreux irritants et nuisances dans cette décision unilatérale : « On se demande à quoi sert le BAPE et si ce n’est pas qu’une simple parure dorée ? L’instance autonome n’a pas approuvé le projet sous sa forme actuelle, car il existe d’autres options qui n’ont pas été analysées par le promoteur qui affirme que c’est trop compliqué. Pourtant ça se fait ailleurs. Il est vrai que c’est plus compliqué, mais ça peut se concrétiser. »

Bien que générateur d’emplois, à constater le traitement de l’information dans différents médias en lien avec cette décision, MFQ qui a obtenu le feu vert pour l’augmentation de la capacité d’entreposage de stériles et de résidus miniers, est loin d’avoir recueilli l’acceptabilité sociale et la faveur de l’opinion publique pour une telle démarche. MFQ a annoncé, à la fin janvier, l’aménagement d’un deuxième concentrateur et que la deuxième phase du projet de la mine du Lac Bloom était devancée au mois d’avril.

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Publié le 28 mars, 2022, dans la publication : Numéro_6 Volume 40

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Publié sur le site le 28 mars 2022

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Maison des Jeunes

Dévoilement d’un nouveau logo

par Éric Cyr

Légende photo : De gauche à droite sur la photo prise lors du lancement du logo : l’entrepreneure Sylvie Faucher de Pigment Design Solutions, la conceptrice d’un logo gagnant Marie-Maude Pellerin, la présidente du CA Mélissa Guimond, les membres du CA Marie-Claude Huard et Élaine Côté, la conceptrice d’un logo gagnant Noémie Sirois.

La Maison des Jeunes Alpha de Fermont a procédé au dévoilement de son nouveau logotype officiel, le 17 mars dernier, dans son local adjacent aux Services des loisirs dans le mur-écran. La population était invitée à assister à l’événement et un goûter, incluant pour dessert un gâteau orné du nouveau symbole visuel, a été servi pour ceux qui étaient sur place pour l’occasion. Des tirages de prix de présence, deux t-shirts et un sac avec la nouvelle marque distinctive ont aussi été faits pour les participants.

Ce sont des adolescents qui fréquentent l’endroit qui ont soumis des suggestions dans le cadre d’un concours organisé avant la période des fêtes par le conseil d’administration (CA) de la maison des jeunes fermontoise. Un total de huit créations a été soumis par de jeunes artistes locaux lors du « projet logo mdj 2022 » selon certains critères définis au préalable. Des huit propositions reçues, deux ont été d’abord retenues par les membres du CA, qui étaient les juges du concours. À la suite de cette étape, les deux logos qui ont suscité l’intérêt ont été analysés et commentés par les administrateurs qui les ont considérés comme dignes d’être conservés. Comme les opinions étaient partagées, il a été décidé que ceux-ci seraient fusionnés en un seul logo en conservant des caractéristiques propres à chacun évidemment avec l’accord des deux jeunes dessinatrices les ayant produits qui ont chacune remporté 200 $ pour leur effort et leur travail et les six autres candidats ont reçu 20 $. Force est d’admettre que le résultat est très original et correspond bien à la nouvelle image que la Maison des jeunes souhaite véhiculer.

Une fusion réussie

C’est l’agencement harmonieux et original des créations de Marie-Maude Pellerin et de Noémie Sirois qui a donné le résultat final qui représente bien l’image moderne des utilisateurs de la Maison des Jeunes Alpha ainsi que sa mission. C’est l’animatrice responsable, Suzanne Synnott, qui a procédé au tirage en compagnie des animatrices Fany Dionne et Marie-Ève Arsenault. Les membres du CA et les représentants de l’organisation tiennent à remercier ceux qui ont pris part au concours et à féliciter les gagnants ainsi que l’apport inestimable de l’entreprise Pigment Design Solutions qui a généreusement offert de produire le logo.

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Publié le 28 mars, 2022, dans la publication : Numéro_6 Volume 40

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Publié sur le site le 28 mars 2022

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