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  • Photographe

  • Une Ă©quipe de tournage Ă  Fermont

    Documentaire

    Une équipe de tournage à Fermont

  • Une artiste de Fermont vise plus loin

    RAAV

    Une 23 janvier, 2024

    Une artiste de Fermont vise plus loin

  • Chasseur d’aurores borĂ©ales

    Photographie

    Une 2 novembre, 2020

    Chasseur d’aurores boréales

  • DĂ©voilement  des gagnants  du concours  photo

    Randonnée du solstice

    Dévoilement des gagnants du concours photo

Photographe

Une équipe de tournage à Fermont

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Chasseur d’aurores boréales

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Chasseur d’aurores boréales

Dévoilement  des gagnants  du concours  photo

Randonnée du solstice

Dévoilement des gagnants du concours photo

Documentaire

Une équipe de tournage à Fermont

par Éric Cyr

Source photo : Mathieu Brouillard

Une équipe cinématographique qui s’est déjà déplacée à Fermont dans le cadre d’un séjour exploratoire, en mai dernier, sera de retour localement, du 20 au 28 mars, pour capter de premières images sur le terrain. Cette production artistique indépendante ira à la rencontre de Fermontois à une période charnière qui coïncide avec le cinquantenaire de la fondation de leur municipalité en mettant l’accent sur la vie des gens et en abordant des facettes peu connues de la localité nordique qui est souvent présentée par l’intermédiaire de l’industrie minière.

Le court-métrage intimiste destiné à être présenté dans des festivals de cinéma traitera notamment de questions sociologiques générales relatives aux habitants du territoire comme l’appartenance au milieu ainsi que la vie courante en dehors du travail. Les réalisateurs aimeraient explorer plusieurs aspects de la réalité de l’endroit comme les expériences vécues par des résidents aux différents âges de la vie, allant de la jeunesse à la retraite.

Le Conseil des arts et des lettres du Québec (CALQ) a répondu favorablement à une demande de financement, ce qui permet d’aller de l’avant avec la phase de développement. L’une des membres de l’équipe, la sociologue et professeure à l’Université d’Ottawa, Dahlia Namian, qui a reçu le prix des Libraires 2024 pour son essai La société de provocation, explique la démarche, « On va commencer à capter des images à notre retour qui coïncide avec le Taïga Carnaval, mais ce n’est pas l’objectif principal puisqu’on anticipe de revenir jusqu’à quatre reprises par la suite. Cette fois, on va être quatre, incluant un preneur de son. Pour l’instant, on se laisse imprégner du premier passage où l’on a effectué une approche sous forme de survol. Nous avons l’intention cette fois-ci d’accoster des gens sur le terrain dans le cadre de rencontres planifiées et spontanées afin de saisir l’essence de leurs réalités. » En plus des suggestions reçues de bouche à oreille lors de leur premier déplacement, d’autres candidats potentiels se sont manifestés par écrit dont certains s’ajouteront à la liste des personnes qui apparaîtront dans ce film. « Nous en sommes à l’étape de fignoler le plan du scénario qui demeure en construction. Il n’y a rien de définitif et nous conservons une flexibilité nécessaire qui inclut des rencontres non prévues avec d’éventuels participants au gré de l’évolution sur les lieux ».

Son collègue, le professeur à l’Université Laurentienne de Sudbury en Ontario et travailleur social, Jonathan Binet, confie que l’œuvre cinématographique s’oriente autour de deux axes narratifs principaux soit un tableau visuel de la municipalité et de ses infrastructures emblématiques incluant le fameux mur-écran ainsi que des portraits humains dont les parcours reflètent les défis et les réalités de la communauté, mais aussi des gestes de solidarité et d’ingéniosité qui témoignent d’un attachement profond à ce microcosme unique.

« Nous cherchons à traduire l’atmosphère particulière de Fermont. Ce qui m’a le plus frappé, après quelques jours sur place, c’est comment les habitants que nous avons rencontrés se démarquent par leur caractère chaleureux et expressif, leur exubérance et leur humour. C’est là un contraste fascinant. »

Le cinéaste et photographe reconnu pour son approche esthétique singulière, Matthieu Brouillard, qui a déjà réalisé deux films marquants Qu’importe la gravité (2017) et L’angoisse du Héron (2024) fait partie du trio de créateurs passionnés. Derrière la caméra, il espère capter avec sensibilité le caractère brut de ce territoire aride, qui résonne avec son univers pictural. À travers ce nouveau film, il souhaite continuer d’explorer son art du portrait, en donnant vie à des récits d’hommes et de femmes qu’on ne voit pas souvent à l’écran, un thème déjà présent dans ses précédents documentaires. « Ce qui m’a marqué c’est que malgré des conditions de vie parfois rudes, l’isolement géographique et de longs hivers, les Fermontois font preuve de résilience et d’ingéniosité. »

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Publié le 18 mars, 2025, dans la publication : Numéro_5 Volume_43

  • CinĂ©aste
  • communautĂ©
  • Court mĂ©trage
  • Dahlia Namian
  • Équipe cinĂ©matographique
  • Fermont
  • Fermontois
  • Jonathan Binet
  • La sociĂ©tĂ© de provocation
  • La vie des gens
  • Matthieu Brouillard
  • Photographe
  • Plan du scĂ©nario
  • Prix des Libraires 2024
  • Production artistique
  • Professeur UniversitĂ© Laurentienne de Sudbury en Ontario
  • Professeure UniversitĂ© d’Ottawa
  • SĂ©jour exploratoire
  • Sociologue

Publié sur le site le 18 mars 2025

  • Publication prĂ©cĂ©dente
  • Prochaine publication

RAAV

Une artiste de Fermont vise plus loin

par Éric Cyr

Source photo : Guy Boudreau

L’autrice et photographe fermontoise Myriam Desjardins-Malenfant a récemment adhéré, en tant que membre professionnelle, au Regroupement des artistes en arts visuels du Québec (RAAV), une association mandatée pour représenter les droits des artistes québécois de cette discipline.

À l’origine géographe de formation, la jeune femme polyvalente se distingue dans le créneau du plein air et du tourisme d’aventure. C’est cette passion qui l’a amenée à découvrir et à exploiter son potentiel artistique, d’abord propulsé par la photo puis par la création littéraire toujours en lien avec les grands espaces. Celle-ci a concrétisé de nombreux projets, notamment une participation à différentes expositions, l’organisation de concours annuels de photos « Clic, déclic et passion » et la publication de deux tomes d’une trilogie de littérature jeunesse, Nos expéditions au nord du 52e parallèle, ainsi que d’un livre à colorier sur le même thème, de concert avec l’illustratrice locale Isabelle Grenier.

Myriam Desjardins-Malenfant souhaite étendre le rayonnement de ses œuvres en se joignant à cette ressource ciblée qui lui permettra entre autres de mieux se faire connaître à l’échelle du Québec et de développer des rapprochements avec d’autres artistes issus des arts visuels.

Photographie animalière

« Ce que j’aime immortaliser grâce au médium d’expression que constitue la photographie, ce sont des rencontres avec des spécimens du monde animalier, car ces moments précieux et uniques me permettent de me sentir en harmonie avec les éléments et de vibrer au diapason de la vie. J’adore partir à l’aventure en forêt munie de mon équipement. Rien ne me rend plus heureuse que de découvrir des traces, d’observer discrètement les comportements des animaux dans leur milieu naturel sans les déranger et de croquer les splendeurs de la faune et de la flore », confie Mme Desjardins-Malenfant, qui a finalement réussi après de nombreuses tentatives infructueuses à photographier des caribous qui se font malheureusement aujourd’hui très rares dans la région. Cette dernière a aussi pu faire de même, lors d’un voyage dans des latitudes encore plus nordiques au Nunavik, avec une famille d’ours polaires et un troupeau de bœufs musqués, une expérience qu’elle considère comme parmi les plus beaux moments de sa vie.

La photographe espère impatiemment depuis de nombreuses années avoir aussi la chance de croiser un loup, qui demeure invisible et dont elle a aperçu à maintes reprises les traces, durant ses excursions en nature afin de rendre hommage en images à cette espèce de canidés. « Je sais que ce jour fatidique viendra, ce n’est qu’une question de temps », conclut l’adepte de randonnée pédestre qui est toujours à l’affut d’une scène qui immortalisera l’âme et l’esprit de nouveaux sujets animaliers.

La prochaine expédition à laquelle prendra part la photographe est une traversée du Nunavik en ski hors-piste en mars 2025. Gageons qu’elle mettra à profit ses talents en photographie pour capter de magnifiques scènes dans la forêt boréale et dans la toundra arctique.

Pour en connaître davantage au sujet de l’artiste pluridisciplinaire, consulter les pages Facebook Myriam Desjardins-Malenfant photographie 52e parallèle nord et Nos expéditions au nord du 52e parallèle ainsi que le site internet expeditions52.ca.

Mme Desjardins-Malenfant invite les autres artistes locaux à se renseigner auprès du RAAV pour soumettre leur candidature et ainsi obtenir de la formation et l’accès à des subventions.

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Publié le 23 janvier, 2024, dans la publication : Numéro-01 Volume_42

  • 52e parallèle
  • Autrice
  • Droits des artistes quĂ©bĂ©cois
  • ExpĂ©ditions
  • Fermont
  • GĂ©ographe de formation
  • Myriam Desjardins-Malenfant
  • Nunavik
  • Photographe
  • Plein air
  • Regroupement des artistes en arts visuels du QuĂ©bec
  • Tourisme d’aventure

Publié sur le site le 23 janvier 2024

  • Publication prĂ©cĂ©dente
  • Prochaine publication

Photographie

Chasseur d’aurores boréales

par Éric Cyr

Source photo : Jocelyn Blanchette, photographe

Le réputé photographe Jocelyn Blanchette est né à Cap-Des-Rosiers, où se dresse le plus haut phare au pays, près du parc national Forillon en Gaspésie. C’est à cet endroit qu’il a occupé son premier emploi étudiant, il nettoyait alors l’escalier et les marches de cette gigantesque balise de navigation maritime. Il y a 32 ans, en 1988, il est recruté par la minière Québec Cartier après avoir complété son cours de mécanique à Gaspé et déménage à Fermont.

D’abord mécanicien d’entretien de machinerie fixe (millwright) au concentrateur de la mine de fer du Mont-Wright durant une quinzaine d’années, il s’oriente par la suite dans les bureaux où il devient cadre en planification mécanique, poste qu’il occupe toujours.

Mordu d’astronomie, Jocelyn Blanchette observait déjà le ciel à l’aide d’un télescope dès son plus jeune âge. Autodidacte, il a commencé à prendre des photos en amateur avant de se familiariser de façon plus approfondie avec ce médium en se procurant des équipements professionnels il y a sept ans. Celui qui a subi une engelure à un doigt en hiver en s’adonnant à sa passion n’hésite pas à partager les techniques qu’il utilise afin de parfaire son art et d’obtenir des résultats impressionnants. « C’est une question de patience, de persévérance et d’application de principes pratiques. Il faut apprendre à maîtriser les techniques et toujours viser à s’améliorer », confie le photographe qui ajoute que les aurores boréales sont remplies de surprises. « Ce n’est jamais pareil. Il faut constamment s’adapter rapidement en temps réel afin de réussir à bien saisir leur essence. C’est un réglage continuel de l’ouverture et une mise au point de l’obturateur afin de régler la durée d’exposition de la lumière. »

L’artiste visuel, qui aime bien faire partager au plus grand nombre le résultat de ses quêtes imagées, reste humble en parlant de ses créations. « Je photographie ce qui m’entoure, mon entourage. C’est un peu comme un plat apprêté par un cuisinier qui rehausse les saveurs, je dois présenter ma photo en tentant de saisir toutes les splendeurs qui y sont associées. » Devenu spécialiste des phénomènes météorologiques et astronomiques, celui-ci cherche à faire ressortir le paysage de son environnement immédiat et adore saisir les substances qui l’entourent : les couchers de soleil, la nature, les aurores boréales et plus récemment les trains.

« Mère nature m’étonne constamment. C’est la plus grande artiste qui est et elle nous dévoile constamment des beautés à couper le souffle. Je ne cesserai jamais de m’émerveiller devant ses œuvres magistrales et dont je tente d’immortaliser les manifestations. »

Témoin de la nature

Jocelyn Blanchette considère la photo d’abord comme une passion, mais aussi comme une échappatoire qui lui permet de sortir de la routine et de se libérer l’esprit. « Il s’agit d’être là au bon moment, les phénomènes naturels exceptionnels ne se produisent pas de façon régulière », confie celui qui a par chance réussi à croquer un rare cliché d’un phénomène atmosphérique curieux difficile à observer et d’abord décrit par les scientifiques comme un nouveau type d’aurores boréales atypique aux caractéristiques insolites sous nos latitudes. Sa photo de STEVE, l’acronyme de Strong Thermal Emission Velocity Enhancement, a été publiée à la une du site Internet speceweather.com. Il s’est finalement avéré que cette bande de lumière pourpre qui sature vers le blanc et qui s’accompagne durant quelques minutes d’éléments verts qui forment une silhouette de clôture proviendrait d’un mécanisme encore inconnu dans l’ionosphère qui diffère de celui des aurores boréales classiques. M. Blanchette est aussi très fier de deux autres des photos qu’il a prises, un coucher de soleil mauve et rose violacé teinté selon lui par les éjections de lumière d’une éruption volcanique en Russie et un éclair en forme de cheval croqué sur le mont Daviault à Fermont. Télé-Québec lui a consacré une capsule vidéo, le 28 juin 2017 : https://www.lafabriqueculturelle.tv/capsules/9796/jocelyn-blanchette-a-la-chasse-aux-aurores

Une photo vaut mille mots, alors pour en savoir plus sur l’artiste, consultez la page Facebook qui est suivie par près de 8000 membres : Jocelyn Blanchette Photographie

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Publié le 2 novembre, 2020, dans la publication : Numéro_18 Volume 38

  • Astronomie
  • Aurores borĂ©ales
  • Autodidacte
  • Environnement
  • Fermont
  • Jocelyn Blanchette
  • Paysages
  • Photographe

Publié sur le site le 2 novembre 2020

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Randonnée du solstice

Dévoilement des gagnants du concours photo

par Éric Cyr

Les finalistes du concours photo annuel de la randonnée du solstice 2016, organisé conjointement par le Club photo Caniapiscau et le bureau d’information touristique, se sont rassemblés au bureau d’information touristique pour le dévoilement des gagnants et la remise des prix, le 28 septembre dernier. Le tout était agrémenté d’une présentation diapositive des photos sur un écran géant.

La randonnée du solstice consiste en une excursion de quelques kilomètres au cœur des monts Severson près de Fermont durant la période où la nuit est la plus courte de l’année et le lever du soleil très hâtif. Les photographes qui ont pris part à cette aventure ont pu récolter des images originales et inusitées mais devaient respecter certaines exigences particulières. Les œuvres retenues ont été déterminées selon des critères précis : la qualité photographique, la qualité artistique, la mise en valeur de l’immensité du territoire et le respect du thème de cette année qui était « l’esprit de la randonnée ». Un jury composé de trois personnes a choisi les gagnants de chaque catégorie sauf le prix du public qui a été décerné à la suite d’un vote populaire. La photographe professionnelle Valérie Boutin alias The North Soul, l’artiste peintre Yves Downing et l’un des instigateurs de cet évènement, Michel Michaud se sont prononcés sur les photos gagnantes en juillet mais la remise des prix s’est faite juste après l’équinoxe de septembre afin de réunir le plus de participants possible. Le prix du jury a été décerné à Jocelyn Blanchette, le prix coup de cœur du jury a été remis à Bogdan Carasava qui s’est aussi mérité le prix du public. Le choix a été difficile compte tenu de la qualité impressionnante des photos présentées.

L’artiste Jocelyn Blanchette confie : « C’est une super belle folie ce projet de randonnée du solstice. J’aime les activités reliées au cycle du soleil. Je suis heureux de contribuer à perpétuer ce concours. C’est un évènement unique de plein air qui nous amène à apprécier la nature dans une belle ambiance et des conditions inhabituelles de nuit. » Le photographe et cinéaste Bogdan Carasava a aussi apprécié l’expérience : « J’avais déjà été me balader dans les monts Severson mais c’est la première fois que je participe à la randonnée du solstice et au concours photo. C’était très agréable. »

Les photographes ont généreusement accepté que leurs photographies soient publiées dans le journal. Une photo vaut mille mots et celles-ci sont à couper le souffle. Merci à l’organisateur Marc-André Martin et à tous les participants.

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Publié le 10 octobre, 2016, dans la publication : Numéro 17 Volume 34

  • Concours photo
  • Cycle du soleil
  • Excursion
  • Finalistes
  • Monts-Severson
  • Nocturne
  • Photographe
  • RandonnĂ©e
  • Solstice

Publié sur le site le 11 octobre 2016

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