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  • Numéro_14

  • De la forêt boréale à la brousse

    Récit de voyage

    De la forêt boréale à la brousse

  • Indemnités de déplacement bonifiées

    Soins de santé spécialisés

    Indemnités de déplacement bonifiées

  • Mise à jour du protocole d’intervention

    Sauvetage d’urgence en zone isolée

    Mise à jour du protocole d’intervention

  • Des travaux majeurs d’infrastructures

    Ville de Fermont

    Une 8 septembre, 2020

    Des travaux majeurs d’infrastructures

Numéro_14

De la forêt boréale à la brousse

Récit de voyage

De la forêt boréale à la brousse

Indemnités de déplacement bonifiées

Soins de santé spécialisés

Indemnités de déplacement bonifiées

Mise à jour du protocole d’intervention

Sauvetage d’urgence en zone isolée

Mise à jour du protocole d’intervention

Des travaux majeurs d’infrastructures

Ville de Fermont

Une 8 septembre, 2020

Des travaux majeurs d’infrastructures

Récit de voyage

De la forêt boréale à la brousse

par Éric Cyr

Légende photo : Deux crinières bien en évidence avant que le « Tarzan du Nord » ne fasse raser la sienne dans le cadre du défi Joan se paye ta tête au profit de Cancer Fermont.

Le voyageur fermontois Christian Bernard a vécu toute une expérience dans un refuge pour animaux sauvages principalement axé sur les félins en Afrique du Sud où il a côtoyé certaines espèces en voie d’extinction dans la nature, dont l’animal terrestre le plus rapide sur la planète, le guépard, avant d’être coincé sur place deux jours après son arrivée à cause de la pandémie de Covid-19.

C’est par hasard que l’homme est tombé sur une vidéo sur YouTube qui traitait du sujet qui l’a interpelé. « C’est un adon que j’ai visionné ce lien internet qui m’a beaucoup intéressé. Par la suite, j’ai effectué des recherches plus approfondies qui m’ont orienté vers le refuge Cheetah Experience. » La mission de l’organisme, qui n’est pas un zoo, mais un centre de préservation, est entre autres de sensibiliser le public à la vulnérabilité des espèces sud-africaines, et d’autres, en voie de disparition à travers des expériences éducatives ainsi que l’élevage éthique de guépards en captivité qui contribue à la conservation de ce rare félin. Les centres spécialisés à travers le monde échangent des spécimens afin d’éviter la consanguinité en utilisant des échantillons d’ADN prélevés sur les guépards pour maintenir sa diversité génétique.

Cheetah Experience travaille de concert avec d’autres projets responsables pour aider à assurer la survie des guépards dont la population mondiale était évaluée en 2016 à seulement 7100 individus limités à 9 % de leur aire de répartition historique. L’objectif à long terme est de pouvoir réintroduire certains gros félins nés en captivité dans un habitat naturel protégé où ceux-ci sont observés par des chercheurs et des experts médicaux tout en vivant en liberté afin de voir s’ils sont capables de s’adapter, de chasser et de survivre par eux-mêmes en autosuffisance pour ensuite les relâcher dans un environnement sauvage éloigné des centres urbains où il n’y a pas de chasse.

Comprendre leurs besoins, leurs comportements et leurs instincts joue un rôle clé pour sauver les animaux de l’extinction. Certains ont besoin d’un régime adapté supervisé et ont des besoins spéciaux. Quelques refuges animaliers sud-africains, épaulés par des équipes de vétérinaires, élèvent en captivité des guépards reproducteurs qu’ils ont recueillis. « Il faut savoir que seulement 5 à 10 % des jeunes guépards en liberté survivent jusqu’à l’âge adulte », confie le travailleur minier qui est heureux d’avoir choisi de faire du bénévolat pour cette cause qui lui tient à cœur.

« Cheetah Experience se veut un peu une destination vacances tout en constituant un apport qui contribue à faire une réelle différence dans la préservation de cette espèce menacée. L’organisme sans but lucratif accueille des volontaires internationaux de plusieurs pays. Il faut accepter de s’investir dans ce projet durant un minimum de deux semaines, mais certains passionnés restent jusqu’à six mois. »

Dans le cadre de son séjour, malheureusement écourté à cause de l’incertitude liée au coronavirus, M. Bernard a réalisé des travaux de concert avec des employés, qui bien souvent ont commencé comme bénévoles avant d’obtenir un visa de travail et de rester. « J’effectuais aussi du travail de ferme avec des volontaires du monde entier : couper le gazon, entretien des enclos, préparer la nourriture pour les animaux, laver les gamelles, couper la viande, faire des rondes et nourrir les bêtes. Au début quand tu es en train de passer le râteau et qu’un de ces gros félins vient se frotter la crinière sur toi en ronronnant, tu fais le saut, mais ça devient une habitude. Ils veulent jouer, mais il faut rester vigilant à cause de leurs griffes et de leurs dents. »

Parmi les autres espèces, il y avait aussi des servals, des caracals, deux suricates heurtés par des voitures qui ont été retrouvés sur le bord de la route, des tigres, une dizaine de léopards, dont deux panthères noires qui sont en fait des léopards qui sont noirs à cause d’une mutation génétique, et trois lions non reproducteurs qui étaient destinés à mourir et qui ont été rescapés de la chasse en boîte ou chasse close (canned hunt), une fausse chasse aux trophées dans laquelle les proies domestiquées ne peuvent se sauver et n’ont aucune chance puisqu’elles ont été élevées pour ne pas craindre les humains et sont donc totalement à la merci des soi-disant chasseurs. D’ailleurs Cheetah Experience est associé à des organisations qui combattent ce genre d’élevage pour la « chasse. » « Parmi les pensionnaires, mon favori était un tigre de Sibérie de 600 lb, je m’installais souvent sur une buche à côté de son enclos, électrisé pour ce mastodonte du monde félin, et je lui parlais. Parfois, il se comportait comme un chat alors qu’à d’autres reprises son regard se voulait plutôt intimidant, signe que son instinct se porte bien. »

Christian Bernard raconte quelle vue splendide il avait derrière le camp où il était logé à Bloemfontein et où il pouvait apercevoir des rhinocéros, des girafes. Il serait bien resté plus longtemps, mais a dû se résigner à rebrousser chemin avant la fermeture des frontières. Arrivé en catastrophe à l’aéroport de Johannesburg où les passagers se battaient pour obtenir des billets de la seule compagnie aérienne qui effectuait encore des liaisons, ce dernier n’a pu s’en procurer à temps. Alors que tous les autres ressortissants étrangers avaient été évacués par leurs gouvernements respectifs, il a dû vivre confiné durant deux semaines sur le terrain d’un hôtel. Heureusement qu’il avait accès à la télé, à Internet et à Netflix et qu’il a pu contacter le bureau de la députée de Manicouagan, Marilène Gill, qui a pris les choses en main. Le gouvernement canadien l’a finalement rapatrié… Malgré les imprévus, il compte bien revenir un jour afin de renouveler l’expérience. « Je conserve des souvenirs impérissables de cette aventure où je me suis fait des amis pour la vie. Je me souviendrai toujours des rugissements des lions au loin lorsque je faisais une promenade du matin. »

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Publié le 8 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_14 Volume 38

  • Afrique du Sud
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Publié sur le site le 8 septembre 2020

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Soins de santé spécialisés

Indemnités de déplacement bonifiées

par Éric Cyr

Le Parti québécois a obtenu un gain important pour les patients des régions éloignées à la suite de ses démarches auprès du gouvernement Legault qui s’est finalement engagé à revoir le régime désuet d’indemnisation pour les personnes devant se déplacer pour se faire soigner, d’ici l’automne, afin de l’adapter aux besoins réels.

Le gouvernement du Québec bonifiera le programme d’indemnités de déplacement pour les soins de santé qui est actuellement de 0,13 $ du kilomètre pour les patients qui ne peuvent subir une intervention médicale dans l’établissement de santé le plus proche et qui doivent se rendre dans une autre région pour recevoir des soins. C’est à la suite d’une intervention du porte-parole du Parti québécois en matière de santé, Joël Arseneau, que le nouveau ministre de la Santé et des Services sociaux, Christian Dubé, s’est montré favorable à une amélioration de la formule actuelle dont le montant des allocations n’a pas subi de redressement depuis 2004.

Les députés du Parti québécois, qui ont maintes fois réclamé une rectification de la compensation pour les déplacements concernant les patients des régions éloignées dans le cadre de sorties médiatiques et de questions en chambre, se réjouissent que le gouvernement se soit enfin engagé à régler la question. Que ce soit à l’ancienne ministre de la Santé, Danielle McCann, qui avait convenu de revoir les montants du programme, mais qui n’a pu concrétiser cette démarche sous prétexte de la pandémie, ou à son successeur, Christian Dubé, le Parti québécois a souvent fait valoir que les indemnités offertes aux personnes devant se déplacer pour se faire soigner étaient insuffisantes et devaient impérativement être bonifiées.

Une question de justice

Selon le député des Îles-de-la-Madeleine, le Parti québécois veillera à ce que le gouvernement de la CAQ honore sa promesse. « On ne peut plus tolérer cette situation, qui crée une iniquité à la fois entre les régions et les grands centres, mais également entre les citoyens du Québec, selon leur lieu de résidence. On va s’assurer de talonner le nouveau ministre pour que cette injustice soit corrigée. Nous ne nous contenterons pas d’une simple indexation; une refonte en profondeur du programme doit être effectuée afin que les citoyens obtiennent la pleine compensation des sommes qu’ils ont réellement engagées. » Le Parti québécois, qui invoque l’universalité du régime de soins de santé, estime que personne ne devrait avoir à payer pour se faire soigner au Québec en dénonçant le fait que le défraiement en vigueur est loin de couvrir l’entièreté des dépenses encourues par les patients et leurs accompagnateurs. Le Parti québécois réclame donc que le montant des indemnités soit au moins l’équivalent de celui offert par la Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail aux travailleurs accidentés vivant en région éloignée qui est de 0,45 $ du kilomètre. La députée péquiste de Duplessis, Lorraine Richard, qui a aussi fait des représentations dans ce dossier, confie : « Les habitants des régions ne devraient pas être pénalisés à cause de leur lieu de résidence. »

* À Fermont, la plupart des patients choisissent de se déplacer en avion pour leur rendez-vous avec des spécialistes notamment à cause de la longueur du trajet routier, des risques de bris de véhicule, des mauvaises conditions de la route nationale 389 et du faible taux de remboursement au kilomètre.

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Publié le 8 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_14 Volume 38

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Publié sur le site le 8 septembre 2020

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Sauvetage d’urgence en zone isolée

Mise à jour du protocole d’intervention

par Éric Cyr

Le comité régional de la MRC de Caniapiscau pour l’optimisation des services de sauvetage hors route a récemment procédé à la mise à jour et à l’amélioration du protocole d’intervention sur son territoire, qui englobe Fermont et Schefferville, dans le cadre des opérations de sauvetage d’urgence à l’extérieur du réseau routier.

Une entente a récemment été conclue avec la Direction générale de la sécurité civile et de la sécurité incendie, qui relève du ministère de la Sécurité publique, afin d’accroître la protection offerte aux citoyens dans les secteurs non accessibles par le réseau routier sur le territoire desservi par la MRC de Caniapiscau en améliorant le degré de préparation des organisations responsables des interventions d’urgence. L’accord est intervenu dans le cadre du programme d’aide financière pour le soutien à l’organisation des interventions pour urgences hors du réseau routier et a permis l’acquisition de matériel et d’équipement de sauvetage. Le directeur du Service de prévention des incendies de la Ville de Fermont, Jean-Sébastien Allard, et le capitaine de la caserne 12, Yan Shaw, sont très satisfaits des améliorations apportées qui permettent une meilleure efficacité en cas de manoeuvres dans des emplacements difficiles d’accès.

Le centre des mesures d’urgence, qui a apposé à des endroits stratégiques des affiches « En nature ma sécurité c’est ma responsabilité » constituant une dizaine de points de repère facilitant la localisation et l’évacuation, peut dorénavant compter sur de nouveaux outils et des équipements spécialisés additionnels qui ont été ajoutés à son arsenal afin de maximiser la performance lors d’actions spécifiques sur le terrain. Les pompiers fermontois disposent notamment d’un traîneau d’évacuation en motoneige, d’un traîneau d’évacuation de type centre de ski, d’un chariot sur roues conçu par un pompier local, Luc Rivière, et d’une remorque fermée qui deviendra un centre de commandement mobile. Le chef des pompiers, M. Allard, explique que le fait d’améliorer le rendement des intervenants en situation de détresse peut faire une différence notoire. Il ajoute que la conjoncture particulière relative à l’isolement géographique et à la vaste superficie à couvrir justifie l’importance pour les pompiers de se munir de tous les atouts nécessaires afin d’assurer leur autonomie lors de déplacements pour un sauvetage et une évacuation dans un lieu éloigné ou reclus. « Nous sommes prêts à intervenir et nous disposons d’équipements adaptés à ce type d’intervention nous permettant de réduire les difficultés et les embûches dans les situations plus ardues où l’on doit faire face à tout imprévu. »

Selon M. Allard, quatre facteurs essentiels peuvent grandement faciliter les recherches et accélérer le travail des secouristes lorsque l’on effectue une randonnée en forêt ou dans un endroit isolé.

1-Je dis où je vais, on sait où me trouver en tout temps.
2-Je sais où je suis, je peux m’orienter et diriger les secours vers moi.
3-Je garde le contact, je suis accompagné ou je dispose de l’équipement nécessaire pour communiquer sans mon téléphone portable cellulaire en l’absence de réseau.
4-Je compte d’abord sur moi, j’emporte une trousse de premiers soins, car je sais que les secours mettront du temps pour arriver.

En l’absence de réseau cellulaire, le numéro d’urgence à composer par téléphone satellite est le : 418 724-0171.

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Publié le 8 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_14 Volume 38

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Ville de Fermont

Des travaux majeurs d’infrastructures

par Éric Cyr

Source photo : Ville de Fermont

La Ville de Fermont a accordé des contrats pour la réfection de plusieurs rues d’origine de cette localité nordique dont l’asphaltage n’avait pas été refait, mis à part quelques rapiéçages, depuis l’incorporation de la municipalité en 1974, ainsi que pour le remplacement d’un ponceau menant au chemin du lac Carheil. L’administration municipale a l’intention de poursuivre dans cette voie durant les années subséquentes afin que les infrastructures de la Ville soient mises à niveau.

Le conseil municipal a pris une décision longuement mûrie et qui s’imposait. Cette initiative, totalisant plus de 3 millions de dollars, est certainement bien vue des citoyens puisque la réfection des chemins, qui nécessitaient une cure de rajeunissement, était en latence et n’avait pas été amorcée depuis l’implantation de la ville au début des années 1970. Les responsables des Services techniques, qui anticipent que d’autres travaux d’asphaltage devraient se poursuivre durant la prochaine saison estivale, tiennent à remercier les résidents des secteurs concernés de leur patience, car parfois les travaux se sont étirés en soirée.

Selon le directeur général de la Ville de Fermont, Philippe Pichet : « La municipalité se doit non seulement d’offrir des infrastructures de qualité, mais elle doit aussi les entretenir. L’orientation prise par le Conseil municipal permettra aux citoyens de profiter d’un réseau routier local en bonne condition, et ce pour plusieurs années. »

Asphaltage intensif

Les travaux qui ont été amorcés l’été dernier, avec la restauration d’une partie des bordures de ciment et l’asphaltage d’une portion de la rue de l’Aquilon jusqu’à la rue du Cosmos et d’une partie de la rue le Carrefour, se sont poursuivis, du 26 juillet au 18 août dernier, avec la compaction et le bituminage des rues Alexandre, des Glaces et de Brest ainsi que de l’intégralité de la rue Tilly jusqu’à la rue Johnson. C’est l’entrepreneur en excavation Construction Béluga qui a obtenu la gestion du chantier d’une somme de 2,339 millions de dollars.

Nouvelle structure

Un autre contrat d’importance totalisant 800 000 dollars a aussi été octroyé par la Ville à la firme Dexter Québec pour le changement d’un tuyau de ponceau à l’intersection des rues Duchesneau et Iberville à proximité du parc de maisons mobiles et qui a nécessité le détournement provisoire d’un ruisseau. L’ajout d’une passerelle temporaire pour piétons et pour cyclistes leur permettra d’accéder plus facilement au mont Daviault, qui offre une vue imprenable sur Fermont, durant la durée des travaux. De plus, l’ajout d’un bassin d’atténuation de la vitesse de l’eau et d’une frayère à poissons dans l’un des deux caissons permet de revaloriser le cours d’eau. Ce nouveau chantier, qui devrait s’étirer jusqu’à la fin septembre, a pris le relais, le 18 août, au moment où les travaux d’asphaltage se sont achevés.

Autres améliorations

Le directeur du Service technique de la Ville, Jean-Michel Meilleur, confie que d’autres aménagements ont été entrepris, dont la révision de la signalisation notamment celle de la zone scolaire à la suite des recommandations d’une étude réalisée par un étudiant stagiaire en ingénierie civile. Le stationnement des écoles a aussi subi des modifications avec l’ajout d’affiches et un changement d’orientation des lignes au sol. Les véhicules devront dorénavant s’y stationner exclusivement en marche arrière (à reculons) afin d’assurer la sécurité des élèves et des piétons. Une stabilisation du talus derrière ce stationnement a aussi été complétée ainsi que de celui dans le secteur des plateaux sportifs extérieurs (terrains de balle et de tennis) en plus d’un hydro-ensemencement de gazon qui contribuera à empêcher la boue de se propager dans ce secteur.

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Publié le 8 septembre, 2020, dans la publication : Numéro_14 Volume 38

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Publié sur le site le 8 septembre 2020

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