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Sécurité civile

Une séance locale d’information

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, des partenaires ayant pris part à l’exercice après la rencontre.

Une séance publique d’information relative à la sécurité civile à laquelle le public a été convié a eu lieu à la salle Aurora à Fermont, le 30 avril 2025. L’objectif était de renseigner les citoyens sur les mesures d’urgence en vigueur en cas de catastrophes naturelles ou autres.

Dans un contexte où l’on constate l’occurrence de plus en plus fréquente d’événements climatiques comme des incendies de forêt et des fermetures de route, plusieurs sujets ont été abordés par les nombreux intervenants de différentes organisations qui travaillent de concert dans le domaine de la gestion de crise afin de coordonner de façon efficace les ressources à déployer sur le territoire pour prévenir les sinistres et se préparer à affronter des urgences de toute nature. L’Organisation municipale de sécurité civile (OMSC), le ministère de la Sécurité publique (MSP), la Sûreté du Québec, la Société de protection des forêts contre le feu (Sopfeu), le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) et les responsables de différents paliers municipaux (ambulanciers, Service de sécurité incendie) et de l’industrie minière étaient sur place afin d’exposer et d’expliquer leurs rôles respectifs.

La loi 50 sur la sécurité civile visant à favoriser la résilience aux sinistres, qui a été adoptée le 28 mai 2024, a été présentée durant la rencontre à la quarantaine de participants attentifs aux explications des diverses missions des partenaires dont les porte-parole ont présenté les mécanismes de coordination ainsi que leurs mandats respectifs incluant les plans d’intervention et les modalités d’évacuation en insistant sur l’importance d’une communication claire et efficace auprès de la population et des partenaires ainsi que la préparation préalable à toute éventuelle urgence. Les mesures relatives à l’atténuation des risques et les modalités d’intervention ciblées sur le terrain, incluant l’approvisionnement en denrées alimentaires, en carburant et le transport, ont entre autres été détaillées.

Les citoyens ont pour leur part la responsabilité de préparer un plan d’urgence et être prêts afin de leur permettre de faire face aux imprévus surtout si ceux-ci ont des besoins particuliers. Des outils essentiels sont fortement recommandés comme une trousse de premiers soins avec le nécessaire de matériel de survie incluant de la nourriture, de l’eau, et des médicaments leur permettant de subsister pendant au moins 72 heures (trois jours) idéalement avec un ouvre-boîte, un briquet ou des allumettes, des chandelles pour eux, mais aussi pour leurs animaux de compagnie.

Le centre d’accueil, de recensement et d’attribution d’hébergement pour les sinistrés qui a été choisi pour Fermont est la salle Aurora. Le centre de coordination des mesures d’urgence est situé au deuxième étage de la caserne 12. Les informations quotidiennes transmises à la population à heure fixe seront notamment accessibles en syntonisant la radio CFMF 103,1 et sur la page Facebook Ville de Fermont. Des sessions de travail subséquentes rassemblant les différents coordonnateurs se tiendront à une date ultérieure.

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Publié le 13 mai, 2025, dans la publication : Numéro_9 Volume_43

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Publié sur le site le 13 mai 2025

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Projet minier Kami

Consultations publiques dans la région

par Éric Cyr

Légende de la photo : Des représentants du promoteur du projet lors d’une séance d’information publique à la salle Aurora à Fermont.

Les citoyens de la région ont été conviés à des séances publiques d’information d’une durée de quatre heures chacune au sujet d’un projet de mine de fer à ciel ouvert envisagé par Champion Iron, qui se sont tenues, les 10 et 11 décembre 2024 à la Légion de Wabush au Labrador et, le 12 décembre, à la salle Aurora à Fermont.

Le site anticipé pour cette éventuelle nouvelle exploitation minière nommée Kamistiatusset (Kami) se situe au sud-ouest des villes de Wabush et Labrador City au Labrador, dans la partie sud-ouest de la ceinture géologique de la fosse du Labrador à proximité de la frontière du Québec. Champion Iron a repris le flambeau de la minière Alderon Iron Ore après avoir fait l’acquisition du projet en avril 2021.

Des citoyens inquiets

Plusieurs citoyens se sont présentés aux séances d’information et ont exprimé certaines craintes concernant les implications d’une telle visée notamment pour la communauté fermontoise et pour les propriétaires de chalets et les villégiateurs du terrain de camping du lac Duley au Labrador. Même si le gisement de Kami est situé entièrement au Labrador où la transformation se fera, il se trouvera plus près de Fermont au Québec, à environ cinq kilomètres de cette municipalité, que de la ville voisine de Labrador City.

Le promoteur a expliqué aux participants les différentes phases du projet en détail à l’aide de maquettes et de nombreux tableaux décrivant son évolution à travers le temps. Le directeur principal du développement durable de l’entreprise, Michel Groleau, a présenté en toute transparence les études de préfaisabilité en abordant leurs différentes facettes à l’aide de plusieurs diapositives illustrant les impacts environnementaux, les besoins en énergie, l’utilisation de technologies de pointe, les améliorations et mesures d’atténuation relatives au bruit, à la gestion de l’eau et des résidus miniers, à la qualité de l’air et autres.

Ce dernier confie : « Nous avons pris connaissance du document qui avait été produit en 2012 par le comité de citoyens fermontois opposés au projet de Alderon et nous avons considéré les doléances exprimées à l’époque afin d’améliorer l’ensemble des points négatifs soulevés dans ce dossier. Ce n’est pas du tout le même schéma que celui qui était initialement envisagé par notre prédécesseur. C’est un projet revu et amélioré qui prend en considération les observations et les suggestions qui avaient été transmises par la population il y a un peu plus d’une décennie et qui inclut de nombreuses modifications destinées à répondre aux exigences populaires. »

Des participants ont posé des questions afin d’obtenir des éclaircissements et des précisions concernant des aspects plus techniques et certains ont affiché un certain scepticisme en ce qui a trait aux impacts réels que pourrait avoir ce projet sur la qualité de vie des résidents du secteur.

Des travaux d’exploration visant à soutenir l’étude d’impact environnemental exigée par le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador ont déjà été amorcés. Le projet de la mine Kami est évalué à près de 4 milliards de dollars et aurait une durée de vie de 25 ans. La production de minerai de fer de haute pureté prévue est de 9 millions de tonnes par an et commencerait vers 2030, advenant une décision définitive d’investissements de Champion Iron. De 500 à 600 emplois directs devraient être créés sans compter les nombreux emplois indirects.

D’autres séances d’informations sont prévues selon les avancées du projet. Les communautés innues seront également consultées à ce sujet. Certaines informations sont disponibles en français sur le site internet championiron.com, cependant l’étude de faisabilité préliminaire est uniquement en anglais. Pour des questions par courriel :  info@kami.ca.

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Publié le 21 janvier, 2025, dans la publication : Numéro_1 Volume_43

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Publié sur le site le 21 janvier 2025

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Projet minier Kami

Champion Iron annonce un partenariat

par Éric Cyr

Deux chefs de file mondiaux de l’industrie minière japonaise, Nippon Steel (NSC) et Sojitz, ont conclu une entente avec Champion Iron dans le cadre du projet de mine de fer à ciel ouvert Kamistiatusset (Kami), le 18 décembre 2024. Ces deux actionnaires majeurs investissent un montant de 245 millions de dollars (M $) en échange d’une participation de 49 % dans le projet (30 % pour NSC et 19 % pour Sojitz) et, par la suite, 490 M $ lors du démarrage de la construction des infrastructures advenant une décision finale d’investissement de l’entreprise. La durée de vie de la nouvelle mine, qui se situera dans la partie sud-ouest de la ceinture géologique de la fosse du Labrador à proximité de la frontière du Québec, est évaluée à 25 ans.

L’annonce de ce partenariat destiné à faire progresser l’évaluation de la faisabilité et le développement potentiel du projet, dont le produit sera transformé au Labrador, constitue une avancée majeure dans le cheminement de la démarche et témoigne que celle-ci pourrait se matérialiser dans un échéancier de moins de sept ans selon les prévisions de la minière. La concrétisation de Kami est évaluée à près de 4 milliards de dollars. Ce scénario permettrait d’accroître l’offre de concentré de minerai de fer de haute pureté destiné à la réduction directe de Champion Iron en ajoutant une capacité de production anticipée de 9 millions de tonnes annuelles à celle de 15 millions de tonnes produites actuellement sur le site minier de sa filiale Minerai de fer Québec (MFQ) au Lac Bloom.

Tout en contribuant à la décarbonation de l’industrie de l’acier, l’accord devrait s’avérer mutuellement bénéfique pour les partenaires. En plus de stimuler la croissance économique de la région, le maître d’œuvre et promoteur de ce plan, Champion Iron, prévoit que cette visée favoriserait la création de 500 à 600 emplois directs. Les deux « lutteurs sumos » nippons de l’acier saisissent pour leur part, en unissant leurs forces, un avantage stratégique grâce à cette occasion d’optimiser leurs chaînes d’approvisionnement pour plus de deux décennies.

Bouillonnement économique

Le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, considère que l’arrivée prochaine de cette nouvelle mine dans la région aurait un fort potentiel de développement économique. Il juge que ce projet pourrait non seulement soutenir et stimuler davantage la croissance de l’économie florissante de Fermont, mais surtout contribuer à la vitalité du nouveau parc industriel qui sera bientôt prêt à accueillir des entreprises et qui représente selon lui un élément clé pour diversifier les activités économiques locales et attirer de nouvelles industries. L’implantation de cette minière dans le secteur serait un moteur pour maximiser l’utilisation de cette nouvelle zone industrielle municipale et renforcer l’économie fermontoise. Toutefois, il rappelle l’importance pour l’instigateur du projet de prendre des mesures rigoureuses pour minimiser les impacts environnementaux sur le milieu. Cela inclut une attention particulière aux nappes phréatiques, aux eaux souterraines, ainsi qu’à la pollution de l’air, lumineuse et visuelle. Enfin, il insiste sur la nécessité d’un financement accru pour renforcer les services offerts aux citoyens afin de garantir que la communauté puisse pleinement profiter des avantages économiques liés à cette nouvelle dynamique industrielle.

Le processus d’approbation environnemental a été amorcé par Champion Iron auprès des instances provinciales de Terre-Neuve-et-Labrador. L’Agence d’évaluation d’impact du Canada, rattachée au ministère de l’Environnement, a déjà effectué une étude approfondie de la précédente mouture proposée à l’époque par Alderon Iron Ore, qui a obtenu une décision positive et l’aval des autorités fédérales en 2012, et n’a pas l’intention ni l’obligation d’entamer une nouvelle étude sur une mine projetée au même endroit et comportant de nombreuses similitudes.

Quelle coïncidence ! « Kami » diminutif du mot issu de la langue innue, l’innu-aimun, « kamistiatusset », qui signifie « terre des gens qui travaillent dur », apparaît également dans la langue japonaise où il se définit comme « esprit » ou « supérieur » et se réfère aux entités spirituelles vénérées dans la religion shintoïste.

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Publié le 21 janvier, 2025, dans la publication : Numéro_1 Volume_43

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