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  • Numéro_04

  • Une Fermontoise se rend à destination

    Expédition des Premières Nations 2024

    Une 5 mars, 2024

    Une Fermontoise se rend à destination

  • Une délégation à Fermont

    Université Laval

    Une délégation à Fermont

  • La Côte-Nord n’est pas épargnée

    Crise du logement

    La Côte-Nord n’est pas épargnée

  • Des groupes communautaires inquiets

    Pénurie de logements sur la Côte-Nord

    Des groupes communautaires inquiets

Numéro_04

Une Fermontoise se rend à destination

Expédition des Premières Nations 2024

Une 5 mars, 2024

Une Fermontoise se rend à destination

Une délégation à Fermont

Université Laval

Une délégation à Fermont

La Côte-Nord n’est pas épargnée

Crise du logement

La Côte-Nord n’est pas épargnée

Des groupes communautaires inquiets

Pénurie de logements sur la Côte-Nord

Des groupes communautaires inquiets

Expédition des Premières Nations 2024

Une Fermontoise se rend à destination

par Éric Cyr

La Fermontoise d’origine micmaque (mi’kmaw) de la communauté de Listuguj (anciennement Restigouche) en Gaspésie, Doris Poirier, a pris part à la deuxième édition de l’expédition à motoneige des Premières Nations qui se déroulait du 27 janvier au 10 février 2024 et qui a emprunté un nouveau circuit différent de celui de la première manifestation de la caravane motorisée sur neige qui s’était arrêtée dans la MRC de Caniapiscau en 2023. C’est après avoir participé à l’accueil des participants à Fermont l’an passé qu’elle a décidé de s’inscrire à ce second événement d’envergure culturelle et sportive en plus de s’investir au sein du conseil d’administration et du comité événementiel.

Mme Poirier faisait partie des 56 participants, dont 19 femmes, qui ont franchi le point de départ. Elle a terminé le trajet, parfois parsemé d’embûches, car la neige était clairsemée à certains endroits, après 15 jours à enfourcher son bolide avec 3278 kilomètres additionnels affichés sur le compteur de sa motoneige 2023 de marque Bombardier Expedition 900 ACE. « Le parcours était différent de celui de la première édition où 80 % du trajet s’effectuait en hors-piste et 20 % dans des sentiers de la Fédération des clubs de motoneigistes du Québec. Là, c’était l’inverse. Les organisateurs voulaient passer plus de temps dans les communautés visitées afin de favoriser un rapprochement entre les peuples. La démarche a pour objectif une réconciliation. Pour se réconcilier, il faut se regrouper, se côtoyer et se parler », confie celle qui a adoré son expérience qu’elle considère être beaucoup plus qu’une simple randonnée à motoneige, mais plutôt un ressourcement, une communion avec la culture amérindienne, et avec la nature, qui lui a permis de renouer avec ses racines autochtones tout en tissant de solides liens d’amitié.

« C’est à la fois un devoir de mémoire et une immersion dans la spiritualité des différents peuples autochtones afin de comprendre leur vision du monde et de perpétuer les traditions de ceux qui nous ont précédés. Il s’agit aussi de saisir les différences culturelles et de transmettre le savoir ancestral, les us et coutumes, et de se rapprocher les uns des autres, peu importe l’origine, dans le cadre d’une égalitaire et saine fraternisation entre allochtones et autochtones. Durant le parcours, empreint d’émotions dans certains lieux hautement symboliques croisés en chemin comme le site d’un ancien pensionnat autochtone, j’ai eu l’occasion de rencontrer des gens accueillants, fiers et généreux. De plus, j’ai découvert des enseignements et des rituels qui m’ont été transmis comme l’importance de porter un sac de protection dans lequel j’ai mis ce qui est considéré comme de la médecine notamment du cèdre, de la sauge, du tabac et une pierre sacrée », explique Mme Poirier qui insiste sur le bien-fondé de ce cheminement qui se veut un peu un outil qui permet à plusieurs de cicatriser des blessures du passé. Elle souligne le grand respect empreint d’admiration et d’amour qui régnait tout au long du périple.

Deux équipes de tournage ont accompagné l’expédition, dont l’une était menée par la cinéaste et documentariste, scénariste et productrice abénaquise, Kim O’Bomsawin, qui envisage de faire coïncider le lancement d’un film à ce sujet avec la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, le 30 septembre prochain.

Pour en connaître davantage sur l’expédition, consulter le site internet : expeditionpremieresnations.com et la page Facebook : Expédition Premières Nations.

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Publié le 5 mars, 2024, dans la publication : Numéro_04 Volume_42

  • Anciennement Restigouche
  • Bombardier Expedition 900 ACE
  • Communauté de Listuguj
  • Culture amérindienne
  • Doris Poirier
  • Expédition à motoneige des Premières Nations
  • Femme motoneigiste
  • Fermontoise
  • Gaspésie
  • Ian Lafrenière
  • Kim O’Bomsawin
  • Ministre responsable des Relations avec les Premières Nations et les Inuits

Publié sur le site le 5 mars 2024

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Université Laval

Une délégation à Fermont

par Éric Cyr

De gauche à droite sur la photo des représentants de Fermont et de l’Université Laval : le conseiller principal affaires gouvernementales et projets chez ArcelorMittal Christophe Aura, le doyen de la faculté de Sciences et génie André Zaccarin, la cheffe de cabinet de la rectrice de l’Université Laval Chantale Malenfant, le directeur général (DG) de la Ville de Fermont Claude Gagné, le v.-p. affaires publiques et relations gouvernementales chez ArcelorMittal Julien Lampron, le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont Martin St-Laurent, la rectrice Sophie D’Amours, le directeur de l’École supérieure en aménagement et développement (ESAD) et professeur Alexandre Lebel, le directeur scientifique de l’INQ et professeur Jean-Éric Tremblay, le DG de la MRC de Caniapiscau Jimmy Morneau et le conseiller stratégique pour les dossiers nordiques et arctiques à l’université Robert Sauvé.

Des représentants de l’Université Laval de Québec, incluant la rectrice et des chercheurs, se sont déplacés à Fermont, les 12 et 13 février 2024, afin de mieux se familiariser avec la réalité nordique locale et bien cerner les enjeux propres au milieu. Les participants à cette mission ont pu échanger avec des personnalités politiques locales influentes et visiter la ville et la mine de fer de Mont-Wright d’ArcelorMittal.

L’ancien président-directeur général de la Société du Pan Nord (SPN), Robert Sauvé, était du nombre. Ce dernier, qui s’est souvent déplacé dans des régions québécoises nordiques et qui œuvre aujourd’hui pour l’université, explique que l’objectif de cette démarche était de mieux comprendre les enjeux particuliers des villes monoindustrielles sur le terrain et le contexte dans lequel évoluent les entreprises minières de la région afin de visualiser les réalités avec lesquelles elles doivent composer notamment l’éloignement et les rigueurs du climat.

Le directeur scientifique de l’Institut nordique du Québec (INQ) Jean-Éric Tremblay qui faisait partie des ambassadeurs universitaires qui se sont rendus à Fermont mentionne que l’Université Laval a été la force motrice qui a permis la formation de l’INQ. Ce dernier précise que le Plan Nord a manifesté, dès son implantation, une volonté de stimuler un développement économique plus durable en apprenant des erreurs du passé pour mieux aller de l’avant tout en prenant en considération le volet environnemental qui est un enjeu moderne majeur.

« L’idée est de mobiliser la communauté scientifique québécoise en regroupant le bassin de connaissances et d’expertise en l’orientant notamment vers la résolution de problèmes reliés aux enjeux qui pourraient freiner les aspirations légitimes des milieux nordiques », confie M. Tremblay.

L’INQ, qui regroupe 15 institutions d’enseignement, a pour mission de fédérer les forces en recherche nordique et arctique, de favoriser l’innovation et de créer une synergie entre chercheurs et utilisateurs de la recherche afin de fournir aux gouvernements, aux communautés nordiques et au secteur privé le savoir et la main-d’œuvre experte nécessaire au développement durable du Nord dans un contexte de changements climatiques rapides et profonds. Selon M. Tremblay, un consortium de recherche en innovation nordique du Québec est en voie d’être créé afin d’accroître la collaboration entre le milieu de la recherche et les communautés et industries du Nord, dont les minières.

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Publié le 5 mars, 2024, dans la publication : Numéro_04 Volume_42

  • Directeur scientifique de l’Institut nordique du Québec
  • Enjeux
  • Fermont
  • M. Jean-Éric Tremblay
  • M. Robert Sauvé
  • Plan Nord
  • Président-directeur général de la Société du Pan Nord
  • Réalité nordique locale
  • Université Laval de Québec
  • Villes monoindustrielles

Publié sur le site le 5 mars 2024

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Crise du logement

La Côte-Nord n’est pas épargnée

par Éric Cyr

Une coalition d’organismes communautaires nord-côtiers dénonce l’inaction des gouvernements dans le dossier de l’accessibilité aux logements locatifs, qui s’est grandement détériorée au Québec, mais aussi sur la Côte-Nord. Les groupes communautaires évaluent que malgré une mise à jour des données de Statistique Canada en tenant compte du dernier recensement, celles-ci sous-estiment grandement la réalité puisque les revenus sont basés sur ceux de 2020. Cette année-là, les prestations d’urgence implantées par les gouvernements pour soutenir les ménages durant les premiers mois de la pandémie de Covid-19 ont provisoirement gonflé les revenus d’un grand nombre de locataires. D’autre part, depuis le recensement, la hausse du coût du loyer et l’inflation généralisée ont fait très mal et se font durement sentir chez les ménages locataires à faibles et modestes revenus.

Citation : « Depuis son arrivée au pouvoir, le gouvernement de François Legault a ignoré les signaux d’alarme. On voit d’année en année le désespoir des locataires de la région augmenter et la pénurie accentue la vulnérabilité », s’inquiète la directrice du groupe de ressources techniques baie-comois Cité des Bâtisseurs, Doris Rochette, qui remarque que, dans le contexte actuel, plusieurs peinent à trouver un logement décent sur le marché privé et que les logements disponibles à la location sont pour leur part beaucoup plus dispendieux ce qui rend très ardue la tâche de ménages forcés de déménager, par exemple à la suite d’une éviction ou d’une séparation. 

Le plus récent rapport sur le marché locatif de la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) publié le 31 janvier dernier faisait état du peu de logements disponibles à la location dans les centres urbains de la Côte-Nord. À 0,5 % depuis l’an dernier, le taux d’inoccupation n’a jamais été aussi bas à Baie-Comeau. À Sept-Îles, c’est le plus faible taux d’inoccupation en 10 ans à 1,3%. Pour le Québec, le loyer moyen, qui avait déjà été amplifié de 9 % d’octobre 2021 à octobre 2022, s’est aussi accru de 7,4 % l’an dernier. La SCHL conclut que « l’augmentation des loyers a dépassé à la fois l’inflation et la progression des salaires ». Malheureusement, il n’y a pas de données de la SCHL pour Fermont.

Des annonces insuffisantes

Selon les organismes communautaires, les 8000 logements sociaux « et abordables » additionnels, échelonnés sur une période de 5 ans, annoncés lors de la dernière mise à jour économique de Québec, représentent un premier pas dans la bonne direction, mais sont grandement insuffisants pour faire obstacle aux graves conséquences de la pénurie extrême d’appartements locatifs. Ils s’inquiètent qu’il n’y ait pas d’assurance que ces logements seront tous des logements sociaux financés dans le cadre d’un programme gouvernemental et de la lenteur à faire aboutir ces sommes vers des projets concrets. En effet, le financement de seulement 1000 des 1500 unités annoncées dans le Programme d’habitation abordable Québec (PHAQ) de la Société d’habitation du Québec dans le budget 2023 a été révélé en décembre dernier et il n’y en a aucun sur la Côte-Nord. Pourtant, des initiatives qui totalisent au moins 5000 logements sociaux et communautaires avaient été déposées par des groupes de ressources techniques en réponse à l’appel de projets.

« Le gouvernement doit passer à la vitesse supérieure », s’impatiente une porte-parole du Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU), Véronique Laflamme. À son avis, le prochain budget du ministre des Finances du Québec, Éric Girard, doit redresser la barre afin de faire progresser la part de logements sans but lucratif dans le parc locatif.

À ce sujet, le FRAPRU a lancé une opération de visibilité intitulée « La clé, c’est le logement social ». Le regroupement invite la population à interpeller la ministre québécoise de l’Habitation, France-Élaine Duranceau, et le premier ministre, François Legault. Un courriel leur demandant de financer le logement social à la hauteur des besoins peut ainsi leur être envoyé en quelques clics à l’adresse : www.frapru.qc.ca/cle/.

 

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Publié le 5 mars, 2024, dans la publication : Numéro_04 Volume_42

  • Centres urbains de la Côte-Nord
  • Coalition d’organismes communautaires nord-côtiers
  • Crise du logement
  • Éric Girard
  • FRAPRU
  • Gouvernement du Québec
  • Inflation
  • Ministre des Finances du Québec
  • Ministre québécoise de l’Habitation
  • Mme France-Élaine Duranceau
  • Société canadienne d’hypothèques et de logement

Publié sur le site le 5 mars 2024

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Pénurie de logements sur la Côte-Nord

Des groupes communautaires inquiets

par Éric Cyr

Le dernier rapport sur le marché locatif produit par la Société canadienne d’hypothèques et de logement (SCHL) révèle que le taux d’inoccupation des logements en location sur la Côte-Nord est très en deçà du seuil d’équilibre du marché et que le prix des loyers augmente en flèche. Des organisations communautaires ont braqué les projecteurs, le 8 février dernier, sur cette problématique qui affecte l’ensemble du territoire nord-côtier.

Cité des Bâtisseurs, un groupe de ressources techniques, la Table des groupes populaires de la Côte-Nord et le Front d’action populaire en réaménagement urbain (FRAPRU) ont fait part de leurs inquiétudes à propos de la détérioration des conditions de logement dans la région. Ils ont aussi dévoilé de nouvelles informations sur la situation des ménages locataires en se basant sur des données du recensement de Statistique Canada de 2021, analysées dans la 8e édition du « Dossier noir logement et pauvreté » du FRAPRU.

Les organismes demandent au gouvernement du Québec de planifier un véritable grand chantier de logements sociaux sous différentes formes et de prévoir un financement échelonné sur plusieurs années plutôt que le faire au compte-goutte budget après budget. Ils réclament aussi un programme pérenne et spécifiquement dédié au logement social pour assurer la mise en chantier rapide de ces logements. Ils pressent aussi le gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) d’intervenir pour mettre un frein à la flambée du coût démesuré des prix de loyers et d’accentuer les protections légales renforcées contre les évictions abusives visant à augmenter les tarifs des loyers.

Selon les organismes communautaires, ces chiffres récents illustrent l’importance que Québec devrait accorder au dossier en planifiant sur-le-champ un grand chantier de logements sociaux et en implantant d’autres mesures structurantes pour éviter que la situation du logement ne continue de se dégrader et ne dégénère encore plus. À leur avis, il est impératif de prévoir, dès maintenant, un financement pour plusieurs années plutôt que de le faire au compte-goutte budget après budget, ainsi qu’un programme pérenne et spécifiquement dédié au logement social pour assurer la mise en chantier rapide de ces logements.

Selon les récentes données de Statistiques Canada, la proportion de ménages locataires s’est accrue sur la Côte-Nord et atteint 28,7 % de la population. Déjà en 2021, 1650 ménages locataires de la région, soit 16 % d’entre eux, vivaient dans un logement inabordable consacrant plus de 30 % de leur revenu pour se loger. Ces organismes communautaires constatent que l’itinérance est de plus en plus visible sur le territoire nord-côtier et que les demandes d’aide de locataires se multiplient. Il existe actuellement une prolifération des demandes pour des projets de logements sociaux. Or, le seul programme de Québec destiné à financer des projets de logements sociaux et communautaires ne répond pas aux besoins des locataires à faibles revenus, observe la directrice de Cité des Bâtisseurs, Doris Rochette. Le fonctionnement par appel de projets et l’absence de financement pour les études d’avant-projet ralentissent le développement alors que les besoins sont pourtant urgents. Mme Rochette déplore que les montants de contributions obligatoires des municipalités à la réalisation des projets soient trop élevés et dépassent les capacités financières de petites villes.

« C’est clair, le programme d’habitation abordable (PHAQ) imposé par la CAQ depuis deux ans ne livre pas la marchandise », renchérit la porte-parole du FRAPRU, Véronique Laflamme. « Le rapport sur le marché locatif 2024 de la SCHL montre à quel point la situation du logement est catastrophique. C’est incompréhensible que le gouvernement refuse les mesures structurantes, à commencer par un programme dédié au logement social qui fonctionne », s’indigne-t-elle.

L’explosion rapide du coût des loyers ces dernières années rend encore plus précaire le sort de ceux et celles à faibles et modestes revenus. Les intervenants remarquent que plusieurs locataires ne connaissent pas leurs droits et sont mal outillés pour se défendre alors que la Côte-Nord est une des seules régions au Québec où il n’y a pas d’organisation de défense des droits des locataires. « Face à ces situations, des organismes de la région ont décidé de mettre sur pied un organisme régional de défense des droits des locataires qui aura comme mission de défendre, d’informer et de mobiliser les locataires de la région », annonce le coordonnateur de la Table des groupes populaires de la Côte-Nord, Michel Savard.

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Publié le 5 mars, 2024, dans la publication : Numéro_04 Volume_42

  • Gouvernement du Québec
  • Mme Doris Rochette
  • Organisation communautaire
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  • Programme d’habitation abordable Québec
  • Société canadienne d’hypothèques et de logement
  • Territoire nord-côtier

Publié sur le site le 5 mars 2024

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