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  • Numéro 19

  • Le premier ministreTrudeau fait l’autruche

    Projet de loi C-372

    Le premier ministreTrudeau fait l’autruche

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    CISSS de la Côte-Nord

    Nouvelle brèche anticipée dans les finances

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    Première Guerre mondiale

    Quelques faits intéressants

  • Célébration du centième anniversaire de l’Armistice

    Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté

    Célébration du centième anniversaire de l’Armistice

  • La contestation se poursuit

    Impôt foncier à Fermont

    Une 19 novembre, 2018

    La contestation se poursuit

Numéro 19

Le premier ministreTrudeau fait l’autruche

Projet de loi C-372

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Nouvelle brèche anticipée dans les finances

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Célébration du centième anniversaire de l’Armistice

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La contestation se poursuit

Impôt foncier à Fermont

Une 19 novembre, 2018

La contestation se poursuit

Projet de loi C-372

Le premier ministreTrudeau fait l’autruche

par Éric Cyr

Source : BQ

La députée de Manicouagan et responsable de l’Est-du-Québec pour le Bloc québécois (BQ) Marilène Gill a rencontré les membres des Métallos à Ottawa, au début novembre, afin d’interpeller les élus fédéraux pour qu’ils appuient son projet de loi qui vise à protéger les fonds de pension des travailleurs alors que les libéraux refusent toujours de rencontrer les représentants du syndicat.

Trudeau est à côté de la plaque

« Les Métallos auront passé quatre semaines cette année sur la Colline parlementaire dans le but de se porter à la défense des retraités qui ont perdu leurs rentes et leurs assurances dans la faillite de leur entreprise. Malgré les demandes qu’ils ont effectuées, il n’y a eu aucune rencontre avec le ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, Navdeep Bains, ni même avec aucun autre ministre », affirme Marilène Gill. Les Métallos étant confrontés à l’absence de réponse, la députée s’est portée à leur défense en interpellant directement le premier ministre Justin Trudeau à la période de questions, afin qu’il planifie une rencontre : « Je lui ai d’une part demandé s’il voulait les rencontrer, et d’autre part, s’il était prêt à appuyer le projet de loi C-372 que j’ai déposé soit la Loi modifiant la Loi sur la faillite et l’insolvabilité et la Loi sur les arrangements avec les créanciers des compagnies (régimes de pension et régimes d’assurance collective). En guise de réponse, il a fait l’autruche et a changé de sujet. Il était tellement dans le champ que c’en était pitoyable! » poursuit la députée bloquiste.

Attitude méprisante

« L’attitude des libéraux à l’égard des travailleurs et des aînés est totalement condamnable. Sur la Côte-Nord, les effets de leur manque de collaboration se font ressentir. Ça fait trois ans que les travailleurs retraités de l’usine Cliffs se battent pour récupérer leur fonds de pension et leurs assurances. Ça fait plus d’un an que les travailleurs de Sears sont dans l’incertitude constante. Force est d’admettre que les travailleurs ne font pas partie des priorités du gouvernement Trudeau qui ignore complètement ces évidences et qui se démarque par son absence totale d’empathie. Pendant ce temps, des retraités vivent dans la misère. Le temps presse! », ajoute la bloquiste.

Les âneries libérales

Marilène Gill est souvent sollicitée par des retraités qui lui demandent son aide. « Ce sont des gens qui sont incapables de se payer une épicerie adéquate ou de payer leurs factures. Certains continuent à s’endetter, tandis que d’autres en subissent les effets psychologiques. C’est d’une tristesse infinie. Les libéraux n’ont aucune considération. Au même moment, ils se targuent d’être le parti des travailleurs. Dire de telles âneries, c’est une insulte pour ceux qui se battent quotidiennement pour obtenir de meilleures conditions de travail! Ils méritent mieux! », a conclu la députée de Manicouagan.

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Publié le 19 novembre, 2018, dans la publication : Numéro 19 Volume 36

  • Aînés
  • Bloc québécois
  • Députée Marilène Gill
  • Fonds de pension
  • Métallos
  • Ottawa
  • Travailleurs
  • Trudeau

Publié sur le site le 19 novembre 2018

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CISSS de la Côte-Nord

Nouvelle brèche anticipée dans les finances

par Éric Cyr

Légende : Centre de santé de l'Hématite à Fermont.

Le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord envisage d’inscrire un nouveau déficit d’au moins 15 M $ qui est appréhendé pour l’année financière 2018-2019 après avoir dû réclamer une aide de 13,9 M $ à Québec en mars dernier afin de boucler le précédent budget.

Bien que la distance géographique puisse constituer un phénomène aggravant, les dettes constituent cependant un phénomène récurrent au sein de l’administration du CISSS de la Côte-Nord qui semble collectionner les découverts. Tout comme l’an dernier, les gestionnaires ont l’intention de demander une aide d’urgence au ministère québécois de la Santé pour absorber le manque à gagner. C’est le président-directeur général de l’institution de santé, Marc Fortin, qui a dévoilé cette information, le 3 octobre dernier, à l’occasion de la séance du conseil d’administration qui s’est tenue à Sept-Îles.

Le principal intéressé, qui souhaite rationaliser les dépenses, considère que le déficit est surtout imputable aux coûts reliés à la main-d’œuvre et au prix élevé de certains médicaments en oncologie qui pourraient l’inciter à devoir aller chercher une assistance financière additionnelle de 3 M $. Ce dernier attribue le blâme au recours à des agences privées qui emploient des travailleurs indépendants, en croissance exponentielle impressionnante pour l’année financière, et qui a été beaucoup plus important durant la période estivale où le personnel était réduit. Entre avril et août dernier, ce serait l’équivalent de près de 59 000 heures de travail qu’il aurait fallu combler. Il pointe aussi du doigt les heures supplémentaires qui sont très onéreuses et amplifiées par les nombreux postes à pourvoir dans la région qu’il évalue à une quarantaine d’infirmiers/infirmières et à une trentaine de préposés aux bénéficiaires.

Les administrateurs reconnaissent qu’il existe une problématique importante au niveau de la rétention de personnel. Le CISSS nord-côtier a en effet embauché 333 nouveaux employés du début janvier à la fin juillet, mais a dû essuyer simultanément 266 départs. Le PDG précise que des démarches de recrutement sont en cours dans des pays européens de langue française afin de tenter d’attirer des travailleurs qualifiés, mais il précise que cela risque de prendre un certain temps.

M. Fortin confie que certaines solutions ont été planifiées afin de tendre vers un redressement budgétaire, mais que celles-ci ne pourront être appliquées avant la fin des négociations avec les syndicats qui s’éternisent depuis près d’un an. Il juge qu’il faut respecter les conventions collectives et les décrets et qu’il sera difficile d’instaurer de nouvelles mesures avant la signature des conventions collectives dont l’exercice vise à harmoniser les conditions de travail des neuf établissements fusionnés au sein du CISSS de la Côte-Nord tout en tenant compte des particularités locales.

Des représentants syndicaux de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) de la Côte-Nord, qui regroupe 900 membres, et de la CSN étaient sur place lors de la rencontre afin de demander la poursuite des négociations qui ont été rompues quelques jours plus tard, le 9 octobre, par l’employeur qui s’est retiré de la table de négociations, ce qui a fait dire à l’APTS que la partie patronale a ralenti volontairement les négociations pour tenter d’imposer ses vues dans le cadre d’une médiation en arbitrage.

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Publié le 19 novembre, 2018, dans la publication : Numéro 19 Volume 36

  • APTS
  • CISSS Côte-Nord
  • Déficit financier
  • Institution de santé
  • Ministère de la Santé
  • Recrutement infirmière
  • Sept-Îles
  • Soins de santé

Publié sur le site le 19 novembre 2018

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Première Guerre mondiale

Quelques faits intéressants

par Éric Cyr

Les bleuets et les coquelicots continuaient à pousser au milieu de la boue des tranchées dans la terre retournée par les nombreux obus qui labouraient quotidiennement les champs de bataille pendant la Grande Guerre, constituant un vibrant témoignage de la vie qui continuait.

Le coquelicot, dont la couleur rouge rappelle le sang versé, se veut un symbole de mémoire qui honore la bravoure et le souvenir des soldats tombés au combat en provenance des pays du Commonwealth britannique dont le Canada fait partie (sauf en Australie ou c’est le brin de romarin qui représente la bataille des Dardanelles appelée aussi bataille de Gallipoli) et des États-Unis. Cette fleur est intimement associée à un poème, Au champ d’honneur (In Flanders’ Fields), composé par le médecin et chirurgien au sein de l’artillerie canadienne durant la deuxième bataille d’Ypres en mai 1915 dans les plaines de Flandre en Belgique, John McCrae, à la mort d’un de ses camarades d’armes. En France, c’est le bleuet qui est le symbole de la mémoire et de la solidarité envers les anciens combattants, les victimes de guerre, les veuves et les orphelins.

L’usage massif d’armes chimiques et toxiques fait son apparition lors d’attaques au gaz.

L’usage du casque de combat ou casque militaire destiné à protéger la tête durant une opération militaire réapparaît et se répand.

Le mot poilu qui désignait quelqu’un de courageux ou de viril dans le langage familier de l’époque est transposé et devient le surnom que l’on donne aux soldats français qui étaient dans les tranchées lors de la Première Guerre mondiale que l’on rebaptise les Poilus.

Une nouvelle expression voit le jour. Le terme « gueules cassées » est employé pour désigner les survivants ayant subi des blessures au combat notamment par leur exposition aux tirs de mitraillettes ou d’obus et affectés par des séquelles physiques, souvent au visage qui est mutilé et parfois atrocement défiguré, ou profondément marqués psychologiquement par le conflit et dont certains durent être internés. Durant cette période, la chirurgie réparatrice fait un bond en avant.

Les soldats ont involontairement contribué à propager la plus grande pandémie de l’ère moderne lors de leur retour du front, la grippe de 1918 appelée aussi à tort grippe espagnole.

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Publié le 19 novembre, 2018, dans la publication : Numéro 19 Volume 36

  • Bleuet
  • Brin de romarin
  • Coquelicot
  • Grippe espagnole
  • Gueules cassées
  • John McCrae
  • Poilus français
  • Première Guerre mondiale

Publié sur le site le 19 novembre 2018

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Paix sur la terre aux hommes de bonne volonté

Célébration du centième anniversaire de l’Armistice

par Éric Cyr

Légende : Le wagon de l’armistice. Source : Bibliothèque nationale de France/Gallicia

Le jour du Souvenir, connu aussi sous le nom de jour de l’Armistice, est une journée de commémoration annuelle observée en Europe et dans les pays du Commonwealth pour souligner les sacrifices de la Première Guerre mondiale et rendre hommage aux soldats morts au combat pendant cet affrontement sanguinaire ainsi que dans d’autres conflits armés. Cette tradition revêt une signification particulière cette année puisque le 11 novembre 2018 coïncide avec le centenaire de l’Armistice signé par les plénipotentiaires, le 11 novembre 1918, mettant ainsi fin aux hostilités entre les belligérants de la Grande Guerre.

Signature de l’armistice

Le commandant en chef des forces alliées sur le front occidental (ouest), le maréchal Foch, intraitable, signe, dans une ancienne voiture-restaurant de luxe réquisitionnée par l’armée française pour être aménagée en bureau, le traité de paix entre les états-majors alliés et allemands. L’Allemagne est forcée d’accepter les clauses dictées par les vainqueurs. C’est dans un lieu discret à l’abri des regards, la clairière de Rethondes, située près d’une gare au milieu de la forêt de Compiègne dans l’Oise, en France, que s’incline l’empire allemand. La sonnerie du clairon de l’armée française, qui annonce le cessez-le-feu, retentit, à la symbolique 11e heure le 11e jour du 11e mois 1918, officialisant la fin des hostilités.

Après la conclusion de la paix à Versailles en juin 1919, la Compagnie internationale des wagons-lits offre le fameux wagon emblématique de la victoire à l’État français, qui l’expose dans la cour d’honneur de l’hôtel des Invalides à Paris où il devient l’incarnation de ce qui était censé être la dernière lutte armée mondiale, la « der des ders », avant d’être oublié puis remarqué par un riche Américain en voyage qui propose de le changer d’emplacement et de le transporter jusque dans la fameuse clairière dite de l’Armistice à l’entre-deux-guerres où il est installé dans un musée inauguré le 11 novembre 1927 en présence du maréchal Foch et des officiers alliés présents lors de la signature de l’armistice.

Rebond de l’histoire

La montée du nazisme engendre la Deuxième Guerre mondiale et, en 1940, l’Allemagne triomphe. Adolf Hitler a une idée fixe, il veut assouvir sa vengeance et laver l’humiliation de 1918 qu’il qualifie de « diktat » du traité de Versailles imposé à l’Allemagne et qu’il considère comme un affront et une souillure. La Wehrmacht défile alors dans la célèbre clairière où Hitler cible la voiture de chemin de fer pour consacrer la défaite française où il signe l’armistice du 22 juin 1940 avec le gouvernement du maréchal Pétain à la suite de la bataille de France au début de la Seconde Guerre mondiale. Il prend la place symbolique du maréchal Foch dans un soin de propagande pour dicter ses conditions inflexibles à la France occupée. Après avoir détruit les monuments aux disparus de la Grande Guerre sauf le buste du maréchal, les nazis volent ensuite le wagon-salon qui est déplacé à Berlin en Allemagne où il est affiché comme trophée avant d’être mis à l’abri dans la forêt de Thuringe et à Ohrdruf puis à proximité à Crawinkel. C’est ici où les versions historiques divergent. Le fameux symbole finira-t-il incendié par la Schutzstaffel (SS) en 1945, juste avant la chute du IIIe Reich et la capitulation allemande ou alors détruit lors d’un bombardement de l’armée russe ou américaine ?

Figure historique

Aujourd’hui, le wagon de l’Armistice exposé au Musée de la clairière de Compiègne n’est pas une reproduction, mais bien un jumeau identique de l’authentique. Le président français Emmanuel Macron accompagné de la chancelière allemande Angela Merkel s’est rendu, le 10 novembre 2018, sur ce lieu de mémoire hautement significatif où se dresse désormais un musée à l’endroit où furent signés les armistices de 1918 et de 1940, une première en 78 ans pour une chef d’État allemand. Les deux dignitaires y ont signé le livre d’or. Une plaque commémorative est installée sur place et l’on peut y lire une inscription gravée dans la pierre : « Ici, le 11 novembre 1918, succomba le criminel orgueil de l’empire allemand vaincu par les peuples libres qu’il prétendait asservir. »

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Publié le 19 novembre, 2018, dans la publication : Numéro 19 Volume 36

  • 11 novembre 1918
  • 22 juin 1940
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Impôt foncier à Fermont

La contestation se poursuit

par Éric Cyr

Bien que la Ville de Fermont ait remporté une première manche en avril dernier, FTI Consulting, le contrôleur de la faillite de la défunte minière Cliffs, qui exploitait la mine de fer du lac Bloom jusqu’à l’automne 2014, continue les démarches juridiques et conteste toujours son compte d’impôt foncier des années 2013 à 2015.

Selon le diffuseur public Radio-Canada, les procureurs du contrôleur ont déposé une requête pour faire appel de la décision rendue par le tribunal administratif du Québec (TAQ), qui avait tranché en faveur de Fermont en maintenant l’évaluation des installations minières, et qui devait être entendue à la Cour du Québec d’ici la fin novembre.

De grande ampleur

L’Union des municipalités du Québec (UMQ) est fortement interpellée par ce jugement qui pourrait faire jurisprudence et avoir une incidence importante dans d’autres cas de contestations foncières impliquant plusieurs compagnies minières en sol québécois. La décision définitive affectera ainsi les services municipaux de dizaines de milliers de citoyens dans une vingtaine de localités québécoises ayant un lien direct ou indirect avec le monde minier. L’UMQ a d’ailleurs rapidement accompagné la Ville de Fermont dans ses démarches par le biais du Fonds municipal d’action juridique et est intervenue en mandatant un procureur pour la représenter et l’appuyer.

C’est en invoquant la Loi sur la fiscalité municipale (LFM), permettant de retirer des calculs les aménagements se trouvant dans ses mines, que la partie requérante avait saisi le Tribunal au moyen d’une requête incidente demandant à ce que la totalité des immeubles faisant partie de l’unité d’évaluation soit écartée de la démarche. Les représentants de Cliffs prétendent que les expressions « équipement d’une mine à ciel ouvert » et « chemin d’accès à une exploitation minière » devraient recevoir une interprétation large.

Selon la compréhension du demandeur cela signifierait de faire exclure pratiquement l’ensemble des bâtiments constituant l’unité d’évaluation foncière de la mine du lac Bloom, incluant les bureaux administratifs, les constructions pour le traitement des résidus, les infrastructures accessoires et les chemins à l’intérieur de l’exploitation minière. Ainsi selon leur vision, seul le terrain devrait être considéré et soumis à la taxation de la Ville.

Rien n’est réglé

Le TAQ a reconnu dans son jugement qui a rejeté les arguments de Cliffs, l’importance capitale que revêt cette cause pour Fermont, qui aurait pu subir des impacts financiers majeurs, et a aussi pris en considération que plusieurs autres agglomérations du Québec, dont une vingtaine pour lesquelles les minières représentent la principale source de revenus, auraient pu se retrouver dans une situation similaire. Le Tribunal a rendu une décision basée sur certains paragraphes de l’article 65 de la LFM à la suite des plaidoyers des partis en cause et de l’interprétation législative qui en résulte. Rien n’est cependant réglé alors que Cliffs conteste cette conclusion en cour d’appel afin de tenter d’obtenir un verdict en sa faveur.

« Faire front, faire face »

La Ville de Fermont mène courageusement le combat de concert avec ses alliés stratégiques du monde municipal afin de défendre les intérêts des citoyens fermontois. Le maire explique que Cliffs souhaite faire rayer de l’évaluation municipale toutes les bâtisses du site minier incluant l’édifice du concentrateur, les locaux servant à l’administration, les routes d’accès etc. afin qu’ils soient supprimés du rôle d’évaluation. Selon ce dernier, un renversement de situation aurait des conséquences désastreuses puisque 80 % des revenus de la municipalité proviennent des entreprises minières.

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Publié le 19 novembre, 2018, dans la publication : Numéro 19 Volume 36

  • Cliffs
  • Impôt foncier
  • LFQ
  • Loi sur la fiscalité municipale
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  • UMQ
  • Union des municipalités du Québec
  • Ville de Fermont

Publié sur le site le 19 novembre 2018

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