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  • Une artiste de Fermont vise plus loin

    RAAV

    Une 23 janvier, 2024

    Une artiste de Fermont vise plus loin

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Une artiste de Fermont vise plus loin

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Une artiste de Fermont vise plus loin

par Éric Cyr

Source photo : Guy Boudreau

L’autrice et photographe fermontoise Myriam Desjardins-Malenfant a récemment adhéré, en tant que membre professionnelle, au Regroupement des artistes en arts visuels du Québec (RAAV), une association mandatée pour représenter les droits des artistes québécois de cette discipline.

À l’origine géographe de formation, la jeune femme polyvalente se distingue dans le créneau du plein air et du tourisme d’aventure. C’est cette passion qui l’a amenée à découvrir et à exploiter son potentiel artistique, d’abord propulsé par la photo puis par la création littéraire toujours en lien avec les grands espaces. Celle-ci a concrétisé de nombreux projets, notamment une participation à différentes expositions, l’organisation de concours annuels de photos « Clic, déclic et passion » et la publication de deux tomes d’une trilogie de littérature jeunesse, Nos expéditions au nord du 52e parallèle, ainsi que d’un livre à colorier sur le même thème, de concert avec l’illustratrice locale Isabelle Grenier.

Myriam Desjardins-Malenfant souhaite étendre le rayonnement de ses œuvres en se joignant à cette ressource ciblée qui lui permettra entre autres de mieux se faire connaître à l’échelle du Québec et de développer des rapprochements avec d’autres artistes issus des arts visuels.

Photographie animalière

« Ce que j’aime immortaliser grâce au médium d’expression que constitue la photographie, ce sont des rencontres avec des spécimens du monde animalier, car ces moments précieux et uniques me permettent de me sentir en harmonie avec les éléments et de vibrer au diapason de la vie. J’adore partir à l’aventure en forêt munie de mon équipement. Rien ne me rend plus heureuse que de découvrir des traces, d’observer discrètement les comportements des animaux dans leur milieu naturel sans les déranger et de croquer les splendeurs de la faune et de la flore », confie Mme Desjardins-Malenfant, qui a finalement réussi après de nombreuses tentatives infructueuses à photographier des caribous qui se font malheureusement aujourd’hui très rares dans la région. Cette dernière a aussi pu faire de même, lors d’un voyage dans des latitudes encore plus nordiques au Nunavik, avec une famille d’ours polaires et un troupeau de bœufs musqués, une expérience qu’elle considère comme parmi les plus beaux moments de sa vie.

La photographe espère impatiemment depuis de nombreuses années avoir aussi la chance de croiser un loup, qui demeure invisible et dont elle a aperçu à maintes reprises les traces, durant ses excursions en nature afin de rendre hommage en images à cette espèce de canidés. « Je sais que ce jour fatidique viendra, ce n’est qu’une question de temps », conclut l’adepte de randonnée pédestre qui est toujours à l’affut d’une scène qui immortalisera l’âme et l’esprit de nouveaux sujets animaliers.

La prochaine expédition à laquelle prendra part la photographe est une traversée du Nunavik en ski hors-piste en mars 2025. Gageons qu’elle mettra à profit ses talents en photographie pour capter de magnifiques scènes dans la forêt boréale et dans la toundra arctique.

Pour en connaître davantage au sujet de l’artiste pluridisciplinaire, consulter les pages Facebook Myriam Desjardins-Malenfant photographie 52e parallèle nord et Nos expéditions au nord du 52e parallèle ainsi que le site internet expeditions52.ca.

Mme Desjardins-Malenfant invite les autres artistes locaux à se renseigner auprès du RAAV pour soumettre leur candidature et ainsi obtenir de la formation et l’accès à des subventions.

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Publié le 23 janvier, 2024, dans la publication : Numéro-01 Volume_42

  • 52e parallèle
  • Autrice
  • Droits des artistes quĂ©bĂ©cois
  • ExpĂ©ditions
  • Fermont
  • GĂ©ographe de formation
  • Myriam Desjardins-Malenfant
  • Nunavik
  • Photographe
  • Plein air
  • Regroupement des artistes en arts visuels du QuĂ©bec
  • Tourisme d’aventure

Publié sur le site le 23 janvier 2024

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Littérature

Dualité nordique

par Éric Cyr

« J'ai eu beaucoup de plaisir à écrire ce livre. »

Après la sortie remarquée en 2019 de son premier livre, Terminal Grand Nord, récipiendaire du Prix Jacques-Mayer du premier roman, et dont le récit se déroule à Schefferville, Isabelle Lafortune récidive en novembre 2022 avec une nouvelle œuvre de fiction, Chaîne de glace, qui ne laissera pas le lectorat de glace. Bien au contraire, la trame narrative suscitera l’intérêt jusqu’à la dernière page.

Selon la romancière, cet accouchement littéraire s’inscrit dans la continuité de Terminal Grand Nord, mais il n’est nul besoin d’avoir lu ce dernier pour se plonger dans le nouvel ouvrage qui déploie un univers en soi et présente un scénario indépendant du précédent. L’autrice redonne vie à certains personnages connus des lecteurs de Terminal Grand Nord que l’on retrouve sept ans après leurs premières péripéties. Elle renoue notamment avec l’enquêteur Émile Morin, quelque peu ébranlé mentalement par la précédente affaire, et son collègue Giovanni Celani, qui pose un regard parfois cynique et décapant sur la société dans laquelle on vit, mettant en relief certaines contradictions humaines.

C’est à l’occasion d’une visite à sa fille Angelune pour les fêtes de Noël qu’Émile Morin se trouve malgré lui mandaté pour enquêter sur le meurtre d’un ressortissant chinois, dont le cadavre a été découvert à la centrale hydroélectrique de La Romaine-1. Un « hasard » surprenant puisqu’il ne se passe jamais rien du genre dans le coin. Parallèlement, lui et Giovanni, qui l’accompagne, sont sans nouvelles depuis un moment de leur ami Sam, disparu sans que personne ne sache où il se trouve. Une série de pistes les mèneront à se demander si les deux histoires pourraient être reliées. Quel peut être le rapport entre la mort d’un Chinois à Havre-Saint-Pierre et la disparition de Sam à Schefferville ?

Humanité et profondeur

C’est dans cette optique qu’entre en scène la dimension philosophique du roman. L’autrice fait intervenir le philosophe Baruch Spinoza pour créer un effet d’écho à ce qui se trame dans l’histoire. « J’aimais l’idée d’éprouver la théorie du déterminisme de Spinoza. Comment ça s’articule dans la vraie vie, ça ? C’est pourquoi j’ai organisé cette succession d’actions pour la mettre à l’épreuve. Et… ça fonctionne ! Mais soyez rassurés, c’est écrit de façon que tout le monde puisse comprendre. »

L’écrivaine explique que le lecteur peut aborder ce roman de diverses façons et que les événements, tout comme c’est le cas dans la réalité, sont interreliés dans un tourbillon de causes à effets et que ce vortex donne une idée de la complexité du monde.  « Chacun d’entre nous possède une part d’ombre et personne n’est à l’abri de la corruption. J’avais envie d’illustrer la dualité qui habite chacun des protagonistes et j’explore plusieurs aspects de leurs personnalités. Qui sont réellement les méchants ? Personne n’est complètement innocent… », confie Isabelle Lafortune qui avoue être très fière de ce dernier opus.

« J’ai eu beaucoup de plaisir à écrire ce livre destiné à un public diversifié et qui constitue plus qu’une simple intrigue policière en raison de sa dimension sociologique, psychologique et philosophique. »

Effectivement, dans cette seconde parution dont la structure est composée de courts chapitres qui produisent un effet haletant et dynamique, Isabelle Lafortune pointe certains enjeux sociaux. Elle considère que nous devrions nous préoccuper davantage de ce qui se passe dans le territoire nordique en gérant mieux les ressources qui s’y trouvent.

Qui sait si celle-ci, qui déclare avoir le goût d’aller visiter Fermont, pourra un jour s’inspirer de cette autre localité nordique pour la rédaction d’un nouveau bouquin ?

Bonne lecture.

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Publié le 16 janvier, 2023, dans la publication : Numéro_01 Volume_41

  • Autrice
  • ChaĂ®ne de glace
  • DĂ©terminisme
  • Écrivaine
  • Enjeux sociaux
  • Fiction
  • Intrigue policière
  • Isabelle Lafortune
  • LittĂ©rature
  • Livre
  • Polar
  • Roman
  • Romancière
  • Spinoza
  • Terminal Grand Nord

Publié sur le site le 16 janvier 2023

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Littérature sentimentale

Un premier livre pour une Fermontoise

par Éric Cyr

L’écrivaine fermontoise Noémie H. a récemment fait paraître en autoédition son premier roman destiné à un public jeune adulte, Taste of love, qui, sans en dévoiler les rebondissements, traite du parcours d’une adolescente qui devra choisir entre l’amour et l’amitié. L’auteure travaille actuellement sur un second bouquin qu’elle souhaite faire publier prochainement par une maison d’édition.

Originaire de Longue-Rive en Haute-Côte-Nord, la jeune femme de 23 ans, qui a étudié au cégep de Chicoutimi, consacre beaucoup de temps à l’écriture lorsqu’elle ne travaille pas au centre de santé local où elle occupe un poste de technologiste médicale. La romancière a toujours écrit depuis aussi longtemps qu’elle se souvienne. Celle-ci a déménagé à Fermont, il y a deux ans, afin de suivre son conjoint qui travaille dans le domaine minier. « L’écriture a toujours été une passion. J’écrivais des chansons dès l’âge de huit ans. En janvier 2021, je me suis sentie inspirée et je me suis mise sérieusement à la rédaction d’une nouvelle, puis d’une deuxième, sur l’espace virtuel de lecture en ligne « Wattpad ». Après s’être fait remarquer sur Internet, dans le cadre d’un concours sur la plateforme virtuelle française d’écriture « Fyctia » où elle a partagé son contenu, elle a été invitée à un camp d’écriture en compagnie d’une éditrice de la maison d’éditeurs Hugo Publishing avant de publier son histoire en format numérique sur la plateforme d’autopublication « Stories by Fyctia ».

Un long processus

L’écrivaine explique que tout ça peut paraître simple pour les néophytes, mais avant la publication, il y a d’abord eu un premier jet, une relecture, puis un second jet qui fut suivi d’une bêta-lecture effectuée par une équipe d’une dizaine de bêta lectrices, avant que le texte ne soit confié à une correctrice qui a révisé l’ébauche du manuscrit afin d’y apporter des modifications finales avant la publication.

« J’écris en français. J’adore la langue française, mais j’aime aussi beaucoup la culture américaine, raison pour laquelle le titre de mon premier roman est en anglais et que mes deux premiers scénarios se déroulent aux États-Unis. Lorsque je rédige, je fais au préalable un plan des personnages sous forme d’esquisse, mais cela n’inclut pas la trame narrative qui n’est pas structurée dans mon processus créateur afin de ne pas limiter les possibilités d’évolution de l’histoire. Je ne suis pas cartésienne, je fais confiance à mon intuition, mon ressenti », confie Noémie H.

Continuité créative

Sa deuxième œuvre de fiction sera teintée de « nouvelle romance », un style qui se permet de traiter de sujets moins conventionnels ce qui apporte un côté plus réaliste que la romance classique, selon cette dernière. Il traitera d’anxiété et de dépression. « Le genre reste le même, mais la psychologie des personnages sera abordée différemment. J’aimerais aussi éventuellement essayer de me lancer dans l’écriture d’un roman historico-fantastique comme Outlander », conclut celle qui revient tout juste d’un voyage en Écosse.

Le roman Taste of love est en vente en version numérique dans toutes les librairies en ligne et sur Amazon ou auprès de l’auteure pour la version papier.

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Publié le 28 novembre, 2022, dans la publication : Numéro_20 Volume_40

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  • Nouvelle romance
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  • Romancière
  • Taste of love

Publié sur le site le 28 novembre 2022

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