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  • Numéro_15

  • Une réussite sur toute la ligne

    Course des Champions

    Une 24 septembre, 2024

    Une réussite sur toute la ligne

  • Le wabalou de  la route 389

    Mythologie

    Le wabalou de la route 389

  • Lancement de l’Acadienne du Grand Nord

    Camion-restaurant

    Lancement de l’Acadienne du Grand Nord

  • Restructuration de Tacora Resources

    Industrie minière

    Restructuration de Tacora Resources

Numéro_15

Une réussite sur toute la ligne

Course des Champions

Une 24 septembre, 2024

Une réussite sur toute la ligne

Le wabalou de  la route 389

Mythologie

Le wabalou de la route 389

Lancement de l’Acadienne du Grand Nord

Camion-restaurant

Lancement de l’Acadienne du Grand Nord

Restructuration de Tacora Resources

Industrie minière

Restructuration de Tacora Resources

Course des Champions

Une réussite sur toute la ligne

par Éric Cyr

Source photo : Jocelyn Blanchette

La 9e édition de la course des Champions qui s’est déroulée à Fermont, le 14 septembre 2024, a attiré une foule de passionnés et de curieux, incluant un record de 362 participants, dont certains courageux qui se sont battus ou qui luttent actuellement contre le cancer, venus vivre cette aventure exceptionnelle marquant un événement incontournable pour la région. Depuis ses débuts, cette course associée à l’organisme caritatif Cancer Fermont est devenue un rendez-vous prisé, rassemblant des amateurs de course à pied, des passionnés de sport et des familles entières autour d’un moment convivial, compétitif et festif destiné à amasser des fonds pour l’œuvre philanthropique.

Attrait grandissant

La course des Champions s’est imposée au fil des ans comme un événement social et sportif majeur pour la communauté fermontoise. Les organisateurs, les bénévoles et les participants ont uni leurs efforts pour faire de ce nouveau rendez-vous un moment de célébration, de dépassement de soi et de solidarité. Les conditions uniques de la région et l’ambiance chaleureuse qui entourent l’activité créent une expérience inoubliable et l’épreuve sportive proposait aux athlètes encore cette année plusieurs formules adaptées à différents niveaux de coureurs, permettant ainsi à chacun de participer selon ses capacités et son envie. Ceux-ci pouvaient choisir entre différentes distances, allant de trajets plus courts pour les débutants ou les enfants à des courses plus exigeantes pour les plus chevronnés. Cette variété attire un large public incluant des sportifs aguerris cherchant à battre leurs records personnels ou des amateurs souhaitant simplement participer à un exercice sain en plein air tout en appuyant une bonne cause. Un total de 12 athlètes se sont élancés à partir du 21 km, neuf coureurs se sont précipités du 15 km, 33 ont pris leur élan du 10 km et 121 du 5 km alors que 186 prenaient part au 1,5 km.

Parcours unique

Situé dans un cadre exceptionnel, Fermont offre un décor atypique pour cette manifestation sportive qui réunit des participants de tout le Québec, et même d’ailleurs, désireux de se mesurer à ces parcours uniques, souvent réputés pour leurs difficultés en raison du climat et des dénivelés. La configuration des courses est particulièrement intéressante et les coureurs doivent affronter leurs propres limites physiques et psychologiques en composant avec les éléments naturels influant sur leurs performances. En effet, même en été, le climat fermontois peut être imprévisible et le mur-écran iconique, qui protège la ville des vents du nord, devient en quelque sorte un symbole de la résilience des coureurs. Tout comme les habitants de la région affrontent les conditions météorologiques parfois extrêmes, les participants aux courses doivent eux aussi faire preuve de ténacité pour franchir la ligne d’arrivée. Cependant, au-delà de l’aspect purement compétitif, ce rassemblement est aussi un événement social et communautaire faisant la promotion des valeurs d’effort collectif, de dépassement de soi et de solidarité.

Sous le signe de la convivialité

Outre les courses, les organisateurs mettent également un point d’honneur à proposer un large éventail d’activités pour les participants et les spectateurs et, en parallèle du cinquantième anniversaire de la Ville de Fermont, une invitation particulière a été lancée aux anciens Fermontois en les incitant à prendre part à la course ou à la marche d’une distance de leur choix, peu importe où ils se trouvaient. Des kiosques de restauration, des animations pour les enfants et un repas chaud à l’arrivée, ont également rythmé ce nouvel épisode en offrant une véritable fête pour tous les âges. L’objectif est de faire de la Course des Champions non seulement une épreuve sportive de haut niveau, mais aussi un événement familial et inclusif, où chacun peut trouver son compte.

Dimension caritative

La course des Champions a vu le jour pour soutenir la mission de l’organisme Cancer Fermont et la totalité des fonds récoltés pour cette édition, un montant impressionnant de plus de 30 000 $, a été versée à cette organisation de bienfaisance œuvrant localement pour le bien-être des personnes atteintes du cancer. Cette dimension solidaire ajoute une valeur additionnelle à l’événement, en renforçant l’E qui y règne.

À la portée de tous

Selon l’organisatrice principale des dernières éditions de ce défi annuel, Lise Pelletier :

« Participer à cette course, c’est non seulement se dépasser physiquement, mais aussi contribuer à une cause qui a un impact réel sur la communauté. Qu’on soit coureur professionnel ou simple amateur, c’est une occasion de se surpasser. »

Le président fondateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, qui s’aligne sur le fil de départ depuis la toute première édition, conclut :

« C’est un incontournable pour ceux qui recherchent un défi sportif ou qui souhaitent simplement profiter d’une occasion de pratiquer une activité physique tout en contribuant à aider son prochain. Je remercie infiniment ceux qui ont œuvré à ce succès en particulier Lise Pelletier qui y a consacré beaucoup d’énergie ainsi que les athlètes, les bénévoles, les contributeurs et les partenaires. À l’an prochain ! »

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Publié le 24 septembre, 2024, dans la publication : Numéro_15 Volume_42

  • Athlètes
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  • Cancer Fermont
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  • Événement caritatif
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  • Organisme caritatif

Publié sur le site le 24 septembre 2024

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Mythologie

Le wabalou de la route 389

par Éric Cyr

Source photo : Yves Briand. Légende photo : Un possible wabalou albinos ou mutant aperçu près du lac Sewell et la roche avec l’avertissement peint en vert située le long de la route 389.

Les contes et légendes font partie du folklore acadien et québécois, que l’on pense au très connu conte folklorique Chasse-galerie, publié en 1891 par Honoré Beaugrand, ou au personnage fictif maléfique de la culture québécoise et canadienne-française, le bonhomme Sept-Heures, qui découle probablement du croque-mitaine européen, le père Fouettard, et au fameux loup-garou, mais aussi à l’incarnation la plus célèbre du folklore national, le diable prenant souvent la forme d’un violoneux ou d’un beau cavalier qui s’en prend aux belles du village en particulier celles qui adorent danser.

Les légendes populaires mondiales font aussi mention de mythiques créatures anthropomorphes comme l’abominable homme des neiges ou yéti, qui pourrait être selon certains un ours bleu du Tibet, que la croyance américaine a transposé en Amérique du Nord sous le nom de sasquatch. C’est sûrement cet être qui a inspiré la fable du wabalou de la 389 qui fait trembler de vieux camionneurs qui empruntent ce lien routier semi-désertique. En effet, certains conducteurs de poids lourds qui sillonnent cet axe de transport interprovincial depuis des années croient dur comme fer à l’existence de l’humanoïde velu, qui pourrait surgir des bois à n’importe quel moment, et se racontent des récits à son sujet qu’ils transmettent aux nouveaux chauffeurs de remorques et de semi-remorques afin de les prévenir des dangers qui les guettent le long de cette artère routière qui traverse une partie de l’immensité de la forêt boréale québécoise.

Selon un vieux routier, Yves Briand, dont le sobriquet est l’arbre de Noël, qui tente de sensibiliser la relève du camionnage qui circule sur la route 389 à la dangerosité du wabalou, il est primordial de redoubler de prudence et d’employer des sortilèges destinés à conjurer les imprévisibles mauvais sorts que pourrait jeter la créature verte de forte stature aux usagers de cette route qui dérangent sa quiétude. Ce dernier jure d’avoir aperçu le wabalou à quelques reprises durant ses déplacements entre Baie-Comeau et Fermont. Il préconise d’allumer des cierges ou des chandelles de couleur verte avant d’oser s’aventurer sur la 389 afin de conjurer les maléfices qui pourraient s’avérer périlleux pour les incrédules intrépides qui n’auraient pas pratiqué ce rituel au préalable afin de se protéger des tours du wabalou qui, selon ses dires, pourrait même influencer l’état de la chaussée et les phénomènes météorologiques.

« Nous avons fondé, il y a quelques décennies, le club des wabalous inspiré du modèle de l’ordre loyal des bisons des prairies dans l’émission de télévision Les Pierrafeu. À l’époque, moi et d’autres camionneurs, Raymond Bédard, alias le coyote, René Coulombe connu sous le surnom Poyo, Marcel « Titi » Héon et Éric Paradis dit le chromé, faisions à l’occasion des cérémonies où nous allumions des chandelles vertes à côté de nos camions avant de prendre la route 389 », confie le routard qui précise qu’il a peint, il y a plus d’un quart de siècle, un graffiti en vert avec comme inscription « Danger wabalou » sur une grosse roche à un endroit précis aux abords de la 389 où l’être mythique aurait été aperçu afin d’avertir les passants du secteur. Chose étrange, ce signe n’a pas subi l’érosion du temps puisque ceux qui sont attentifs peuvent toujours l’apercevoir le long du chemin. Ce dernier, qui a fait graver « Le wabalou du Nord » à côté de son nom sur sa pierre tombale, précise que le wabalou craint le feu et qu’il faut se méfier de ce qui peut en apparence ressembler à une fuite d’antigel vert, mais qui serait en fait de l’urine de wabalou indiquant que l’entité poilue verte peut se trouver à proximité. 

Les camionneurs qui arpentent cette route depuis longtemps, assurent que la bête est bel et bien réelle et qu’il faut toujours demeurer alerte en conduisant et tenir compte de sa présence afin de parer ses mauvais coups.

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Publié le 24 septembre, 2024, dans la publication : Numéro_15 Volume_42

  • Conte
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Publié sur le site le 24 septembre 2024

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Camion-restaurant

Lancement de l’Acadienne du Grand Nord

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, les deux associés fébriles en avant de leur camion de restauration lors de son baptême de feu.

Un couple d’Acadiens originaires de la région de Tracadie dans la péninsule acadienne au Nouveau-Brunswick domicilié à Fermont depuis 2018, Pierre-Martin et Karine Chiasson, a démarré une nouvelle entreprise, un camion de cuisine de rue, afin de répondre à une forte demande dans le domaine local de la restauration rapide.

Les deux entrepreneurs ont su déceler le potentiel de combler un besoin et ont décidé de relever le défi après avoir constaté l’offre de restauration totalement inexistante lors de la fête nationale de la Saint-Jean-Baptiste alors qu’ils cherchaient un endroit pour manger en compagnie de leurs cinq enfants et qu’ils n’ont rien trouvé à se mettre sous la dent mis à part de la barbe à papa et du maïs soufflé (popcorn), car tous les commerces étaient fermés. Ce fut l’élément déclencheur qui a motivé les complices à aller de l’avant avec le démarrage de leur projet.

Les jeunes parents se sont dépêchés à effectuer des modifications sur le camion de nourriture de rue, qui leur a été livré seulement deux jours avant leur première apparition, afin qu’il soit fin prêt pour accueillir les clients. Une fois les préparatifs terminés, ce fut le grand jour. Quelle ne fut pas leur surprise de constater qu’une interminable file de gens attendaient en avant du casse-croûte ambulant lors de sa sortie, qui a été quelque peu précipitée afin d’accommoder les instances municipales après le désistement d’une autre unité mobile similaire qui ne pouvait se rendre sur place. Ce type de service étant niché dans un marché presque vacant, le public affamé était au rendez-vous afin de déguster de nouveaux mets et de les encourager lors du rodage de leur installation sur roues qui coïncidait avec le premier volet des festivités du cinquantenaire de Fermont.

Mme Chiasson se dit très heureuse de l’appui de la population de la région et souhaite remercier la clientèle de sa compréhension et de sa patience durant cette période d’adaptation et d’apprentissage. Elle confie avec enthousiasme :

« Comme j’adore cuisiner et que ça me fait plaisir de partager, je me suis dit que je pourrais faire profiter au monde de ce talent en leur offrant une nouvelle variété de choix culinaires. J’aime bien préparer toutes sortes de recettes maison. J’étais vraiment contente de voir plein d’enfants qui semblaient heureux de venir commander au food truck. » Son conjoint, un consultant en tuyauterie et travailleur autonome, qui l’appuie dans cette initiative conclut : « Venez-nous ouaire et goûter nos menus ça va nous faire grand plaisir de vous accueillir et de vous servir ! »

Pour connaître les choix de menus et les horaires d’activité, consulter la page Facebook L’Acadienne du Grand Nord.

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Publié le 24 septembre, 2024, dans la publication : Numéro_15 Volume_42

  • Acadiens
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  • Nouveau-Brunswick
  • Pierre-Martin
  • Restauration rapide
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Publié sur le site le 24 septembre 2024

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Industrie minière

Restructuration de Tacora Resources

par Éric Cyr

Source photo : Tacora Resources

La société spécialisée dans l’extraction de minerai de fer, Tacora Resources, qui exploite la mine de fer de Scully à Wabush au Labrador, traverse actuellement une phase de restructuration et de transformation stratégique. En 2023, la minière a dû composer avec des difficultés financières en raison de nombreux facteurs, notamment la volatilité du marché et des problèmes de maintenance imprévus de ses infrastructures locales. Cela a conduit l’entreprise à solliciter la protection contre les créanciers en vertu de la Loi canadienne sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC).

Pour sortir de cette situation, Tacora Resources a entamé des négociations avec plusieurs investisseurs potentiels. Après une première tentative infructueuse en début d’année 2024, Tacora a finalement accepté une offre dirigée par Millstreet Capital Management, une firme de gestion d’investissements basée à Boston aux États-Unis, qui a mené une importante opération de financement ayant pour but de sortir l’entreprise de sa fâcheuse posture. Cette transaction devrait permettre à Tacora de lever un investissement d’environ 250 millions de dollars américains, destinés à éponger une partie de ses dettes, de stabiliser ses finances et de continuer à exploiter pleinement la mine Scully au Labrador tout en préservant les emplois actuels et en assurant le développement à long terme de la compagnie. Le processus de vente a cependant été complexe et marqué par des défis. Une précédente entente avec un autre groupe d’investisseurs, comprenant Javelin Global Commodities et le Resource Capital Fund, a échoué en raison de différends avec l’un des principaux créanciers de Tacora, Cargill, qui a exprimé des préoccupations concernant la rapidité du processus de vente et qui aurait contribué à retarder l’aboutissement de cet accord, ce qui a entraîné son annulation.

Vision d’avenir

La reconfiguration de Tacora Resources s’annonce potentiellement profitable, bien que certains défis subsistent. Le financement injecté par Millstreet Capital Management constitue une bouffée d’air frais pour la minière, qui sort ainsi de la protection des créanciers. Cet investissement permet à Tacora de réduire sa dette et de poursuivre ses opérations au Labrador, un atout majeur pour la compagnie et l’économie locale. L’objectif à long terme de la société est de moderniser ses installations et d’augmenter sa production annuelle de concentré de fer de haute qualité à plus de six millions de tonnes. Ce plan ambitieux combiné à l’amélioration des équipements et la stabilisation de ses finances qui sont des indicateurs positifs pourraient accroître sa rentabilité à long terme. Avec le soutien de Millstreet Capital, Tacora espère non seulement se redresser financièrement, mais également de garantir des emplois pour les habitants de la région de l’Ouest du Labrador tout en sécurisant son avenir dans le secteur minier canadien. Cette réorganisation est cruciale pour maximiser le potentiel de la mine Scully et de lui permettre un repositionnement sur le marché mondial. De plus, l’accord avec Cargill pour la vente du minerai de fer pourrait également créer de nouvelles occasions commerciales. Cependant, la recomposition reste dépendante de la capacité de l’entreprise à se stabiliser sur le marché du minerai de fer et à éviter d’autres imprévus, tels que ceux qui ont conduit à la crise financière de 2023. Si ces cibles sont atteintes, ce réaménagement pourrait en effet se révéler prolifique pour Tacora.

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Publié le 24 septembre, 2024, dans la publication : Numéro_15 Volume_42

  • Boston
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  • Extraction de minerai de fer
  • Financement
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  • Millstreet Capital Management
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Publié sur le site le 24 septembre 2024

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