• Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
  • Toutes les publications
  • Numéro 02

  • Un athlète olympique en renfort

    Club de judo de Fermont

    Un athlète olympique en renfort

  • Fermont, point de ralliement

    Des camions en ville

    Fermont, point de ralliement

  • Nouveau centre de santé pour les Naskapis

    Santé et services sociaux

    Nouveau centre de santé pour les Naskapis

  • Un service essentiel partiellement paralysé

    Alimentation

    Un service essentiel partiellement paralysé

  • Nouvelle  vocation pour  la MAHF

    Repositionnement social

    Une 5 février, 2018

    Nouvelle vocation pour la MAHF

Numéro 02

Un athlète olympique en renfort

Club de judo de Fermont

Un athlète olympique en renfort

Fermont, point de ralliement

Des camions en ville

Fermont, point de ralliement

Nouveau centre de santé pour les Naskapis

Santé et services sociaux

Nouveau centre de santé pour les Naskapis

Un service essentiel partiellement paralysé

Alimentation

Un service essentiel partiellement paralysé

Nouvelle  vocation pour  la MAHF

Repositionnement social

Une 5 février, 2018

Nouvelle vocation pour la MAHF

Club de judo de Fermont

Un athlète olympique en renfort

par Éric Cyr

Le judoka Sergio Pessoa père, qui a participé aux Jeux olympiques de Séoul en 1988 pour le Brésil et qui a décroché une cinquième place aux Championnats du monde en plus d’avoir été quatre fois champion panaméricain, était de passage au tout nouveau dojo du Club de judo de Fermont, les 19 et 20 janvier derniers.

L’athlète de São Paulo qui a immigré au Canada en 2004 a d’abord obtenu une offre de travail pour le club de judo Hanagata du village acadien de Kedgwick au Nouveau-Brunswick avant de se diriger vers le réputé club de judo Shidokan de Montréal et d’être recruté par Judo Canada de 2008 à 2012, où il a pris part aux Jeux olympiques d’été de Pékin, puis de Londres, et à cinq éditions des Championnats du monde seniors en tant qu’entraîneur national de l’équipe canadienne, avant de migrer pour l’équipe du Québec de judo depuis 2013. C’est dans le cadre de son mandat québécois qu’il est venu transmettre son expérience de haut niveau aux judokas fermontois.

« Ma présence contribue à motiver les entraîneurs et les athlètes des régions éloignées, ça fait partie de ma mission » confie ce dernier qui a commencé à pratiquer cette discipline à 7 ans. Le sensei qui découvre Fermont pour la première fois estime que le dojo permanent va aider à propulser l’essor du club local en favorisant un sentiment d’appartenance.

L’olympisme dans le sang

Sergio Pessoa fils, olympien de deuxième génération, a aussi pris part aux Jeux olympiques tout comme son père avant lui et qui l’a initié à cette discipline à 4 ans. Il a représenté les couleurs du Canada d’abord à Londres, puis à Rio, dans son pays natal. Des discussions ont été amorcées afin que celui-ci puisse aussi éventuellement se déplacer à Fermont.

Les jeunes judokas fermontois étaient visiblement très heureux de la présence de Sergio Pessoa père, très accessible et qui a su leur transmettre son expertise et leur prodiguer de judicieux conseils qui sauront certainement leur servir.

Pour en savoir plus, consultez la page Facebook : Judo Fermont !!

Partager

Publié le 5 février, 2018, dans la publication : Numéro 02 Volume 36

  • Athlète olympique
  • Discipline sportive
  • Dojo
  • Fermont
  • Jeux olympiques
  • Judo
  • Judoka
  • Sensei
  • Sergio Pessoa

Publié sur le site le 6 février 2018

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Des camions en ville

Fermont, point de ralliement

par Éric Cyr

De fiers élèves devant le symbole de l’oie blanche qu’arbore le CFTC depuis de nombreuses années, bien visible sur la cabine extérieure des camions qui représente bien la migration que les camionneurs effectuent régulièrement.

Deux groupes d’élèves accompagnés de leurs enseignants, des conducteurs professionnels du Centre de formation en transports de Charlesbourg (CFTC), qui offre des cours spécialisés en conduite professionnelle de véhicules lourds, se sont rejoints à Fermont, les 23 et 24 janvier derniers, afin de faire le point sur leur parcours et échanger des remorques. Le premier convoi de quatre camions en partance de Blanc-Sablon sur la Basse-Côte-Nord a emprunté la route 510 et la TransLabrador (autoroute 500) alors que la seconde caravane composée de deux poids lourds est partie de Saint-Joseph-de-Beauce et a sillonné la route nationale 389 sous la gouverne de l’instructeur Alain Michaud.

Chef de file dans le domaine du transport et notamment du camionnage, le CFTC a pour mission de former une main-d’œuvre qualifiée qui répond aux besoins de l’industrie selon des normes et exigences strictes. Le CFTC qui couvre tout le territoire de l’Est-du-Québec incluant la baie James est particulièrement reconnu pour son cours de quatre mois et demi, incluant un stage en entreprise, qui mène à l’obtention d’un diplôme d’études professionnelles (DEP) et se déplace en région selon les demandes spécifiques. Son partenaire avec qui des liens étroits existent, le Centre de formation du transport routier de Saint-Jérôme (CFTR) se concentre sur le territoire situé plus à l’Ouest.

Summum de difficultés

Les élèves de la cohorte motorisée qui s’est déplacée à Fermont possédaient déjà leur permis de conduire de classe 1, mais ce cours qui aborde tous les aspects de leur métier leur permet de parfaire leur conduite et d’obtenir une reconnaissance de l’industrie qui apprécie le professionnalisme de cette formation spécialisée. Selon l’enseignant Jean-François Lapointe parti de Blanc-Sablon avec ses collègues Mario Arsenault et Martin Boivin : « Toutes les conditions particulières sont réunies ici pour acquérir une solide expérience en milieu nordique, tant pour les élèves que pour les instructeurs. Le degré de difficulté est élevé. La 510 de Blanc-Sablon jusqu’à Red Bay au Labrador est tortueuse avec plusieurs côtes. C’est quelque chose d’appréciable et le chemin de gravier gelé de Mary’s Harbour jusqu’à Goose-Bay comporte aussi son lot de difficultés, mais j’avoue que la route 389 est dans une catégorie à part et difficile à détrôner. »

Site Internet : https://cftc.qc.ca

 

Partager

Publié le 5 février, 2018, dans la publication : Numéro 02 Volume 36

  • Camionnage
  • Centre de formation en transports
  • CFTC
  • CFTR
  • Fermont
  • Route 389
  • Route 500
  • Translabrador

Publié sur le site le 6 février 2018

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Santé et services sociaux

Nouveau centre de santé pour les Naskapis

par Éric Cyr

La communauté naskapie de Kawawachikamach, située à 15 km au nord-est de Schefferville, a inauguré son tout nouveau centre local de services communautaires (CLSC), le 23 janvier dernier, un peu plus d’un an et demi après la pelletée de terre symbolique du ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, en juin 2016. Le bâtiment moderne, beaucoup plus spacieux que le précédent, comprend plusieurs composantes fonctionnelles incluant un service d’urgence, des services de santé courants et ambulatoires notamment de médecine et de dentisterie et une unité de radiologie en plus d’héberger un volet social. Un secteur d’accueil a aussi été prévu ainsi qu’une section d’archivage et des locaux de soutien administratif. Un garage d’ambulance fait aussi partie de la structure.

Mieux adaptée aux besoins engendrés par une forte croissance démographique (la population naskapie de l’endroit a quadruplé au cours des trois dernières décennies), la nouvelle installation, d’une superficie quatre fois plus importante que celle du précédent édifice, a été érigée à l’entrée de la communauté autochtone non loin de la résidence des infirmières et répond aux normes cliniques en vigueur. L’ancien CLSC, situé au 1008 Kawawa, avait été inspiré du modèle dispensaire prévu pour accommoder une demi-douzaine d’employés alors qu’un total de 23 personnes s’y entassait avant d’être mutés vers le nouvel emplacement. Selon le chef du Conseil de bande de Kawawachikamach, Noah Swappie, cette nouvelle bâtisse est indispensable et répond à une nécessité évidente qui contribuera à diminuer le nombre d’évacuations médicales.

Architecture

De type pavillonnaire d’un seul niveau, le nouvel immeuble est assis sur une fondation de béton et érigé au moyen d’une structure de bois. De la tôle d’acier galvanisé recouvre sa toiture alors que des lattes de cèdre habillent les murs extérieurs. L’ouvrage, élaboré par les architectes en consortium de la firme STGM/Éric Lirette, a été construit par EBC en prenant en considération la réalité nordique. Le toit a été conçu en tenant compte de l’orientation des vents dominants afin d’en diminuer les impacts et de minimiser les accumulations de neige. L’apport de luminosité naturelle a aussi été favorisé par les concepteurs tout comme des mesures durables afin de diminuer la consommation d’énergie, une condition essentielle compte tenu de la rigueur du climat. Ceux-ci ont aussi choisi des matériaux et des systèmes durables afin de faciliter l’entretien.

C’est le gouvernement du Québec qui a financé la totalité des coûts de construction de 20 millions de dollars dans le cadre du Plan Nord. Les annonces faites en 2012 par le ministre de la Santé et des Services sociaux de l’époque, Yves Bolduc, prévoyaient un total de 23 M $ pour des projets d’infrastructures en santé dans la MRC de Caniapiscau incluant 16 M $ pour le CLSC à Kawawachikamach. Une somme de 6 M $ avait aussi été allouée à Schefferville pour la construction d’un dispensaire desservant la population locale de quelque 240 habitants et une résidence pour les médecins de garde. Un montant de 1 M $ avait de plus été consenti pour accroître la superficie du Centre de santé de l’Hématite à Fermont notamment par l’aménagement de trois salles multifonctionnelles au sous-sol de l’établissement.

Avec des informations du ministère de la Santé et des Services sociaux, de Radio-Canada et de Portail Constructo.

Partager

Publié le 5 février, 2018, dans la publication : Numéro 02 Volume 36

  • Centre de santé
  • Centre local de services communautaires
  • CLSC
  • Naskapis
  • Santé et services sociaux
  • Schefferville

Publié sur le site le 6 février 2018

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Alimentation

Un service essentiel partiellement paralysé

par Éric Cyr

La Coop Metro de Fermont a fonctionné à capacité réduite durant plusieurs jours alors que l’ordinateur qui relie les compresseurs régissant les réfrigérateurs et les congélateurs a fait des siennes, le 23 janvier dernier. Ce bris soudain dans l’équipement informatique a occasionné un branle-bas de combat afin de sauver les produits réfrigérés. Les denrées qui ne nécessitent pas de réfrigération et certains produits congelés étaient cependant toujours disponibles et l’épicerie est demeurée ouverte aux heures habituelles jusqu’à ce que tout rentre dans l’ordre, le 27 janvier.

Cette conjoncture malheureuse a mis en évidence les limitations causées par l’éloignement géographique et les problématiques particulières aux régions éloignées dont Fermont fait partie. Le directeur général de l’établissement d’alimentation local, Karim Khimjee, souligne le dévouement des employés qui ont travaillé d’arrache-pied et mis la main à la pâte afin de tenter de préserver le maximum de produits périssables en les déplaçant dans des congélateurs et vers deux camions réfrigérés, mais malgré tous ces efforts les pertes sont tout de même considérables, voire « astronomiques », selon ce dernier qui commentait avec désespoir la situation initiale : « Ces équipements sont désuets et le système frôle l’archaïsme. Une modernisation est essentielle. Le rapiéçage ne remédiera pas au phénomène à long terme et il faut songer à des investissements. » Le conseil d’administration de la Coop Metro devait d’ailleurs se pencher sur la question lors de leur dernière assemblée postérieure à l’événement.

Réfrigération et informatique

Le frigoriste de Réfrigération Pro-Nord et son équipe ont aussi donné les bouchées doubles afin de tenter de résoudre le problème dans leur champ d’intervention, mais celui-ci a nécessité l’expertise d’un programmeur spécialisé qui s’est déplacé de Sherbrooke vers Québec pour récupérer des pièces avant de prendre l’avion vers Fermont afin de remédier à la situation.

Du jamais vu

L’administration de la Coop Metro confirme que le problème électronique se situait dans une boîte de contrôle ayant occasionné un bris d’équipement informatique, qui a depuis été réparé. Les clients pouvaient quand même s’approvisionner en denrées aux heures normales d’ouverture puisque les tablettes étaient pleines et les produits essentiels nécessitant une réfrigération ou une congélation étaient en vente bien que les emplacements habituels aient été modifiés temporairement.

Selon M. Khimjee : « La situation pourrait être qualifiée d’inusitée et d’exceptionnelle puisque c’est la première fois de sa carrière que le programmeur spécialisé constate un tel problème. »

Après avoir effectué des tests, le programmeur a posé un diagnostic sur la cause du bris. C’est le détecteur de fuites de fluides frigorigènes, des substances et mélanges utilisés dans les circuits de systèmes frigorifiques (fréon), qui était en cause et qui a court-circuité les capteurs (fait sauter les senseurs) au nombre de six dans chaque unité de contrôle pour les deux parcs. Même si le système de refroidissement et de congélation n’a pas été atteint puisque les compresseurs n’ont pas été endommagés, il aura cependant fallu rebâtir le système de câblage électrique (filage) au complet afin de s’assurer que tout fonctionne adéquatement à l’avenir. Une fois les pièces additionnelles manquantes livrées, les techniciens ont pu compléter les réparations qui s’imposaient afin de régler le problème avant que tout puisse rentrer dans l’ordre.

Retour à la normale

L’administration de la Coop Metro est désolée des inconvénients et remercie ses membres et sa clientèle de leur appui, de leur compréhension et de leur patience durant cette période.

Sur une note plus positive, un accord est récemment survenu entre le syndicat des Métallos et la Coop Metro concernant le renouvellement de la convention collective des 14 travailleurs syndiqués, qui s’échelonnera sur trois ans.

Partager

Publié le 5 février, 2018, dans la publication : Numéro 02 Volume 36

  • Alimention
  • Aliments réfrigérés
  • Congelation
  • Conservation des aliments
  • Coop Metro
  • Denrées essentielles
  • Épicerie
  • Fermont
  • Produits surgelés
  • Réfrigération

Publié sur le site le 6 février 2018

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Repositionnement social

Nouvelle vocation pour la MAHF

par Éric Cyr

La maison d’aide et d’hébergement de Fermont (MAHF) fait peau neuve en offrant des services plus polyvalents et mieux adaptés aux besoins de la collectivité. L’administration a présenté sa nouvelle vision dans ses locaux du 4, rue Holway à Fermont, le 25 janvier dernier. Plusieurs changements ont été instaurés au bénéfice de la communauté élargie avec pour objectif de créer un sentiment d’appartenance et de favoriser une culture d’entraide et de collaboration.

L’équipe multidisciplinaire et polyvalente qualifiée de la MAHF propose un lieu de rassemblement pour la population afin de stimuler un attachement au milieu fermontois tout en créant des liens destinés à briser l’isolement et à favoriser l’échange dans un climat de camaraderie visant le mieux-être personnel et collectif. Des activités diversifiées sont proposées dont des services d’accompagnement psychosociaux et d’hébergement.

Approche multiclientèle conviviale

Désormais, la MAHF desservira l’ensemble de la population fermontoise de façon inclusive, c’est-à-dire qu’elle englobera les hommes, les femmes, les enfants et les personnes âgées à sa démarche dans un souci de maximiser l’efficacité des interventions et des ressources tout en assurant la qualité de son approche. La directrice générale de l’institution, Mélanie Beaulieu, décrit le nouveau mandat en employant les termes changement, renouvellement, innovation et polyvalence.

« La société est en mouvement et en perpétuel changement. La MAHF a pris un temps de réflexion par rapport au chemin parcouru et à son avenir afin de mieux se repositionner sur l’échiquier social. Un défi de taille puisque nous avons dû adapter nos services et réorienter notre mission et nos actions en diversifiant nos activités sans pénaliser notre clientèle cible issue de la violence conjugale, qui demeure une priorité, et tout en élargissant notre champ d’intervention et en ralliant notre expertise aux autres types de problématiques rencontrées localement. »

Mme Beaulieu explique que l’offre de services a été scindée en deux volets distincts soit celui de l’hébergement et celui de l’intervention.

Volet hébergement

Le volet hébergement offert 24h/24, 7 jours semaine comprend le dépannage, un service adapté à la personne en difficulté lors de circonstances graves, imprévisibles et temporaires. Il y a aussi la convalescence et la situation de crise afin d’assurer la continuité des services déjà offerts par le Centre intégré de santé et de services sociaux de la Côte-Nord dans l’installation de l’Hématite à Fermont. Finalement, le répit, une période planifiée à durée limitée destinée à accorder à la famille un ou des moments de relâche et de détente afin de prévenir l’épuisement physique et émotif. Pour le côté hébergement, un ascenseur est en fonction pour les personnes handicapées et à mobilité réduite, un bain adapté et un lève-personne sont aussi disponibles.

Volet intervention

Le volet intervention gratuit et sécuritaire est offert à toute la population incluant un service pour les familles victimes de violence conjugale. Le centre de jour est ouvert de 9 h à midi et 13 h à 15 h du lundi au vendredi et offre diverses activités susceptibles d’intéresser une majorité de la population comme des groupes de discussion, des cuisines collectives, du bricolage parent-enfant, les Curieus’arts, le P’tit dej, les Dîners-santé, le Club des mini-explos (développement psychomoteur de l’enfant), Pause-café, Cardiovélo parents et Pour adultes seulement. Une ligne d’écoute téléphonique est disponible en tout temps au 418 287-5896.

Venez rencontrer les intervenantes et profitez-en pour visiter les installations du 4, rue Holway. Téléphone : 418 287-5625. Site internet : www.mahf.ca.

Partager

Publié le 5 février, 2018, dans la publication : Numéro 02 Volume 36

  • Fermont
  • Intervention
  • MAHF
  • Maison d'aide et d'hébergement
  • Prévention épuisement
  • Répit aidants naturels
  • Services psychosociaux
  • Violence conjugale

Publié sur le site le 6 février 2018

  • Publication précédente
  • Prochaine publication
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Contactez-nous
  • Devenez membre
  • Annoncer avec nous
  • Le journal
  • L’Équipe
  • Historique
  • Distinctions
  • M’inscrire à l’infolettre

Le journal est membre :

  • de l'Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ) et
  • du Conseil de la culture et des communications de la Côte-Nord (CRCCCN).

La conception de ce site Web s'inscrit de dans le cadre de la mise en oeuvre du Plan culturel numérique du Québec (www.culturenumerique.mcc.gouv.qc.ca)

 

Le média écrit aimerait remercier tous ceux qui nous ont soutenus au cours des années et qui contribuent à la pérennité de ses activités :

  • Culture et Communications Québec
  • Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ)
  • MRC de Caniapiscau
  • Ville de Fermont
  • ArcelorMittal Exploitation Minière Canada
© Journal le Trait d'Union du Nord, Tous droits réservés.
Conception mamarmite