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  • Numéro 19

  • Des Brigades culinaires  à Horizon-Blanc

    Vie étudiante

    Des Brigades culinaires à Horizon-Blanc

  • Shannon Power l’emporte

    Élections municipales à Fermont

    Shannon Power l’emporte

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    Vecteur touristique

    Quel avenir pour le Défi Taïga?

  • Un dossier qui s’étire en longueur sur 570 km

    Route nationale 389

    Une 20 novembre, 2017

    Un dossier qui s’étire en longueur sur 570 km

Numéro 19

Des Brigades culinaires  à Horizon-Blanc

Vie étudiante

Des Brigades culinaires à Horizon-Blanc

Shannon Power l’emporte

Élections municipales à Fermont

Shannon Power l’emporte

Quel avenir pour le Défi Taïga?

Vecteur touristique

Quel avenir pour le Défi Taïga?

Un dossier qui s’étire en longueur sur 570 km

Route nationale 389

Une 20 novembre, 2017

Un dossier qui s’étire en longueur sur 570 km

Vie étudiante

Des Brigades culinaires à Horizon-Blanc

par François Bail

Depuis le début de l’année scolaire, une nouvelle activité parascolaire est offerte aux étudiants de la polyvalente Horizon-Blanc. « Les Brigades culinaires », issue de la fondation « La Tablée des Chefs », est un programme qui vise à enseigner les techniques de base en cuisine et à inculquer les saines habitudes alimentaires aux jeunes. Ce sont 25 élèves de tous les niveaux du secondaire qui s’adonnent chaque mercredi soir à l’élaboration de plats variés.

Les participants sont divisés en cinq équipes de quatre. Chaque équipe dispose d’un poste de travail muni d’une cuisinière et de divers outils de cuisine. Les élèves doivent suivre une recette et c’est le chef Hugo Dionne qui leur explique chacune des étapes. Il leur montre les techniques d’exécution avec l’assistance de Johanne Desgagnés et de Nancy Émond, enseignantes à la polyvalente Horizon-Blanc. L’atelier se déroule sur une période de trois heures dans un climat d’enthousiasme et d’entraide. Ce printemps, un jury déterminera la meilleure brigade de l’école qui se rendra en quart de finale provinciale. Les quatre meilleures brigades du Québec s’affronteront par la suite en finale à Montréal sous la direction du chef Ricardo.

Une activité formatrice

Selon l’enseignante responsable du programme, Johanne Desgagnés, cette activité est non seulement amusante, mais également formatrice. Elle inculque aux jeunes le sens des responsabilités et les prépare à la vie en appartement.

« On sait que plusieurs de nos jeunes iront bientôt au cégep et devront se faire à manger. Il est important qu’ils sachent comment bien s’alimenter et gérer un budget domestique » affirme-t-elle.

Une élève participante en témoigne : « Avant, je savais seulement faire des grilled cheese et maintenant je sais cuisiner plein de choses ». Pour Nancy Émond qui s’implique bénévolement, ce type d’atelier est plus formateur qu’un cours magistral : « C’est une façon bien plus dynamique d’apprendre et les élèves retiennent mieux la matière quand ils l’expérimentent », explique-t-elle. Rappelons que le cours d’économie familiale a été retiré du programme d’enseignement secondaire.

Un défi logistique

Pour le bon déroulement de l’activité, il a fallu faire l’achat d’équipements, puis se procurer les aliments et veiller à leur conservation. On le sait bien, la nourriture coûte cher en région éloignée. De plus, la diversité est moindre. Cette réalité pose un défi de taille en raison d’un budget restreint. D’ailleurs, certains aliments ont dû être achetés à l’extérieur. Heureusement, l’organisation peut compter sur l’appui des épiceries IGA, commanditaire principal et plus particulièrement sur le IGA de Labrador City.

La Tablée des Chefs au Québec

L’organisme à but non lucratif « La Tablée des Chefs » œuvre depuis près de 15 ans à « nourrir les personnes dans le besoin et développer l’éducation culinaire des jeunes ». L’année dernière, l’organisme a récupéré 180 tonnes de nourriture et ses activités ont permis de nourrir un demi-million de personnes. Le programme « Les Brigades culinaires » est aujourd’hui présent dans 80 écoles secondaires et implique plus de 1600 jeunes.

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Publié le 20 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 19 Volume 35

  • Activité formatrice
  • Fermont
  • La Tablée des Chefs au Québec
  • Les Brigades culinaires
  • Organisme à but non lucratif
  • Polyvalente Horizon-Blanc
  • Vie étudiante

Publié sur le site le 21 novembre 2017

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Élections municipales à Fermont

Shannon Power l’emporte

par François Bail

Les Fermontoises et les Fermontois se sont prononcés au centre multifonctionnel Cliffs, le 5 novembre dernier, pour l’élection du conseiller municipal au siège no. 6 avec un taux de participation de 30 %. C’est à Shannon Power qu’ils ont accordé leur confiance. Il remporte le suffrage avec 72 % des voix (359 votes) contre 28 % (139 votes) pour son adversaire Dave Bouchard.

À l’annonce des résultats, Shannon Power ne cache pas son enthousiasme et sa gratitude : « Je remercie les citoyens de m’accorder leur confiance », s’est-il exclamé à la suite de l’annonce des résultats. Bien que la politique municipale soit une nouveauté pour lui, il se dit prêt à acquérir rapidement la maîtrise de ses rouages pour être en mesure d’opérer avec efficacité et de mener à bien ses dossiers.

Qui est Shannon Power?

Monsieur Power habite à Fermont depuis 2004. Il est technicien en prévention incendie chez ArcelorMittal et pompier à temps partiel pour le service de prévention des incendies. Son implication communautaire se démarque particulièrement chez les jeunes. On lui doit la cofondation du Club de Judo Fermont pour lequel il est instructeur. Il est aussi président du conseil scolaire de la commission Scolaire Eastern Shores et administrateur au sein du C.A. de Diffusion Fermont. Shannon Power connaît déjà bien les grands enjeux et dossiers majeurs de Fermont puisqu’il assiste de manière assidue aux réunions du conseil municipal.

Priorités de l’élu

Pour son mandat, Shannon Power désire bonifier la vie sportive et sociale par un soutien aux organismes communautaires. De manière concrète, il souhaite l’amélioration des infrastructures sportives telle que les cabanes pour la balle molle. Il a également à cœur la gestion et la récupération des déchets (recyclage et compostage) qui sont pour lui primordiaux au bien-être des futures générations. Il est aussi préoccupé par le dossier de la route nationale 389 et veut voir se concrétiser rapidement un nouveau tracé entre Fermont et Fire Lake.

Ailleurs sur la Côte-Nord

La Ville de Baie-Comeau a élu dimanche dernier un nouveau maire. Il s’agit de monsieur Yves Montigny qui a recueilli 68 % des voix (5 118 votes) contre 32 % (2 404 votes) pour son rival Yvon Boudreau. À Port-Cartier, les électeurs ont aussi opté pour la nouveauté en appuyant Alain Thibault qui l’emporte avec 58 % des voix (1 506 votes) contre 42 % (1 098) pour Violaine Doyle. Du côté de Sept-Îles, Réjean Porlier a été réélu avec 56,9 % des voix (5 748 votes) contre 43,1 % (4 348 votes) pour son adversaire Russel Tremblay.

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Publié le 20 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 19 Volume 35

  • Conseiller municipal
  • Côte-Nord
  • Élections municipales
  • Fermont
  • Implication communautaire
  • Shannon Power
  • Suffrage

Publié sur le site le 21 novembre 2017

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Vecteur touristique

Quel avenir pour le Défi Taïga?

par François Bail

Légende : Les chiens de traîneaux au coeur du Défi Taïga. Source : Léane Côté

L’Association touristique de Fermont (ATF) dressait un bilan financier positif de l’édition 2017 du Défi Taïga, le 9 novembre dernier, à la salle des Métallos à Fermont. Le président de l’ATF, Serge Côté, se montre satisfait. Selon lui, l’évènement est la vitrine touristique la plus convaincante de la région et son potentiel en retombées sociales et économiques est majeur. Toutefois, il ne cache pas que le comité organisateur fait face à certains enjeux par rapport à l’avenir de la course de chiens de traîneau.  S’il y a un réel désir d’accroissement de l’envergure de cette manifestation culturelle et sportive et de perfectionnement au sein des Fermontois, le comité organisateur aura-t-il les ressources nécessaires pour concrétiser cet objectif ?

Un potentiel inestimable

Dès sa création en 2014, le Défi Taïga est déjà la plus longue course à l’est du pays. L’évènement a depuis attiré des mushers étrangers provenant entre autres du Yukon, de l’Ontario et des États-Unis. D’une édition à l’autre, un intérêt croissant se fait sentir. Selon Serge Côté, l’évènement a tout le potentiel d’obtenir éventuellement une renommée internationale. « Le Défi Taïga est ce que nous avons ici qui s’exporte le mieux à l’étranger. Il a aussi la capacité de favoriser la diversification économique de la région et permettre la création d’emplois dans le domaine de l’événementiel et du tourisme » affirme-t-il.

Un levier pour le Taïga Carnaval

À la création du Taïga Carnaval, les deux bailleurs de fonds originaux, soit la Ville de Fermont et ArcelorMittal, ont octroyé une enveloppe budgétaire garantie à l’ATF pour les trois premières années. Il a été entendu que l’évènement devait acquérir son indépendance en générant des revenus autonomes et en impliquant d’autres commanditaires. «J’ai toujours travaillé dans le but de faire grossir le carnaval en ce sens », affirme Serge Côté.

Or, le Défi Taïga se révèle être la figure de proue du Taïga Carnaval. Il suscite l’intérêt de plusieurs commanditaires qui profitent aussi aux autres volets du Taïga Carnaval. Il a également permis d’être utilisé comme toile de fond pour des projets de mise en valeur de la région, tels qu’un reportage vidéo réalisé en collaboration avec la MRC de Caniapiscau.

Un défi organisationnel

L’organisation du Défi Taïga, tout comme le Taïga Carnaval, repose sur l’implication bénévole. Bien que les équipes en place ont toujours su répondre aux attentes avec brio, il s’agit d’une structure organisationnelle qui a ses limites. Or, dans une optique d’accroissement, elles doivent se restructurer et adopter de nouvelles stratégies. Selon Serge Côté, il y a actuellement un dédoublement des tâches au sein des équipes, particulièrement en ce qui a trait à la promotion et aux commandites. D’ailleurs, un nouveau sous-comité promotion a été créé cette année. Il a comme mandat de promouvoir le Taïga Carnaval et le Défi Taïga dans une perspective commune. Monsieur Côté demeure confiant quant à l’avenir du Défi Taïga. Il estime que son organisation est aujourd’hui mature, c’est pourquoi il se retire de la direction pour se recentrer sur lui-même et sa famille. C’est Catherine Joly-Cardinal et Carole Vuylsteke qui en sont maintenant les nouvelles codirectrices. Ce dernier demeure tout de même président de l’ATF et en assurera le bon déroulement administratif.

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Publié le 20 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 19 Volume 35

  • Association touristique de Fermont
  • Carnaval hivernal
  • Course de chiens de traîneaux
  • Défi taïga
  • Fermont
  • Taïga Carnaval
  • Vecteur touristique
  • Vitrine touristique

Publié sur le site le 20 novembre 2017

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Route nationale 389

Un dossier qui s’étire en longueur sur 570 km

par Éric Cyr

Le Programme d’amélioration de la route nationale 389, la seule route provinciale québécoise à se rendre au-delà du 51e parallèle, constitue l’une des priorités d’actions du Plan Nord et, à ce titre, ce projet est « prioritaire » pour le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports (MTMDET). Cette volonté a été réitérée dans le Plan québécois des infrastructures 2017-2027. Le gouvernement du Québec est déjà engagé dans ce projet majeur et a d’ailleurs prévu un budget total de 468 millions de dollars au programme.

La route nationale 389, un axe terrestre interprovincial qui fait partie de la transquébec-labrador, s’étend sur une distance de 570 kilomètres et relie la route 138 à la frontière ouest de la province de Terre-Neuve-et-Labrador où elle rejoint l’autoroute 500 (aussi appelée Nichols-Adam ou translabradorienne). Reconnue comme faisant partie du réseau routier national en 2005, la 389 a été construite par étapes, par divers intervenants, notamment des grévistes de la compagnie minière Québec Cartier qui ont fait aboutir le tracé Fire Lake/Mont-Wright en 1978. Selon Transports Québec, il s’agit d’une route sinueuse qui présente un profil très accidenté pour laquelle divers correctifs sont nécessaires. Le Programme d’amélioration de la route 389 vise à réaliser ceux-ci, qui sont essentiels à l’amélioration de la sécurité et du confort des usagers. Le gouvernement du Québec a déjà alloué un montant de 468 M$ au Programme qui faisait partie, en avril 2015, du dévoilement du Plan Nord à l’horizon 2035, le plan d’action 2015-2020, qui devrait s’échelonner sur une période de 10 ans. La réfection de la 389 « favorisera la mise en valeur du potentiel économique considérable du Nord québécois en donnant accès à de nombreuses ressources naturelles et récréotouristiques. »

La planification des travaux de réfection de la route 389 entre Baie-Comeau et Fermont se poursuit selon le ministère des Transports du Québec. À ce jour, près de 40 M$ ont été investis (pour la majorité au sud de cet axe routier) depuis de début du programme.

Conception du nouveau tracé

Transports Québec a fait des appels d’offres publiques, selon la nature des interventions et la localisation des travaux, pour des services de conception. C’est le consortium Roche/TDA qui a obtenu le contrat de définir un nouveau tracé et la réfection majeure pour le nouveau tronçon entre Fire Lake et Fermont. Roche/TDA est la firme chargée de la conception du projet, toutefois l’entreprise s’est adjointe à SNC-Lavalin GEM Québec Inc. afin d’effectuer la partie géotechnique du projet.

État d’avancement des projets

Le MTMDET détaille l’état d’avancement général des cinq projets du programme :

Projet A : de Fire Lake à Fermont (km 478 à 566)

Plusieurs étapes ont été réalisées, notamment l’étude d’opportunité, l’étude d’avant-projet préliminaire et les études géotechniques (sondages, forages, qualité des sols incluant le déboisement d’un sentier requis pour réaliser ces activités). L’étude environnementale fédérale approfondie ainsi que l’étude d’avant-projet définitif sont en cours. La prochaine étape sera l’approbation des plans et devis. Selon l’échéancier technique, les travaux « pourraient » débuter en 2019, conditionnellement à l’obtention des autorisations nécessaires.

Projet B : de Baie-Comeau à Manic-2 (km 0 à 22)

Les travaux de prolongement de l’Avenue du Labrador, consistant en 1,1 km via le tracé projeté du projet B, dans le parc industriel Jean-Noël Tessier, seront terminés à la fin du mois d’octobre 2017. La préparation des plans et devis définitifs pour le reste du projet B débutera en 2018. Selon l’échéancier technique, les travaux pourraient débuter à l’automne 2018, conditionnellement à l’obtention des autorisations nécessaires.

* Les projets A et B sont assujettis à la Directive sur la gestion des Projets majeurs d’infrastructure publique puisqu’ils représentent chacun des investissements de plus de 100 M$.

Projet C : secteur sinueux au nord de Manic-5 (km 240 à 254)

Plusieurs étapes ont été réalisées, notamment l’étude d’opportunité, les études d’avant-projet, des études géotechniques (sondage, forages, qualité des sols, etc.) et les plans et devis préliminaires. La préparation des plans et devis définitifs est à l’étape de finalisation. Les travaux pourraient débuter en 2018, conditionnellement à l’obtention des autorisations nécessaires.

Projet D : de Manic-2 au nord de Manic-3 (km 22 à 110) et Projet E : nord de Manic-3 au km 212
(km 110 à 212)

Des travaux de reconstruction de route ont été réalisés aux km 70, 93, 202 et 204 (correction de courbes et de profils, ponceaux, glissières de sécurité). Des travaux sont prévus en 2018 au km 42 (projet D) afin de reconstruire ce tronçon de deux kilomètres. D’autres travaux semblables doivent avoir lieu en 2018, au km 51 (projet D) et entre les kilomètres 164 et 168 (projet E), en 2019.

Les petits « à côté »

Plusieurs autres travaux ne faisant pas partie du Programme ont été réalisés sur la route 389 à l’été 2017, notamment : des interventions mineures sur le pont situé au km 22, des travaux de réfection de la chaussée des km 49 à 75, des remplacements de ponceaux sur plusieurs tronçons, des travaux sur le pont de la rivière Anita au km 211, le parachèvement des travaux du pont de la rivière des Rétrécissements au km 296, la consolidation des murs du ponceau de la rivière Mathevet au km 301, le remplacement du pont de la rivière Hart-Jaune au km 373 et le rechargement granulaire du km 497 à 514.

Selon la conseillère en communication du MTMDET à la Direction générale de la Côte-Nord, Sarah Gaudreault, le budget de 428 M$ qui reste est réservé pour la route nationale 389 et demeure dans une enveloppe consacrée au seul lien routier du Nord-est québécois même s’il arrivait que le gouvernement actuel soit défait aux prochaines élections.

Pour plus d’info sur la 389 : www.transports.gouv.qc.ca/fr/projets-infrastructures/projets/reseau-routier/projets-routiers/cote-nord/Pages/amelioration-route-389.aspx

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Publié le 20 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 19 Volume 35

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  • Électrification
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  • Mobilité durable
  • Plan Nord
  • Route au profil accidenté
  • Route nationale 389
  • Route provinciale québecoise
  • Route sinueuse

Publié sur le site le 20 novembre 2017

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