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    Monde de l’enseignement

    Une 3 février, 2020

    Délégation syndicale à Fermont

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Une 3 février, 2020

Délégation syndicale à Fermont

Négociations syndicales

PremiĂšre grĂšve pour les enseignants

par Éric Cyr

Dans le but de faire avancer les discussions qui n’ont toujours pas donné de rĂ©sultats satisfaisants aux tables de nĂ©gociation, les enseignantes et enseignants du Syndicat de l’enseignement de la rĂ©gion du Fer-CSQ (SERF-CSQ), de concert avec les syndicats de la FĂ©dĂ©ration des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ) et de l’Association provinciale des enseignantes et enseignants du QuĂ©bec (APEQ-QPAT), ont exercĂ©Ì, le 14 avril dernier, leur droit de grĂšve lĂ©gale de courte durĂ©e. Celle-ci se tenait jusqu’à 9 h 30, aprĂšs quoi les professeurs Ă©taient de retour au travail.

Cette grĂšve visait tous les secteurs d’enseignement : le prĂ©scolaire et le primaire, le secondaire, la formation professionnelle et la formation gĂ©nĂ©rale des adultes des centres de services scolaires du Fer, du Littoral et de la Moyenne-Côte-Nord. À Fermont, le personnel enseignant a manifestĂ© Ă  trois endroits soit Ă  l’entrĂ©e des Ă©coles, Ă  la sortie des Ă©coles et en avant des logements de la Commission scolaire du Fer.

« Les enseignants, exaspĂ©rĂ©s, Ă©puisĂ©s et à bout de ressources, veulent exprimer leur ras-le-bol, mais ils ont voulu limiter les consĂ©quences sur les Ă©lĂšves, tout en faisant pression sur les administrations scolaires. Nous voulons maintenant que le gouvernement entende le cri du cƓur des enseignants. Ils ont besoin d’une dĂ©monstration claire qu’il les soutient et les reconnaĂźt dans leur tĂąche, parce qu’ils n’en peuvent plus de tenir l’école à bout de bras. Il faut que le gouvernement passe de la parole aux actes », a fait savoir la prĂ©sidente du SERF-CSQ, Monica Chiasson.

DeuxiĂšme mouvement de grĂšve

Afin de faire avancer les nĂ©gociations et d’atteindre les prioritĂ©s fixĂ©es par les 73 000 enseignantes et enseignants qu’elles reprĂ©sentent, la FSE-CSQ et l’APEQ-QPAT ont annoncĂ©, le 16 avril, la tenue d’une seconde action de grĂšve lĂ©gale, le 27 avril de 14 h 45 à 17 h. Cette grĂšve vise Ă©galement tous les secteurs d’enseignement. ConformĂ©ment au mandat accordé à la FSE-CSQ et à l’APEQ de tenir des grĂšves innovantes, cette façon de faire a comme objectif de perturber l’administration scolaire, tout en minimisant les rĂ©percussions sur les services Ă©ducatifs. Les organisations syndicales ont en main un mandat de grĂšve allant jusqu’à l’équivalent de cinq jours, à exercer au moment jugé opportun.

« Depuis l’annonce de la tenue de notre premiĂšre action de grĂšve, force est de constater que les travaux ont progressĂ© aux tables de nĂ©gociation, mais ce qui s’y trouve est encore insuffisant pour rĂ©pondre aux demandes prioritaires exprimĂ©es par les enseignants que nous reprĂ©sentons. Nous pensons qu’avec la volontĂ© politique nĂ©cessaire, nous pourrions avancer vers une entente qui permette d’attirer des enseignants vers notre profession, mais aussi de les retenir en poste », a signifiĂ© la prĂ©sidente de la FSE-CSQ, JosĂ©e Scalabrini.

Pour la prĂ©sidente de l’APEQ, Heidi Yetman, « Le gouvernement a certes fait un bout de chemin, mais il faudra en faire plus, car la profession enseignante est en crise. Les enseignants sont Ă©puisĂ©s et veulent une vĂ©ritable reconnaissance de leur travail, ainsi que des changements qui amĂ©liorent significativement leur quotidien. Quand on valorise l’éducation, on prend soin de celles et ceux qui y travaillent tous les jours. Le gouvernement a voulu nĂ©gocier malgrĂ© la pandĂ©mie, alors qu’il nous entende maintenant ».

Les enseignantes et enseignants du QuĂ©bec sont sans contrat de travail depuis plus d’un. C’est le gouvernement Legault qui a voulu poursuivre les nĂ©gociations malgrĂ©Ì le contexte de la pandĂ©mie. Le personnel enseignant rĂ©clame des amĂ©liorations significatives dans son quotidien, notamment par une meilleure composition des classes et des ajouts de services, un allĂšgement de la tĂąche, de meilleurs salaires et moins de prĂ©caritĂ©Ì.

Sur la photo : le personnel enseignant fermontois s’est rejoint Ă  l’entrĂ©e principale des Ă©coles afin de manifester. Quelques autres reprĂ©sentants syndicaux notamment des MĂ©tallos se sont dĂ©placĂ©s afin de les appuyer.

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Publié le 26 avril, 2021, dans la publication : Numéro_08 Volume 39

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Publié sur le site le 26 avril 2021

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Monde de l’enseignement

Délégation syndicale à Fermont

par Éric Cyr

AccompagnĂ©s de la prĂ©sidente du Syndicat de l’enseignement de la rĂ©gion du Fer (SERF), Monica Chiasson, les prĂ©sidents des deux fĂ©dĂ©rations du rĂ©seau scolaire affiliĂ©es Ă  la Centrale des syndicats du QuĂ©bec (CSQ) Ă©taient de passage Ă  Fermont, le 22 janvier dernier, dans le cadre d’une tournĂ©e de la CĂŽte-Nord. Ils en ont profitĂ© pour aller Ă  la rencontre de leurs membres lors de plusieurs activitĂ©s liĂ©es Ă  la nĂ©gociation 2020.

La prĂ©sidente de la FĂ©dĂ©ration des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ), JosĂ©e Scalabrini, et le prĂ©sident de la FĂ©dĂ©ration du personnel de soutien scolaire (FPSS-CSQ), Éric Pronovost, Ă©taient sur le terrain afin notamment de discuter des grands enjeux reliĂ©s Ă  la nĂ©gociation avec leurs membres et de bien leur transmettre la rĂ©ponse patronale qui fait fit, selon eux, des demandes exprimĂ©es par la partie syndicale. Ils ont pris part Ă  un 4 Ă  7 et Ă  une rencontre syndicale portant sur les nĂ©gociations.

Changer de paradigme

« C’est un cri du cƓur et il y a des besoins pressants en Ă©ducation. On a cru en la possibilitĂ© d’un changement et lĂ  on s’attendait Ă  des solutions, pas Ă  la mĂȘme façon de faire que durant le rĂ©gime Couillard en 2015. On attend des gestes concrets et notamment un rattrapage salarial. On parlait de valoriser la profession d’enseignant. On demande des classes Ă©quilibrĂ©es et lĂ  il est temps de faire le point. Il est grand temps que le gouvernement Ă©coute, entende et comprenne les enseignants. Ils en ont assez des conditions d’exercice difficiles et de la tĂąche de plus en plus lourde qu’ils doivent assumer et qui les Ă©loigne de la profession qu’ils ont choisie et qu’ils aiment. Si la pĂ©nurie de professeurs est le plus grand dĂ©fi de 2020 en Ă©ducation, comme le dit le ministre (de l’Éducation et de l’Enseignement supĂ©rieur du QuĂ©bec) Jean-François Roberge, alors on se serait attendus Ă  plus de sĂ©rieux de sa part dans le cadre de la nĂ©gociation qui commence », souligne JosĂ©e Scalabrini.

Reconnaissance et valorisation

De son cĂŽtĂ©, Éric Pronovost ajoute : « L’attraction et la rĂ©tention d’un personnel de soutien compĂ©tent passent nĂ©cessairement par de meilleures conditions de travail. Les membres du personnel de soutien, qui font partie de l’équipe-Ă©cole, possĂšdent des compĂ©tences uniques pour assurer les services liĂ©s Ă  l’éducation. Il est primordial que l’on s’assure de conserver ces ressources prĂ©cieuses notamment par la valorisation de nos mĂ©tiers et une meilleure qualitĂ© d’emploi incluant une bonification des salaires. »

Monica Chiasson conclut : « Le personnel de l’éducation a besoin de valorisation et le gouvernement doit se mettre de la partie. Il doit passer de la parole aux actes pour faire de l’éducation une vĂ©ritable prioritĂ©. En Ă©ducation, il faut que ça change maintenant! »

La vice-prĂ©sidente du SERF-CSQ, Sheila Leblanc, Ă©tait aussi Ă  Fermont pour l’occasion. Mme Scalabrini s’est par la suite dĂ©placĂ©e, en prĂ©sence de reprĂ©sentants du SERF-CSQ, Ă  Havre-Saint-Pierre, le 23 janvier ainsi qu’à Port-Cartier et Ă  Sept-Îles, le 24 janvier.

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Publié le 3 février, 2020, dans la publication : Numéro_02 Volume 38

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Publié sur le site le 3 février 2020

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