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  • Numéro 16

  • Sensibilisation à la  culture innue

    De la boucane aux yeux

    Sensibilisation à la culture innue

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    Hydro-Québec

    Coupures et pannes électriques à répétition

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    Monts Uapishka

    30e anniversaire des sentiers des randonneurs

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    Activité sportive et caritative

    Une 26 septembre, 2016

    Défi « Un pas pour eux », une participation record

Numéro 16

Sensibilisation à la  culture innue

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Défi « Un pas pour eux », une participation record

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Une 26 septembre, 2016

Défi « Un pas pour eux », une participation record

De la boucane aux yeux

Sensibilisation à la culture innue

par Éric Cyr

Le représentant de la culture innue Alfred McKenzie était de passage au chalet de service de Fermont le 10 septembre dernier dans le cadre d’une rencontre interculturelle visant à sensibiliser la population aux us et coutumes de son peuple incluant une dégustation de nourriture d’inspiration traditionnelle adaptée à la sauce moderne.

Alfred McKenzie qui cuisine depuis une trentaine d’années et travaille avec des produits culinaires locaux et régionaux, en passant du canard et de l’outarde au caribou et au castor, confie qu’il évite d’utiliser des épices afin de ne pas masquer les saveurs des aliments.
« J’essaie de conserver le gout original et de perpétrer les recettes de mes ancêtres. » confie-il.
Ce dernier qui a une formation en tourisme d’aventure et de plein air a déjà été guide de chasse et pêche et c’est dans la nature qu’il communie le mieux avec ses racines. Discutant avec les gens pendant qu’il fait fumer de la viande de gibier et du poisson à l’aide de branches d’épinette, une tradition qui remonte à des temps immémoriaux, Alfred McKenzie répond aux questions et parle de ses traditions aux personnes venues à sa rencontre. Celui-ci déplore que plusieurs jeunes innus aient perdu leur langue, l’innu-aimun qui fait partie de la famille linguistique algonquine.
« La nouvelle jeunesse ne croit plus aux réponses de la nature. » Il est nostalgique de l’époque où les Innus s’adonnaient à la chasse et à la pêche sur le vaste territoire boréal. Les Innus se déplaçaient en canot l’été et en raquettes et en toboggan l’hiver et vivaient dans des wigwams faits d’écorces de bouleaux au sud et de peaux de caribous au nord.

« Le garde-manger traditionnel c’était la forêt et les lacs. Je me souviens d’une vieille aînée innue qui décrivait ce temps-là en parlant de belle misère. Si une catastrophe majeure se produisait, les survivants vont être ceux qui pourront maitriser les techniques traditionnelles.»

Selon M. McKenzie, le monde occidental et la mondialisation vont à l’encontre du mode de vie ancestral traditionnel. « L’appât du gain tue les minorités. » explique celui qui souhaite créer des ponts et sensibiliser le public au fait qu’il existe encore un petit noyau de culture innue qui résiste à la globalisation et qui tente de façon légitime de préserver ses origines.

Le terme Montagnais, archaïque de nos jours, a été utilisé par les Européens pour désigner les Innus, ce qui signifie « humains » ou « hommes véritables ».

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Publié le 26 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 16 Volume 34

  • Chalet de service
  • Cuisinier innu
  • Culture innue
  • Dégustation
  • Fermont
  • Fred McKenzie
  • Fumoir
  • Globalisation
  • Montagnais
  • Nourriture traditionnelle
  • Traditions

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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Hydro-Québec

Coupures et pannes électriques à répétition

par Éric Cyr

Les citoyens fermontois ont eu à composer avec de multiples coupures de courant planifiées et de nombreuses pannes électriques indésirables durant la période estivale, ces phénomènes répétés causant de la frustration et du mécontentement.

Cure de jeunesse pour le mur-écran

Les travaux réalisés depuis le début de l’année touchent plus particulièrement les équipements du mur-écran de Fermont et ont nécessité des coupures de courant planifiées visant à rénover les équipements situés dans les chambres électriques, des pièces qui abritent le matériel servant à l’alimentation en électricité des clients du mur. Ces chambres annexes, au nombre de six au total, ont été construites en même temps que le rempart architectural dans les années 1970 et étaient devenues vétustes. Les appareils qui s’y trouvent ont été à la source de quelques pannes ces dernières années d’où la décision d’Hydro-Québec de procéder à la réfection de ces installations.

Selon le conseiller aux Affaires autochtones et relations avec le milieu à la direction régionale de Manicouagan et à la direction et production d’Hydro-Québec à Baie-Comeau, Patric Frigon :

« Les travaux permettront d’assurer la fiabilité de l’approvisionnement en électricité pendant une quarantaine d’années. »

La conseillère en relations avec le milieu, Côte-Nord, à la Direction des Affaires régionales et collectivités, Marie-Julie Roy explique : « Dans les derniers mois, des interruptions planifiées totalisant moins de sept heures ont été requises pour effectuer ces travaux de rénovation qui se termineront à l’automne 2016. » M. Frigon poursuit : « Parallèlement, mais sans lien entre les deux, des travaux réalisés au poste Normand dans le secteur du lac Bloom ont entrainé des interruptions planifiées totalisant 2,5 heures » précise M. Frigon.

Les éléments

Des pannes causées par des bris d’équipements et par la foudre ont particulièrement affecté le secteur de Fermont en juillet et aout dernier, coupant l’alimentation électrique pendant près de 17 heures au total.

Travaux à venir

Mme. Roy ajoute que : « La rénovation des six chambres électriques du mur-écran se poursuit jusqu’à l’automne 2016. La modernisation de ces équipements est rendue nécessaire pour assurer la fiabilité du service électrique de la clientèle du mur. Il reste deux chambres à moderniser. Au total Hydro-Québec Distribution (HQD) prévoit deux interruptions plutôt courtes et localisées pour compléter la réfection. » Cette dernière assure que les équipes de la société d’État tentent de restreindre les désagréments occasionnés par ces opérations le plus possible. « Des travaux qui visent à renforcer l’architecture électrique du poste Normand  pour pallier l’augmentation de charge demandée par le client ArcelorMittal Mines Canada se poursuivent également jusqu’à la fin de l’année 2016. » Les tâches consistent notamment à installer un troisième transformateur de puissance et tout l’équipement connexe. « Aucune interruption n’est prévue pour ces travaux. »

Des opérations de modernisation sur le réseau de télécommunications d’Hydro-Québec sont aussi en cours dans le secteur de Fermont. Ce chantier prévoit entre autres le transfert des circuits analogiques vers le réseau numérique.

« Ces travaux qui visent à assurer la pérennité du réseau de télécommunications ont débuté en 2014 et se termineront en 2017. Ils sont sans conséquence pour les clients de Fermont. »

Provenance de l’énergie pour Fermont

Pour brosser un portrait d’ensemble des infrastructures, la ville de Fermont est alimentée en électricité par le poste Normand, situé près du Mont-Wright, qui puise lui-même sa source au poste Montagnais (localisé à l’est de Fermont dans le secteur de la rivière Nipissis un affluent de la rivière Moisie à plus de 250 km au nord de Sept-Îles près de la voie de chemin de fer QNS&L) qui peut recevoir et distribuer de l’électricité. Le client industriel ArcelorMittal (mine du Mont-Wright) est également approvisionné par le poste Normand.

La société Minerai de fer Québec, une filiale de Champion (mine du lac Bloom) est pour sa part fournie en électricité par la ligne de 315 kilovolts (kV) qui relie le poste Montagnais au poste Normand. Cette ligne électrique reliée au réseau d’Hydro-Québec alimente donc les opérations minières des deux entreprises du côté québécois à la fois la mine du lac Bloom appartenant à Champion et la mine du Mont-Wright de la minière ArcelorMittal.

Les installations minières de Fire Lake ne sont pas alimentées par Hydro-Québec mais plutôt à l’aide de génératrices par ArcelorMittal à l’exception du système de télécommunications. Le seul client d’Hydro-Québec à Fire Lake est une tour de télécommunications appartenant à la société d’État dont l’approvisionnement se fait via le poste du lac Hope. La centrale de la rivière Hart Jaune alimente aussi le poste Normand grâce à une ligne de 161 kV mais génère moins d’énergie et est utilisée principalement pour les urgences. En cas de problème au poste Normand ou à son confluent principal le poste Montagnais (fourni par la centrale hydroélectrique de Churchill Falls au Labrador et celle de La Romaine), il est possible d’alimenter la ville de Fermont par la centrale de Hart Jaune. L’énergie peut aussi provenir du Labrador. Elle transite alors depuis le poste Wabush, jusqu’au poste Chantal situé à l’entrée de la ville de Fermont qui est alimenté par une ligne de 69 kV. Des ententes ont été conclues en ce sens avec la province voisine de Terre-Neuve-et-Labrador.

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Publié le 26 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 16 Volume 34

  • Bris d'équipement
  • Fermont
  • Foudre
  • Hydro-Québec
  • Inconvénients
  • Mur-écran
  • Pannes électriques
  • Poste Normand
  • Traveaux de réfection

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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Monts Uapishka

30e anniversaire des sentiers des randonneurs

par Éric Cyr

Les amis des monts Groulx-Uapishka étaient nombreux à la grande corvée annuelle de nettoyage des sentiers. La réserve de la biodiversité Uapishka inclut une bonne partie des monts Groulx rebaptisés Uapishka du nom innu qui signifie « sommets rocheux toujours enneigés ». Les monts Uapishka sont logés au cœur de l’aire centrale de Manicouagan-Uapishka qui a aussi été reconnue par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO) comme la plus grande réserve de la biosphère au pays en 2007.

L’activité qui s’est déroulée du 2 au 5 septembre dernier, durant la période de la fête du Travail selon la tradition, soulignait par la même occasion le 30e anniversaire des sentiers des randonneurs et a attiré des participants de plusieurs pays.

Territoire protégé, les monts Uapishka constituent un lieu à part, naturel et sauvage dans une région longtemps parcourue par les communautés innues, un arrêt dans le temps pour les randonneurs du silence, un terme fort à propos puisque les activités non-motorisées sont de mise. Dans cette immensité boréale où domine le blanc ou le vert selon les saisons, une liberté indescriptible se dégage des sommets où loge la toundra.

Situés le long de la route nationale 389, les sentiers ont vu le jour il y a 30 ans grâce à la vision de trois pionniers. À partir de 1981, Daniel Deneault, Jacques Duhoux qui y réside quelques mois par année et Michel Denis, qui habite aujourd’hui sur place, partent à la découverte des monts Groulx repérés sur une carte du Québec.  La route 389 n’étant alors qu’un projet, ils mettent à profit leur expérience en traîneau à chien et en canot pour accéder au territoire par la voie ferrée et Manic-5. Durant ces voyages, ils sont séduits par l’immensité des monts Groulx et amorcent une réflexion sur le développement d’activités de plein air à cet endroit paradisiaque. Les trois partenaires d’Aventure Nomade mettent les travaux en branle en 1986. C’est le début d’une grande aventure qui se perpétue à ce jour.

L’esprit des montagnes

De nos jours quelques sentiers donnent accès aux plateaux toundriques et certaines infrastructures incluant des abris ont été érigés afin d’accommoder les randonneurs moins endurcis. Le massif des monts Groulx a une altitude de plus de 1000 mètres et une superficie d’environ 5000 kilomètres carrés. La traversée par les plateaux consiste en une longue randonnée en autonomie complète et requiert une expérience en territoire sauvage. Sa situation géographique lui procure un climat subarctique sur ses plateaux. À la base on trouve la forêt boréale et la taïga alors qu’au sommet c’est la toundra et dans les hautes vallées la forêt alpine.

Cet écosystème unique a été façonné par le passage des glaciers. En parcourant ce massif on aura une vue sur l’un des plus grands cratères du monde, l’astroblème de Manicouagan visible de l’espace, surnommé l’oeil du Québec. Cet endroit féérique est devenu une destination obligée du monde du plein air et a accueilli trois éditions du fameux Raid Mahikan où des équipes de partout au monde dont des militaires venaient s’affronter dans une course d’orientation de longue haleine. Ces manifestations ont attiré 500 personnes sur place en plus d’un lama, une espèce habituée de vivre en altitude. La prestigieuse reconnaissance de l’UNESCO combinée à cet évènement d’envergure ont grandement contribué à faire connaître le massif au niveau international mais malgré tout ce prestige le randonneur peut toujours y retrouver une paix et une sérénité indescriptibles quand il se ballade à travers des paysages à couper le souffle seul ou entre amis. Un joyau unique de la région à découvrir et à redécouvrir.

Air pur et camaraderie

Selon l’ancien directeur du Service des loisirs et de la culture de la Ville de Fermont, fervent amateur de plein air et membre actif de l’organisation, Michel Michaud : « Les trois membres fondateurs étaient réunis pour l’occasion et différentes activités étaient au programme incluant la présence d’un conteur. Une soupe populaire a été servie. La corvée est un évènement travail-plaisir mais cette année pour le 30e anniversaire elle a pris plutôt une tournure plaisir-travail » confie-t-il avec humour. Plus d’une cinquantaine de personnes ont pris part à cette rencontre écologique incluant des gens de Tchécoslovaquie, d’Allemagne, de France et de Belgique.

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Publié le 26 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 16 Volume 34

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Publié sur le site le 6 octobre 2016

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Activité sportive et caritative

Défi « Un pas pour eux », une participation record

par Éric Cyr

La deuxième édition du défi « Un pas pour eux » ArcelorMittal au profit de Cancer Fermont qui s’est tenu le 10 septembre dernier a rassemblé un public nombreux de près de 170 personnes. Cette deuxième édition est en réalité la troisième puisque la première course portait le nom de « Demi-marathon Cliffs » avant que le flambeau ne soit repris avec grand enthousiasme, par le principal employeur fermontois à la suite de la mise en veilleuse des installations du lac Bloom.

Cette implication des entreprises et de la population dans cette oeuvre témoigne bien de toute l’importance de l’objectif visé par Cancer Fermont soit de soutenir les personnes atteintes du cancer et leurs proches durant cette période difficile. L’organisme fermontois a distribué près de 380 000 $ depuis sa fondation dont 60 000 $ cette année. Son président et fondateur Denis Grenier a d’ailleurs été honoré du prix du Gouverneur général pour l’entraide en reconnaissance de sa remarquable et généreuse contribution envers sa communauté et le Canada en 2014. Cette distinction lui a principalement été remise à cause de son dévouement à cette cause qui lui tient à cœur. À cette occasion la conjointe du gouverneur général du Canada de l’époque Mme Johnston a qualifié cet organisme de bienfaisance d’unique au pays.

Tous unis pour aider

C’est sous un ciel grisonnant que se sont déroulées les différentes courses. La morosité du climat n’a cependant pas empêché les nombreux participants de manifester leur appui à Cancer Fermont qui a vu le jour il y a près de onze ans le 8 octobre 2005 grâce à la persévérance et la ténacité de son fondateur Denis Grenier. Instigateur de cette rencontre sportive annuelle qui se veut aussi une collecte de fonds pour l’organisme sans but lucratif, ce dernier considère important de perpétuer cette tradition et a lui-même relevé le défi en prenant part au demi-marathon de 21 kilomètres qu’il a terminé au quatrième rang avec un temps record personnel. Il faut dire que celui-ci prenait le temps de remercier la population au passage ce qui a certainement ajouté quelques secondes à sa performance. C’est Robert « Pee Wee » Boucher qui a remporté la course d’endurance en une heure 38 et 22 secondes. Le directeur général de l’exploitation et chef des opérations de la mine du Mont-Wright, Jean Ouellet, s’est pour sa part classé deuxième à cette même épreuve avec un chrono de 1:41:09 devançant la première femme Roxanne Tardif qui a terminé en troisième place avec un temps de 1:46:56. Onze courageux athlètes ont relevé le défi de l’épreuve du 21 km, 22 se sont alignés pour prendre le départ du 10 km et 48 ont entamé le cinq kilomètres. Un total de 88 parents accompagnés de leurs enfants a participé au 1,5 km. L’énergie et l’enthousiasme étaient palpables au sein des participants, des accompagnateurs et des organisateurs.

Générosité fermontoise

L’évènement était organisé par ArcelorMittal pour qui « Un pas pour eux » est assurément une occasion de promouvoir la pratique de l’activité physique et les saines habitudes de vie auprès de ses employés et de leurs familles. La chef de service Santé-Sécurité et Mieux-être de l’entreprise, Annie Desrosiers, qui faisait partie du comité organisateur de la création de cette campagne de financement doublée d’une manifestation sportive commente l’évènement :

« Un pas pour eux c’est se mettre au défi soi même pour appuyer les gens de notre communauté qui doivent relever un défi beaucoup plus grand qui est celui de la lutte contre le cancer. L’édition de cette année aura permis de recueillir 3700 $ qui iront directement dans les coffres de Cancer Fermont afin d’aider les gens malades et leur famille. »

Les organisateurs souhaitent remercier les participants, bénévoles et collaborateurs notamment la Ville de Fermont, la Sûreté du Québec et le service ambulancier de la municipalité, les agents de la guérite, les premiers répondants et l’infirmière d’ArcelorMittal qui ont contribué à la réussite de la manifestation. Le président de Cancer Fermont, Denis Grenier exprime sa grande satisfaction :

« Je suis très ému de constater que tant de jeunes qui constituent la relève de demain ont pris part à la rencontre et je souhaite remercier la population de sa grande générosité ainsi que les bénévoles qui m’appuient, la vice-présidente et comptable Suzanne Caron, la secrétaire Caroline Boudreau et l’infirmière pivot Angèle Kenny. Je lance à tous l’invitation de vous joindre à nous l’an prochain. »

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Publié le 26 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 16 Volume 34

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Publié sur le site le 6 octobre 2016

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