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  • La grève temporairement suspendue

    Conflit de travail chez Tshiuetin

    La grève temporairement suspendue

  • Poursuite intentée contre Air Saguenay

    Écrasement d’avion au Labrador

    Poursuite intentée contre Air Saguenay

  • Une ancienne Fermontoise élue députée

    Bloc québécois

    Une ancienne Fermontoise élue députée

  • Un pharmacien d’exception se  distingue

    Pharmacie François et Ludovic Alarie

    Une 2 décembre, 2019

    Un pharmacien d’exception se distingue

Numéro_20

La grève temporairement suspendue

Conflit de travail chez Tshiuetin

La grève temporairement suspendue

Poursuite intentée contre Air Saguenay

Écrasement d’avion au Labrador

Poursuite intentée contre Air Saguenay

Une ancienne Fermontoise élue députée

Bloc québécois

Une ancienne Fermontoise élue députée

Un pharmacien d’exception se  distingue

Pharmacie François et Ludovic Alarie

Une 2 décembre, 2019

Un pharmacien d’exception se distingue

Conflit de travail chez Tshiuetin

La grève temporairement suspendue

par Éric Cyr

Source photo : Transport Tshiuetin

Les travailleuses et travailleurs de Transport ferroviaire Tshiuetin, le train de passagers et de marchandises qui relie Sept-Îles à Schefferville par chemin de fer en passant par le Labrador, ont voté massivement pour l’interruption momentanée de la grève déclenchée, le 27 septembre dernier, afin de laisser place à la discussion. Ils sont retournés au travail, le 18 novembre, et ont entrepris des pourparlers intensifs jusqu’au 15 décembre afin de tenter de s’entendre.

Accord ou sursis ?

Selon le vice-président et trésorier de la Fédération des employées et employés de services publics (FEESP) affiliée à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), Jean-Pierre Bourgault : « Le syndicat se donne quatre semaines pour régler la négociation et trouver un terrain d’entente concernant des points toujours en suspens, notamment certains avantages pécuniaires ainsi que le mouvement de personnel »

Points en litige

L’employeur demande aux syndicats d’accepter sa proposition de raccourcir la semaine de travail de 40 à 35 heures pour tous sans compensations et de réduire le nombre annuel de voyages pour le train de passagers. En contrepartie, la partie patronale accorderait une rétroactivité salariale de 2,5 % pour la période du 1er avril 2018 au 31 mars 2019. La portion des augmentations commençant au 1er avril reste à négocier. En ce qui concerne les salariés oeuvrant au transport de minerai de fer, ils auront dorénavant un horaire de travail de 10 heures par jour pour une durée de 14 jours pour un total de 140 heures. « Ils ont accepté de diminuer le nombre d’heures payées sur une période de 14 jours, tout en obtenant la possibilité de faire des heures supplémentaires lorsque nécessaire », ajoute le syndicaliste.

Mouvance et alternance

Par ailleurs, la direction de Transport ferroviaire Tshiuetin souhaite plus de flexibilité de la part des salariés de l’entreprise, ce qui lui permettrait d’interchanger sporadiquement des travailleurs d’une division à l’autre en puisant les ressources nécessaires au sein de sa propre organisation selon les besoins ponctuels afin de régler le problème de pénurie de main-d’œuvre dans l’une de ses ramifications. « Les syndiqués ne sont pas en désaccord avec le principe, mais veulent dans un premier temps que le travail soit offert aux employés de la division concernée avant de l’offrir aux travailleurs de l’autre. Il y a eu de bonnes discussions à ce sujet lors de séances de négociation antérieures et nous avons bon espoir de régler cette question dans l’actuel blitz de négociation », renchérit le président du Conseil central Côte-Nord de la CSN, Guillaume Tremblay.

Selon les deux porte-paroles syndicaux, les employés de Tshiuetin entendent fournir tous les efforts nécessaires afin de régler le différend. Ils considèrent que les syndicats ont fait preuve d’ouverture au sujet des mouvements de main d’oeuvre, mais expliquent qu’ils souhaitent cependant les encadrer afin de diminuer le mécontentement des travailleurs des deux divisions et précisent que quoi qu’il advienne, ceux-ci pourront compter sur la CSN pour les soutenir tant et aussi longtemps qu’ils n’auront pas obtenu gain de cause.

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Publié le 2 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_20 Volume 37

  • Chemin de fer
  • Grève entreprise ferroviaire
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  • Transport ferroviaire
  • Transport sur rails
  • Tshiuetin

Publié sur le site le 2 décembre 2019

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Écrasement d’avion au Labrador

Poursuite intentée contre Air Saguenay

par Éric Cyr

La compagnie québécoise Air Saguenay devra faire face à des accusations devant la justice à la suite de l’écrasement d’un hydravion de Havilland DHC-2 au lac Mistastin au Labrador, le 15 juillet dernier. La famille d’une des victimes, le guide de pêche Clifford Randell père de quatre enfants, a déposé une poursuite à la Cour suprême de Terre-Neuve-et-Labrador même si la carlingue n’a toujours pas été récupérée et que les débris de l’épave gisent au fond de l’eau.

La tragédie aérienne survenue dans le cadre d’une expédition de pêche, en partance du camp Three Rivers Lodge situé non loin de Schefferville, a causé la mort des sept occupants de l’aéroplane Beaver, dont quatre Américains et le pilote Gilles Morin. Même si la cause de l’accident fatal n’a pas encore été déterminée avec précision, l’avocat de la famille, Jamie MacGillivray, entend démontrer que le crash aurait pu être causé par une erreur de pilotage. La poursuite soutient que l’entreprise n’a pas su s’adapter aux normes de sécurité puisqu’aucune des personnes décédées sorties de l’eau ne portait de vêtement de flottaison individuel (VFI). La partie plaignante remet également en doute la compétence du pilote et laisse entendre qu’un mauvais entretien de l’appareil pourrait aussi avoir contribué à la catastrophe. Le rapport du BST, qui n’a pas encore été en mesure de déterminer la cause de l’écrasement dans l’eau, précise que le pilote était qualifié pour le vol en vertu de la règlementation en vigueur, qu’il comptait plus de 16 000 heures d’expérience sur ce type d’appareil et qu’aucune anomalie n’a été relevée dans les registres d’entretien.

Nouvelle réglementation

L’obligation pour les exploitants d’hydravions de faire en sorte que les membres d’équipage et les passagers portent un VFI lorsque l’hydravion est utilisé sur un plan d’eau ou au-dessus de celui-ci n’entrera en vigueur qu’en septembre 2020 à la suite d’une modification au Règlement de l’aviation canadien (RAC). La recommandation de mars 2011 sur la sécurité du transport aérien A11-06 du Bureau de la sécurité des transports (BST); rendra obligatoire le port d’une veste de flottaison approuvée pour l’aviation pour les occupants d’un hydravion survolant des étendues d’eau. Le ministère des Transports du Canada exigera dorénavant que les occupants d’hydravions commerciaux soient tenus de porter un dispositif individuel qui assure leur flottaison après une évacuation d’urgence. Après un long processus d’évaluation par Transports Canada et le BST, des modifications ont été apportées en mars 2019. Selon ces conclusions, dans bien des accidents, lorsqu’un occupant réussit à sortir d’un aéronef en train de couler, il ne porte pas de gilet de sauvetage, ce qui peut aboutir à une noyade. Il a été démontré que les personnes qui se retrouvent dans une telle situation cherchent avant tout à s’extirper de l’appareil et souvent, dans leur hâte, elles ne mettent pas de VFI, soit par manque de temps, soit parce qu’elles n’y ont pas pensé.

Recherche et sauvetage

Malgré des recherches intensives menées durant plusieurs semaines par la Gendarmerie royale du Canada (GRC) et la Marine royale canadienne, l’élément maritime des Forces armées canadiennes, les débris de la carcasse de l’avion et le corps de trois des sept victimes, dont la dépouille du pilote, n’ont toujours pas été recouvrés. L’éloignement et les mauvaises conditions météorologiques subséquentes auraient aussi posé des problèmes logistiques et retardé l’arrivée des premiers intervenants. Ces facteurs, combinés à l’absence de témoin, auraient empêché le BST de mener une enquête exhaustive. Selon la GRC, la profondeur du lac et son isolement ont posé des défis importants pour les plongeurs. Le président d’Air Saguenay, Jean Tremblay, soulève des questions sur le dispositif des recherches.

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Publié le 2 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_20 Volume 37

  • Air Saguenay
  • Écrasement d'hydravion
  • Labrador
  • Nouvelle règlementation aviation
  • Règlement de l'aviation canadien
  • Vêtement de flottaison individuel

Publié sur le site le 2 décembre 2019

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Bloc québécois

Une ancienne Fermontoise élue députée

par Éric Cyr

Source photo : BQ

L’ancienne Fermontoise Julie Vignola a été élue députée du Bloc québécois dans la circonscription de Beauport-Limoilou (Québec) lors de la récente élection fédérale. Née à Sept-Îles, la politicienne est bien informée au sujet des réalités et des dossiers nord-côtiers et pourra épauler à l’occasion sa collègue la députée de Manicouagan, Marilène Gill, qui est bien ancrée au sein du parti.

Mme Vignola n’a pas peur de se retrousser les manches et a commencé à la base en faisant du porte-à-porte dans sa région d’adoption durant la campagne électorale. Elle a fait le choix de sacrifier sa profession d’enseignante pour se diriger vers sa nouvelle carrière où elle est responsable des dossiers de Services publics, approvisionnement et opérations gouvernementales en plus de représenter les intérêts de ses concitoyens. « Le fait d’avoir vécu un peu partout me permet d’avoir une vision plus large d’une situation et d’appliquer des solutions novatrices. J’ai appris à tisser des liens. Le changement fait toujours un peu peur, mais c’est l’espoir de changement qui justifie la raison d’être du Bloc québécois à Ottawa. »

La politique a toujours fait partie de la vie de celle dont le père, Jacques Vignola, a été conseiller municipal, président du conseil d’administration du Centre de santé et qui a été longtemps impliqué dans le syndicalisme. Sa sœur, Cindy, est actuellement conseillère à la mairie. « Quand Denis Perron, le premier député du Parti québécois à avoir été élu dans Duplessis en 1976, se rendait à Fermont, il venait à la maison. Je m’intéressais déjà, à l’époque, aux conversations sérieuses des grandes personnes. Des discussions qui se faisaient dans le respect des opinions, peu importe l’allégeance. On a ce respect-là dans la famille. »

Une période heureuse

La députée bloquiste a habité à Fermont dès 1977 et jusqu’en 1993, année où elle est allée vivre au Bas-Saint-Laurent chez sa mère. À Fermont, elle a travaillé en tant que concierge, puis journalière à la mine de fer du Mont-Wright. Elle a également été animatrice bénévole à la radio locale en 1992 et 1993. Elle était à l’époque la plus jeune animatrice à avoir travaillé à CFMF 103,1. Mme Vignola confie qu’elle conserve des souvenirs impérissables de Fermont et que son expérience nordique a contribué à façonner la personne qu’elle est devenue. C’est d’ailleurs sur place qu’elle a rencontré son conjoint et le père de ses quatre enfants, Pierre Marcotte. « Que de souvenirs d’enfance mémorables! Les promenades en canot sur le lac Daviault, les longueurs à la piscine, les balades en ski-doo, la pêche sur la glace et, certains hivers, les caribous à perte de vue! Je me souviens d’une fois où l’école avait fermé à cause du froid extrême et que le même jour, nous avons enfourché nos motoneiges pour nous rendre au lac Carheil où l’on a joué aux cartes dans un chalet chauffé au poêle à bois! », confie-t-elle en riant. « Les défis ne m’ont jamais fait peur. En 1999 par exemple, j’ai été engagée au bureau d’information touristique. J’étais alors enceinte de Zoé et, malgré ma grossesse, je gravissais le mont Daviault au moins une fois par semaine pour vérifier que les sentiers étaient propres et pour ramasser les déchets s’il y en avait. Je montais tellement vite que Pierre avait de la difficulté à me suivre. Il était tout essoufflé! J’ai montré cet été-là que même enceinte, une femme était capable de travailler fort et bien! »

Horizons multiples

La politicienne poursuit : « Les classes sociales se côtoient quotidiennement de façon tout à fait naturelle et la hiérarchie est très discrète à Fermont, ce qui fait qu’aujourd’hui je mets de côté l’étiquette et je parle à tout le monde. Ce qui me fait plaisir c’est quand je rencontre les gens et qu’ils me disent qu’ils ont l’impression de parler à leur voisine. Au Bloc québécois, on a des représentants de tous les horizons de la société. On a une équipe hors du commun, c’est comme une grande famille. Je suis très fière de faire partie de cette belle équipe. » Selon la députée, la politique s’exerce de différentes façons et le bénévolat en fait partie en aidant les collectivités. « La politique, c’est un peu comme la philosophie qui consiste, en quelque sorte, à penser de façon logique et à appuyer son argumentaire par des faits concrets. Les citoyens font beaucoup plus de politique qu’ils ne le pensent, ils n’en sont pas toujours conscients. Aider les autres, améliorer une situation dans sa communauté, c’est aussi faire de la politique. » Sur un ton modeste, Mme Vignola conclut : « J’ai encore beaucoup à apprendre. Entre ce qu’on voit, ce qu’on suppose et ce qu’est la réalité, il y a une marche et je suis actuellement en train de la gravir. »

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Publié le 2 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_20 Volume 37

  • Bloc québécois
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  • Julie Vignola
  • Politicienne fermontoise

Publié sur le site le 2 décembre 2019

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Pharmacie François et Ludovic Alarie

Un pharmacien d’exception se distingue

par Éric Cyr

Le prestigieux prix « Pharmacien propriétaire à la carrière exemplaire » a été décerné au Fermontois François Alarie par l’Association québécoise des pharmaciens propriétaires (AQPP), le 8 novembre dernier, dans le cadre de la 4e édition du Gala d’excellence en pharmacie communautaire qui s’est tenue en clôture de son congrès annuel à Montréal. Cette reconnaissance rend hommage à un professionnel du domaine pharmaceutique qui s’est démarqué par son leadership, sa capacité à innover, sa gestion efficace, son intégrité et son engagement.

Monsieur François Alarie, qui réside à Fermont depuis 32 ans, est bien ancré dans son milieu et très estimé des citoyens de l’endroit pour sa personnalité chaleureuse et son professionnalisme. Il a aussi reçu la distinction de « Pharmacien de famille 2015 » attribuée par Uniprix.

Parcours

Le pharmacien propriétaire, implanté à Laval, est engagé par le CLSC de Fermont en 1987 pour occuper la fonction de pharmacien-chef du département de pharmacie. À l’époque, la seule pharmacie de la ville est opérée par le CLSC dans un petit local situé au sous-sol de l’établissement de santé. Il quitte alors cette région pour vivre une expérience de deux ans avec sa conjointe Anne-Marie Dubuc, qui deviendra plus tard directrice générale de la nouvelle pharmacie. À sa surprise, il succombe aux charmes nordiques en tombant amoureux de la région et de sa qualité de vie. Adepte de plein air, il s’adonne à la motoneige et à la raquette et est comblé par la proximité des services. « Ça a été le coup de foudre. J’ai été charmé par la gentillesse des gens combinée à un fort esprit d’entraide propre aux petites villes, ainsi qu’un environnement naturel accessible. »

Le couple choisira de s’épanouir ici. En 2000, une population grandissante souhaite une « vraie » pharmacie et François Alarie ouvre dans le mur-écran les portes de la première pharmacie communautaire locale. Tout en répondant aux besoins de la population, en poursuivant son rôle de pharmacien d’hôpital et en continuant de servir les communautés de Schefferville et de Kawawachikamach, il relève de nombreux défis que pose l’implantation d’une pratique professionnelle dans une région éloignée. L’expérience se poursuivra depuis bientôt deux décennies pour celui dont l’expertise est bien établie et qui a obtenu une reconnaissance unanime de ses pairs et des autres professionnels qu’il côtoie dans le cadre de sa profession.

Des embûches

Déterminé, il a cependant dû composer avec certains obstacles et se retrousser les manches en faisant face à des épreuves comme lors d’un moment très éprouvant, le 30 décembre 2014, où il a vécu un important dégât d’eau occasionné par une défectuosité du système de gicleurs et une interruption de courant. Dans des conditions rudimentaires, le froid et la noirceur, il a poursuivi malgré l’adversité, et avec l’aide de ses employés, la distribution des ordonnances à l’aide de lampes frontales et de manteaux d’hiver en attendant l’intervention d’experts en nettoyage après sinistre, qui n’ont pu se rendre sur place que plus d’une semaine après l’événement. La logistique de transport des médicaments et des produits constitue aussi souvent un casse-tête avec les nombreuses fermetures du seul lien terrestre de la région notamment lors de feux de forêt, de tempêtes hivernales ou d’accidents et il existe des limites de poids et de quantité pour l’avion-cargo. « Les régions nordiques isolées sont à la merci des aléas du transport. Une fois, la marchandise expédiée par la route 389 était complètement gelée. À une autre occasion, la Sécurité publique est intervenue en notre faveur afin d’acheminer des médicaments en priorité. »

Une entreprise familiale

C’est avec l’aide de sa collègue, la pharmacienne Mélanie Dubuc, que François Alarie réussit à offrir des services professionnels en continu, malgré la pénurie de pharmaciens qui sévit dès l’implantation de la nouvelle bannière, et à accomplir la lourde tâche exigeant de longues heures de travail tant à la pharmacie communautaire qu’à la pharmacie d’hôpital. Des heures de garde 24 heures sur 24, 365 jours par année garantissent aux citoyens un accès aux conseils professionnels des deux pharmaciens toujours disponibles. Aujourd’hui, c’est l’inverse et la relève semble assurée. Deux jeunes couples de pharmaciens, dont le fils du propriétaire, Ludovic, et sa femme Jessica ainsi que Frédéric et Marie-Chantale contribuent à la pérennité de l’entreprise. Le problème de recrutement ne se pose plus pour le moment puisque Fermont est actuellement le seul endroit où il n’existe pas de pénurie de pharmaciens sur la Côte-Nord et en Basse-Côte-Nord. Le fait que l’équipe de la pharmacie aura accueilli nombre de stagiaires au cours des années aura certainement contribué à stimuler l’intérêt de venir pratiquer en région.

Modestie et efficacité

François Alarie conclut : « J’ai toujours essayé de demeurer proche des gens. Je suis pharmacien partout et en tout temps. J’ai même eu des consultations en ville, en forêt et durant mes loisirs », confie en riant celui qui dit n’avoir aucun regret d’avoir choisi d’exercer à Fermont. « C’est un choix que je ne regrette absolument pas. Ça a toujours été agréable de servir le public. J’ai eu une pratique somme toute tranquille, mais jamais routinière et remplie de défis. Je suis reconnaissant d’avoir été bien épaulé par une équipe solide et des employés dévoués. On ne peut faire une carrière dans ce domaine en solo. » Ce dernier est très fier de dire que huit pharmaciens sont originaires de Fermont et que le pharmacien-chef du CISSS de la Côte-Nord, Dave Charlton, est aussi un ancien Fermontois. La Clinique Santé François et Ludovic Alarie emploie actuellement cinq pharmaciens.

 

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Publié le 2 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_20 Volume 37

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Publié sur le site le 2 décembre 2019

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