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  • Numéro_18

  • Une fermeture brusque et soudaine

    Transport aérien

    Une 4 novembre, 2025

    Une fermeture brusque et soudaine

  • Une interprétation douteuse

    Transport aérien régional

    Une interprétation douteuse

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    MAHF

    Mobilisation pour la Marche mondiale des femmes

  • Le pari d’un cycliste audacieux

    TransQuébec-Labrador

    Le pari d’un cycliste audacieux

Numéro_18

Une fermeture brusque et soudaine

Transport aérien

Une 4 novembre, 2025

Une fermeture brusque et soudaine

Une interprétation douteuse

Transport aérien régional

Une interprétation douteuse

Mobilisation pour la Marche mondiale des femmes

MAHF

Mobilisation pour la Marche mondiale des femmes

Le pari d’un cycliste audacieux

TransQuébec-Labrador

Le pari d’un cycliste audacieux

Transport aérien

Une fermeture brusque et soudaine

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, l’entrave de la circulation des autobus de travailleurs lors du geste de désobéissance civile survenu le 21 octobre dernier. Sur la couverture, des perturbations à l’aéroport de Wabush. Source photo : Facebook.

L’aéroport régional de Wabush au Labrador, qui dessert également Fermont au Québec, a cessé ses activités liées aux vols commerciaux sans notification au grand désarroi des passagers qui s’étaient procuré des billets d’avion qui ont appris la nouvelle de façon soudaine sans avis préalable et qui ont dû composer avec cet imprévu qui a nui à leurs déplacements durant près de deux jours, les 20 et 21 octobre 2025. Les vols offerts au public ont repris le 22 octobre.

Cette interruption de service, qui n’a pas affecté les vols nolisés transportant des travailleurs aéroportés utilisant le navettage aérien (fly-in/fly-out) sauf pour l’imposition d’une limitation du nombre de passagers qui a été fixé à 19, a cependant nui aux clients des entreprises aériennes Provincial Airlines (PAL) et à ceux de son partenaire, Air Borealis, qui en ont subi les désagréments ainsi qu’à ceux d’Air Liaison, qui vient tout juste d’offrir des vols à ce terminal aérien. La situation ‘inattendue’ aurait pu être prévisible puisqu’elle découle directement de la décision controversée du gouvernement de Justin Trudeau de démanteler le service aéroportuaire d’urgence-incendie à cet aérodrome, en août 2020, malgré une forte opposition locale et une vague d’indignation. Ce choix, qui avait été dénoncé à l’époque par une majorité d’intervenants politiques et socio-économiques de la région, a refait surface en causant la problématique vécue durant cette période d’incertitude et de stress pour les voyageurs ayant à emprunter la desserte aérienne de Wabush incluant des patients qui devaient se rendre à des rendez-vous médicaux pour des traitements ou pour consulter un spécialiste de la santé ainsi que pour les gens en attente de certains médicaments qui sont livrés par avion.

Le nouveau député fédéral du Labrador, le libéral Philip Earle, lui-même issu de l’industrie de l’aviation, qui a géré la situation a confié : « Les opérations aériennes à l’aéroport de Wabush ont été interrompues en raison d’un problème touchant la disponibilité des services d’incendie et de sauvetage en cas d’écrasement, une exigence essentielle en vertu de la réglementation canadienne de l’aviation. »

Ce dernier n’a toutefois pas précisé s’il s’agissait d’un manque d’effectifs ou d’équipements de service-incendie. L’ancienne députée fédérale du Labrador, la libérale Yvonne Jones, qui faisait partie du gouvernement ayant consenti à la disparition des services de sécurité incendie à cet aérodrome, avait pourtant annoncé, en décembre dernier, la réinstallation du service de sauvetage et de lutte contre les incendies d’aéronefs, qui avait été retiré durant près de cinq ans, à compter du début 2025.

La députée de Côte-Nord-Kawawachikamach-Nitassinan, Marilène Gill, du Bloc québécois, qui a contacté le bureau du député du Labrador à ce sujet et qui a suivi avec attention l’évolution des événements en gardant des liens constants avec le bureau du ministre fédéral des Transports, Steven MacKinnon, et la Ville de Fermont, a déploré un manque de communication de la part du ministère, qui a finalement invoqué qu’il manquait un camion de pompiers sur place pour justifier la raison de cet arrêt des vols commerciaux. « Nous avons la ferme intention de demander des explications et les détails relatifs à cette affaire au gouvernement Carney incluant les mesures adoptées afin qu’un tel scénario ne se reproduise plus », a affirmé la députée bloquiste.

Désobéissance civile

Une manifestation citoyenne visant à dénoncer le monopole, le prix ainsi que l’imprévisibilité du service aérien local avait déjà eu lieu en face de l’aéroport, en octobre 2024, cependant c’est la première fois qu’un geste de désobéissance civile se produit. La chaîne de communications déficiente des autorités aéroportuaires au sujet des raisons ayant occasionné l’arrêt des vols de passagers laissant planer le doute au sein du public qui ne pouvait plus utiliser l’aérodrome a sans doute contribué à favoriser le déclenchement de cette manifestation spontanée de résistance passive qui témoignait du mécontentement populaire et dans le cadre de laquelle des citoyens ont entravé de façon non organisée et pacifique la circulation des autobus transportant des travailleurs en partance de l’aérogare afin de dénoncer le double standard observé entre les vols offerts aux résidents et ceux des travailleurs ambulants, le 21 octobre. Ce ralentissement imposé aux autocars transportant des travailleurs a nécessité une intervention policière afin d’y mettre fin.

Fait inusité illustrant toute l’ampleur de la problématique, le député Earle, qui a qualifié d’embarrassante la situation et qui souhaite une solution définitive et permanente à ce problème récurrent, a fait parvenir une lettre au bureau du ministre des Transports de son propre gouvernement afin d’exprimer sa frustration et ses préoccupations relatives à cette interruption du service aérien en mentionnant notamment que les infrastructures aéroportuaires sont essentielles pour la région et que les répercussions sont majeures tant pour les citoyens que pour les entreprises des communautés de l’Ouest du Labrador et de Fermont.

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Publié le 4 novembre, 2025, dans la publication : Numéro_18 Volume_43

  • Aéroport régional de Wabush
  • Député fédéral du Labrador
  • Fermont
  • Imprévisibilité du service aérien local
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Publié sur le site le 3 novembre 2025

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Transport aérien régional

Une interprétation douteuse

par Éric Cyr

Malgré les explications sommaires des raisons ayant entraîné la récente paralysie du service de vols commerciaux à l’aéroport régional de Wabush au Labrador, qui a commencé ses activités en 1961 et qui est sous la responsabilité du gouvernement fédéral, des doutes subsistent au sein du public en ce qui concerne la capacité des autorités aéroportuaires à assurer la sécurité des passagers.

Selon l’ancien superviseur de structures, surfaces et entretien mobile pour le ministère des Transports du Canada à l’aéroport local, Kirk King, le démantèlement du service de sécurité incendie aéroportuaire, qui a été réinstallé récemment et qui est maintenant fonctionnel après avoir été retiré durant près de cinq ans à l’aéroport de Wabush n’était pas dû à une baisse de la demande, mais plutôt à la volonté du ministère d’éviter des exigences de sécurité plus strictes. Celui-ci explique que les règles de sécurité ont été réécrites pour économiser de l’argent et que la suppression de ce service durant près de cinq ans n’aurait pas dû se produire. Les agents de sauvetage et lutte contre les incendies d’aéronefs qui ont repris du service respectent les exigences et les normes de la règlementation canadienne de l’aviation depuis le 1er octobre 2025 et donc la problématique ayant entraîné la fermeture de l’aérodrome aux vols commerciaux ne relève pas d’un manque d’effectifs ou de compétences. Le problème serait plutôt lié à l’incapacité de Transports du Canada qui aurait failli à entretenir son matériel conformément aux spécificités opérationnelles. La raison pour laquelle l’aéroport a été fermé durant près de deux jours serait l’usure des pneus d’un camion de pompiers, qui ont une durée de vie légale de dix ans, car c’est un véhicule d’urgence, n’ont pas été remplacés malgré une demande en ce sens qui datait de plus de deux ans et demi.

Selon le co-fondateur du groupe Advocates for Safer Airports in Canada (Coalition pour des aéroports plus sûrs au Canada), Chris Bussey, le ministère fédéral des Transports a profité de la diminution de l’achalandage aérien durant la pandémie qui a entraîné une baisse du trafic commercial aérien qui est passé sous la barre annuelle des 180 000 passagers commerciaux durant ce ralentissement directement causé par la Covid-19 en 2020 pour justifier le retrait du service de sécurité incendie local. La croissance importante de la présence d’avions Boeing 737 et des vols nolisés transportant des travailleurs en navettage (fly-in/fly-out), qui sont demeurés en activité durant cette période, aurait dû avoir plutôt l’effet inverse en contribuant à une mise à niveau de ce service en l’adaptant à la taille et à la fréquence des aéronefs et non pas à une rétrogradation de la classification de l’aéroport. Au lieu de cela, les responsables ont contourné cette obligation en retirant les vols nolisés de l’équation ce qui leur a permis d’éviter des coûts additionnels que ce nouveau calcul aurait nécessités par l’embauche de pompiers supplémentaires et l’achat d’équipements. M. Bussey explique que le volume annuel de passagers commerciaux dépasse à nouveau annuellement les 180 000 voyageurs aériens. Il juge que l’interprétation des données à l’époque par les autorités fédérales relève de la mauvaise foi et que considérant les chiffres actuels cette aérogare fonctionne en deçà des attentes nationales et internationales en matière de sécurité et que Transports Canada devrait baser ses décisions sur les risques réels et non sur une comptabilité « créative ».

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Publié le 4 novembre, 2025, dans la publication : Numéro_18 Volume_43

  • Aéroport régional de Wabush au Labrador
  • Agents de sauvetage et lutte contre les incendies d’aéronefs
  • Autorités aéroportuaires
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Publié sur le site le 3 novembre 2025

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MAHF

Mobilisation pour la Marche mondiale des femmes

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, des participants lors du départ du volet fermontois de la Marche mondiale des femmes.

La Maison d’aide et d’hébergement de Fermont (MAHF) a organisé un rassemblement local consistant en une randonnée pédestre urbaine suivie d’un déjeuner continental à la Salle Aurora dans le cadre de la Marche mondiale des femmes 2025 qui a regroupé une cinquantaine de personnes sous la thématique « Encore en marche pour transformer le monde », le 18 octobre dernier.

Les participants, principalement composés de femmes et de membres de leurs familles, ont déambulé dans les rues de la ville nordique afin d’intéresser la population aux grands enjeux planétaires touchant les femmes et les filles. Considérant la distance, cette activité de sensibilisation se tenait en parallèle de la marche panquébécoise qui avait lieu à la place de l’Assemblée-Nationale à Québec qui a attiré des gens de toutes les régions. Ce mouvement de mobilisation féministe, qui découle de la marche « Du pain et des roses » organisée il y a 30 ans par la Fédération des femmes du Québec afin de dénoncer la pauvreté des femmes et la violence perpétrée à leur égard, a rassemblé plus de16 000 personnes à l’échelle du Québec pour cette sixième édition selon les organisateurs.

La directrice générale de la MAHF, Marie-Pier Thériault, a prononcé une allocution pour l’occasion en expliquant l’importance de cet événement annuel qui vise la célébration du droit des femmes et des filles ainsi que les motivations appuyant la démarche. « C’est motivant de vous voir participer en si grand nombre à une activité féministe. Ça donne de l’espoir pour le futur. Il est important de garder en tête que les droits des femmes, durement gagnés, ne sont pas acquis et que l’on pourrait nous les retirer à tout moment. Fermont n’est pas une exception. Nous n’avons qu’à penser aux inégalités salariales entre les hommes et les femmes ou encore à l’inaccessibilité des logements pour les Fermontoises », confie Mme Thériault qui explique que malheureusement à travers le monde toutes les femmes et les filles n’ont pas les mêmes droits que les hommes, que certaines ne peuvent pas fréquenter l’école, que d’autres ne gagnent pas le même salaire que leurs homologues masculins pour effectuer le même travail ou ne gagnent pas un revenu décent leur garantissant une autonomie financière leur permettant de vivre dans la dignité et que plusieurs subissent des violences. Celle-ci considère que ces raisons parmi d’autres sont une motivation à poursuivre ces campagnes qui visent entre autres à dénoncer la pauvreté et les violences faites aux femmes afin de contribuer à les enrayer.

La Marche mondiale des femmes est un grand mouvement de femmes qui se rassemblent partout sur la planète pour défendre leurs droits. C’est comme une immense chaîne humaine qui traverse les pays pour dire que ça suffit, que toutes les femmes ont le droit à l’éducation, à l’égalité, à la santé et à la sécurité, que chacune devrait avoir le droit de vivre dans un environnement sain et respectueux des humains, des communautés et de la biodiversité. C’est un moyen de valoriser le droit des femmes et des filles de pouvoir faire leurs propres choix de façon éclairée et en toute liberté et de vivre en paix et en sécurité dans une société basée sur les valeurs féminisées qui place l’économie au service du vivant.

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Publié le 4 novembre, 2025, dans la publication : Numéro_18 Volume_43

  • « Encore en marche pour transformer le monde »
  • Assemblée-Nationale à Québec
  • Déjeuner continenta
  • Droit des femmes et des filles
  • Fédération des femmes du Québec
  • Maison d'aide et d'hébergement de Fermont
  • Marche mondiale des femmes 2025
  • Marche panquébécoise
  • Mouvement de mobilisation féministe
  • Pauvreté des femmes
  • Randonnée pédestre urbaine
  • Rassemblement
  • Salle Aurora
  • Violence faite aux femmes

Publié sur le site le 3 novembre 2025

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TransQuébec-Labrador

Le pari d’un cycliste audacieux

par Éric Cyr

Un cycliste originaire du Sud de la France, Donnie Edery, qui habite dans la métropole québécoise depuis quatre ans, a décidé d’entreprendre un périple sur une distance de 6000 kilomètres à partir d’Ottawa où habite sa petite amie. Il a entamé cette exigeante randonnée à vélo nécessitant une préparation de longue haleine qui le mènera à travers trois provinces atlantiques puis en Gaspésie avant son retour à son point d’origine. Il était dans la région de Fermont et de l’Ouest du Labrador à la mi-octobre.

Détenteur d’un baccalauréat en philosophie de l’Université Paris-Nanterre (Paris-X), celui-ci qui a également une formation en mécanique automobile se considère comme un aventurier qui aime affronter l’adversité en relevant de nouveaux défis afin de repousser ses limites tout en évitant le point de rupture. Le jeune homme de 23 ans, qui filme et relate ses aventures le long de ce trajet qu’il a baptisé « Route de l’impossible » sur les médias sociaux et sur sa chaîne YouTube Petit Donnie, est parti de la capitale fédérale le 23 septembre 2025. Il confie que les dénivelés de la route 389 constituent une épreuve en soi et représentent pour lui le plus important défi à ce jour, car gravir ces pentes en pédalant a demandé une énergie particulière, le tout combiné aux exigences liées aux froides températures hivernales. Le cycliste, qui a déjà effectué deux autres traversées majeures à vélo à l’international, soit Paris-Angleterre-Écosse et dans l’arrière-pays nippon et les Alpes japonaises, sait à quoi s’attendre. Pourtant quoiqu’il s’entraîne assidûment et qu’il soit en excellente forme physique, les montées impressionnantes de la 389 surgissant l’une après l’autre en particulier dans les monts Groulx-Uapishka ont nécessité toute la force de sa volonté en testant sa détermination, sa persévérance et sa ténacité sur ce parcours unique.

« Une  de la sorte en autonomie complète sur une telle étendue est très exigeante physiquement et constitue un défi mental qui demande une grande préparation et des ressources adaptées en conséquence comme de transporter un téléphone satellite en cas d’urgence. Les paysages et le relief montagneux sont grandioses et incitent à poursuivre le parcours en crescendo. Je pars habituellement aux premières lueurs du matin et je roule jusqu’au coucher du soleil », explique Donnie Edery qui effectue en moyenne une centaine de kilomètres quotidiennement et qui est ravi de l’accueil chaleureux qu’il reçoit dans les communautés isolées visitées. Celui qui a fait la rivière des Outaouais en kayak et qui a escaladé le plus haut col de randonnée au monde, l’Annapurna situé à 5400 mètres d’altitude dans l’Himalaya au Népal, confie : « Je me sens souvent moins seul en forêt que dans le centre-ville de Montréal sauf peut-être quand je roulais exceptionnellement de nuit dans un secteur isolé afin d’atteindre le motel de l’Énergie à la centrale hydroélectrique de Manic-5 et que j’ai entendu les hurlements d’une meute de loups par un soir de pleine lune. J’avoue que cela m’a causé un certain stress. » L’athlète quelque peu éreinté par son difficile itinéraire qui produit des montages vidéo en chemin et qui adore communiquer avec les gens et partager ses expériences de voyage en utilisant l’Internet conclut : « Je monte en selle parfois durant une période de onze heures consécutives. Entre les escales où il y a des populations, je dors dans le bois et comme nourriture je mange des aliments lyophilisés que je réhydrate. »

La prochaine étape, le Labrador, puis un traversier pour atteindre l’île de Terre-Neuve qu’il va explorer à vélo avant de prendre un autre bateau pour se rendre sillonner deux provinces maritimes, la Nouvelle-Écosse et le Nouveau-Brunswick. Pour en connaître davantage sur les péripéties du jeune aventurier, vous pouvez consulter la page Facebook Petit Donnie et sur YouTube : https://www.youtube.com/@petit_donnie.

Les entreprises intéressées à commanditer ses voyages d’aventure en obtenant une visibilité en retour sont priées de le contacter.

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Publié le 4 novembre, 2025, dans la publication : Numéro_18 Volume_43

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