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  • Numéro_16

  • Mission commerciale en visite chez MFQ

    Mine de fer du Lac Bloom

    Mission commerciale en visite chez MFQ

  • 40e anniversaire de Radio Fermont

    Un peu d’histoire

    Une 7 octobre, 2019

    40e anniversaire de Radio Fermont

  • Grève au service de chemin de fer

    Blocus partiel de Schefferville

    Grève au service de chemin de fer

  • Le municipal appuie sur la pédale

    Ville de Fermont

    Le municipal appuie sur la pédale

Numéro_16

Mission commerciale en visite chez MFQ

Mine de fer du Lac Bloom

Mission commerciale en visite chez MFQ

40e anniversaire de Radio Fermont

Un peu d’histoire

Une 7 octobre, 2019

40e anniversaire de Radio Fermont

Grève au service de chemin de fer

Blocus partiel de Schefferville

Grève au service de chemin de fer

Le municipal appuie sur la pédale

Ville de Fermont

Le municipal appuie sur la pédale

Mine de fer du Lac Bloom

Mission commerciale en visite chez MFQ

par Éric Cyr

Sur la photo de gauche à droite : Alexandre Belleau, François Lafrenière, Yves Chénard, du journal Les Affaires Frédéric Dumais et Benoît Duhamel, le maire Martin St-Laurent, Suzanne Caron, le dg de MFQ Louis Turcotte.

La mine de fer du Lac Bloom a été choisie, parmi plusieurs industries en développement au Québec, pour un événement unique dans le monde minier. Dans le cadre du projet Mission commerciale Objectif Nord, conceptualisé par Événements Les Affaires, une délégation s’est arrêtée à Fermont, le 26 septembre dernier, afin de visiter les installations de Minerai de fer Québec (MFQ) et d’y rencontrer ses administrateurs.

Cette mission, qui s’est déroulée du 23 au 26 septembre, avait pour objectif d’ouvrir les portes de trois des plus importants projets miniers au Québec, des mines en développement et en exploitation dans trois régions nordiques. Une trentaine d’entrepreneurs québécois, intéressés par ce secteur d’activités, ont pu démystifier les réalités du Nord et saisir l’ampleur des défis logistiques. Ces personnalités influentes du monde des affaires, accompagnées de représentants du journal Les Affaires, ont pu rencontrer des acteurs clés et des décideurs locaux qui connaissent le développement nordique tant sur le plan économique, social, environnemental, technique, qu’organisationnel.

Ces occasions uniques de réseautage favorisent la création de partenariats avec des dirigeants d’entreprises, des élus et des représentants des Premières nations et maximisent les chances de conclure des ententes avec des donneurs d’ordre.

En plus des responsables de MFQ, le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, était sur place et s’est adressé aux visiteurs durant le convivial repas du midi offert au complexe de MFQ. Ce dernier a également accompagné le groupe à la visite touristique de la ville de Fermont, celle-ci incluait une incursion à l’intérieur du légendaire mur-écran et qui clôturait l’événement.

Le directeur général de MFQ, Louis Turcotte confie : « C’est avec une grande fierté que nous avons reçu des représentants de différentes organisations relatives au domaine minier à l’occasion du projet : Mission commerciale Objectif Nord. Nous avons été heureux de les accueillir et de leur faire découvrir nos infrastructures ainsi que notre site minier. »

Les deux autres destinations visitées au préalable étaient le projet du lac Windfall de la Minière Osisko à Lebel-sur-Quévillon en Abitibi et la mine Whabouchi de Nemaska Lithium près de la communauté crie de Nemaska située à 240 km au nord-est de Matagami entre le lac Mistassini et la baie James dans le territoire d’Eeyou Istchee dans le Nord-du-Québec. Ce village cri est relié à Chibougamau par la route du Nord et à Matagami par la route de la Baie-James.

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Publié le 7 octobre, 2019, dans la publication : Numéro_16 Volume 37

  • Développement minier
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  • Minerai de fer Québec
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Publié sur le site le 7 octobre 2019

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Un peu d’histoire

40e anniversaire de Radio Fermont

par Éric Cyr et Louise Vachon

Source : Archives journal TDN Photo historique de l’équipe radiophonique de 1984. Rangée du fond : l’animatrice Claude Yvon, l’animateur Yvon Delisle, l’animateur bénévole Benoit Boutet, l’animatrice bénévole Madeleine Pagé, le journaliste Pierre Paquet. À l’avant : la secrétaire feue Céline Thibeault, le directeur Pierre Lapointe et l’animateur Carol Gagnon.

Cette belle histoire a commencé par les premiers soubresauts de Radio Fermont. Un groupe de citoyens déterminés souhaitant l’implantation d’une radio locale se sont regroupés afin de concerter leurs efforts et d’entamer des démarches qui ont connu leur apogée, le 2 octobre 1975, dans le cadre d’une visite du ministre des Communications du Québec de l’époque.

En 1979, la ville de Fermont, qui existe officiellement depuis seulement cinq ans, est isolée et mal desservie par la presse écrite, la radio et la télévision étatique et n’a pas encore accès à une route. Radio Fermont inc. devient alors le premier instrument local de communication instauré par et pour la population. Inspiré de la vague naissante de médias communautaires au Québec, la radio fermontoise voit le jour avec pour objectif de combler un besoin en devenant le premier média d’information locale tout en contribuant à briser l’isolement et à stimuler les interactions entre les résidents au sein de la nouvelle communauté. C’est le 15 septembre 1979 que se déroulent les premiers essais de mise en ondes de CFMF 103,1 qui ne diffuse alors qu’un contenu quotidien de trois heures.

Le premier conseil d’administration était composé du président Guy Labrie, du vice-président Jean-Guy Trottier, du secrétaire-trésorier René Proteau ainsi que de neuf directeurs. Le premier directeur fut Daniel Bellefleur, suivi de Pierre Lapointe. Arrivé en 1983, Carol Gagnon fut un des premiers animateurs. Il a passé plus de cinq ans à la console. Des émissions populaires obtiennent la cote auprès du public et certains animateurs sont en forte demande comme Gilles Gélinas, alias le célèbre « Bobinette » qui animait une émission de musique country originale fort appréciée.

Le financement a souvent constitué la pierre d’achoppement du média radiophonique et la population a toujours généreusement contribué à son essor, mais l’on devait faire preuve de beaucoup d’imagination et de créativité afin d’innover comme ce fut le cas pour les bingos radio qui ont commencé en 1984. Il y a eu aussi les fameux radiothons qui duraient 24 heures et pendant lesquels des dons étaient amassés sous la présidence d’une personnalité locale. Plusieurs casinos radio ont aussi été organisés au cours des années.

La radio s’associe à la télévision communautaire (TV Coop) en 1994 donnant ainsi naissance à Diffusion Fermont. Chaque organisme conserve cependant son statut et partage des services communs comme la direction et le secrétariat.

En 1995, CFMF fait un pas de plus vers la modernité en acquérant le logiciel Fox-Pro, rendant la discothèque plus efficace. Auparavant, tous les albums étaient répertoriés à la main. En 2004, le système de mise en ondes s’informatise avec l’arrivée du logiciel Win Radio ce qui permet d’être en ondes 12 heures par jour. Depuis, la technologie a beaucoup évolué et la programmation couvre aujourd’hui une plage horaire quotidienne de 24 heures.

Une autre mission de la radio, qui fait partie des mesures d’urgence de la Ville de Fermont et dont les studios sont dotés d’une génératrice en cas de panne d’électricité ou autres sinistres, est la transmission d’informations en temps réel afin d’orienter les citoyens vers les ressources appropriées et leur donner des directives en leur expliquant la situation.

Reconnaissance bien méritée pour célébrer ses quarante ans, la radio de Fermont est en nomination cette année pour le prix Station de radio communautaire de l’année (marchés central et régional) dans le cadre des Prix Rencontres Radio 2019 de l’ADISQ. La directrice musicale Geneviève Richard est aussi en nomination en tant que directrice musicale de l’année (station de radio, marché régional) pour la seconde année consécutive. Un événement spécial, un spectacle de Bodh’aktan fort apprécié du public a été offert, le 28 septembre dernier afin de souligner le quarantenaire.

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Publié le 7 octobre, 2019, dans la publication : Numéro_16 Volume 37

  • 40e anniversaire
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Publié sur le site le 7 octobre 2019

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Blocus partiel de Schefferville

Grève au service de chemin de fer

par Éric Cyr

Source photo : Transport Tshiuetin

La seule liaison terrestre entre Sept-Îles et Schefferville a été partiellement rompue après que les deux syndicats de transport ferroviaire de l’entreprise Transport Tshiuetin ont déclenché une grève générale illimitée, le 27 septembre dernier. Ce scénario vient perturber l’approvisionnement en denrées essentielles de Schefferville et le mode de transport principal pour accéder à cette localité nordique isolée en plus d’arrêter complètement l’acheminement du minerai de fer vers le sud.

Bien que certains services essentiels soient maintenus, cette situation affecte le train de passagers et celui de marchandises ainsi que l’acheminement du minerai de fer des installations minières de Tata Steel qui sera totalement interrompu. L’offre du transport de passagers sera diminuée de moitié passant de deux à un aller-retour par semaine alors que la cargaison sera réservée aux provisions de nourriture et à l’essence.

Négociations infructueuses

Les propositions salariales de Transport ferroviaire Tshiuetin ont été jugées inacceptables par les travailleurs et aucune entente n’a donc été conclue. Selon le Conseil central de la Côte-Nord de la CSN, l’employeur n’a pas mis les efforts nécessaires pour régler la situation. Le directeur général de la compagnie s’était planifié des vacances au Chili et le porte-parole du comité de négociation n’a pas jugé bon de se déplacer préférant participer à la séance de négociation par visioconférence de Québec. Ça dénote le manque de sérieux de la partie patronale qui n’a fait aucune offre satisfaisante tout en disant vouloir trouver des solutions rapidement. Le syndicat explique que les pourparlers qui n’ont pas abouti ont principalement achoppé parce que l’employeur accepterait d’accorder une augmentation salariale seulement en contrepartie de suppressions de postes et d’heures de travail chez certains employés dans le cadre d’une restructuration qui demeure incertaine. Les membres syndiqués ont catégoriquement refusé la proposition qui voudrait financer les augmentations de la majorité au détriment d’un petit groupe de travailleurs.

« Ces personnes doivent se montrer conciliantes et prêtes à prendre les commandes du train durant 14 jours consécutifs pendant le mois. Or, leur travail dépend de la compagnie qui leur apporte le minerai. Il se peut qu’il n’y ait aucune marchandise à transporter durant une journée et que ces employés n’aient pas à travailler; ils doivent tout de même rester en poste, dans le bois, et l’employeur voudrait réduire de moitié leur salaire durant cette période. Ça ne passe pas », explique le président du syndicat, Guillaume Tremblay.

L’ensemble des demandes des travailleuses et travailleurs sont loin d’être excessives, estime le vice-président de la FEESP-CSN, Jean-Pierre Bourgault. Ceux-ci sont prêts à mettre de l’eau dans leur vin, le temps que le transporteur ferroviaire procède à certaines restructurations dans la gestion. Ils tiennent cependant à ce que leurs revendications soient prises en compte, car elles sont tout à fait légitimes. « Il ne faut pas oublier que les nombreux départs non remplacés de la dernière année ont occasionné une surcharge de travail importante. Nous sommes derrière eux pour les soutenir et pour qu’ils obtiennent ce qu’ils méritent », conclut-il. Pour sa part, le conseiller syndical à la CSN, Réjean Bradley, explique qu’étant donné qu’il s’agit d’une grève générale illimitée, le débrayage durera jusqu’à ce que les parties s’entendent sur une nouvelle convention collective.

Deux groupes distincts sont en grève, soit la soixantaine d’employés de Tshiuetin incorporé qui assure le service de passagers et la vingtaine de travailleurs de Tshiuetin SEC qui gère le convoyage sur rails de fret et de minerai entre ces deux destinations.

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Publié le 7 octobre, 2019, dans la publication : Numéro_16 Volume 37

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Publié sur le site le 7 octobre 2019

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Ville de Fermont

Le municipal appuie sur la pédale

par Éric Cyr

En plus des multiples chantiers qui occupent le paysage fermontois à de nombreux endroits, le goudron est aussi à l’honneur puisque la Ville de Fermont a accordé des contrats d’asphaltage de plusieurs rues importantes cette année. La priorité a été accordée à des secteurs qui ont été jugés les plus achalandés ou dont la réfection était plus urgente.

Les Services techniques de la municipalité ont supervisé plusieurs chantiers d’asphaltage. La rue du Camp qui traverse une partie du parc industriel et dont les puisards se remplissaient de sable ainsi que la rue Le Carrefour, la plus endommagée et la plus achalandée, qui s’est refait une beauté de bitume sur 1,1 km. La côte de la rue Boréale jusqu’à l’intersection de la rue du Cosmos a aussi été asphaltée sur 395 mètres. Un planage a été effectué à l’aide d’une machine pour scarifier l’ancien asphalte et le pulvériser afin de le réutiliser ailleurs comme remblais, notamment au dépotoir à neige, avant le pavage de ces chaussées.

L’entrepreneur Dexter, qui avait un carnet de commandes bien garni, a rempli ses obligations dans les délais exigés par la Ville en répondant à ses besoins spécifiques qui exigeaient une couche unique de trois pouces. Ce dernier a fait venir un concasseur pour la préparation de son produit sur place. C’est un sous-traitant qui a procédé à l’application de celui-ci.

D’autres travaux ont aussi été exécutés comme le remplacement d’une conduite d’eau de tuyaux d’alimentation de 4 pouces qui ne répondait pas aux nouvelles normes afin de desservir le réseau d’incendie par des tuyaux de 8 pouces sur la rue des Lagopèdes et un ensemencement hydraulique de gazon pour stabiliser le talus et assurer une esthétique visuelle plus agréable sur le bord du boulevard Jean-Claude Ménard et de la rue du Sommet qui mène au réservoir d’eau potable (tour d’eau). Il a aussi été prévu d’installer en octobre de nouvelles clôtures plus hautes avec des mailles plus serrées autour du stationnement de la cour du garage municipal qui sera désormais aussi accessible par la rue Bertrand à l’aide d’une carte magnétique durant la période estivale, car il n’est pas déneigé en hiver, afin d’assurer une meilleure protection des actifs des citoyens qui y entreposent des véhicules et des remorques.

La Ville a aussi officiellement pris possession de l’usine de traitement d’eau potable automatisée cet été en devenant responsable des opérations après une mise au point (réglage) et un rodage destinés à optimiser le procédé et à réduire les frais d’exploitation. Une activité portes ouvertes sera organisée prochainement afin de donner la chance aux citoyens de visiter les installations qui pourront entre autres observer une réaction de coagulation.

Le remplacement de trois ponceaux au croisement des rues Duchesneau et Iberville sera effectué l’an prochain.

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Publié le 7 octobre, 2019, dans la publication : Numéro_16 Volume 37

  • Asphaltage
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  • Réfection
  • Rénovation
  • Ville de Fermont

Publié sur le site le 7 octobre 2019

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