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  • Numéro 9

  • Les honneurs pour  Le Trait d’union du Nord

    Médias écrits communautaires

    Les honneurs pour Le Trait d’union du Nord

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    Parti libéral du Québec

    D’un scandale à l’autre

  • TempoDanse séduit  le public fermontois

    Danse moderne

    TempoDanse séduit le public fermontois

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    Renouvellement de la convention collective d’ArcelorMittal

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    Assemblée nationale du Québec

    Une 15 mai, 2017

    Hommage à Cancer Fermont et à son instigateur

Numéro 9

Les honneurs pour  Le Trait d’union du Nord

Médias écrits communautaires

Les honneurs pour Le Trait d’union du Nord

D’un scandale à l’autre

Parti libéral du Québec

D’un scandale à l’autre

TempoDanse séduit  le public fermontois

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Hommage à Cancer Fermont et à son instigateur

Assemblée nationale du Québec

Une 15 mai, 2017

Hommage à Cancer Fermont et à son instigateur

Médias écrits communautaires

Les honneurs pour Le Trait d’union du Nord

par Éric Cyr

Légende : Louise Vachon, présidente du conseil d’administration du Trait d’union du Nord, reçoit un des cinq prix du journal local remis par l’AMECQ lors du gala 2017.

Le Trait d’union du Nord (TDN) a obtenu le titre de deuxième média de presse écrite communautaire de l’année lors du 36e congrès de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ) qui s’est tenu du 28 au 30 avril dernier à l’hôtel Chéribourg, à Orford en Estrie. Le journal était en compétition contre 85 journaux et revues québécois. En plus de cette distinction, quatre autres prix s’ajoutent.

Le TDN était finaliste dans six catégories sur neuf (sur huit si l’on exclut la catégorie opinion) et s’est classé deuxième média communautaire de l’année, un grand honneur puisque ce prix ne tient pas compte du nombre de tirages comme auparavant. Le Trait d’union du Nord a donc dû affronter toutes publications communautaires confondues, dont celles disposant de plus de moyens et ayant un tirage beaucoup plus élevé.

La graphiste Lynda Raiche a remporté la deuxième place dans la catégorie « conception graphique tabloïd » pour le volume 34, no.17 du 10 octobre 2016. Le chroniqueur Bernard Jolicoeur, qui est aussi biologiste et dentiste, a récolté la deuxième position dans la catégorie « chronique » pour l’article Chasse à la tourterelle triste : pour ou contre? Le rédacteur en chef et journaliste Éric Cyr a obtenu le troisième prix pour la « photographie de presse illustrant le mieux un article » pour la photo d’un accident représentant l’article La 389 renversante et bouleversante. L’ancien rédacteur en chef Guillaume Rosier a pour sa part mérité une troisième position dans la catégorie « entrevue » pour son texte À 70 ans, Michel Beaudoin vit d’aventures et de dopamine. C’est la présidente du conseil d’administration, Louise Vachon, qui a reçu les prix au nom des lauréats du TDN.

Cette dernière confie : « Je suis très fière des honneurs reçus par le journal. Beaucoup d’efforts et d’heures de travail ont été fournis par les employés et les bénévoles dans la réalisation de chacune des éditions de notre journal et ça fait plaisir que la qualité de notre produit soit reconnue et appréciée par nos pairs. »

C’est Journal Mobiles de Saint-Hyacinthe qui a raflé les grands honneurs en remportant le titre du média écrit communautaire de l’année.

Diversité de l’information

Durant le rassemblement, les représentants des médias sur place ont pu assister à des conférences et participer à des ateliers de formation, en plus de prendre part à l’assemblée générale et au traditionnel banquet au cours duquel se déroulait la remise annuelle de prix. Pour clore le congrès, quatre journaux ont fait part de leur vécu aux participants en partageant des anecdotes et en parlant de leurs expériences médiatiques. L’allocution de clôture fut prononcée par le ministre de la Culture et des Communications, Luc Fortin, qui a réitéré son soutien (sic) aux journaux communautaires en affirmant qu’ils contribuaient à maintenir la démocratie au Québec en permettant la diversité de l’information, surtout en région.

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Publié le 15 mai, 2017, dans la publication : Numéro 9 Volume 35

  • 2e prix média de l'année
  • 36e congrès de l'AMECQ
  • Association des médias écrits communautaires du Québec
  • Gala AMECQ 2017
  • Reconnaissance médiatique
  • TDN

Publié sur le site le 17 mai 2017

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Parti libéral du Québec

D’un scandale à l’autre

par Éric Cyr

Source photo : La Presse

L’ancien premier ministre du Québec, le libéral Jean Charest et un ancien collecteur de fonds du Parti libéral du Québec (PLQ), Marc Bibeau, sont visés par une enquête de l’Unité permanente anticorruption (UPAC) alors que les partis d’opposition scandalisés demandent à l’actuel premier ministre libéral Philippe Couillard de rendre des comptes.

La grande famille libérale éclaboussée

Le premier ministre du Québec, Philippe Couillard, continue de défendre les amis libéraux selon le chef de la Coalition avenir Québec (CAQ), François Legault, dont le parti a exigé et obtenu une enquête de la Vérificatrice générale (VG), d’abord rejetée par le premier ministre, sur différentes ententes entre le gouvernement libéral et l’ex-grand argentier libéral Marc Bibeau. Selon la CAQ, l’actuel directeur de cabinet de M. Couillard, Jean-Louis Dufresne, a été au centre d’un système d’influence qui a bénéficié à la famille libérale et a défendu les intérêts économiques de Bibeau avec qui il a eu des liens d’affaires.

Les spectres libéraux hantent le gouvernement

Le chef de l’opposition officielle, Jean-François Lisée, du Parti québécois (PQ), à l’instar des autres partis d’opposition s’est dit « frustré » de constater que l’enquête visant M. Charest n’ait pas encore abouti et il a fait un lien direct entre ces révélations et les accusations de fraude, d’abus de confiance et de corruption qui visaient l’ancienne ministre dans le cabinet Charest et ancienne vice-première ministre du Québec de 2007 à 2011, Nathalie Normandeau, et l’ex-ministre et organisateur politique libéral, Marc-Yvan Côté, arrêté par l’UPAC au printemps 2016 et qui fait face à des accusations de complot, de corruption de fonctionnaires, de fraudes envers le gouvernement et d’abus de confiance au terme d’une enquête sur l’octroi de financement politique en échange de contrats publics. Ce dernier, qui a comparu devant la commission Gomery et dont la réputation a aussi été entachée par la commission Charbonneau, avait été banni à vie du Parti libéral du Canada pour son implication dans le scandale des commandites dans les années 1990. Selon le chef péquiste, on a maintenant la preuve que l’UPAC a travaillé jusque l’an dernier à essayer de faire une démonstration qu’en haut de la pyramide, il y avait Jean Charest et Marc Bibeau.

« Mme Normandeau n’a pas travaillé toute seule, M. Côté n’a pas travaillé tout seul. Les firmes d’ingénieries n’ont pas travaillé toutes seules : il y avait une tête à ce réseau », poursuit M. Lisée.

Des squelettes dans le placard

La CAQ a demandé que la VG, qui a finalement obtenu le mandat d’étudier les liens commerciaux, notamment les contrats de location et les baux conclus entre les entreprises de Marc Bibeau et toute organisation du gouvernement et de se pencher plus précisément sur les conditions d’octrois et les conditions financières de ces derniers, afin d’assurer aux Québécois que les contrats signés avec les entreprises de Marc Bibeau par le gouvernement du Québec ont été conclus à la valeur marchande et conformément aux meilleures pratiques dans leur attribution.

Les libéraux et la mafia

La CAQ dénonce l’aveuglement volontaire et symptomatique de Philippe Couillard qui a finalement cédé en faisant appel à la VG : « Il faut toujours attendre que l’évidence lui saute aux yeux pour qu’il bouge. Qu’il le veuille ou non, le passé rattrape Philippe Couillard qui s’est entouré des mêmes personnes au cœur du système d’influence libéral : les mêmes proches de Marc Bibeau, les mêmes qui ont servi sous Jean Charest. »

La députée caquiste de Montardville, Nathalie Roy, a exigé la tenue d’une commission parlementaire pour entendre le sergent détective Yves Francoeur de la Fraternité des policiers du Service de police de la Ville de Montréal qui allègue selon la CAQ que : « des enquêtes criminelles bétons ont été bloquées, notamment parce que celles-ci touchaient deux membres du caucus libéral dont un député libéral qui est toujours en fonction et qui aurait favorisé un promoteur immobilier proche de la mafia. » Selon Mme Roy, on parle d’une enquête criminelle pour fraude, trafic d’influence, modifications législatives dans un dossier immobilier.

Charest-Couillard, deux faces d’une même pièce?

Selon le chef de la CAQ, François Legault : « Philippe Couillard essaie de prendre ses distances des années Bibeau-Charest, de faire croire que tous les problèmes appartiennent au passé. Il est consternant de le voir aussi passif. Il se lave les mains de l’époque du gouvernement Charest, alors qu’il en était une des têtes d’affiche! Philippe Couillard doit comprendre que les Québécois sont en colère. Ils en ont assez des histoires de copinage libéral. On apprend chaque jour de nouveaux liens entre l’entourage du premier ministre et les grands argentiers du Parti libéral. Les scandales et révélations troublantes, eux aussi, se multiplient. »

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Publié le 15 mai, 2017, dans la publication : Numéro 9 Volume 35

  • Famille libérale
  • Jean Charest
  • Mafia
  • Parti libérale du Québec
  • Philippe Couillard
  • PLQ
  • Politique québecoise
  • Scandales libéraux

Publié sur le site le 17 mai 2017

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Danse moderne

TempoDanse séduit le public fermontois

par Éric Cyr

La troupe de danse fermontoise TempoDanse a présenté son tout premier spectacle à l’auditorium de la polyvalente Horizon-Blanc, le 4 mai dernier, devant une salle comble de 300 personnes. L’auditoire ravi a apprécié la performance des danseurs locaux qui ont su les charmer.

Suivre le mouvement

Les danseurs et danseuses ont réussi à éblouir le public principalement composé de parents et amis venus encourager les vedettes du rythme dans une ambiance dynamique sur des musiques variées et populaires.

Du tempo de toutes les couleurs

C’est Roxanne Tardif, qui a évolué dans des écoles de danse alors qu’elle était plus jeune, qui a créé cette nouvelle troupe afin de transmettre sa passion à des élèves regroupés en différents niveaux, soit tempo bleu pour les 4-5 ans, tempo vert pour les 1re et 2e années, tempo jaune pour les 3e et 4e années, tempo rouge pour les 5e et 6e années et tempo turquoise pour les 1er à 5e secondaires. Sa première expérience à titre de professeure de danse a donné un résultat surprenant digne des grandes compagnies de danse.

La jeune femme qui a ainsi réalisé un de ses plus grands rêves confie : « Que d’émotions! Je suis très heureuse du résultat et je souhaite féliciter les 47 élèves qui ont très bien performé en offrant une magnifique prestation pour leur premier spectacle de danse. Cette soirée inoubliable restera gravée dans mon cœur. Ce fut l’un des moments les plus mémorables de ma vie et je remercie le public extraordinaire qui a permis aux enfants d’avoir des milliers d’étoiles dans les yeux. »

Monter un tel spectacle ne se fait pas sans efforts. Il aura fallu beaucoup de répétitions et d’organisation. « Il faut avoir des rêves et j’espère que mes élèves ont compris cette leçon de vie. Je leur souhaite de toujours croire en leurs aspirations et de ne jamais perdre de vue leurs objectifs. Lorsque l’on demeure optimiste et qu’on n’abandonne jamais, la vie finit toujours par nous récompenser », poursuit Mme Tardif qui tient à exprimer sa gratitude envers tous ceux qui se sont impliqués dans la concrétisation du spectacle : le comité de mères bénévoles, les finissants de 5e secondaire et le responsable de la logistique Dany Dionne, du Comité de spectacles de Fermont, qui assurait, en plus de l’éclairage et du son, une projection d’images sur écran géant à droite de la scène, ainsi que Mélissa Gauthier. La Ville de Fermont et la MRC de Caniapiscau ont aussi contribué à cette belle réussite.

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Publié le 15 mai, 2017, dans la publication : Numéro 9 Volume 35

  • Compagnie de danse
  • Danse Fermont
  • Danse moderne
  • Roxane Tardif
  • Spectacle de danse
  • TempoDanse
  • Troupe de danse fermontoise

Publié sur le site le 15 mai 2017

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Renouvellement de la convention collective d’ArcelorMittal

Rejet en bloc des offres avant de conclure une entente de principe

par Éric Cyr

Au moment de mettre sous presse, c’est avec une très forte majorité de 99,6 % que les 2 000 travailleurs syndiqués d’ArcelorMittal sur la Côte-Nord à Fermont, Fire Lake et Port-Cartier avaient rejeté l’offre finale de leur employeur, décidant du même coup de déclencher une grève en l’absence de règlement. Le ton a monté d’un cran à la suite de la proposition de la multinationale d’instaurer un régime de retraite à deux vitesses, désavantageux pour les nouveaux travailleurs, qui a été vivement décrié par les membres. La compagnie a par la suite rapidement rappelé le syndicat à la table de négociations après avoir fait appel en renfort à l’ancien premier ministre du Québec, Lucien Bouchard, en tant que négociateur pour la partie patronale.

Sauver l’héritage

« Le mandat est clair : il n’est pas question de lâcher les jeunes. Le régime de retraite doit être maintenu pour tous. Si l’employeur s’entête, le minerai restera là où il est, aussi longtemps qu’il le faudra pour assurer des conditions de travail équitables pour tous les travailleurs, actuels et futurs. Les anciens se sont battus pour ce régime de retraite, les membres actuels sont déterminés à le transmettre aux plus jeunes », fait valoir le coordonnateur des Métallos pour la Côte-Nord, Nicolas Lapierre.

Règlement ou conflit de travail

Outre le régime de retraite, les syndiqués demandent de rapatrier au sein d’ArcelorMittal des postes attribués à des sous-traitants. Le syndicat souhaite entre autres s’attaquer aux différences entre les conditions des travailleurs du site minier de Fire Lake et de ceux de la mine du Mont-Wright. « Il est minuit moins une. Le nœud est simple à défaire, du moment que la volonté y est de la part de l’employeur qui ne doit pas douter de la détermination des 2 000 membres! S’il faut passer par un conflit, les membres n’hésiteront pas », confie le syndicaliste.

Aux grands maux les grands remèdes

L’adjoint au directeur québécois des Métallos, Dominic Lemieux, était de passage à Fermont afin de rencontrer les associations syndicales sur place et discuter avec les membres sur le terrain. Le syndicat a fait appel à ce négociateur expérimenté afin de tenter de dénouer l’impasse après que la multinationale a transmis ses offres finales, mais non globales, au grand mécontentement des travailleurs. « Quand il y a des dossiers chauds, c’est là que j’embarque. J’ai participé aux négociations de Rio Tinto Alcan et à celles de Lafarge à Saint-Constant », confie le colosse imposant avant d’être interrompu par un appel téléphonique concernant la mine Raglan dans le nord du Québec.

Le respect, la pierre angulaire

Le principal élément qui contribue à accentuer les tensions entre ArcelorMittal et les travailleurs selon M. Lemieux est le manque de respect de la compagnie à l’égard de ses employés qui sont considérés selon ce dernier comme de simples pions et ne sont pas consultés dans des décisions qui les concernent et qui sont prises à leurs dépens. « Les travailleurs veulent regagner le respect de l’employeur. Ils ne se sentent plus respectés. » Il y a aussi beaucoup de contrats accordés en sous-traitance et ça ne passe pas.

« Durant le blitz de négos, le conciliateur a recommandé la présence d’un décideur du côté patronal, le vice-président des ressources humaines a alors été appelé. Du côté syndical, c’est moi qui occupe ce poste. »

Selon le pilier syndical, une retraite fermée à Québec regroupant les différents intervenants a permis de faire certaines avancées au niveau du normatif (tous les volets non pécuniaires) notamment pour les vacances, mais les discussions ont accroché sur l’aspect financier. « Il y a encore des enjeux majeurs en suspens dont un écart important de 8 $ l’heure entre les travailleurs de la mine de Fire Lake et celle du Mont-Wright, les horaires de travail, le rattrapage, la prime du fer à laquelle certains travailleurs n’ont toujours pas droit et le fonds de pension. D’autres clauses notamment l’augmentation salariale et les assurances collectives ne sont pas encore réglées », expliquait ce dernier avant l’annonce de la minière de confier le rôle de négociateur à Lucien Bouchard, qui avait déjà occupé ce poste en 2005 à l’époque de la minière Québec Cartier.

Le gros canon

Le président et chef de la direction d’ArcelorMittal Exploitation Minière Canada, Pierre Lapointe, a commenté l’arrivée de l’ancien politicien dans l’arène : « Cette décision a été prise avec la ferme intention de se donner les moyens nécessaires pour conclure une entente satisfaisante pour les deux parties. » Une entente de principe a finalement été conclue à Montréal entre le syndicat des Métallos et le géant de l’acier. Les syndiqués devaient se prononcer sur le contenu de l’entente avant de choisir de l’entériner ou non, le 11 mai dernier.

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Publié le 15 mai, 2017, dans la publication : Numéro 9 Volume 35

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Publié sur le site le 15 mai 2017

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Assemblée nationale du Québec

Hommage à Cancer Fermont et à son instigateur

par Éric Cyr

Légende : La médaille de l’Assemblée nationale représente, coté avers, l’hôtel du Parlement et côté revers, Jean-Antoine Panet, premier orateur de la Chambre d’Assemblée du Bas-Canada.

Le président-fondateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, a été honoré en recevant, au nom de l’organisme caritatif qu’il a fondé, la médaille de l’Assemblée nationale, le 4 mai dernier à Québec. La mission unique de l’œuvre de charité fermontoise qui a vu le jour en 2005 a suscité des éloges de la députée de Duplessis, Lorraine Richard, du Parti québécois, qui a tenu à souligner son apport inestimable à la communauté qu’elle dessert.

Consécration bien méritée

Mme Richard a rendu hommage à Cancer Fermont, en profitant de la présence de quelques bénévoles de l’organisation à l’hôtel du Parlement sur la colline Parlementaire à Québec pour remettre à son préconisateur, Denis Grenier, la prestigieuse distinction.

« Depuis 2005, Cancer Fermont offre un soutien indéfectible aux personnes qui luttent contre un cancer ainsi qu’à leurs proches. Sa mission est non seulement de soutenir financièrement les Fermontois et Fermontoises aux prises avec un cancer, mais aussi d’offrir un accompagnement aux familles afin de briser l’isolement qu’elles vivent en raison de la maladie. L’équipe de bénévoles illumine leurs journées lors des moments plus difficiles et contribue à promouvoir les saines habitudes de vie. Bravo à M. Grenier et à toute son équipe pour leur implication de tous les instants. Les citoyens de Fermont sont fiers de vous! »

Reconnaissance légitime

Le moteur principal et inspirateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, qui a aussi reçu le Prix du gouverneur général pour l’entraide en 2014, est très ému de cet égard particulier et il souhaite remercier les citoyens et les entreprises de la région de leur considération et de leur travail exemplaire ainsi que de leur généreuse contribution qui a grandement favorisé cette belle réussite, mais aussi saluer le courage de ceux qui luttent contre le cancer. « Cette idée a germé dans ma tête, mais ça prend des personnes pour concrétiser et entretenir ce rêve qui profite aux malades et qui contribue à alléger leurs souffrances et à les accompagner durant cette épreuve pénible. Je tiens à exprimer ma gratitude à tous ceux qui se sont impliqués au sein de Cancer Fermont depuis les débuts et dont je tairai les noms par crainte d’en oublier. Je m’en voudrais cependant de ne pas mentionner ma femme, Marlène Rioux, qui œuvre à mes côtés et qui m’a toujours soutenu dans cette grande aventure. »

La vocation de Cancer Fermont, qui a distribué près de 400 000 $ aux personnes atteintes du cancer et à leurs proches dans la collectivité fermontoise depuis près de douze ans, est unique au pays et son instaurateur, M. Grenier, espère que son cachet particulier sera remarqué ailleurs afin que ce type d’action puisse retentir vers de plus vastes horizons et aider concrètement plus de victimes du fléau qu’est le cancer. « Ça a commencé comme ça pour d’autres organismes à but non lucratif comme les Clubs des petits déjeuners et Opération Nez rouge, alors pourquoi ne pas étendre cet autre concept québécois ? »
L’éternel optimiste au grand coeur rêve déjà que cet organisme puisse élargir ses activités, toujours dans le même esprit d’entraide, et que son mentorat puisse inspirer d’autres promoteurs désintéressés.

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Publié le 15 mai, 2017, dans la publication : Numéro 9 Volume 35

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  • Denis Grenier
  • Députée de Duplessis
  • Lorraine Richard
  • Médaille de l'Assemblée nationale
  • Organisme caritatif
  • Soutien aux cancéreux

Publié sur le site le 15 mai 2017

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