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  • Un exercice coûteux inutile

    Élection fédérale 2021

    Un exercice coûteux inutile

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    Saut à motocross

    Entretien avec le champion québécois

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    CPE de la Côte-Nord

    Première journée de grève à Fermont

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    Ville de Fermont

    Une 4 octobre, 2021

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Numéro_16

Un exercice coûteux inutile

Élection fédérale 2021

Un exercice coûteux inutile

Entretien avec le champion québécois

Saut à motocross

Entretien avec le champion québécois

Première journée de grève à Fermont

CPE de la Côte-Nord

Première journée de grève à Fermont

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Ville de Fermont

Une 4 octobre, 2021

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Élection fédérale 2021

Un exercice coûteux inutile

par Éric Cyr

L’élection fédérale du 20 septembre 2021 qui a coûté près de 615 millions de dollars aux contribuables canadiens s’est avérée totalement inutile puisque le résultat était fort prévisible et l’échiquier politique est demeuré sensiblement le même à quelques détails près constitués par de très rares exceptions dans moins de dix circonscriptions.

Le premier ministre canadien Justin Trudeau a réussi à se faire réélire, mais aura perdu en crédibilité puisque plusieurs lui tiennent rigueur, en particulier le citoyen moyen qu’il se targue de défendre et qui est de plus en plus appauvri par les conséquences de la crise sanitaire, de ne pas avoir tenu compte de l’opinion publique exprimée par la vaste majorité qui ne souhaitait pas retourner aux urnes en période de pandémie, ce que démontre clairement le taux famélique d’électeurs ayant exercé leur devoir de citoyen. Pour des raisons discutables, puisque le parlement fonctionnait, le chef du Parti libéral du Canada a tout de même choisi de déclencher une élection deux ans avant la fin de son mandat pour finalement obtenir un résultat qui ressemble étrangement à un copier-coller de celle de 2019 puisque le choix des votants a reproduit pratiquement le même scénario avec gouvernement libéral minoritaire au pouvoir.

Retour à la case départ

À part avoir dégarni les coffres de l’État canadien de 612 M$, ce que certains chroniqueurs politiques qualifient de gaspillage et même de scandale, car cet argent aurait pu servir à bon escient, ce suffrage a été loin de susciter les passions, à part celles de quelques exaltés révoltés lanceurs de cailloux, et se sera finalement avéré futile et n’aura servi à absolument rien excepté de retarder le fonctionnement du gouvernement fédéral déjà au ralenti en pleine période de crise liée à la quatrième vague de la Covid-19. Une telle preuve de mauvais jugement ne contribue qu’à écœurer les honnêtes travailleurs qui façonnent la société, car ce sont eux qui paieront la facture de ce gâchis improvisé qui démontre le manque d’altruisme d’une certaine « élite » qui profite grassement du dur labeur de ceux qui financent le système démocratique à la sueur de leur front.

Cette élection aura au moins permis de constater que le mépris de certains médias anglophones, qui ont fait fi de l’éthique journalistique, ne semble pas s’essouffler envers le Québec. Cette hargne est ressortie avec la fameuse question controversée lors du débat des chefs en anglais qui sous-entendait que les Québécois sont des racistes et pour laquelle tous les partis politiques de l’Assemblée nationale du Québec ont exigé des excuses qui ne viendront jamais, même si les chefs des trois principaux partis fédéraux se sont joints, un peu tardivement, au Bloc québécois pour décrier l’allusion qui sous-entend que les Québécois sont plus racistes qu’ailleurs au pays.

Pour les cinéphiles le titre de deux films bien connus résumerait assez bien le résultat de ce scrutin et la formation de la 44e législature canadienne : Tout … pour ça ! de Claude Lelouch et Rapport minoritaire de Stephen Spielberg.

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Publié le 4 octobre, 2021, dans la publication : Numéro_16 Volume 39

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  • Parti libéral du Canada
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Publié sur le site le 4 octobre 2021

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Saut à motocross

Entretien avec le champion québécois

par Éric Cyr

Le champion québécois en sauts acrobatiques à motocross qui fait partie des cinq premiers sur la côte est américaine, Mike Ouellet, originaire de Fermont, était de passage localement dans le cadre d’un spectacle organisé lors du lancement de la nouvelle image de marque de la Ville de Fermont. Lui et ses deux coéquipiers, Louis-Philippe Chabot, de Sainte-Justine en Beauce, et Christian Martinez, de la région de Montréal, se sont rendus entre deux représentations, le 18 septembre dernier, à la Maison des jeunes Alpha pour animer une discussion au sujet de leur sport extrême.

Les motocyclistes ont répondu aux questions des jeunes. À la suite de la rencontre, M. Ouellet (en avant à gauche sur la photo) a accordé une entrevue au journal Le Trait d’union du Nord.

Né à Matane, Mike Ouellet est déménagé à Fermont à l’âge de deux ans. Grand adepte de plusieurs sports notamment le hockey, où il a atteint le niveau senior 2A, le badminton et le tennis, c’est toutefois la moto et la motoneige qui le passionnent particulièrement. C’est dans la localité nordique qu’il a commencé à l’adolescence à pratiquer le motocross. À 15 ans, il s’élançait dans la sablière du lac Carheil afin de parfaire sa technique.

« J’ai vu une présentation de ce sport à la télé et je me suis dit que c’est ce que je voulais faire. J’ai constaté que j’avais un certain potentiel que j’ai exploité. À Fermont nous sommes choyés pour le quatre roues, la moto et la motoneige. Pour ma part, j’aimais mieux la moto », explique l’athlète professionnel qui est aussi mécanicien.

« À 24 ans, j’ai choisi de partir pour aller parfaire cette discipline avec un ancien professionnel du domaine, Jean-François Cantin, à La Tuque en Mauricie. C’est là que j’ai croisé deux autres compétiteurs qui m’ont invité à l’épreuve de Mirabel, la seule du genre à l’époque au Québec », confie M. Ouellet qui a depuis acquis une reconnaissance internationale et brillé un peu partout de la côte est du Canada et des États-Unis jusqu’à Miami, le Midwest américain et la côte ouest américaine. Ce dernier a aussi présenté des spectacles aux îles Trinité-et-Tobago dans la mer des Caraïbes. « Ça a toujours été mon rêve de jeunesse de percer dans cette discipline, je visais à atteindre cet objectif et j’y suis parvenu à force de discipline et de ténacité. J’ai réussi à me hisser sur la grosse scène des États-Unis où je suis reconnu depuis cinq ans. »

Tout comme son frère qui est copropriétaire du Pub Le Réphil, Mike Ouellet a l’esprit entrepreneurial et souhaite diversifier ses activités. Il s’est procuré une structure gonflable adaptée à la fois pour les spectacles de sauts à motocross et à motoneige et s’est récemment acheté une motoneige en prévision de la présentation de spectacles de saut à motoneige. « C’est assez similaire, mais un peu plus dangereux à cause du poids de la machine qui est plus pesante. » M. Ouellet était ravi de se déplacer dans son patelin d’enfance pour offrir un spectacle pour la première fois. « J’étais heureux de revenir dans la ville qui m’a vu grandir afin de présenter mon savoir-faire devant mon monde et je suis très content que le projet ait pu se concrétiser. »

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Publié le 4 octobre, 2021, dans la publication : Numéro_16 Volume 39

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Publié sur le site le 4 octobre 2021

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CPE de la Côte-Nord

Première journée de grève à Fermont

par Éric Cyr

Sans convention collective depuis plus de 18 mois, les travailleuses et les travailleurs des centres de la petite enfance (CPE) syndiqués à la CSN ont profité de la journée soulignant le 100e anniversaire de la centrale syndicale, le 24 septembre 2021, pour accentuer la pression sur le gouvernement en exerçant une première journée de grève en manifestant à Baie-Comeau et à Sept-Îles, mais aussi à Fermont à l’intersection du boulevard Jean-Claude Ménard à l’entrée de la ville. D’autres manifestations semblables ont eu lieu simultanément dans toutes les régions du Québec.

« Le manque de main-d’œuvre est criant dans les CPE de la région et, malheureusement, les offres déposées par le gouvernement à ce jour sont nettement insuffisantes pour renverser cette tendance et assurer la pérennité du réseau », déplore la présidente du Syndicat des travailleuses et travailleurs (STT) CPE de Sept-Îles-CSN, Stéphanie Tanguay.

Les 11 000 travailleuses et travailleurs des CPE affiliés à la CSN piaffent d’impatience alors que les négociations stagnent depuis plusieurs mois et que la situation continue de se détériorer sur le terrain. Pendant ce temps, non seulement le gouvernement n’offre aucune solution concrète pour résoudre les problèmes de surcharge de travail et les difficultés de recrutement et de rétention du personnel, mais il fait des demandes de reculs qui ne feront qu’aggraver la situation. « Nos membres dans la région ont voté en faveur de la grève à 100 %. Ça démontre bien à quel point ils sont au bout du rouleau », explique la présidente du STT CPE de la Manicouagan-CSN, Julie Pellerin. « Le gouvernement Legault doit arriver avec des offres raisonnables plutôt que d’essayer de presser encore plus le citron et de risquer de pousser vers la sortie les travailleuses et les travailleurs qui tiennent le réseau à bout de bras. »

« Les CPE ne sont pas qu’un endroit où l’on « parque » les enfants le jour pendant qu’on va travailler. Les personnes qui y travaillent ont les compétences pour éduquer nos enfants pendant une période importante de leur vie. Elles méritent une reconnaissance et un respect à la hauteur avec cette immense responsabilité », souligne le président du Conseil central Côte-Nord-CSN, Guillaume Tremblay.

Des demandes raisonnables

Les travailleuses et travailleurs revendiquent notamment une augmentation salariale équitable pour tous les titres d’emploi. Une technicienne en service de garde scolaire, par exemple, gagnait 29,05 $ l’heure au maximum de l’échelle salariale, avant la négociation du secteur public, contre 25,15 $ pour une éducatrice en CPE alors qu’elles ont la même formation collégiale.

Les représentants syndicaux demandent également des moyens pour donner de meilleurs services aux enfants, dont ceux à besoins particuliers, ainsi que le respect des ratios pour la sécurité des tout-petits. Ils veulent aussi du temps pour la préparation du dossier de l’enfant et pour la gestion de la cuisine.

Et les Métallos

Les éducateurs et éducatrices en garderie du CPE Touchatouille de Port-Cartier, affiliés à la section locale 7065 du Syndicat des Métallos, sont invités à rejeter massivement les offres salariales de la partie patronale, considérées insuffisantes, et de donner au comité de négociation un mandat de grève fort lorsqu’ils seront appelés à se prononcer sur la question au cours d’assemblées générales. Selon un membre du comité de négociation syndical, Manon Leclerc : « L’augmentation salariale de 2 % qui nous est proposée se conjugue à une augmentation presque équivalente des coûts de l’assurance collective. Dans un contexte où l’indice des prix à la consommation (IPC) a crû de 4,1 % depuis un an, cela revient à appauvrir de façon durable les travailleurs essentiels que nous sommes. » La présidente de l’unité 7065, Patsy Ouellet, explique : « Si le ministre de la Famille souhaite ouvrir de nouvelles places et valoriser le métier d’éducatrice et d’éducateur, ce n’est pas avec de telles offres qu’il parviendra à surmonter le contexte de pénurie de main-d’œuvre, à augmenter les inscriptions en technique d’éducation à l’enfance et à assurer un meilleur taux de rétention du personnel. »

Les conventions collectives de tous les syndiqués en CPE à l’échelle du Québec sont échues depuis le 1er avril 2020. Les moyens de pression visent à convaincre le gouvernement de négocier des ententes équitables.

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Publié le 4 octobre, 2021, dans la publication : Numéro_16 Volume 39

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Publié sur le site le 4 octobre 2021

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Ville de Fermont

Une image plus moderne

par Éric Cyr

Source photo : Jocelyn Blanchette, photographe

La Ville de Fermont a procédé au lancement de sa nouvelle image de marque, le 18 septembre dernier, dans le stationnement de l’aréna Daniel-Demers. Un spectacle de sauts à motocross de style libre organisé par l’ancien Fermontois Mike Ouellet et son équipe était présenté dans le cadre de l’événement qui a rassemblé près de 900 personnes à l’intérieur et à l’extérieur du site lors des deux représentations qui se sont déroulées en après-midi et en soirée.

L’objectif de l’administration municipale est de rafraîchir son apparence grâce à ce nouvel emblème au goût du jour. Le nouveau symbole se rapproche plus de la réalité actuelle qui a bien évolué depuis la création de l’ancien logo, le fameux « F » orange, qui, bien qu’avant-gardiste dans les années 1970, était devenu vétuste. Les emblèmes héraldiques ne sont pas touchés par l’adoption de ce nouvel insigne. Beaucoup plus représentatives d’un point de vue historique, les armoiries officielles de la Ville de Fermont incluant le blason et la devise « Faire front, faire face » surmontés de deux caribous ont été épargnées par cette modernisation et demeureront pour les documents officiels et les rassemblements de dignitaires.

Nouveau visage

Selon le maire Martin St-Laurent, le renouvellement de l’attribut fermontois a été décidé par la Ville à la suite d’une consultation de certains acteurs du milieu qui ont souligné entre autres l’importance des valeurs familiales qui sont représentées par les lettres r et m de Fermont dans le nouvel insigne.

« C’est un logo simple et facile à reconnaître. On voulait grâce à ce changement rehausser le sentiment d’appartenance à notre localité nordique. Il y a beaucoup de nouveaux arrivants et il est important que les gens sachent que Fermont est une ville à part entière où il fait bon vivre. »

M. St-Laurent confie que la nouvelle représentation visuelle sera progressivement intégrée dans les activités municipales et sur la flotte de véhicules. Des bannières affichant la nouvelle figure ont déjà été installées sur des lampadaires et des articles promotionnels seront bientôt en vente pour le public.

C’est l’agence d’experts en création et en gestion de marques, Parallèle, de Québec qui a conçu tous les vecteurs de la nouvelle plateforme d’expression après avoir obtenu un contrat de 38 000 $ taxes en sus à la suite d’un appel d’offres. « Nous avons obtenu deux propositions et nous en avons choisi une. Nous voulions nous démarquer en nous dissociant de l’ancien F » explique le maire. « Nous avons voulu souligner ce changement en organisant un spectacle en plein air riche en émotions, le premier du genre depuis le Taïga Carnaval qui s’est tenu à échelle réduite, permettant aux citoyens de se divertir et d’oublier un peu les contraintes liées à la pandémie. Ce fut une belle occasion de faire coïncider le lancement officiel de la nouvelle marque avec l’invitation d’un ancien Fermontois qui a commencé à pratiquer sa discipline ici et qui se démarque dans son domaine du saut en hauteur à motocross. L’athlète a d’ailleurs porté un drapeau avec les nouvelles couleurs à moto avant les deux performances. »

 

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Publié le 4 octobre, 2021, dans la publication : Numéro_16 Volume 39

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