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    Francophonie au Labrador

    Remise du Prix Roger-Champagne 2022

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    Église catholique

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    Monde radiophonique

    Une 28 novembre, 2022

    Les grands honneurs pour CFMF 103,1

Numéro_20

Remise du Prix Roger-Champagne 2022

Francophonie au Labrador

Remise du Prix Roger-Champagne 2022

Un premier livre pour une Fermontoise

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Un premier livre pour une Fermontoise

Rite d’admission vers le diaconat d’un Fermontois

Église catholique

Rite d’admission vers le diaconat d’un Fermontois

Les grands  honneurs pour  CFMF 103,1

Monde radiophonique

Une 28 novembre, 2022

Les grands honneurs pour CFMF 103,1

Francophonie au Labrador

Remise du Prix Roger-Champagne 2022

par Éric Cyr

La Fédération des francophones de Terre-Neuve et du Labrador (FFTNL) a remis, le 7 novembre dernier, le Prix Roger-Champagne à Mélanie Cayouette de Labrador City (à gauche) pour son implication bénévole soutenue en français dans sa collectivité et au niveau provincial.

La 41e récipiendaire de cette distinction est un exemple d’altruisme au profit de son milieu. Issue d’une famille fière de sa culture francophone et particulièrement engagée dans le maintien et le rayonnement local de la langue française, elle s’est investie à cette mission de façon bénévole depuis de nombreuses années et en particulier dans la construction identitaire de la jeunesse francophone en misant sur le sport. L’Association francophone du Labrador, qui a soumis sa candidature, la décrit comme une personne généreuse et attentionnée qui ne compte pas ses efforts pour s’assurer qu’il y a toujours quelqu’un pour soutenir ceux qui en ont besoin et pour élever sa communauté notamment en poussant les jeunes à se surpasser.

Dès l’adolescence, Mélanie Cayouette se passionne pour le volley-ball et saisit cette chance afin de renforcer l’appartenance culturelle des jeunes en les réunissant dans des compétitions sportives. En 2005, elle créera une équipe de volley-ball qui sera le levier de son engagement au profit de la jeunesse francophone de l’Ouest du Labrador. Elle organisera des entraînements et des rencontres sportives des années durant, non seulement localement, mais aussi aux niveaux provincial et national.

Convaincue que la construction de l’identité culturelle passe aussi par des échanges avec de jeunes francophones et Acadiens d’ailleurs au pays, elle s’impliquera au fil des années au sein de l’organisme jeunesse Franco-Jeunes et formera des équipes de jeunes franco-labradoriens qui participeront à différentes éditions des Jeux de l’Acadie et des Jeux de la francophonie canadienne. Membre de l’équipe d’entraîneurs de volley-ball de la délégation masculine de Terre-Neuve-et-Labrador aux Jeux de la francophonie canadienne à Edmonton en Alberta en 2008 et à Moncton au Nouveau-Brunswick en 2017, elle sera de nouveau mobilisée en 2021 pour la rencontre qui devait se rendre à Victoria en Colombie-Britannique et qui a été annulée en raison de la pandémie. Elle ne se démotivera pas malgré les contraintes sanitaires et réussira à organiser des tournois de volley-ball de plage pour les rencontres régionales des Jeux de l’Acadie en 2021 et en 2022. Parallèlement, elle s’assurera que les jeunes puissent participer à d’autres tournois, tant au Labrador que jusqu’à Sept-Îles au Québec.

Proche partenaire de l’école francophone l’Envol à Labrador City, son travail est essentiel à la tenue de nombre d’activités pour les jeunes francophones de l’endroit. Sachant que l’apprentissage est très important pour le développement dès la petite enfance, elle s’investit aussi dans ce domaine en devenant membre du Comité de parents francophones du Labrador Ouest depuis une dizaine d’années et par la création en 2016 d’une ligue de mini volley-ball en français pour les enfants de maternelle. Selon la présidente de la FFTNL, Sophie Thibodeau (à droite sur la photo) :

« Un tel engagement bénévole, en particulier auprès de la jeunesse, fait une différence indéniable et inestimable pour le dynamisme et l’épanouissement de la communauté francophone d’ici. Au regard de ce parcours exemplaire, nous sommes très fiers que Mélanie Cayouette soit ainsi reconnue par le Prix Roger-Champagne ».

Le prix Roger-Champagne est remis annuellement depuis 1983 à la personnalité francophone ou acadienne s’étant illustrée par son travail dans la promotion du fait français à Terre-Neuve-et-Labrador.

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Publié le 28 novembre, 2022, dans la publication : Numéro_20 Volume 40

  • Acadie
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  • Association francophone du Labrador
  • Bénévolat
  • Communautaire
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  • Fait français
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  • Francophonie canadienne
  • Identité culturelle
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  • Prix Roger-Champagne
  • Terre-Neuve-et-Labrador

Publié sur le site le 28 novembre 2022

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Littérature sentimentale

Un premier livre pour une Fermontoise

par Éric Cyr

L’écrivaine fermontoise Noémie H. a récemment fait paraître en autoédition son premier roman destiné à un public jeune adulte, Taste of love, qui, sans en dévoiler les rebondissements, traite du parcours d’une adolescente qui devra choisir entre l’amour et l’amitié. L’auteure travaille actuellement sur un second bouquin qu’elle souhaite faire publier prochainement par une maison d’édition.

Originaire de Longue-Rive en Haute-Côte-Nord, la jeune femme de 23 ans, qui a étudié au cégep de Chicoutimi, consacre beaucoup de temps à l’écriture lorsqu’elle ne travaille pas au centre de santé local où elle occupe un poste de technologiste médicale. La romancière a toujours écrit depuis aussi longtemps qu’elle se souvienne. Celle-ci a déménagé à Fermont, il y a deux ans, afin de suivre son conjoint qui travaille dans le domaine minier. « L’écriture a toujours été une passion. J’écrivais des chansons dès l’âge de huit ans. En janvier 2021, je me suis sentie inspirée et je me suis mise sérieusement à la rédaction d’une nouvelle, puis d’une deuxième, sur l’espace virtuel de lecture en ligne « Wattpad ». Après s’être fait remarquer sur Internet, dans le cadre d’un concours sur la plateforme virtuelle française d’écriture « Fyctia » où elle a partagé son contenu, elle a été invitée à un camp d’écriture en compagnie d’une éditrice de la maison d’éditeurs Hugo Publishing avant de publier son histoire en format numérique sur la plateforme d’autopublication « Stories by Fyctia ».

Un long processus

L’écrivaine explique que tout ça peut paraître simple pour les néophytes, mais avant la publication, il y a d’abord eu un premier jet, une relecture, puis un second jet qui fut suivi d’une bêta-lecture effectuée par une équipe d’une dizaine de bêta lectrices, avant que le texte ne soit confié à une correctrice qui a révisé l’ébauche du manuscrit afin d’y apporter des modifications finales avant la publication.

« J’écris en français. J’adore la langue française, mais j’aime aussi beaucoup la culture américaine, raison pour laquelle le titre de mon premier roman est en anglais et que mes deux premiers scénarios se déroulent aux États-Unis. Lorsque je rédige, je fais au préalable un plan des personnages sous forme d’esquisse, mais cela n’inclut pas la trame narrative qui n’est pas structurée dans mon processus créateur afin de ne pas limiter les possibilités d’évolution de l’histoire. Je ne suis pas cartésienne, je fais confiance à mon intuition, mon ressenti », confie Noémie H.

Continuité créative

Sa deuxième œuvre de fiction sera teintée de « nouvelle romance », un style qui se permet de traiter de sujets moins conventionnels ce qui apporte un côté plus réaliste que la romance classique, selon cette dernière. Il traitera d’anxiété et de dépression. « Le genre reste le même, mais la psychologie des personnages sera abordée différemment. J’aimerais aussi éventuellement essayer de me lancer dans l’écriture d’un roman historico-fantastique comme Outlander », conclut celle qui revient tout juste d’un voyage en Écosse.

Le roman Taste of love est en vente en version numérique dans toutes les librairies en ligne et sur Amazon ou auprès de l’auteure pour la version papier.

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Publié le 28 novembre, 2022, dans la publication : Numéro_20 Volume 40

  • Auteure
  • Autoédition
  • Autrice
  • Écriture
  • Écrivaine
  • Édition
  • Fermont
  • Fiction
  • Littérature sentimentale
  • Narration
  • Noémie H.
  • Nouvelle romance
  • Publication Roman
  • Récit
  • Romancière
  • Taste of love

Publié sur le site le 28 novembre 2022

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Église catholique

Rite d’admission vers le diaconat d’un Fermontois

par Éric Cyr

Engagé dans sa communauté chrétienne, le candidat Guy-Romain Kouam (devant la croix) a pris part au rite d’admission, une étape vers le diaconat permanent, à l’église catholique de la paroisse de la Résurrection de Fermont, le 13 novembre dernier. Il était accompagné de l’évêque du diocèse de Baie-Comeau, Mgr Jean-Pierre Blais (à gauche), du curé de la paroisse, Jimmy Delalin (2e à partir de la droite), du diacre permanent, Dominic Elsliger (à droite) et entouré des membres de sa famille et d’amis.

Le délégué diocésain pour l’office du diacre, l’abbé Delalin, confie que l’adhésion comme candidat est « un temps fort » dans le cheminement vers le diaconat qui se situe au terme de la deuxième année de formation initiale. « L’aspirant rédige une lettre personnelle où il demande à être admis comme postulant au diaconat. Cette lettre exprime sa libre démarche. Elle rend compte à l’évêque de ce qu’il a vécu, découvert et acquis durant ce temps de discernement. » Comme M. Kouam est marié, son épouse a fait parvenir par écrit à l’évêque son accord pour que son mari poursuive son cheminement vers le diaconat.

« Le délégué, de concert avec le conseil habilité dans le diocèse, consulte des personnes qui connaissent le candidat et les membres de son groupe d’accompagnement. Le résultat de cette consultation est transmis à l’évêque qui admet ou non le postulant comme candidat au diaconat. Si l’accession est décidée, elle est célébrée selon un rite liturgique de l’admission parmi les candidats au sacrement de l’Ordre. »

Selon l’Église catholique, au cours de cette célébration, celui qui aspire au diaconat manifeste publiquement sa volonté de s’offrir à Dieu et à l’Église pour exercer le ministère de diacre. L’Église de son côté, en recevant le postulant, le choisit et l’appelle pour qu’il se prépare à recevoir l’ordination diaconale et soit ainsi admis parmi les candidats au diaconat. Ce rite est une première reconnaissance officielle des signes positifs de la vocation au diaconat, qui doit être confirmée dans les années suivant la formation.

Par son ordination, le diacre est signe du Christ Serviteur; il rappelle aux chrétiens, que chaque baptisé se doit de servir les hommes et les femmes, spécialement les plus démunis. La visibilité qui lui est donnée est le signe pour tous les hommes et les femmes, qu’il côtoie quotidiennement, d’une Église proche de tous, attentive aux joies et aux peines de chacun. Une mission particulière est confiée à chaque diacre, en fonction des besoins de son diocèse, de son insertion dans le monde et de son charisme propre. La formation permanente lui offre la possibilité de progresser et de rester au plus près des mutations du monde et de l’Église.

Le ministère diaconal s’exerce dans le triple service de la charité, la Parole de Dieu (homélie et fidélité à l’Évangile) et la liturgie ou la prière communautaire (célébration de la Parole et, en l’absence d’un prêtre, il peut présider au baptême et exercer le rôle de témoin officiel du mariage ou de funérailles chrétiennes). L’aspirant diacre peut provenir de tous les milieux sociaux.

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Publié le 28 novembre, 2022, dans la publication : Numéro_20 Volume 40

  • Christianisme
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  • Curé Jimmy Delalin
  • Diaconat
  • Diacre Dominic
  • Diocèse de Baie
  • Église catholique
  • Elsliger
  • Évêque Jean-Pierre Blais
  • Fermont
  • Guy-Romain Kouam
  • Mgr Jean-Pierre Blais
  • Ministère diaconal
  • Ordination
  • Paroisse de la Résurrection
  • Religions
  • Vocation religieuse

Publié sur le site le 28 novembre 2022

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Monde radiophonique

Les grands honneurs pour CFMF 103,1

par Éric Cyr

Source photo : CFMF 103,1

L’équipe de la radio CFMF 103,1 de Fermont a récolté le titre de « Station de radio communautaire de l’année – marchés central et régional 2022 » dans le cadre du plus grand rassemblement annuel de radiodiffuseurs francophones au pays « Les Jours de la radio », qui se déroulait du 10 au 12 novembre au Château Laurier à Québec. Le prix des Rencontres de l’Association québécoise de l’industrie du disque, du spectacle et de la vidéo (ADISQ) leur a été décerné au Théâtre Petit Champlain, le 11 novembre.

Les trois artisans de la radio, qui meublent les ondes hertziennes locales, réussissent à offrir un contenu et une programmation radiophoniques diversifiés et un produit de qualité teinté d’une proximité avec son public ainsi qu’une couverture de l’actualité empreinte de la réalité du milieu et de la région tout en étant ouverte sur le monde. Le directeur général de la station et de la programmation, Karl Gagné Côté, et sa conjointe la directrice musicale et adjointe à la programmation en plus d’être animatrice, Geneviève Richard, qui œuvrent à l’épanouissement de ce média depuis leur arrivée dans la localité nordique en 2006, ont certainement grandement contribué grâce à leur travail soutenu amorcé il y a 16 ans à l’obtention de cette prestigieuse distinction. L’ajout de la rédactrice en chef, journaliste et animatrice, Élizabeth Séguin, en 2020, a aussi favorisé la portée de cet outil de production, de diffusion et d’information en proposant des entrevues et des nouvelles quotidiennes.

Vecteur de culture et d’informations

M. Gagné Côté qui a commencé sa carrière en tant que responsable à la direction de la programmation et animateur du matin avant de gravir les échelons jusqu’au poste qu’il occupe actuellement depuis 2008, confie :

« On a été agréablement surpris. On ne s’attendait pas du tout à ça. C’est une belle reconnaissance de nos efforts et de notre travail qui est souligné à l’extérieur de notre communauté qui bénéficie aussi de cette vitrine. Ça rehausse la crédibilité de notre tribune qui a un retentissement à l’échelle du Québec et qui est reconnue par l’industrie musicale. On est très heureux. Je remercie les auditeurs qui nous sont fidèles et qui appuient nos initiatives. Je tiens à souligner que le mérite est partagé avec tous ceux qui se sont relayés et qui ont collaboré à la station depuis sa fondation en 1979 ainsi qu’avec la population. »

Le son du Grand Nord

Membre de l’Association des radiodiffuseurs communautaires du Québec (ARCQ), un réseau qui regroupe 34 radios indépendantes réparties aux quatre coins du Québec, CFMF 103,1, qui avait été en nomination dans la même catégorie en 2019, a su bien se démarquer par sa constance et son originalité. Ce média local de proximité est toujours à l’affût des nouveautés musicales pour offrir ce qu’il a de mieux à la population grâce à un créneau qui plaira à la majorité des auditeurs. Que ce soit pour les informations d’ici ou les découvertes musicales, la radio est toujours présente et à l’écoute de sa communauté. Vous pouvez syntoniser la radio de Fermont au 103,1 FM, au canal de télévision communautaire 200, sur Internet au cfmf.rocks ou encore sur vos appareils et haut-parleurs intelligents en demandant simplement : la radio de Fermont CFMF.

Félicitations à tous ceux qui ont contribué à cette belle réalisation.

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Publié le 28 novembre, 2022, dans la publication : Numéro_20 Volume 40

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