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  • Fermont « adopte » un Croque-livres

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    Fermont « adopte » un Croque-livres

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Fermont « adopte » un Croque-livres

par Guillaume Rosier

De gauche à droite : Myriam Desjardins-Malenfant (coordonnatrice de Fermont en Action), Clara Paradis (gagnante du concours pour trouver un nom au Croque-livres) et Suzanne Synnott (responsable de la Maison des jeunes Alpha).

Au début du mois, Fermont a adopté un Croque-livres. Celui-ci habite en face de la Maison des jeunes Alpha, près de la piscine.

Au Québec, il existe plusieurs centaines de petits monstres qui se nourrissent exclusivement de livres. L’un d’entre eux a trouvé son chemin jusqu’à Fermont. Vous l’avez certainement déjà croisé : il est bleu avec un large sourire.

Un Croque-livres, c’est une boite de partage de livres jeunesse en libreservice. Les enfants et leur famille sont invités à y déposer un livre et à en prendre un. Quand l’enfant termine sa lecture, il ramène tout simplement son volume et peut l’échanger autant de fois qu’il le désire. Les parents sont également invités à apporter de la maison les livres qui ne servent plus afin de « nourrir » le Croque-livres.

L’objectif ? Donner aux plus jeunes l’envie et l’amour de la lecture. Le concept de mini-bibliothèque pour enfants a été lancé en 2014 à l’initiative de la Fondation Lucie et André Chagnon. Aujourd’hui, on compte près de 350 boites réparties dans toute la province. Le Croque-livres de Fermont, l’un des derniers en date, est celui situé le plus au nord. Le regroupement Fermont en Action est à l’origine de son installation.

Concours

Chaque Croque-livres est unique. Par l’apparence tout d’abord. On en retrouve de toutes sortes et de toutes les couleurs. Après adoption, celui de Fermont a été personnalisé par la Maison des jeunes Alpha.

Ensuite, chaque Croque-livres possède un nom différent : Alpha-Bête, Livrosaure, L’Univers en boite, la Passerelle magique… Un concours a donc été organisé par Fermont en Action et la Maison des jeunes auprès des élèves de l’école Des Découvertes pour baptiser le nouveau venu, avec à la clé un abonnement d’un an au magazine Les Explorateurs. L’idée de Clara Paradis, l’heureuse gagnante, a été retenue. Le Croque-livres fermontois s’appelle désormais « La boite imaginaire ».

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Publié le 21 mars 2016, dans la publication : Numéro 5 Volume 34

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Publié sur le site le 21 mars 2016

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Journée internationale des femmes par la MAHF

Karine Champagne, parfaitement imparfaite

par Véronique Dumais, collaboration spéciale

Le 5 mars dernier, dans le cadre de la Journée internationale des femmes, la Maison d’aide et d’hébergement de Fermont nous conviait à la conférence de Karine Champagne à la salle multifonctionnelle Cliffs. Résumé d’une soirée extraordinaire.

Février 2011 : rien ne va plus pour Karine Champagne alors lectrice de nouvelles à LCN. Elle pleure assise dans le bureau de son médecin et tente de lui expliquer le mal qui la ronge. Diagnostic : dépression.

Pour la première fois de sa vie, la journaliste se donne le « droit d’en avoir raz le-pompon ». Après plus de 20 ans au service d’une station de télévision populaire avec des horaires chargés et réglés au quart de tour, Karine Champagne démissionne. « En étant malheureuse au travail, j’étais en train de me suicider spirituellement. J’avais envie de tellement plus que 4-3 6-3 prolongation et Carey Price », peut-on lire sur son blogue dans une lettre à elle-même que Karine a lu à la fin de sa conférence, un moment émouvant sur Nuvole Bianche une musique de Ludovico Einaudi.

Pour la femme d’affaires qu’est devenue Karine, c’est le début d’une « fabuleuse quête personnelle » et c’est là l’essence même de sa conférence. « La vie nous envoie souvent une bombe, mais il y a aussi avec la bombe, un manuel de survie », écrit-elle dans son journal virtuel. Karine, pétillante, attachante et drôle à la fois, nous raconte sa renaissance grâce à l’entrainement – ler remède que lui suggèrera son médecin en plus de sa médication – qui l’amènera à participer au demi-Ironman de Tremblant, son premier à vie. En 2012, elle remportait les Championnats Mondiaux de triathlons en Nouvelle-Zélande, un exploit qu’elle avait visualisé des années auparavant.

Celle qui préfère maintenant tourner des capsules vidéo dans sa cuisine pour alimenter son blogue plutôt que de faire de la télé raconte, en toute simplicité, son histoire pour allumer nos étoiles, dépoussiérer nos vieux rêves. Elle nous explique comment toutes nos excuses quotidiennes telles que « trop jeune, trop vieille, pas assez d’argent ou pas assez en forme » nous empêche de rêver. Rien ne sert d’attendre que tout soit parfait, le bon moment c’est maintenant. « Dream big start slow », nous conseille celle qui a rayé le mot peur de son vocabulaire.

L’ambassadrice des Mères-Veilleuses, organisme formé en 2013 encourageant les femmes à mener une vie active, fait énormément confiance à l’Univers. « La vie est un merveilleux laboratoire et il faut trouver ce pour quoi nous sommes nées », ajoute celle pour qui une mission de vie n’est pas nécessairement de grimper l’Everest. Autre conseil important: ne pas avoir peur de se faire dire non ! « Au pire, c’est juste l’égo qui en prend un coup pour 24 ou 48 heures! », s’exclame Karine en début de conférence.

Karine le dit haut et fort, elle est en mission! Celle qui vide sa « bucket list » rapidement a mit 32 ans avant de réaliser son rêve le plus fou et elle tente désormais de changer le monde une femme à la fois!

Pour suivre les écrits de Karine Champagne et rallumer votre étoile, visitez son blogue au www. karinechampagne.ca. Un merci tout spécial à la MAHF pour l’organisation de cette soirée qui, j’en suis convaincue, à fait un bien énorme à plusieurs femmes.

Véronique Dumais, collaboration spéciale

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Publié le 21 mars 2016, dans la publication : Numéro 5 Volume 34

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Publié sur le site le 21 mars 2016

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Cain’s Quest 2016

Le test d’endurance ultime

par Guillaume Rosier

Du 4 au 11 mars, s’est tenue à Terre-Neuve-et-Labrador l’édition 2016 de la Cain’s Quest, la plus longue course de motoneiges au monde. Cette compétition, qui se déroule dans des conditions extrêmes, constitue un défi redoutable à la fois pour l’homme et pour la machine.

Le 11 mars, à précisément 9 h 12, Andrew Miley (Labrador City) et Rober Gardner (Mercer, Maine, États-Unis) de l’équipe Maine Racing franchissent les premiers la ligne d’arrivée à Labrador City. Sur 37 équipes, seules 14 (38 %) parviendront à bon port. L’année dernière, 9 équipes sur 29 (31 %) avaient terminé la course.

Des conditions dantesques

Jacques Cartier avait décrit le Labrador comme « la terre que Dieu donna à Caïn », d’où le nom de la course. Cette compétition, réputée comme étant la plus dure qui soit, entraine les motoneigistes à travers de vastes étendues gelées parsemées de bois denses, sous des températures glaciales.

Les équipes qui y prennent part sont composées d’un navigateur, qui a pour responsabilité de prendre le bon itinéraire, et d’un mécanicien, qui doit réparer les motoneiges au besoin. Personne d’autre que les compétiteurs n’a le droit de réparer des défectuosités. Mis à part le fait de se rendre aux différents postes de contrôle, il n’existe aucune piste prédéfinie. Seuls certains secteurs, pour des raisons de sécurité, sont considérés hors limite.

Une édition 2016 hors-norme

Pour l’édition 2016, la plus longue jamais organisée, les motoneigistes devaient parcourir une distance de 3500 kilomètres. L’itinéraire comprenait 19 postes de contrôle, répartis dans tout le Labrador. Le poste de contrôle le plus au sud était celui de L’Anse-au-Loup, près de Blanc-Sablon et celui le plus au nord, Nain. Les compétiteurs venaient de Terre-Neuve-et-Labrador, du Québec, de l’Ontario, de la Saskatchewan, de l’Alberta, des États-Unis et même de la Finlande.

Selon Glenn Emberley, président de la Cain’s Quest, le premier tronçon de la course reliant Labrador City à Happy Valley- Goose Bay a été particulièrement éprouvant, avec un mélange de neige profonde et de « slush ». « Ce qui prenait en dessous de 12 heures l’année dernière, a pris aux compétiteurs entre 19 et 31 heures cette année », a expliqué M. Emberley. La course a été marquée par de nombreux bris mécaniques, mais aussi par quelques blessures physiques, heureusement sans gravité.

Environ une heure après Maine Racing, Where’s Bow Cycle? (Alberta) a franchi la ligne d’arrivée, suivie de près par Abel’s Revenge (Saskatchewan). Ces trois équipes se sont partagées la coquette somme de 100 000 dollars. « Si les récipiendaires méritent amplement leur prix, à nos yeux, tous les compétiteurs sont des vainqueurs », a affirmé Glenn Emberley. Le 12 mars, les motoneigistes, les organisateurs et les bénévoles se sont retrouvés à l’aréna de Labrador City pour des festivités.

Un succès grandissant La Cain’s Quest a été suivie en temps réel par de nombreux fans sur le site web de la course. Selon les organisateurs, près de 75 000 visiteurs originaires de 77 pays différents ont visité le site. Un record.

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Publié le 21 mars 2016, dans la publication : Numéro 5 Volume 34

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Publié sur le site le 21 mars 2016

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Diffusion Fermont

La coopérative termine sa métamorphose

par GUILLAUME ROSIER

Le mois dernier, Diffusion Fermont a parachevé sa mutation visant à offrir à la population un service irréprochable. La coopérative de câblodistribution (Internet et télévision) a en effet réalisé de nombreux investissements ces dernières années, notamment en ce qui concerne l’installation de la fibre optique.

Il n’y a pas si longtemps encore, Diffusion Fermont se voyait affublée du sobriquet de « Distorsion Fermont » par certains clients mécontents. Aujourd’hui, les choses ont bel et bien changé. Après de nombreux investissements réalisés au cours des dernières années, Diffusion Fermont a nettement amélioré l’offre et la qualité de ses services. Dans un contexte de morosité économique, il s’agit d’un véritable tour de force opéré par la coopérative fermontoise.

Une équipe ultra-motivée

L’équipe de Diffusion Fermont se compose de quatre personnes. Isabelle Nadon, la directrice générale, donne le cap; elle veille à la bonne conduite des différents projets et s’assure de leur viabilité financière. Marie-Nathalie Lapointe, pour sa part, se retrouve en première ligne avec le service à la clientèle, la gestion de l’inventaire et la planification du temps. Christian Lefrançois, directeur technique, travaille depuis 1999 en tant que bénévole. Quand il n’est pas à l’atelier des télécommunications de la mine, il s’occupe de l’élaboration des différents projets et de leur installation. Enfin, le technicien Bodgan Carasava prépare les appareils, s’occupe des branchements et intervient sur place lors de pannes.

Les défis d’une région éloignée Créée en 1979, Diffusion Fermont a été pendant longtemps le seul fournisseur de télévision. Avec l’arrivée du satellite à la fin des années 1990, la compétition débarque et la donne change. « Il a fallu se remettre à jour », raconte Christian Lefrançois. Il y a près de 8 ans, des investissements importants ont été réalisés pour passer de la télé analogique au numérique (HD). Le nombre de chaines disponibles est passé de 40 à plus de 200 aujourd’hui.

En ce qui concerne le service Internet, celui-ci a été lancé modestement au début des années 2000. Les quatre dernières années, la coopérative a investi des sommes importantes dans l’installation de fibres optiques, afin d’offrir un service beaucoup plus rapide que l’ADSL. La transition n’a pas forcément été évidente. M. LeFrançois explique : « En région éloignée, l’accès au réseau Internet est beaucoup plus dispendieux. Pour avoir accès aux signaux, il faut investir de gros montants. Pour obtenir notre bande passante, nous payons un fournisseur, qui lui même paye pour utiliser les installations de plusieurs grandes compagnies. Nous avons aussi dû remplacer le câble principal des différents secteurs de Fermont par de la fibre optique. »

Un service de qualité

Il y a un peu plus de trois ans, la première fibre optique a été installée dans le parc des roulottes. « Du jour au lendemain, nous n’avons plus reçu d’appels pour des pannes dans ce secteur », affirme Marie-Nathalie Lapointe. La fibre optique a ensuite été installée partout en ville et dans le mur-écran. Plusieurs entreprises locales ont apporté leur soutien à la coopérative pour la réalisation des travaux.

Qui plus est, de nouveaux contrats ont été négociés pour augmenter la bande passante Internet et les équipements à la tête de ligne ont été améliorés. « Avant les fêtes on était en situation de saturation. Depuis, nous avons triplé notre capacité », commente M. Lefrançois. Bogdan Carasava ajoute : « En ce qui concerne l’installation du matériel pour les nouveaux arrivants, cela peut se faire dans la journée même ou le lendemain. Ailleurs, cela peut prendre facilement plus d’une semaine ».

Un avenir prometteur

Diffusion Fermont ne se le cache pas. Avec l’amélioration de son offre de service, la coopérative espère doubler sa clientèle. Aussi, elle va pouvoir proposer dans un avenir proche un service de téléphonie IP. Avec ce système, on branche directement le téléphone à l’accès Internet haute vitesse plutôt qu’à une ligne terrestre; cela permet, entre autres, de fournir un service de téléphonie à moindre cout.

« Les revenus que nous générons, nous les réinvestissons principalement dans l’entretien et l’amélioration du matériel. Nous facturons nos services à des prix inférieurs aux compagnies locales et à la plupart des compagnies situées en bas. Pourtant, nous faisons face à des contraintes que ces dernières n’ont pas, comme l’éloignement. L’important, c’est de prendre soin de nos membres », conclut Isabelle Nadon.

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Publié le 21 mars 2016, dans la publication : Numéro 5 Volume 34

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Publié sur le site le 21 mars 2016

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Ralentissement économique

La municipalité tient le cap

par Guillaume Rosier

Les deux principaux projets de la municipalité seront finalisés sous peu. Dès la fonte des neiges, les travaux de construction du nouveau bâtiment des services incendie et ambulanciers vont reprendre. Selon Martin St-Laurent, maire de Fermont, le bâtiment devrait être complété dans le courant du mois de décembre.

En ce qui concerne l’usine d’eau potable, les plans et devis réalisés par l’entreprise Axor ont été transférés au ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques. « Nous attendons le feu vert du ministère. Ensuite, nous pourrons démarrer le processus d’appel d’offres pour la réalisation des travaux », explique Christine Lizotte, directrice générale de la Ville de Fermont. L’usine d’eau potable sera construite à proximité de l’actuel château d’eau, et permettra de répondre aux normes en ce qui concerne la qualité de l’eau.

Recyclage

À Fermont, la plupart des déchets sont enfouis. Depuis plusieurs années, la municipalité cherche à instaurer le recyclage. Présentement, deux options sont à l’étude. La première, relativement couteuse en raison de l’éloignement de la ville, consiste à acheminer des ballots de déchets préalablement compactés au centre de tri de Port-Cartier. La seconde nécessite un investissement de base assez conséquent, mais pourrait être payante sur le long terme. Il s’agit d’incinérer certains déchets, puis de récupérer l’énergie produite pour chauffer des bâtiments comme la nouvelle caserne ou la piscine.

D’ici 2020, l’enfouissement de matières organiques telles que le papier, le carton, le bois sera interdit dans l’ensemble de la province, en vertu de la Politique québécoise de gestion des matières résiduelles. « On ne veut pas attendre d’être rendu en 2020 pour prendre d e s a c t ions. Le recyclage sera une priorité pour nous », affirme M. St-Laurent.

Impayés de Cliffs

Selon le maire, l’année 2015 a été particulièrement difficile pour la municipalité : « On s’attend à un déficit pour l’année 2015. Malgré tout on garde le cap. L’objectif pour 2016, c’est de revenir à l’équilibre. » La Ville de Fermont a mandaté un avocat pour s’assurer de se faire rembourser les taxes impayées par Cliffs depuis que la société s’est mise sous la protection de la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies en janvier 2015. « Le retard de taxes représente un manque à gagner de 15 millions de dollars pour la période allant de 2013 jusqu’à fin 2015. On a vraiment hâte que Champion prenne possession des installations de Cliffs », explique Martin St-Laurent.

Le maire ajoute : « Les impayés de Cliffs, c’est une épée de Damoclès au-dessus de nos têtes. Si l’on arrive à récupérer au moins la moitié de la somme due, cela nous aiderait grandement à résorber notre déficit et à avancer plus rapidement sur certains projets, comme le recyclage. Si l’on ne récupère qu’un seul million, cela va nettement compliquer la situation. »

Optimisme

Avec un prix du fer à la baisse et le ralentissement économique, Fermont traverse une période difficile. Plusieurs entreprises comme Hewitt ou JRV ont plié bagages et les commerces se serrent la ceinture. Pourtant, le maire reste confiant : « Le marché du fer est cyclique. On est présentement dans le creux de la vague, mais ça va revenir. Il faut juste être plus prudent dans ce que l’on entreprend et mettre toutes les chances de notre côté pour être prêt au moment de la reprise. On s’en est déjà sorti, on s’en sortira de nouveau. »

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Publié le 21 mars 2016, dans la publication : Numéro 5 Volume 34

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Publié sur le site le 21 mars 2016

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