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  • Numéro_15

  • Nouvelle journaliste à CFMF 103,1

    Monde radiophonique

    Nouvelle journaliste à CFMF 103,1

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    Sûreté du Québec

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    Fausse alerte au Labrador Ouest

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    Pandémie DE CORONAVIRUS

    Une 21 septembre, 2020

    Trois cas de Covid-19 dans Caniapiscau

Numéro_15

Nouvelle journaliste à CFMF 103,1

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Nouvelle journaliste à CFMF 103,1

Relève de la garde

Sûreté du Québec

Relève de la garde

Fausse alerte au Labrador Ouest

Pandémie de coronavirus

Fausse alerte au Labrador Ouest

Trois cas de Covid-19  dans Caniapiscau

Pandémie DE CORONAVIRUS

Une 21 septembre, 2020

Trois cas de Covid-19 dans Caniapiscau

Monde radiophonique

Nouvelle journaliste à CFMF 103,1

par Éric Cyr

Le panorama médiatique local s’est récemment enrichi puisqu’une journaliste a rejoint les rangs de l’équipe de la radio CFMF 103,1 à Fermont dans le cadre du programme Initiative de journalisme local de Patrimoine canadien qui soutient la création d’un journalisme civique original répondant aux besoins diversifiés des communautés mal desservies au pays tout en respectant l’indépendance de la presse.

Originaire de la petite municipalité de La Pêche, nichée au cœur des collines de l’Outaouais, Élizabeth Séguin, qui adore le français, a participé aux journaux étudiants des écoles qu’elle a fréquentées au primaire et au secondaire et est même demeurée en contact avec certains de ses enseignants de français. La jeune femme a suivi une formation en cinéma et médias de communications au cégep de l’Outaouais à Gatineau où elle a réalisé comme projet final d’équipe un documentaire sur le lac Pink, un lac méromictique situé dans le parc de la Gatineau, dont la couleur vert-émeraude et turquoise provient de la présence d’algues, et qui est en danger d’eutrophisation à cause des activités humaines.

Diplômée de l’Université du Québec à Montréal (UQAM), Élizabeth Séguin a obtenu un baccalauréat en journalisme en 2017. Elle a participé en tant que collaboratrice, chroniqueuse et responsable des entrevues à l’émission « Plein Feu », consacrée à la vulgarisation des conflits armés dans le monde, sur la webradio étudiante de cette université, CHOQ-FM, qui tire son nom de la « Centrale des humanoïdes sur les ondes du Québec » et qui diffuse sur Internet et en baladodiffusion (podcast) sur choq.ca. Elle a entre autres réalisé des entrevues et animé des discussions avec des ambassadeurs et des experts de géopolitique internationale notamment de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques. Celle-ci a par la suite effectué des stages dans les plus importants journaux de la région d’Ottawa-Gatineau, La Revue, aujourd’hui disparu, et Le Droit, avant de travailler à Fort-Coulonge pour une station de radio bilingue de la MRC de Pontiac, CHIP-FM 101,9 de 2017 à 2020.

Étoffer le paysage hertzien

Son parcours l’a finalement menée à Fermont, le 2 septembre dernier.

« Je songeais depuis un petit moment à aller découvrir d’autres régions du Québec. L’occasion s’est présentée quand j’ai aperçu l’offre d’emploi de journaliste radio pour Fermont pour laquelle j’ai postulé. À ma grande joie, ma candidature a été retenue. Il faut dire que mon ancien employeur connaissait le directeur des programmes de CFMF 103,1, Karl Gagné-Côté, et la directrice musicale et animatrice Geneviève Richard que j’avais aussi rencontrés lors d’un congrès de l’Association des radiodiffuseurs communautaires du Québec (ARCQ). Je suis contente d’être ici. C’est un beau défi et une chance que m’offre la radio CFMF-FM. »

La transition se fait très bien pour celle qui alimente déjà les ondes d’un bulletin de nouvelles et publie régulièrement sur la page Facebook de la station.

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Publié le 21 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_15 Volume 38

  • CFMF 103.1
  • Élizabeth Séguin
  • Fermont
  • Journaliste
  • MRC de Caniapiscau
  • Patrimoine canadien

Publié sur le site le 21 septembre 2020

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Sûreté du Québec

Relève de la garde

par Éric Cyr

Un nouveau chef de police est entré officiellement en fonction au poste principal de la Sûreté du Québec dans la MRC de Caniapiscau situé dans le mur-écran à Fermont, le 3 août dernier. Le sergent Martin Fortier a remplacé l’ancien responsable du poste local, Daniel Turgeon, qui a accepté une affectation ailleurs.

Après s’être déplacé en avion pour venir visiter la ville, une procédure habituelle afin de voir si les lieux et le poste lui convenaient, le sous-officier de police a eu la piqûre pour l’endroit. L’expérience a été concluante et il a pris sa décision d’accepter ses nouvelles fonctions et de déménager sur place avec sa femme. Le père de famille de deux enfants, aujourd’hui autonomes, et sa conjointe, ont pris la route nationale 389. Celle-ci en a profité pour prendre des photos des splendides paysages le long du parcours qui mène à la localité minière. Il faut dire qu’elle s’adonne à la peinture et que ces nouvelles images pourraient s’avérer inspirantes dans la création de futurs tableaux. « Une nature majestueuse et de toute beauté », confie le policier visiblement enthousiaste. Après un long périple, ils sont finalement arrivés à Fermont, le 27 juillet, afin de se donner le temps de défaire les boîtes et de s’installer dans leur nouveau domicile, les déménageurs ont suivi le lendemain.

Nouveau défi

Très content de s’établir dans la municipalité nordique, le sergent Fortier, originaire de Montréal, qui cumule près de 25 années de patrouille et qui était responsable d’unité avant sa récente affectation, adore la campagne. Il a eu le coup de foudre pour le mode de vie en région lorsqu’il a commencé sa carrière comme patrouilleur à Joliette dans Lanaudière en 1996. Deux ans plus tard, il a été appelé à servir au Kamouraska durant 11 ans où il a notamment travaillé comme patrouilleur et chef d’équipe avant d’être muté à Lévis sur la Rive-Sud de Québec au poste autoroutier Chaudière-Appalaches en 2009. Il aimait tellement l’endroit qu’il a choisi d’y rester encore 7 ans et de voyager jusqu’à son lieu de travail en périphérie de la région de la Capitale-Nationale.

« J’ai eu la piqûre pour Fermont, on adore le coin et je suis heureux d’être ici. L’accueil est très chaleureux. Depuis mon arrivée, j’ai déjà été à la pêche, une de mes passions. Mon choix de venir m’établir ici a été l’œuvre du hasard que je ne regrette absolument pas. Un poste s’est libéré, j’ai décidé de postuler et je l’ai obtenu à ma grande satisfaction. Je suis heureux de pouvoir répondre aux besoins des Fermontois. »

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Publié le 21 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_15 Volume 38

  • Chef de police
  • Fermont
  • MRC de Caniapiscau
  • Mur-écran de Fermont
  • Sergent Martin Fortier
  • Sûreté du Québec

Publié sur le site le 21 septembre 2020

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Pandémie de coronavirus

Fausse alerte au Labrador Ouest

par Éric Cyr

Au moment de publier, le Labrador Ouest était toujours épargné de la contamination à la Covid-19. Le cas présumé à Labrador City s’est finalement avéré négatif au grand soulagement des habitants de cette région frontalière adjacente à Fermont sur la Côte-Nord.

Les commentaires de citoyens inquiets se sont multipliés sur les réseaux sociaux à la suite d’un article du diffuseur public CBC/Radio-Canada et d’une publication du député provincial du Labrador Ouest, Jordan Brown, qui a rapporté le possible cas d’un travailleur de la bulle de l’Atlantique en provenance de l’extérieur de cette province employé par un entrepreneur sous-traitant (contracteur) de la minière Rio Tinto IOC qui aurait vraisemblablement contracté la Covid-19.

Plus de peur que de mal

Le travailleur aéroporté utilisant le système de navettes aériennes (fly-in/fly-out) a subi un test de dépistage de la Covid-19 dans le cadre de la procédure de routine habituelle reliée au protocole exceptionnel instauré afin d’éviter la propagation du virus et qui exige un examen médical avant toute autorisation d’entrer sur le site minier de Labrador City pour ceux qui ne sont pas résidents de cette province ou qui n’habitent pas à l’intérieur du périmètre de la bulle nordique d’exception (Labrador City, Wabush et Fermont). Le résultat semblait indiquer qu’il avait contracté le coronavirus alors il n’a pas été autorisé à y accéder. Après s’être isolé, ce dernier a donc par la suite été soumis à un autre examen médical plus poussé administré cette fois-ci par l’agence de la Santé publique de Terre-Neuve-et-Labrador. Les résultats du laboratoire de microbiologie ont finalement démontré qu’il n’était pas porteur du coronavirus. Le travailleur a volontairement choisi de poursuivre son isolement durant quelques jours additionnels afin de s’assurer qu’il n’était pas contagieux et rassurer ainsi la population locale.

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Publié le 21 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_15 Volume 38

  • Contamination
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  • Mine Rio Tinto IOC
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  • Travailleur aéroporté

Publié sur le site le 21 septembre 2020

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Pandémie DE CORONAVIRUS

Trois cas de Covid-19 dans Caniapiscau

par Éric Cyr

Source photo : Centre for Disease Control

Un premier cas de contamination à la Covid-19 recensé par la Santé publique du Québec dans la MRC de Caniapiscau, le 3 septembre dernier, n’aura eu aucune incidence sur les citoyens de ce très vaste territoire, à part augmenter leur niveau de stress, puisque la personne a contracté le coronavirus à l’extérieur de la Côte-Nord, n’y a jamais remis les pieds et a été hospitalisée en dehors de la région. Cependant, deux autres cas positifs successifs déclarés les 13 et 14 septembre auront semé l’émoi.

Ces premières manifestations de la Covid-19 associée à la MRC de Caniapiscau, qui englobe Fermont au sud du 53e parallèle ainsi que Schefferville et les communautés autochtones avoisinantes innue de Matimekush-Lac John et naskapie de Kawawachikamach au sud du 55e parallèle, constituent un rappel que la vigilance est de mise et que le coronavirus n’a pas de frontière.

La peur se manifeste

Lors du premier cas, les commentaires de Fermontois et de citoyens du Labrador Ouest inquiets ont déferlé sur les réseaux sociaux avant que la Ville de Fermont ne prenne les devants et ne désamorce le malentendu en publiant un communiqué à ce sujet visant à rassurer la population. Le document précisait que des représentants de l’administration municipale avaient eu des discussions avec les responsables de la Santé publique régionale qui ont confirmé que le résident de la MRC de Caniapiscau infecté par la Covid-19 n’avait pas contracté le virus sur la Côte-Nord, qu’il avait été hospitalisé dans une autre région et qu’aucun contact n’avait été établi entre la personne contaminée et des résidents de cette MRC ou des personnes revenues sur place. À la suite de l’enquête épidémiologique, le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord a insisté sur le fait que la circonstance n’entraîne aucun risque pour la population de la région en précisant par la suite l’état réel de la situation tout en corroborant l’information transmise par la Ville indiquant que la conjoncture dans ce contexte précis ne présentait aucun danger pour les habitants du secteur.

Deux cas à Fermont

Les deux cas subséquents ont suscité plus d’inquiétude alors que le CISSS Côte-Nord, respectant les directives de la Santé publique du Québec, a refusé de les associer à une localité particulière par prétendus soucis de confidentialité ce qui ne fait qu’exacerber l’affolement pour les résidents de la MRC et alimenter la machine à rumeurs et les distorsions du bouche-à-oreille. Le premier cas se serait manifesté à Fermont, selon le diffuseur public Radio-Canada, tout comme le suivant, selon des sources informelles crédibles et fiables.

La Santé publique de la Côte-Nord qui a répondu aux questions des journalistes dans le cadre d’une conférence de presse, le 14 septembre, précise que les trois cas de Covid-19 dans la MRC de Caniapiscau ne constituent pas une éclosion, car il n’y a pas de lien direct entre ces cas et de plus le virus a été contracté ailleurs. « On pourrait plutôt les définir comme un agrégat de liens isolés », confie le médecin-conseil de la direction de la Santé publique régionale, le docteur Richard Fachehoun. Bien que pour des raisons de confidentialité les responsables du CISSS Côte-Nord ne dévoileront pas dans quelle localité les personnes contaminées se trouvent, ils précisent toutefois qu’ils sont en contact avec les autorités concernées et que les résultats des tests sont habituellement rapidement connus, quand le transport aérien coopère.

« La situation est maîtrisée dans la MRC et un renforcement des mesures de prévention a été instauré avec un ajout des plages de dépistages en tenant compte de la vulnérabilité des cas. »

Les responsables du CISSS ont cependant avoué qu’il était difficile de recueillir de l’information à savoir si les travailleurs aéroportés qui utilisent un système de navettes aériennes (fly-in/fly-out) ont été dépistés ailleurs.

Bulle nordique menacée ?

Au moment de publier, le préfet de la MRC qui est aussi maire de Fermont, Martin St-Laurent, explique que la communication avec les autorités du Labrador continue et même s’intensifie. « Étant donné la situation actuelle, nous comprenons que beaucoup de gens se questionnent par rapport à la fermeture de la frontière. Pour l’instant, les discussions avec les autorités du Labrador ne laissent pas présager une fermeture à court terme. Bien sûr, il faut être conscient que le tout peut changer suivant l’évolution de la situation. Il est plus important que jamais de se serrer les coudes pour suivre les consignes et ainsi diminuer la propagation. »

Les responsables de la Santé publique en ont profité pour rappeler l’importance de respecter les mesures sanitaires et les consignes en vigueur afin d’éviter la propagation du virus.

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Publié le 21 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_15 Volume 38

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