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Sûreté du Québec

Relève de la garde

par Éric Cyr

Un nouveau chef de police est entré officiellement en fonction au poste principal de la Sûreté du Québec dans la MRC de Caniapiscau situé dans le mur-écran à Fermont, le 3 août dernier. Le sergent Martin Fortier a remplacé l’ancien responsable du poste local, Daniel Turgeon, qui a accepté une affectation ailleurs.

Après s’être déplacé en avion pour venir visiter la ville, une procédure habituelle afin de voir si les lieux et le poste lui convenaient, le sous-officier de police a eu la piqûre pour l’endroit. L’expérience a été concluante et il a pris sa décision d’accepter ses nouvelles fonctions et de déménager sur place avec sa femme. Le père de famille de deux enfants, aujourd’hui autonomes, et sa conjointe, ont pris la route nationale 389. Celle-ci en a profité pour prendre des photos des splendides paysages le long du parcours qui mène à la localité minière. Il faut dire qu’elle s’adonne à la peinture et que ces nouvelles images pourraient s’avérer inspirantes dans la création de futurs tableaux. « Une nature majestueuse et de toute beauté », confie le policier visiblement enthousiaste. Après un long périple, ils sont finalement arrivés à Fermont, le 27 juillet, afin de se donner le temps de défaire les boîtes et de s’installer dans leur nouveau domicile, les déménageurs ont suivi le lendemain.

Nouveau défi

Très content de s’établir dans la municipalité nordique, le sergent Fortier, originaire de Montréal, qui cumule près de 25 années de patrouille et qui était responsable d’unité avant sa récente affectation, adore la campagne. Il a eu le coup de foudre pour le mode de vie en région lorsqu’il a commencé sa carrière comme patrouilleur à Joliette dans Lanaudière en 1996. Deux ans plus tard, il a été appelé à servir au Kamouraska durant 11 ans où il a notamment travaillé comme patrouilleur et chef d’équipe avant d’être muté à Lévis sur la Rive-Sud de Québec au poste autoroutier Chaudière-Appalaches en 2009. Il aimait tellement l’endroit qu’il a choisi d’y rester encore 7 ans et de voyager jusqu’à son lieu de travail en périphérie de la région de la Capitale-Nationale.

« J’ai eu la piqûre pour Fermont, on adore le coin et je suis heureux d’être ici. L’accueil est très chaleureux. Depuis mon arrivée, j’ai déjà été à la pêche, une de mes passions. Mon choix de venir m’établir ici a été l’œuvre du hasard que je ne regrette absolument pas. Un poste s’est libéré, j’ai décidé de postuler et je l’ai obtenu à ma grande satisfaction. Je suis heureux de pouvoir répondre aux besoins des Fermontois. »

Publié le 21 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_15 Volume 38

  • Chef de police
  • Fermont
  • MRC de Caniapiscau
  • Mur-écran de Fermont
  • Sergent Martin Fortier
  • Sûreté du Québec

Publié sur le site le 21 septembre 2020

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Constructions nordiques

Des étudiants en architecture en mission dans la région

par Éric Cyr

Légende : L’enseignante en architecture, Lola Sheppard, à gauche et ses étudiants de l’Université de Waterloo en compagnie de l’agente en développement de la MRC, Pascale Castilloux à Fermont.

L’enseignante en architecture à l’Université de Waterloo en Ontario, Lola Sheppard, était à Fermont pour la première fois accompagnée de 16 étudiants, le 9 octobre dernier, dans le cadre d’un travail de recherche sur le terrain. C’est le fameux mur-écran qui a inspiré ce déplacement d’ordre professionnel, mais aussi un peu d’ordre sentimental puisque c’est le père de la professeure, un immigrant roumain également architecte, Adrian Sheppard, qui a travaillé avec le planificateur Norbert Schoenauer à la concrétisation de l’impressionnant ouvrage inauguré en 1974 et qui personnifie la ville minière.

Dans les traces de son père

Le projet d’édifier une ville à Fermont a été envisagé par la Compagnie minière Québec Cartier à la fin des années 1960 avec l’objectif spécifique de remplacer éventuellement la ville de Gagnon. L’entreprise, qui en a confié la planification à la firme Desnoyers & Schoenauer, souhaitait améliorer la qualité de vie des habitants de ce type d’agglomération nordique tout en maximisant l’efficacité des infrastructures. Le mur-écran atteignant 50 mètres de haut sur la plus grande partie de sa longueur de 1,3 km a été inspiré d’un concept de l’architecte suédois Ralph Erskine qui a conçu un édifice similaire pour abriter des mineurs dans l’arctique suédois en 1962. Contrairement au mur-écran qui est multifonctionnel, les architectes espéraient que cela favoriserait un rapprochement et aiderait à tisser des liens serrés, la construction de Erskine était simplement vouée à loger des travailleurs.

Ville nordique futuriste

« Est-ce qu’on pourrait imaginer une architecture vernaculaire propre aux régions nordiques ? Il existe ailleurs deux fragments de mur-écran dans le Nord canadien inspirés du modèle fermontois » confie Lola Sheppard dans un français impeccable. « On étudie Fermont comme modèle. Les étudiants doivent concevoir une nouvelle ville en tenant compte d’un certain design et d’un scénario incluant la durée de vie d’une mine. Ils vont être amenés à prendre position sur deux courants de pensée qui s’affrontent actuellement. La permanence et la durée par opposition à la semi-permanence qui n’est que temporaire et qui véhicule une approche éphémère. Ils vont amorcer une réflexion sur la temporalité d’une ville nordique incluant les volets environnemental, économique et social. La vie pendant et après l’exploitation minière, la pérennité ou l’impermanence » explique-t-elle en abordant aussi les thèmes de la densité et l’espace spatiotemporel.

« J’adore Fermont, je suis vraiment impressionnée, mais je suis surprise qu’il n’y ait pas vraiment de lieux pour s’asseoir le long de la rue intérieure qui s’apparente à un long corridor. Des bancs publics devraient faire partie du paysage afin que les gens puissent se rassembler, discuter et tisser des liens tout en mangeant en groupe par exemple. Il pourrait y avoir plus de fenêtres, plus de transparence. Avec peu de choses, on pourrait améliorer beaucoup l’ambiance. »

Selon cette dernière, l’idée n’est pas de réinventer Fermont, mais que les aspirants-architectes puissent s’inspirer de la réalité fermontoise pour élaborer une nouvelle ville minière nordique fictive. « On étudie l’apport des mines en tant qu’engins économiques justifiant la construction de nouvelles villes comme Fermont qui est l’une des rares villes dans le nord du pays conçues par des architectes. On peut être critique, mais il y avait tout de même une vision ambitieuse à l’époque loin de celle des villes champignons. » Le groupe a aussi visité les villes minières de Labrador City et de Wabush au Labrador et s’est arrêté à la centrale hydroélectrique de Manic-5 pour admirer le barrage Daniel-Johnson, un incontournable pour des architectes.

 

Publié le 23 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 17 Volume 35

  • Adrian Sheppard
  • Architecture nordique
  • Architecture vernaculaire
  • Mur-écran de Fermont
  • Norbert Schoenauer
  • Ouvrage architectural
  • Ralph Erskine
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Publié sur le site le 23 octobre 2017

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Commission scolaire du Fer

Des investissements fort attendus

par Éric Cyr

La Commission scolaire du Fer, qui procède actuellement à la réfection du système de ventilation de l’auditorium de la polyvalente Horizon-Blanc, a adopté des mesures concernant le maintien d’actifs immobiliers qui concernent Fermont lors de la séance extraordinaire du Conseil des commissaires, le 5 juin dernier. De nécessaires investissements seront accordés à plusieurs projets prioritaires dans le cadre du budget consenti pour 2017-2018.

Les travaux ciblant plutôt l’extérieur, qui devraient débuter à l’été 2018, consisteront en une mise en marche des humidificateurs et une révision du chauffage au Centre éducatif de Fermont pour une somme de 200 000 $. Un remplacement des portes extérieures couvertes de buée en été et givrées en hiver est prévu au coût de 150 000 $. Une réfection de l’enveloppe extérieure et de la toiture du corridor qui coule dans le secteur de la résidence du personnel dans le mur-écran a aussi été planifiée et une somme de 3 M $ a été allouée à la première phase de cette cure de rajeunissement. Le remplacement de la toiture et la décontamination d’une maison unifamiliale appartenant à la commission scolaire située au 4, rue Duchesneau coûteront pour leur part 125 000 $.

Beaucoup de rattrapage à faire

Selon le directeur général de la C.S. du Fer, Lucien Maltais, les travaux les plus urgents ont été priorisés dans le cadre de cette enveloppe ministérielle tout comme ce fut le cas lors du remplacement des fenêtres de l’école il y a quelques années. « Les sommes allouées à ces travaux ne prennent pas en considération les opérations courantes qui sont dans une catégorie à part. Nous sommes conscients des nombreuses lacunes et du fait qu’il y a beaucoup de modernisation à apporter aux infrastructures afin de préserver les bâtiments en bon état. Il faut investir afin de tenter de rattraper le retard accumulé au cours des années, mais cette situation problématique est analogue dans plusieurs localités de la Côte-Nord et du Québec. On veut s’assurer de favoriser les endroits appropriés afin d’atteindre la cible. » Ce dernier explique que le gouvernement du Québec a fait le constat il y a quelques années d’un déficit d’entretien des infrastructures et semble finalement avoir quelque peu ajusté le tir cette année. « Ce sont des infrastructures québécoises qui appartiennent à la collectivité et éventuellement la situation, je l’espère, devrait s’améliorer avec le temps puisque le gouvernement investit plus récemment qu’il y a dix ans. » M. Maltais confie que le remplacement des vestiaires du gymnase a aussi été orchestré pour la seconde phase des travaux en 2019 qui devrait s’attarder à l’aspect intérieur des logements incluant le câblage et l’électricité, la tuyauterie et la plomberie, mais aussi au remplacement des fenêtres des appartements de la commission scolaire dans le mur-écran et à l’amélioration des patios.

Publié le 25 septembre, 2017, dans la publication : Numéro 15 Volume 35

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Publié sur le site le 25 septembre 2017

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