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    Inspiration et création

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    Cancer Fermont

    Une 29 avril, 2019

    Véritable tourbillon de générosité

Numéro_08

Résidence  artistique  à Fermont

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Fermont  inspire le  sujet d’un  roman

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Objectif les monts Torngat

Véritable tourbillon de générosité

Cancer Fermont

Une 29 avril, 2019

Véritable tourbillon de générosité

Inspiration et création

Résidence artistique à Fermont

par Éric Cyr

Un duo d’artistes a effectué une résidence d’artiste durant deux mois à Fermont. Dominique Rivard et Clara Lacasse ont choisi cette ville nordique comme lieu de création afin d’aiguiser leur vision multidisciplinaire englobant trois principaux axes de recherche durant leur séjour; la photo, la vidéo et la poterie.

En résumé, une résidence d’artiste, c’est le fait d’accueillir un ou des artistes issus de différentes disciplines en période de création. Ces derniers, hors de leur milieu habituel, sont ainsi stimulés par de nouveaux lieux, de nouvelles réalités, mais surtout par de nouvelles rencontres et un contexte leur permettant de se consacrer pleinement à leur inspiration sans autre distraction. Le projet des deux femmes a été sélectionné par le centre d’artistes PANACHE Art Actuel à Sept-Îles qui garantit une future exposition sur la Côte-Nord à l’été 2020 dans le cadre de la Virée de la culture et peut-être même, pourquoi pas, un retour à Fermont pour présenter le fruit de leurs expérimentations.

Travail collectif

Dans le cadre du projet, les artistes s’intéressent à l’imaginaire du travail minier et aux processus de transformation du fer et de l’argile. Elles se sont principalement investies dans l’apprentissage de la céramique en atelier, nourries par une réflexion sur les enjeux liés à l’exploitation des ressources. Dominique Rivard précise : « Le projet se réalise par une approche intuitive et spontanée. Le travail collectif rassemble et enrichit nos deux pratiques artistiques. Il donne une orientation et une forme changeante à celui-ci. Il faut rester un certain temps sur la Côte-Nord pour mieux connaître le rythme de vie qui est influencé par l’éloignement. » Clara Lacasse explique : « Fermont est avant tout une municipalité orientée vers le travail, et cette réalité stimule une réflexion sur la longévité des villes mono-industrielles. Le fait d’y vivre pour une période de deux mois a permis des discussions plus complètes avec la communauté. En contrepartie, les archives de la ville ont été plus difficiles d’accès que nous l’anticipions. Nous avons notamment découvert que certaines dorment dans un conteneur parmi les vestiges d’une ancienne exposition qui y fut rangée faute d’espace. Nous avons rapidement constaté par nos rencontres que la communauté ici vibre et s’efforce de conserver de tels acquis qui constituent une mémoire collective. »

Rencontre avec le public

Le 19 avril dernier, les deux artistes ont présenté leurs expérimentations dans le centre commercial du mur-écran et ont fait découvrir au public l’amorce et l’évolution progressive de leur exploration initiale. Ce laboratoire de recherche visait à témoigner du processus créatif en présentant des lectures choisies, des photographies et des pièces de céramique de petit format. Elles espèrent que la finalité de cette recherche pourra être présentée à la communauté en 2020 et susciter une conversation élargie sur les enjeux liés aux villes mono-industrielles. Elles tiennent à remercier la potière et artisane Louise Vachon pour son aide durant leur séjour.

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Publié le 29 avril, 2019, dans la publication : Numéro_08 Volume 37

  • Arts
  • Céramique
  • Clara Lacasse
  • Création
  • Dominique Rivard
  • Fermont
  • Inspiration artistique
  • PANACHE Art Actuel
  • Résidence d'artiste
  • Virée de la culture

Publié sur le site le 29 avril 2019

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Littérature

Fermont inspire le sujet d’un roman

par Éric Cyr

Source photo : Frédérick Durand. Légende photo : Ariane Gélinas prend la pause avec ses œuvres littéraires. Deux autres ouvrages prennent pour cadre la Côte-Nord : le tome deux de la série Les villages assoupis, L’île aux naufrages (Anticosti) et Les cendres de Sedna (Tête-à-la-Baleine).

L’intrigue du septième livre et cinquième roman de la prolifique auteure Ariane Gélinas, Quelques battements d’ailes avant la nuit, publié chez Alire, se déroule à Fermont, dans le Nord québécois. Le bouquin est paru pour le 31e Salon du livre de Trois-Rivières, le 28 mars dernier. Fascinée par la nordicité et passionnée par les cartes et les chemins nordiques, l’écrivaine originaire du village de Grandes-Piles en Mauricie a déjà emprunté la route 389, qui fait partie de la Trans-Québec-Labrador, à l’été 2015 afin de venir tâter le pouls de la réalité sur le terrain et de prendre des photos en sol fermontois.

L’aventurière des mots a aussi roulé sur la route de la Baie-James et la Trans-Taïga, ce qui lui a inspiré son tout premier roman de la trilogie Les villages assoupis, Transtaïga, un roman fantastique criminel aux frontières de la folie dans lequel évolue Anissa, qui travaille dans un chenil de chiens huskies à la lisière de ce mythique lien routier subarctique. La romancière et nouvelliste s’inspire beaucoup de ses périples pour modeler ses personnages et leurs péripéties. Son idée originale de départ est revisitée à la suite des rencontres et des expériences vécues durant ses voyages. « J’avais prévu d’écrire dès 2013 un roman se déroulant à Fermont et comme je me déplace toujours sur les lieux avant de rédiger, j’avais l’œil depuis longtemps sur la route 389. Manic-2 et Manic-5, l’œil du Québec, les monts Groulx, le village fantôme de Gagnon, les nids de poule à profusion, la voie ferrée qu’il faut traverser à de nombreuses reprises avant d’arriver dans la ville nordique. Le chemin demande du temps de préparation et de la chance. »

La trame

Dans ce dernier thriller fantastique, Ariane Gélinas raconte les aléas d’une femme bientôt trentenaire, Sévérine, qui, voulant vivre le charme du Nord, s’installe dans la ville de Fermont. Elle emménage dans un appartement situé dans le légendaire mur-écran après s’être fait embaucher comme technicienne en documentation à la bibliothèque publique.

« Une partie de l’action se déroule dans le fameux édifice qui protège la ville des vents dominants du Nord, mais aussi dans les monts Severson où le cadavre d’une victime assassinée est retrouvé. Il est fait mention dans le récit notamment du parc des Épinettes, d’où l’on peut apercevoir la croix du mont Daviault et également du journal Le Trait d’union du Nord. »

Sur la route

Directrice littéraire, chargée de cours à l’université et coéditrice, Ariane Gélinas a une vie bien remplie, mais elle n’hésite pas à se métamorphoser en nomade durant ses road trips à la Jack Kerouac en quête de matériel tangible pour peupler ses narrations. Elle aime saisir toutes les facettes des milieux qu’elle explore et qu’elle apprivoise au fur et à mesure, découvrant les caractéristiques particulières de chaque endroit visité afin de voir au-delà de l’enrobage. L’auteure écrit aussi avec un grand souci stylistique et le moment où se déroulent les événements coïncide avec l’intervalle de son passage sur place. « Je suis une grande randonneuse et j’ai beaucoup marché. L’immensité des environs de Fermont m’a impressionnée, il y a tellement d’espace. J’adore les décors, les lieux. J’essaie de les rendre vraisemblables dans mes écrits, de faire ressentir l’affection que j’éprouve pour le Nord, notamment pour la Côte-Nord, où mon père demeurait lorsque j’étais adolescente. En attendant la prochaine exploration septentrionale! »

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Publié le 29 avril, 2019, dans la publication : Numéro_08 Volume 37

  • Ariane Gélinas
  • Côte-Nord
  • Écrivaine
  • Fermont
  • Littérature
  • Quelques battements d'ailes avant la nuit
  • Roman
  • Romancière
  • Thriller fantastique

Publié sur le site le 29 avril 2019

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Expédition à motoneige

Objectif les monts Torngat

par Éric Cyr

Source photo : Expédition Torngat

Six intrépides motoneigistes fermontois ont entrepris un long périple qui les a menés jusqu’aux monts Torngat à l’extrémité nord du Labrador. Partis de Fermont par la Trans-Québec-Labrador (routes 389 et 500), le 22 mars dernier, ils rejoignent Happy-Valley-Goose-Bay puis empruntent la route 520 vers North West River. C’est là qu’ils enfourchent leurs bolides pour le grand départ en face du fameux garage de l’émission de télévision Last Stop Garage diffusée sur la chaîne Discovery avant d’entamer un long parcours hivernal de 1936 kilomètres en serpentant des paysages grandioses au gré des intempéries.

Toute une aventure que d’atteindre les monts Torngat. Héritage de l’époque glaciaire, cette chaîne de montagnes, faisant partie de la cordillère arctique dans le Bouclier canadien, est un massif rocheux dont le nom signifie « maison des esprits » en inuktitut. Situés sur la péninsule nord du Labrador à la frontière avec le Québec, ses principaux sommets constituent la ligne de partage des eaux entre les deux provinces qui a déterminé la frontière actuelle tracée en 1927 par le Conseil privé de Londres en Angleterre. Le point culminant de cette majestueuse muraille naturelle et la cime de la chaîne Selamiut (Aurore), le mont d’Iberville (appelé aussi Kauviik ou Caubvick) qui s’élève entre 1646 et 1652 m dépendant des mesures.

Des lieux mythiques

Digne du National Geographic, le périple réunit un équipage chevronné et endurci composé de cinq pompiers : Dany Dionne, Éric Tremblay, Yan Leblanc et les frères Francis et Sébastien Meilleur qui ont recruté le mécanicien Jérémy Potvin afin de compléter le cortège des neiges. Ceux-ci se sont au préalable bien documentés et ont consulté des personnes expérimentées afin de bien préparer le trajet. Ils sont prêts à affronter les rigueurs du climat et les dénivelés tortueux leur réservant de nombreuses surprises avant d’atteindre leur objectif, Postville, Hopedale, Natuashish, Nain et le village abandonné d’Hebron au Nunatsiavut puis Nutak où il ne reste qu’une plaque commémorative. L’objectif ultime : atteindre ce territoire exceptionnel aux sommets vertigineux.

Que d’émotions lorsque le parc national des monts Torngat au Labrador surgit à l’horizon tout comme son vis-à-vis québécois, le joyau du Nunavik, le parc national Kuururjuaq qui s’étend de la baie d’Ungava jusqu’au sommet du mont d’Iberville.

Après avoir dormi dans une yourte au camp de base, ils empruntent le chemin du retour. En sillonnant la rivière Koroc, qui prend naissance à la frontière du Labrador et coule en direction de la baie d’Ungava, ils sont émerveillés par son eau bleue limpide et translucide en mouvement sous la glace. Ils rejoignent par la suite Kangiqsualujjuaq, la rivière George puis son affluent la rivière De Pas jusqu’à Schefferville, le lac Menihek puis la rivière Ashuanipi avant de rentrer au bercail à Fermont.

Digne d’un roman de Jack London

Que de souvenirs et d’anecdotes à raconter! Ils ont bravé le froid, croisé des Autochtones, découvert des villages innus et inuits isolés, mais dont l’hospitalité des habitants est légendaire et ont même été invités par une vieille femme inuite qui mangeait de l’ours polaire à prendre le thé à Hebron. Ils ont circulé sur l’océan Atlantique gelé, emprunté une travée, une passerelle en aluminium disposée entre deux banquises après le passage du brise-glace qui relie la mine de Voisey’s Bay, fait du camping dans une église et des camps de Rangers canadiens, dormi dans des pourvoiries abandonnées depuis la quasi-disparition des caribous, qui autrefois se comptaient par centaines de milliers et dont ils n’ont malheureusement aperçu aucun signe, vu des traces d’ours polaire gigantesque. Des phénomènes naturels ont aussi marqué plusieurs des compagnons de voyage : les aurores boréales et l’effet des marées et des cassées de glace tranchante comme des lames qui bougent constamment, le changement drastique de paysage de la taïga et de la toundra qui deviennent faune arctique et alpine.

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Publié le 29 avril, 2019, dans la publication : Numéro_08 Volume 37

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Publié sur le site le 29 avril 2019

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Cancer Fermont

Véritable tourbillon de générosité

par Éric Cyr

Source photo : Kathleen Dubé

Le mois d’avril 2019 a été fertile en activités de financement organisées par plusieurs bénévoles afin d’aider l’organisme caritatif Cancer Fermont à poursuivre sa mission entamée il y a bientôt 14 ans. Un montant impressionnant de 65 000 $, près du double de l’an dernier, a été engrangé durant cette période pour l’œuvre de charité qui a déjà distribué plus d’un demi-million de dollars depuis sa fondation en 2005. Les déjeuners communautaires et le défi Paye-toi ma tête pour la cause ! ainsi que le très convoité souper-bénéfice de crabe ont attiré des foules nombreuses témoignant de l’engouement et de l’appui indéfectible de la collectivité pour l’association qui vient en aide aux personnes atteintes du cancer et à leurs proches localement.

Élan de compassion

Ces manifestations de solidarité envers les personnes atteintes du cancer ont commencé par des déjeuners communautaires traditionnels du dimanche matin à la loge des Moose, sous la supervision de Marie-Josée Dumas, et qui ont attiré plus de 1 000 personnes. La seconde édition du défi Paye-toi ma tête pour la cause ! (inspiré du Défi têtes rasées de Leucan) organisée par Kevin Morissette, qui s’est tenu au même endroit le 12 avril dernier, a également été un franc succès. Un total de 14 participants ont accepté de se faire couper les cheveux sous le regard des spectateurs notamment tous les membres de la famille Synnott.

Le milieu en pince pour Cancer Fermont

La troisième édition du fameux souper-bénéfice de crabe, avec en nouveauté une entrée de crevettes cuites dans l’eau de mer, était orchestrée conjointement par l’agent Kerry Aubé de la Sûreté du Québec et Dave Bouchard avec l’appui logistique des policiers et des élèves finissants de la polyvalente Horizon-Blanc, qui amassaient des fonds pour leur bal de fin d’année. Le rassemblement gastronomique a accueilli 320 convives au Centre multifonctionnel Cliffs, le 13 avril.

En plus de citoyens, qui s’arrachent les billets qui s’envolent comme de petits pains chauds trois mois à l’avance, des représentants d’associations, d’organismes et d’entreprises de la région étaient attablés pour l’occasion tout comme des personnalités politiques qui ont témoigné leur soutien à Cancer Fermont en prenant part à la manifestation culinaire fort prisée.

Il y avait notamment la députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, qui faisait acte de présence pour la troisième fois consécutive et le maire de Fermont, Martin Saint-Laurent. Une délégation du Labrador Ouest, qui souhaite implanter une fondation inspirée de ce concept unique au pays dans les communautés voisines, s’était aussi déplacée incluant le maire de Wabush, Ron Barron, tout comme le directeur du Centre de service de la Sûreté du Québec de la Côte-Nord à Baie-Comeau, le capitaine Carl Gauthier et le directeur du poste principal de la MRC de Caniapiscau, le sergent Daniel Turgeon. Également sur place, le PDG du transporteur aérien PAL Airlines, Calvin Ash, le directeur général de Minerai de fer Québec (MFQ), Louis Turcotte, et un directeur supérieur d’exploitation d’ArcelorMittal, Sylvain Lessard, pour n’en nommer que quelques-uns.

La cerise sur le gâteau

L’allocution du DG de MFQ, Louis Turcotte, a littéralement soufflé la foule lorsqu’il a déclaré que son entreprise soucieuse de soutenir la communauté fermontoise et appuyée de ses partenaires joindrait la démarche philanthropique en accordant un montant de 42 000 $ annuellement sur une période s’étalant sur cinq années. Cette annonce lui a valu une chaleureuse ovation. Parmi les associés, PAL Airlines offre deux billets mensuels durant cinq ans qui pourront être utilisés par les personnes atteintes du cancer et leur famille. De nombreux tirages de prix ont aussi été effectués durant la soirée pour les invités présents incluant une paire de billets pour toute desserte de la compagnie aérienne qui a été remportée par Michel Dubé. Deux billets de Rona pour un match des Canadiens de Montréal au Centre Bell ont été gagnés par Pierre Rancourt qui a généreusement refilé ceux-ci à un passionné notoire de hockey qui animait la soirée, Karl Gagné Côté, de la radio CFMF 103,1.

Remerciements

Le président fondateur de ce mouvement de bienfaisance, Denis Grenier, ému de ce bouillonnement altruiste confie : « Je remercie tous ceux qui s’impliquent activement à assurer la pérennité de l’organisation et la continuité de notre mission et particulièrement pour les récents événements : Dave Bouchard, Kerry Aubé, Kevin Morissette, Marie-Josée Dumas, Audrey Larivière et la photographe Kathleen Dubé, mais aussi plusieurs autres qui demeurent trop souvent dans l’ombre et dont la liste serait trop longue à énumérer. Merci de tout coeur! »

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Publié le 29 avril, 2019, dans la publication : Numéro_08 Volume 37

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