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  • L’ancien maire de Gagnon s’éteint

    Pionnier du Nord

    L’ancien maire de Gagnon s’éteint

  • L’équipe Shawnil fait sa marque

    Courses de traîneau à chiens

    L’équipe Shawnil fait sa marque

  • Le plongeon qui a tout chamboulé

    Courageuse réadaptation

    Le plongeon qui a tout chamboulé

  • Un défi bisannuel d’envergure

    Motoneige

    Une 16 mars, 2020

    Un défi bisannuel d’envergure

Numéro_05

L’ancien maire de Gagnon s’éteint

Pionnier du Nord

L’ancien maire de Gagnon s’éteint

L’équipe Shawnil fait sa marque

Courses de traîneau à chiens

L’équipe Shawnil fait sa marque

Le plongeon qui a tout chamboulé

Courageuse réadaptation

Le plongeon qui a tout chamboulé

Un défi bisannuel d’envergure

Motoneige

Une 16 mars, 2020

Un défi bisannuel d’envergure

Pionnier du Nord

L’ancien maire de Gagnon s’éteint

par Éric Cyr

Le premier maire noir de l’histoire du Québec, René Coicou, qui a présidé au destin de la défunte ville minière de Gagnon jusqu’à sa fermeture en 1985, est décédé des suites d’une longue maladie. Il a poussé son dernier soupir à Ottawa, le 2 mars dernier, il avait 84 ans.

M. Coicou, originaire d’Haïti avait fui le régime dictatorial de François Duvalier surnommé « Papa Doc » en 1957 pour aboutir à Montréal. Après des études en mécanique de machinerie lourde, il est engagé par la minière Québec Cartier en 1962 et quitte la métropole québécoise pour aller travailler à la mine du lac Jeannine (qui a été exploitée jusqu’en 1978) à Gagnon où il s’établit avec sa famille. Malgré la mort de sa première femme Claire Gravel des suites d’une complication liée à la grossesse, il choisit tout de même de demeurer sur place avec ses trois fils.

Une annonce crève-cœur

L’ancien secrétaire archiviste du Syndicat des Métallos a d’abord été élu à la mairie en 1973. Son mandat de maire sera par la suite renouvelé à deux reprises. Après avoir appris au début des années 1980 que Sidbec-Normine menaçait de fermer ses installations minières à cause de la crise du fer, tout comme ce fut le cas en 1982 pour la minière IOC à Schefferville, M. Coicou se bat corps et âme afin de renverser la vapeur et multiplie les démarches auprès du gouvernement du Québec afin de tenter de trouver des solutions. Malgré son combat acharné et l’appui indéfectible du syndicat des Métallos et du légendaire syndicaliste Herby Bérubé, c’est peine perdue et la décision est irrévocable. Atteint d’une tumeur au cerveau, M. Coicou doit finalement se résigner à l’inévitable et convoque les Gagnonais à l’église, en octobre 1984, pour leur annoncer avec émotion que leur ville agonisante serait fermée de façon définitive le 30 juin de l’année suivante. En effet, la compagnie cesse d’exploiter le gisement de fer de la mine de Fire Lake en 1984 et la ville sera rasée un an plus tard à l’été 1985.

Le politicien populaire qui s’est investi à fond dans sa collectivité aura tenu la barre avec courage jusqu’au moment fatidique du naufrage annoncé : la fermeture de la ville qu’il avait contribué à façonner. L’ancien maire de la municipalité disparue aura laissé sa trace parmi ses concitoyens, dont un bon nombre, 400 travailleurs et leurs familles, a migré vers Fermont. Plusieurs se souviennent de l’apport inestimable de celui qui était fortement engagé au sein de sa communauté. L’ancien conseiller municipal Marc Poulin, qui a par la suite déménagé à Fermont avant de prendre sa retraite le définit comme un homme du peuple au diapason des travailleurs qui faisait peu de cas de la hiérarchie. Il explique que le racisme n’existait pas à Gagnon et que tous étaient soudés dans ce petit milieu isolé tissé serré inaccessible par la route à l’époque.

« Le seul homme de couleur de l’endroit a été élu maire, c’est tout dire! »

M. Coicou n’aura malheureusement jamais eu l’occasion de visiter ce qui reste de Gagnon, mais son nom restera à jamais associé à la ville qu’il a tant aimée.

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Publié le 16 mars, 2020, dans la publication : Numéro_05 Volume 38

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  • Histoire du Québec
  • MRC de Caniapiscau
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  • Ville de Gagnon

Publié sur le site le 16 mars 2020

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Courses de traîneau à chiens

L’équipe Shawnil fait sa marque

par Éric Cyr

Source photo : Peter Freeman

Les meneurs de chiens fermontois de l’équipe du chenil Shawnil, notamment l’une des plus jeunes athlètes de ce sport dans le circuit international, Florence Shaw, ont récemment participé à deux épreuves sportives internationales où ils se sont fait remarquer grâce à d’excellents résultats.

Florence Shaw a brillé lors de la deuxième édition de la course Tchitogama de 160 kilomètres (100 miles) sillonnant les paysages féériques entre Lamarche et Saint-Ludger-de-Milot au Saguenay-Lac-Saint-Jean qui était organisée par HaagenDaz Expéditions, du 6 au 9 février 2020. L’ambassadrice fermontoise qui arborait le dossard numéro 5 a pris le départ avec son attelage, le 7 février, se mesurant à des conducteurs de chiens de traîneau expérimentés et, après avoir effectué un arrêt obligatoire de quatre heures au point de contrôle à l’étape de mi-parcours, a terminé l’épreuve en troisième place derrière André Longchamps, le père (7 h 20 : 53) et son fils de 17 ans Tristan (7 h 40 : 28) avec un chronomètre de 8 h 02 minutes et 47 secondes. La jeune musheuse avait remporté la première place durant le parcours de 50 kilomètres (30 miles) du Tchitogama lors de la première édition de l’événement en 2019.

Exploit inégalé

Florence Shaw a devancé un objectif qu’elle souhaitait atteindre à l’âge adulte puisqu’à 14 ans elle s’est alignée sur le fil de départ de la course Irving Woodlands Can-Am Crown à Fort Kent dans le Maine aux États-Unis, qui totalise 400 kilomètres (250 miles), le 29 février, où elle a terminé en sixième position (seconde place féminine). En plus de cette belle performance, la musheuse fermontoise a réalisé un exploit puisqu’elle est la plus jeune participante de l’histoire à avoir pris part à la Can-Am Crown. Cette dernière a terminé juste derrière un autre Québecois de 17 ans, Tristan Longchamps, qui a pris le 5e rang. L’épreuve, remportée par Denis Tremblay de Saint-Michel-des-Saints au Québec, était présentée dans le cadre de la 28e édition de l’événement international qui se déroulait, du 29 février au 3 mars. La meneuse de chiens s’était aussi classée huitième dans la course de 160 kilomètres (100 miles) Willard Jalbert Jr. également à Fort Kent en 2018. Il faut noter que le Québécois Martin Massicotte de Saint-Tite, vainqueur de l’épreuve à dix reprises, était absent, car il est le premier Québécois à participer à la célèbre course historique Iditarod de 1600 kilomètres (un peu plus de 1000 miles) en Alaska.

Les débuts

La meneuse de chiens a participé à sa toute première épreuve lors de la 10e édition de la course de 30 miles d’Eagle Lake dans le Maine dans le cadre du Mad Bomber en 2018, et à la cinquième et dernière édition du Défi Taïga de Fermont, la plus longue course de chiens de traîneaux de l’est du Canada à l’époque, cette même année en plus de franchir la première le fil d’arrivée lors de la première édition du Sprint amical des mushers couvrant une distance de 20 kilomètres dans le cadre du Taïga Carnaval de Fermont en 2019. Elle se prépare actuellement pour la nouvelle formule locale organisée par les Mushers du Grand Nord, les Taïga Courses qui se dérouleront du 20 au 22 mars où elle est inscrite pour l’épreuve du Taïga 200.

À propos du chenil Shawnil

Les chiens de traîneau sont une passion pour la famille Shaw notamment la santé et le bien-être animal qui constituent une priorité. Yan a commencé son parcours il y a quelques années avec pour objectif de bien maîtriser cette science afin d’apporter à ses chiens tout ce dont ils ont besoin. Après avoir fait appel à l’expertise de mushers québécois, Yan Shaw a pris part à plusieurs compétitions dans cette discipline principalement dans le Maine aux États-Unis. Une des plus jeunes compétitrices, sa fille Florence en est à sa troisième saison et progresse rapidement.

Le chenil Shawnil est déménagé sur le chemin de la mine des Chinois. La population peut venir le visiter quand il y a quelqu’un sur place pour vous accueillir.

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Publié le 16 mars, 2020, dans la publication : Numéro_05 Volume 38

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Publié sur le site le 16 mars 2020

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Courageuse réadaptation

Le plongeon qui a tout chamboulé

par Éric Cyr

Légende photo : L’ancien fermontois Alain Frappier et son fils Dominic avant la tragédie qui a changé la vie du jeune athlète universitaire à tout jamais. Source photo : Yves Longpré

L’ancien Fermontois Dominic Frappier a tout pour réussir et est voué à un brillant avenir. Après avoir fourni des efforts soutenus et disciplinés, l’athlète talentueux, qui adore le ski alpin, a participé au championnat provincial universitaire d’athlétisme au lancer du poids et fait partie de l’équipe de football du Vert et Or de l’Université de Sherbrooke. Il vient de terminer ses études universitaires en kinésiologie et célèbre, cette journée-là, l’obtention de son baccalauréat à l’occasion du bal de finissants avec des amis étudiants. C’est une chaude soirée d’été et il souhaite se rafraîchir. Subjugué de joie, il s’élance dans la pénombre et plonge du bout du quai dans un lac.

Tragédie

Sa vie bascule lorsque sa tête heurte le fond. Il est conscient, mais ne sent plus ses jambes. Il n’ose pas s’imaginer le pire, mais son corps semble comme paralysé. Il s’est cassé le cou. Ses amis interviennent rapidement et le sortent de l’eau. Il est transporté d’urgence en ambulance et s’endort durant le long trajet vers l’hôpital Sacré-Cœur de Montréal. C’était le 21 juin 2019. À son réveil, ses parents sont à son chevet. Ils ont été informés de l’accident durant la nuit. Rien ne sera plus comme avant, il a subi une fracture au niveau des 5e et 6e vertèbres cervicales. Il est dorénavant quadriplégique. Le jeune homme, un sportif qui a toujours été quelqu’un de très actif, est sous le choc. Il a passé 36 heures aux soins intensifs avant d’être transféré aux soins intensifs intermédiaires dans le même établissement de santé et d’aboutir, le 4 juillet, au Centre de réadaptation Gingras-Lindsay-de-Montréal qui accueille une clientèle adulte qui présente une ou plusieurs déficiences physiques temporaires ou permanentes à la suite d’une maladie ou d’un traumatisme.

Transition et rééducation

C’est là que Dominic Frappier apprend à vivre avec sa nouvelle condition et les limitations qu’elle lui impose notamment la dépendance aux préposés, un état difficile à accepter, mais qu’il a surmonté. Ergothérapie, physiothérapie, entraînement progressif pour acquérir de la force et de la masse musculaire, il comprend bien le processus et les interventions puisqu’il a étudié l’anatomie, la biomécanique et la physiologie de l’effort durant ses cours universitaires.

« Je dois avouer qu’il y a eu des moments plus difficiles physiquement et psychologiquement, mais les embûches ne font que stimuler ma persévérance et ma volonté. »

Il ne se laisse pas abattre bien au contraire il anticipe l’avenir avec confiance et optimisme. Après avoir subi, le 23 janvier dernier, une intervention chirurgicale ayant nécessité l’expertise de quatre chirurgiens chevronnés durant huit heures afin de tenter la réanimation de certaines fonctions par transfert nerveux (nerve bypass), il devient le premier Québécois à tester le protocole de cette opération sophistiquée. L’objectif est la reconstruction de connexions nerveuses. Cette récente technique de chirurgie, la neurotisation, consistant à utiliser un nerf sain, à le sectionner et à le brancher sur un nerf avulsé ou rompu en lui envoyant du courant tel un branchement électrique, s’est avérée un outil efficace qui a donné des résultats significatifs afin de restaurer la fonction nerveuse dans les bras et les mains de plusieurs patients ailleurs dans le monde. Deux semaines après la minutieuse procédure, Dominic Frappier ne pouvait toujours pas bouger les membres supérieurs. « J’avais les muscles qui ne sont pas innervés comme endormis dans les bras. Finalement, j’ai pu à ma grande satisfaction recommencer des exercices de pleine extension des biceps et des triceps. »

Un documentaire

Très combattif, Dominic Frappier fait preuve de courage et impressionne les intervenants par sa résilience et son attitude positive. « Je souhaite m’améliorer et je suis bien encadré donc je vais obtenir des résultats c’est inévitable. » Depuis le début de son séjour et malgré les embûches, ce dernier a déjà essayé l’athlétisme en fauteuil roulant, le rugby adapté et le vélo dans le but de retrouver une vie active. Sa détermination exemplaire a attiré l’attention de la réalisatrice Karina Marceau qui l’a suivi durant quelques mois dans le cadre du tournage d’une série documentaire, La longue remontée, qui sera télédiffusée sur AMI-Télé au printemps et par la suite sur ICI Explora. Vous pouvez le joindre via son profil Facebook.

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Publié le 16 mars, 2020, dans la publication : Numéro_05 Volume 38

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Motoneige

Un défi bisannuel d’envergure

par Éric Cyr

Légende photo : Le départ de la course sous les encouragements de la foule.

L’édition 2020 de la course internationale d’endurance à motoneige Cain’s Quest a pris son envol sur la rue Elm à Labrador City, le 7 mars dernier, après l’alignement des coureurs et le chant de l’hymne national sous les encouragements d’une foule nombreuse juchée des deux côtés de la piste, notamment sur des bancs de neige et des balcons, et venue assister au départ des participants originaires de deux continents.

C’est dans une ambiance électrisante que des motoneigistes chevronnés de 48 équipes en provenance d’Amérique du Nord et d’Europe composées de deux coéquipiers d’expérience, incluant pour la première fois pas un, mais deux équipages féminins et des représentants de quatre nations autochtones (Cris, Naskapis, Innus, Inuits), se sont élancés par paires sous le vrombissement des moteurs et les applaudissements des spectateurs.

Certains agitaient des drapeaux, notamment ceux du Labrador et de la Finlande, et des banderoles. Les athlètes sont originaires de plusieurs nationalités incluant le Canada : Ontario, provinces atlantiques du Nouveau-Brunswick, de la Nouvelle-Écosse (un Acadien du Cap-Breton), de l’île de Terre-Neuve et du Labrador ainsi que du Québec, mais aussi des États-Unis (Maine, Alaska). D’autres compétiteurs viennent d’aussi loin que de la Suisse (Fribourg) et de la Finlande (Laponie).

Fourmillement du départ

Des dignitaires se fondent parmi la population, des policiers patrouillent le périmètre de sécurité, des ambulanciers sont stationnés à proximité du fil de départ, des journalistes, qui ont au préalable réalisé des entrevues, se positionnent pour avoir une vue d’ensemble, des caméramans filment la scène, des photographes captent des images. Un animateur présente les équipes et motive le public avant le décompte entre les départs. Certains admirateurs et médias plus audacieux se sont positionnés aux abords du lac Wabush où les motoneigistes accélèrent véritablement pour tenter de se tailler une place parmi le peloton de tête.

Rudesse des éléments

Après une nuit de sommeil à l’hôtel North Two à Happy-Valley-Goose-Bay, certaines motoneiges devront déjà subir des réparations. Déjà neuf abandons pour des raisons mécaniques après deux jours, il ne reste que 39 équipes bien déterminées à terminer le parcours. La troisième journée, 13 équipes avaient abandonné. Les deux équipages de femmes sont toujours bien cramponnés. C’est un parcours extrêmement difficile qui les attend encore sur des sentiers non damés à travers les régions sauvages du Labrador où les coureurs en plus de leur courage, de leur détermination et de leur ténacité doivent composer avec les rigueurs du climat nordique et les caprices de Dame nature qui peuvent se déchaîner à tout moment. L’objectif ultime pour les équipages après avoir serpenté le Labrador durant plusieurs jours et s’être enregistré à 17 points de contrôle est de franchir le fil d’arrivée au club de motoneige White Wolf à Labrador City. La 4e journée, une équipe est victime d’une avalanche. Le lendemain 11 mars, un blessé grave, Bryan Rich, de l’équipe innue Bernice de Sheshatshiu au Labrador, nommée en l’honneur de sa nièce de 21 ans assassinée dans sa communauté, a dû être évacué d’urgence en hélicoptère vers l’hôpital de Goose-Bay après un carambolage avec sa motoneige. L’équipe féminine finlandaise s’est résignée à déclarer forfait tout comme la moitié des formations soit 24 sur 48. Une équipe canado-américaine de femmes tient bon. En 2018, 24 des 41 équipes avaient abandonné l’épreuve pour diverses raisons principalement mécaniques, mais aussi à cause de blessures. Au moment de mettre sous presse, la course n’était pas terminée.

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Publié le 16 mars, 2020, dans la publication : Numéro_05 Volume 38

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Publié sur le site le 16 mars 2020

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