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    Travailleurs et retraités

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    Constructions nordiques

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    La tête dans les nuages

    Une 23 octobre, 2017

    Un ballon à gaz se pose au Labrador

Numéro 17

Protéger les fonds de pension

Travailleurs et retraités

Protéger les fonds de pension

Baby-Sitter, une œuvre qui se démarque

Place au théâtre!

Baby-Sitter, une œuvre qui se démarque

Des étudiants en architecture en mission  dans la région

Constructions nordiques

Des étudiants en architecture en mission dans la région

Un ballon à gaz se pose au Labrador

La tête dans les nuages

Une 23 octobre, 2017

Un ballon à gaz se pose au Labrador

Travailleurs et retraités

Protéger les fonds de pension

par Éric Cyr

La députée fédérale de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois a présenté son projet de loi visant à modifier la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (LACC), le 18 octobre dernier, à Ottawa. Une pétition demandant que les participants à un régime de retraite soient considérés comme des créanciers prioritaires en cas de faillite a aussi été déposée. La politicienne était accompagnée du coordonnateur régional des Métallos, Nicolas Lapierre et de près de 50 retraités.

La délégation était sur la colline parlementaire dans la capitale fédérale pour montrer qu’une telle loi peut littéralement changer la vie des victimes qui écopent lors de faillites ou de restructurations d’entreprises. « Pour certains, il a fallu choisir entre payer l’épicerie ou les médicaments. Cela a fait vivre des drames humains terribles », note le porte-parole du Comité des retraités de Cliffs, Gordon Saint-Gelais.

« [Cette histoire]est un véritable drame. Des employés qui ont passé leur vie à travailler dur en souhaitant bénéficier d’une retraite paisible acquise à la sueur de leur front se trouvent escroqués. Ils se font amputer leur fonds de pension et couper leurs assurances. C’est plus que leur portefeuille qui est touché : c’est leur santé physique, leur santé psychologique, leurs familles », lance avec conviction la députée de Manicouagan. « Il ne faut plus que les retraités et que les employés d’une compagnie en faillite passent à la trappe. On doit protéger leur bien, leur dû », a déclaré Marilène Gill lors du dépôt du projet de loi, intitulé Loi modifiant la Loi sur la faillite et l’insolvabilité et la Loi sur les arrangements avec les créanciers de compagnies (régimes de pension et régimes d’assurance collective).

« C’est une proposition qui donne une chance aux retraités et aux anciens travailleurs de récupérer leur dû, sans pour autant empêcher une relance d’entreprise lorsqu’il y a encore de l’espoir. Nous invitons tous les partis politiques à mettre de côté leurs différends pour adopter ce projet de loi qui vient protéger des gens qui ont travaillé toute leur vie contre la promesse d’une retraite décente et parfois d’un régime d’assurance à la fin de leurs jours » fait valoir le coordonnateur régional des Métallos, Nicolas Lapierre.

« Ce projet de loi place les travailleurs et les retraités parmi les priorités des entreprises en faillite, sans pour autant nuire aux compagnies qui tentent de redresser la situation. Personne n’est à l’abri d’un [tel drame]. Ce projet de loi [concerne] les retraités, mais aussi tous les travailleurs d’aujourd’hui et de demain. Il faut trouver des solutions. Avec l’aide de mes collègues députés, je souhaite empêcher qu’une faillite fasse aussi faillir les rêves de milliers de travailleurs ! » a conclu la députée bloquiste.

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Publié le 23 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 17 Volume 35

  • Bloc québécois
  • LACC
  • Loi arrangements créanciers de compagnies
  • Marlène Gill
  • Régimes de retraite
  • Syndicat des Métallos

Publié sur le site le 23 octobre 2017

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Place au théâtre!

Baby-Sitter, une œuvre qui se démarque

par Éric Cyr

Le théâtre de création en tournée Baby-Sitter, a été présenté à l’auditorium de la polyvalente Horizon-Blanc en collaboration avec Les Voyagements, le 4 octobre dernier. Cette représentation a attiré une foule nombreuse de 110 spectateurs, ce qui constitue un exploit étant donné que c’est habituellement l’humour et les spectacles de musique qui ont la cote à Fermont.

La dramaturge Catherine Léger, qui a reçu le prix Gratien-Gélinas 2006, dénonce avec cette pièce les positions convenues et envisage les rapports hommes femmes sous d’autres angles. L’auteure bouscule une vision bien pensante, rassurante et convenue des rapports sociaux conventionnels et explore la thématique du féminisme dans la marche vers l’égalité entre les sexes en passant par des sujets complexes souvent inconfortables, mais dont le débat s’avère nécessaire, comme la culture du viol, le sexisme et la misogynie souvent des phénomènes sous-jacents et banalisés de la société occidentale moderne.

Les acteurs lumineux livrent des interprétations brillantes dans un scénario qui atteint sa cible en réussissant à interpeller le spectateur et à le provoquer constamment en suscitant une réflexion. L’auteure de la pièce s’inspire d’une blague douteuse devenue une pratique fortement contestée pour son mauvais goût. Cette plaisanterie a créé une mode où des hommes s’amusent à interrompre des reporters féminins en direct à la télévision en disant à la caméra « Fuck her right in the pussy » d’où la première phrase percutante de la pièce « Fourre là dans l’cul ! » qui déstabilise le public et annonce avec panache et à tambours battants les couleurs de la trame qui s’amorce.

Cette comédie grinçante nous plonge au cœur de la question du féminisme et de la confusion qui l’entoure en ces temps où le féminisme fait parler de lui sur toutes les tribunes, accusé par les uns de vouloir écraser ou castrer les hommes, défendu bec et ongles par les autres qui l’estiment plus nécessaire que jamais.

Catherine Léger plonge dans le vif du sujet et réussit un coup de maître en épluchant toutes les facettes de celui-ci tout en réussissant à faire rire par des situations loufoques allant jusqu’à l’utilisation d’un godemiché par une actrice, la blonde du sportif de salon, qui vient d’accoucher et qui donne la réplique à la gardienne qui se métamorphose bientôt en boniche. Les comédiens sont empreints de nuances, constamment sur la corde raide entre vérité et caricature oscillant entre authenticité et mauvaise foi tout en faisant preuve d’autocritique. Victoria Diamond est particulièrement convaincante dans le rôle de la baby-sitter surtout considérant que le français n’est pas sa langue maternelle. Une pièce marquante qui ne laisse personne indifférent. Fermont peut être fière d’avoir accueilli cette œuvre à la fois unique, visionnaire et innovatrice. Quelques spectateurs ont participé à une discussion en compagnie d’un animateur et des comédiens après leur performance.

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Publié le 23 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 17 Volume 35

  • Baby-Sitter
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  • Culture du viol
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Publié sur le site le 23 octobre 2017

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Constructions nordiques

Des étudiants en architecture en mission dans la région

par Éric Cyr

Légende : L’enseignante en architecture, Lola Sheppard, à gauche et ses étudiants de l’Université de Waterloo en compagnie de l’agente en développement de la MRC, Pascale Castilloux à Fermont.

L’enseignante en architecture à l’Université de Waterloo en Ontario, Lola Sheppard, était à Fermont pour la première fois accompagnée de 16 étudiants, le 9 octobre dernier, dans le cadre d’un travail de recherche sur le terrain. C’est le fameux mur-écran qui a inspiré ce déplacement d’ordre professionnel, mais aussi un peu d’ordre sentimental puisque c’est le père de la professeure, un immigrant roumain également architecte, Adrian Sheppard, qui a travaillé avec le planificateur Norbert Schoenauer à la concrétisation de l’impressionnant ouvrage inauguré en 1974 et qui personnifie la ville minière.

Dans les traces de son père

Le projet d’édifier une ville à Fermont a été envisagé par la Compagnie minière Québec Cartier à la fin des années 1960 avec l’objectif spécifique de remplacer éventuellement la ville de Gagnon. L’entreprise, qui en a confié la planification à la firme Desnoyers & Schoenauer, souhaitait améliorer la qualité de vie des habitants de ce type d’agglomération nordique tout en maximisant l’efficacité des infrastructures. Le mur-écran atteignant 50 mètres de haut sur la plus grande partie de sa longueur de 1,3 km a été inspiré d’un concept de l’architecte suédois Ralph Erskine qui a conçu un édifice similaire pour abriter des mineurs dans l’arctique suédois en 1962. Contrairement au mur-écran qui est multifonctionnel, les architectes espéraient que cela favoriserait un rapprochement et aiderait à tisser des liens serrés, la construction de Erskine était simplement vouée à loger des travailleurs.

Ville nordique futuriste

« Est-ce qu’on pourrait imaginer une architecture vernaculaire propre aux régions nordiques ? Il existe ailleurs deux fragments de mur-écran dans le Nord canadien inspirés du modèle fermontois » confie Lola Sheppard dans un français impeccable. « On étudie Fermont comme modèle. Les étudiants doivent concevoir une nouvelle ville en tenant compte d’un certain design et d’un scénario incluant la durée de vie d’une mine. Ils vont être amenés à prendre position sur deux courants de pensée qui s’affrontent actuellement. La permanence et la durée par opposition à la semi-permanence qui n’est que temporaire et qui véhicule une approche éphémère. Ils vont amorcer une réflexion sur la temporalité d’une ville nordique incluant les volets environnemental, économique et social. La vie pendant et après l’exploitation minière, la pérennité ou l’impermanence » explique-t-elle en abordant aussi les thèmes de la densité et l’espace spatiotemporel.

« J’adore Fermont, je suis vraiment impressionnée, mais je suis surprise qu’il n’y ait pas vraiment de lieux pour s’asseoir le long de la rue intérieure qui s’apparente à un long corridor. Des bancs publics devraient faire partie du paysage afin que les gens puissent se rassembler, discuter et tisser des liens tout en mangeant en groupe par exemple. Il pourrait y avoir plus de fenêtres, plus de transparence. Avec peu de choses, on pourrait améliorer beaucoup l’ambiance. »

Selon cette dernière, l’idée n’est pas de réinventer Fermont, mais que les aspirants-architectes puissent s’inspirer de la réalité fermontoise pour élaborer une nouvelle ville minière nordique fictive. « On étudie l’apport des mines en tant qu’engins économiques justifiant la construction de nouvelles villes comme Fermont qui est l’une des rares villes dans le nord du pays conçues par des architectes. On peut être critique, mais il y avait tout de même une vision ambitieuse à l’époque loin de celle des villes champignons. » Le groupe a aussi visité les villes minières de Labrador City et de Wabush au Labrador et s’est arrêté à la centrale hydroélectrique de Manic-5 pour admirer le barrage Daniel-Johnson, un incontournable pour des architectes.

 

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Publié le 23 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 17 Volume 35

  • Adrian Sheppard
  • Architecture nordique
  • Architecture vernaculaire
  • Mur-écran de Fermont
  • Norbert Schoenauer
  • Ouvrage architectural
  • Ralph Erskine
  • Univerité de Waterloo
  • Villes nordiques

Publié sur le site le 23 octobre 2017

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La tête dans les nuages

Un ballon à gaz se pose au Labrador

par Éric Cyr

Légende : Les deux Suisses durant leur long voyage aérien. Source : Fribourg Freiburg Challenge

La nouvelle a circulé sur plusieurs tribunes médiatiques de la planète. Deux aérostiers suisses ont battu le record en compétition de distance en ballons à gaz après une épopée aérienne de 3 670 km remportant par la même occasion la compétition annuelle de la course de charlières de longue distance de l’America’s Challenge, organisée par l’Albuquerque International Balloon Fiesta, le plus grand festival de montgolfières au monde, dans laquelle ils concourraient. C’est à la suite d’un atterrissage dans une zone boisée au sud du lac Lorraine non loin de Labrador City au Labrador, le 10 octobre dernier, que les deux membres d’équipage du Fribourg Challenge, Laurent Sciboz et Nicolas Tièche, ont dépassé le précédent exploit mondial.

Ils détrônent ainsi les champions belges Robert Berben, un commandant de bord d’un Airbus A330-300 et A319 chez Brussel Airlines, et Benoît Siméons, qui détenaient ce titre depuis 2005 après avoir parcouru la distance de 3 379 km en 65 heures 16 minutes durant la coupe aéronautique Gordon Bennett. L’équipage du Belgium 1 avait alors atterri à une cinquantaine de kilomètres à l’est de Rivière-du-Loup au Québec. Les Suisses ont fait d’une pierre deux coups puisqu’ils ont par la même occasion aussi déclassé les tenants du record du America’s Challenge de 3 215,5 km qui avait été établi en 64 heures en l’an 2000 par les Américains, David Levin (décédé en mai dernier à 68 ans) et son frère Alan.

Des paysages magnifiques

L’aventure digne d’un roman de Jules Verne, qui a publié Cinq semaines en ballon, a surpris le chef du département des incendies de Labrador City, Joe Power. « Lorsque j’ai reçu l’appel de l’équipe au sol de Fribourg Challenge localisée en Suisse à 9 heures du matin, j’ai d’abord cru à un canular, je pensais que c’était une blague. Imaginez, nous sommes en octobre et il a déjà commencé à neiger ici. Après avoir reçu un second appel téléphonique du Gaz Command Center d’Albuquerque, j’ai réalisé que la situation était bien réelle. » Qui aurait pu imaginer un tel scénario au-dessus de la taïga canadienne?

Après avoir traversé neuf états américains et trois provinces canadiennes en aérostat dans une nacelle couverte d’à peine un mètre carré, où ils doivent demeurer debout et qu’ils ont partagée durant trois jours et trois nuits, les deux hommes sont quelque peu épuisés. Ils ne peuvent se permettre de dormir à tour de rôle que quatre heures par jour puisqu’ils doivent demeurer en constante communication avec les aéroports survolés et les avions qu’ils croisent. Le pilote Laurent Sciboz a visiblement été impressionné par les vastes étendues nordiques de la forêt boréale et de la taïga.

« Il y avait des arbres, des lacs et une nature grandiose à perte de vue. On avait l’impression que cette magnifique vision ne s’arrêterait jamais. Puis alors que nous dérivions à travers les nuages poussés par le vent, la neige mordante s’est mise à tomber et le sol se rapprochait soudainement de plus en plus. »

Le sol ou le ciel…

Les deux aéronautes, qui ont décollé en ballon d’Albuquerque au Nouveau-Mexique (États-Unis) le 7 octobre dernier, avaient prévu d’atterrir quelque part dans le nord du Québec, mais se sont plutôt posés à court de sable (le « carburant » des ballons à gaz) dans les environs de Labrador City quelques jours plus tard, le 10 octobre à 8 h 35, après 59 heures et 35 minutes de vol. Aidés de la force du vent qui a contribué à propulser leur ballon à des vitesses pouvant atteindre 140 km/h, les coéquipiers, qui ont été informés quelques heures plus tôt qu’ils viennent d’établir un nouveau record du monde, prennent la décision de redescendre au sol en considérant qu’ils avaient largué presque tout leur lest (sacs de sable) et épuisé leur réserve de gaz. Ils savent qu’ils doivent tenter un atterrage ou courir le risque de ne plus revoir la terre. Les premiers intervenants, incluant des pompiers, des policiers de la Royal Newfoundland Constabulary et des gardiens de sécurité de la minière Rio Tinto IOC, ont géré la situation inusitée avec professionnalisme.

Comme le lieu de l’atterrissage de l’aéronef était inaccessible par voie terrestre, l’hélicoptère le plus proche qui était dans la localité voisine de Fermont au Québec a été appelé en renfort afin de localiser les occupants du ballon qui ont été secourus sans encombre par le pilote Luc Gauthier qui a aussi rapatrié en quelques minutes l’aérostat.

Les deux Suisses ont par la suite été conduits à Labrador City où ils ont pu se remettre de leurs émotions dans une chambre d’hôtel après avoir été examinés par un ambulancier paramédical. Le lendemain, ils roulent la toile du ballon et rassemblent leurs équipements dans la caserne locale. Leur périple n’est pas terminé puisqu’ils repartent sur-le-champ afin d’aller récupérer le prestigieux trophée sur les lieux de leur départ en aérodyne dans le désert du Nouveau-Mexique à proximité de la frontière entre les États-Unis et le Mexique.

L’équipe au sol, qui a aussi vécu une aventure à laquelle ils ne s’attendaient pas en empruntant la sinueuse route nationale 389, « fait monter » les deux aéronautes qui ont encore beaucoup de route à faire, cette fois-ci sur le plancher des vaches.

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Publié le 23 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 17 Volume 35

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Publié sur le site le 23 octobre 2017

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