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  • Numéro 11

  • Guylaine Tanguay fait tanguer le public

    Guylaine Tanguay fait tanguer le public

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    Sauvetage sur glace

    Une 11 juin, 2018

    Une simulation fort profitable

Numéro 11

Guylaine Tanguay fait tanguer le public

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Guylaine Tanguay fait tanguer le public

Le retour des bernaches

Migration

Le retour des bernaches

La grève est terminée

Rio Tinto IOC

La grève est terminée

Une simulation fort profitable

Sauvetage sur glace

Une 11 juin, 2018

Une simulation fort profitable

Guylaine Tanguay fait tanguer le public

Guylaine Tanguay fait tanguer le public

par Éric Cyr

Véritable conte de fées de la musique québécoise des dernières années, l’attachante, mais non moins impétueuse Guylaine Tanguay, la fougueuse voix de la musique country qui roule sa bosse de festival en festival depuis une vingtaine d’années figure désormais régulièrement au sommet des ventes d’albums. Celle qui a longtemps évolué sous le radar a prestement émergé vers un succès inattendu qui l’a propulsée jusqu’en tête d’affiche. L’artiste a présenté son spectacle « Mon livre vert », accompagnée de ses musiciens, le 26 mai dernier à l’aréna Daniel-Demers de Fermont devant une foule enchantée.

Étoile montante

À 45 ans, la vedette populaire qui baigne dans le country depuis son tout jeune âge chante avant tout pour faire plaisir à son public qui a justement eu droit à une performance des plus bouillonnantes avec des titres bien connus comme « Quand le soleil dit bonjour aux montagnes », « Je voudrais être Madelinot » et « Partons la mer est belle » en passant par du Johnny Cash et du Janis Joplin.

C’est peut-être là la recette de son élixir de jouvence, car elle n’affiche pas une ride tout comme les pièces musicales qu’elle choisit d’interpréter d’ailleurs.

Elle n’offre que du vrai, du brut et de l’énergie pure. Originaire du Lac-Saint-Jean, c’est avec un chapeau de cowgirl et du sang de bleuets dans les veines qu’elle en a donné plein la vue et les oreilles à son auditoire avec la complicité de ses talentueux musiciens, particulièrement le violoniste, dont elle sait fort bien tirer parti. Son énergie contagieuse l’a propulsée en tournée dans différents pays avant un retour aux racines des mélodies qui ont bercé son enfance. Son douzième album « 3764 Elvis Presley Boulevard » qui rend hommage à l’œuvre musicale
du « King » est sorti le 8 juin.

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Publié le 11 juin, 2018, dans la publication : Numéro 11 Volume 36

  • Chanteuse country
  • Fermont
  • Guylaine Tanguay
  • Lac-Saint-Jean
  • Musique country
  • Musique québécoise
  • Star
  • Vedette populaire

Publié sur le site le 11 juin 2018

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Migration

Le retour des bernaches

par Éric Cyr

Sur la photo prise par le photographe amateur Denis Allard, une bernache sur le lac Petit Wabush non loin de la promenade Tamarack à Labrador City.

La migration printanière des bernaches du Canada vers le nord, en suivant la ligne de la fonte des neiges, afin d’aller se reproduire dans les régions septentrionales a débuté. Plusieurs de ces oiseaux se sont arrêtés un moment dans la région au début mai pour prendre un répit durant leur long périple aérien au grand bonheur des adeptes d’ornithologie, mais surtout des observateurs curieux.

Ces anatidés effectuent plusieurs arrêts en cours de route pour se nourrir afin de se constituer des réserves nécessaires à la migration et à la reproduction. Les bandes migratrices sont facilement reconnaissables à leur formation en « V » irrégulière lorsqu’elles volent au printemps et à l’automne. Cette configuration leur permet de se servir des courants d’air grâce à l’effet du « tirant » dont ils profitent et qui les aide à conserver leur énergie et à franchir de longues distances. Les liens familiaux sont forts chez la bernache du Canada. Les oisillons demeurent avec leurs parents une année entière et retournent avec eux dans les aires de reproduction après leur premier hiver. Les bandes migratrices comprennent un bon nombre de familles qui voyagent ensemble. On peut aussi souvent les entendre puisqu’elles cacardent habituellement en un chœur soutenu.

Rien à voir avec l’outarde

Au pays, la plus grande des oies noires est souvent appelée à tort outarde à cause de sa ressemblance avec le mâle de l’outarde canepetière. Il s’agit pourtant de deux espèces totalement différentes puisque la bernache est un oiseau aquatique avec des pattes palmées et un bec rond comme ceux d’une oie alors que l’outarde est un oiseau terrestre avec des pattes non palmées et un bec pointu. Cette confusion remonte à l’arrivée des premiers colons en Amérique, mais perdure jusqu’à aujourd’hui.

Saviez-vous que la bernache :

-peut parcourir plus de 1 000 km en une journée.
-niche dans la même aire où ses parents ont niché et utilise souvent le même nid annuellement.
-s’accouple pour la vie, mais si l’un des partenaires meurt, l’autre se trouvera un nouveau compagnon.

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Publié le 11 juin, 2018, dans la publication : Numéro 11 Volume 36

  • Anatidés
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  • Oiseaux migrateurs
  • Ornithologie
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Publié sur le site le 11 juin 2018

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Rio Tinto IOC

La grève est terminée

par Éric Cyr

Les 1 304 travailleurs des sections locales 5795 et 6731 du Syndicat des Métallos/Steelworkers de la minière Rio Tinto IOC à Labrador City, qui étaient en grève depuis le 26 mars 2018 après avoir refusé une première entente de principe, se sont prononcés, le 28 mai dernier, dans une proportion de 79 % pour légitimer un nouveau contrat de travail de cinq ans mettant ainsi fin au conflit qui les opposait à leur employeur. Leurs quelque 300 confrères de la section 9344 à Sept-Îles sur la Côte-Nord ont emboîté le pas le lendemain en entérinant le second accord proposé par la partie patronale à 80 %.

Les employés de la compagnie minière IOC au Labrador Ouest ont donc délaissé les piquets de grève qu’ils occupaient depuis plus de deux mois afin de retourner vaquer à leurs occupations professionnelles. Un total de 117 travailleurs, composant une partie de leurs collègues nord-côtiers affectés à la voie ferrée et aux activités portuaires à Sept-Îles, qui avaient été mis à pied le 14 mai à cause de la grève qui sévissait au Labrador, ont été invités par l’entreprise à se présenter au travail le 30 mai après l’acceptation de cette nouvelle convention collective. Les syndiqués québécois qui détenaient le droit de grève depuis le 10 avril n’ont pas pu exercer ce moyen de pression, car ils étaient toujours en attente d’une décision du Conseil canadien des relations industrielles qui devait se prononcer sur les services essentiels à maintenir. Le récent dénouement leur permettra d’éviter cette option qui n’a plus sa raison d’être à la suite du règlement.

Solidarité sans faille

« Cette négociation a demandé une grande patience et une grande solidarité de tous les membres. Nous avons attendu, nous sommes restés solidaires de nos confrères au nord. Et le résultat en fin de compte est à la satisfaction de tous. La ténacité de nos membres aura porté ses fruits », explique le président de l’unité sept-îlienne 9344, Eddy Wright. Le représentant syndical des Métallos, Dany Maltais, confie pour sa part : « Le contrat est en deux parties. Il y a une entente locale et une entente commune. Les membres sont satisfaits du contrat dans son ensemble. Voilà où a mené la combativité de l’ensemble des travailleurs d’IOC. »

Le tronc commun du nouvel arrangement prévoit une majoration des cotisations de l’employeur dédiées aux retraites et des hausses salariales annuelles de 2,4 % sont aussi au menu pour la durée de cet accord.

Pour les travailleurs québécois, le maximum de dépenses de santé pouvant être assurées à vie est augmenté substantiellement alors que pour ceux du Labrador il y aura une meilleure couverture des soins médicaux qui comprend un accroissement du plafond des prestations qui est dorénavant fixé à 45 000 $ annuellement, avec une garantie de l’employeur de couvrir les frais directement s’il y a un dépassement de coûts au niveau des assurances durant la durée de la nouvelle convention, selon le président de la section labradorienne 5795, Ron Thomas. Ce dernier confie que les travailleurs temporaires ne constitueront plus un problème puisque les nouvelles embauches seront exclusivement réservées pour des postes à temps plein.

M. Thomas considère que les membres qu’il représente ont obtenu dans l’ensemble ce qu’ils souhaitaient moyennant quelques compromis raisonnables. « Ce qui est malheureux c’est qu’il aura fallu en arriver à déclencher une grève qui aura duré neuf semaines avant de parvenir à finalement s’entendre de façon juste et équitable. » Pour Rio Tinto IOC, cet arrangement offre des conditions de rémunération concurrentielles tout en assurant la flexibilité nécessaire pour assurer la pérennité et la compétitivité de l’entreprise minière.

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Publié le 11 juin, 2018, dans la publication : Numéro 11 Volume 36

  • Contrat de travail
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Publié sur le site le 11 juin 2018

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Sauvetage sur glace

Une simulation fort profitable

par Éric Cyr

Un formateur expérimenté de l’entreprise Sauvetage Nautique, Sylvain Gariépy, s’est déplacé à Fermont dans le cadre d’un cours en sauvetage sur glace, les 24 et 25 mai derniers. Cette formation au contenu éducatif à la fois théorique et pratique avec jeu de rôle était destinée aux pompiers et aux intervenants en sauvetage et a rassemblé plusieurs soldats du feu de la caserne 12 de Fermont qui ont pu bénéficier de l’expérience de ce chef de file dans le domaine, qui offre une instruction de haut niveau professionnel.

Promotion de la sécurité

Plusieurs pompiers locaux ont déjà assimilé un savoir-faire essentiel dans le cadre d’un programme spécifique d’apprentissage qui prodigue l’acquisition de connaissances et d’habiletés nécessaires aux interventions de premiers répondants sur les plans d’eau, incluant des compétences spécialisées en sauvetage nautique, afin de bien maîtriser les techniques fondamentales de cette discipline et d’en comprendre les principes de base destinés à assurer l’efficacité des manœuvres sur le terrain. Ces derniers ont par la suite pu prendre part à un enseignement en sauvetage sur glace qui couvre les différents processus permettant d’agir rapidement et de façon sécuritaire lors des opérations de récupération de personnes en détresse sur glace et en eau froide selon des caractéristiques particulières. De la rive ou d’une embarcation, dans l’eau ou sur la glace, l’interception d’un être humain ou d’un animal en perdition doit se faire dans des conditions sécuritaires pour les sauveteurs et cette matière présentait les différentes approches permettant d’agir de façon rapide tout en minimisant les dangers lors de ce type d’appui.

« La mise en place d’une équipe complète et prête à intervenir en sauvetage sur glace et en eau froide apportera une grande fierté et une satisfaction à l’ensemble du personnel du service de sécurité incendie de Fermont et qui de plus, rendra à la population une sécurité accrue qui sera bénéfique en matière de sécurité pour l’ensemble de tous »,
confie M. Gariépy.

Un volet pratique craquant

Après avoir bien compris l’aspect théorique en classe, les élèves ont enfilé leur équipement et ont sauté dans leurs véhicules d’urgence en direction du lac Daviault où ils se sont déployés. Ils ont pu expérimenter sur place l’application de leurs nouvelles connaissances de façon très réaliste grâce à la reproduction d’un scénario inspiré d’une potentielle situation réelle. Dans le cadre de cet exercice aux exigences particulièrement distinctes des autres préceptes spécifiques relatifs à des situations d’urgence, les équipes de sauveteurs locaux ont dû, après avoir repéré les victimes, les sécuriser le plus promptement possible en apportant les premiers secours en coordination avec les autres ressources spécialisées.

Ces cours agréés par Transports Canada et la CNESST répondent aux impératifs des connaissances de sécurité nautique tels qu’énoncés dans la norme du cours de sécurité nautique de la Garde côtière canadienne.

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Publié le 11 juin, 2018, dans la publication : Numéro 11 Volume 36

  • Fermont
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  • Premiers répondants
  • Sauvetage nautique
  • Situation d'urgence

Publié sur le site le 11 juin 2018

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