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    Arts martiaux

    Krav-Maga à Fermont

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    Côte-Nord

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    Désenclavement de la Côte-Nord

    Une 18 mars, 2019

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Numéro 5

Krav-Maga à Fermont

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Désenclavement de la Côte-Nord

Une 18 mars, 2019

D’autres alliés stratégiques se manifestent

Arts martiaux

Krav-Maga à Fermont

par Éric Cyr

Un séminaire intensif de Krav-Maga militaire a été offert au chalet de service de Fermont, les 6 et 7 mars derniers, par l’instructeur Michel Talbi, un ancien soldat aux opérations spéciales (OSS) de l’armée française spécialiste des techniques de combat rapproché et du corps-à-corps.

Garde rapprochée, protection de dignitaires et aguerrissement de survie dans le désert du Sahara n’ont pas de secrets pour celui qui a pris sa retraite après 20 ans de loyaux services, dont sept ans comme parachutiste au sein des forces spéciales, et qui est déjà intervenu dans des prises d’otages. Arrivé en France avec sa famille après la guerre d’Algérie, la ceinture noire de karaté qui a fait partie de l’équipe de France et pris part à des championnats en karaté militaire est un ancien commando de la légion étrangère. Il a aussi travaillé au service de protection des ambassades de France et a pris part à plusieurs théâtres d’opérations dans divers pays : de Manaus en Amazonie au Brésil jusqu’au désert de Djibouti ainsi qu’à Bangui en République centrafricaine, au Tchad et à Sarajevo en ex-Yougoslavie.

Très accessible, ce dernier, qui pratique le Krav-Maga depuis 1987, a suivi des stages en Israël et à Kiev en Russie. Il offrait un séminaire de deux jours dans cette discipline, classée secret défense par l’armée israélienne jusqu’en 1967. L’expert donnait des exemples concrets inspirés de son vécu, mais misait aussi surtout sur des exercices de désarmement à l’aide d’instruments comme des couteaux et des armes en caoutchouc afin de bien faire comprendre aux élèves les principes et l’application pratique des différentes techniques à privilégier en cas de situations de légitime défense. Le combattant dispose de six armes naturelles : paume de la main, poing, pointe des pieds, doigts, coude, genou et pied, et doit connaître les quatre cibles de l’agresseur potentiel : les yeux, la zone nez-bouche-menton, la gorge et les parties génitales y compris chez les femmes. « Il s’agit de faire un survol très rapide de l’environnement puis d’agir vite sans réfléchir afin de maîtriser l’arme de l’adversaire et d’éviter une fatalité, la nôtre. C’est une question de survie. »

Bref historique

Le Krav-Maga, qui signifie littéralement combat au corps-à-corps sans arme en hébreu, est une méthode simple et efficace d’autodéfense et d’entraînement physique inventée et développée par un athlète juif, Imi Lichtenfeld, afin de se protéger des groupes fascistes et antisémites. Ceux-ci apparaissent en Europe de l’Est avec la montée du nazisme alors qu’il grandit à Bratislava en Tchécoslovaquie (aujourd’hui Slovaquie), région dirigée à l’époque par la monarchie austro-hongroise sous l’influence de la culture germanique. Durant cette période, il participe à d’innombrables affrontements et combats de rue contre des agresseurs racistes. Ce dernier, qui a échappé aux nazis avant de les combattre au sein de la légion tchèque commandée par l’armée britannique, émigre en Israël après la guerre.

Il y élabore cette technique de façon plus approfondie et entraîne personnellement les meilleurs combattants des unités d’élite d’Israël incluant le Mossad et les services secrets israéliens durant sa carrière militaire, avant de la rendre accessible à un plus vaste public après avoir quitté l’uniforme en 1964.

L’organisateur de l’événement, Fred Tremblay est très satisfait et souhaite éventuellement renouveler l’expérience.

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Publié le 18 mars, 2019, dans la publication : Numéro 5 Volume 37

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  • Fermont
  • Karaté militaire
  • Krav-Maga
  • Légitime défense
  • Michel Talbi
  • Séminaire Krav-Maga militaire
  • Techniques de combat corps-à-corps
  • Techniques de combat rapproché

Publié sur le site le 18 mars 2019

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Côte-Nord

Réouverture anticipée d’une usine de bouletage

par Éric Cyr

Source photo : Radio-Canada

Le syndicat des Métallos a évoqué la possibilité de la reprise prochaine des activités de l’usine de bouletage de Pointe-Noire à proximité de Sept-Îles, le 18 février dernier. L’éventualité que les installations fermées en juin 2013 ouvrent à nouveau leurs portes a été envisagée par les Métallos après que l’entreprise américaine Bedrock Industries a signifié son intention de négocier une convention collective afin de relancer des activités de transformation du fer.

Des négociations ont été amorcées au cours des dernières semaines entre les deux partis afin de parvenir à conclure une entente propice à un tel scénario. Le coordonnateur des Métallos pour la Côte-Nord, Nicolas Lapierre, est enthousiaste de cette nouvelle qu’il considère comme bénéfique à la communauté et assure que le syndicat travaille afin de mettre tout en œuvre pour édifier des conditions favorables à un aboutissement positif des pourparlers dans une perspective d’un redémarrage des opérations.

Selon le président de la section locale 6254, qui représentait auparavant les travailleurs de l’usine de bouletage, aujourd’hui désaffectée, Robert Roy : « La main tendue de Bedrock pour négocier une convention indique une volonté de procéder au redémarrage dans les règles de l’art. Cela dénote un projet sérieux, où les travailleurs sont perçus comme des partenaires. Nous serons au rendez-vous ».

Transactions à l’horizon

Des discussions en vue d’un rachat sont en cours entre Bedrock Industries et la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire (SFPPN), actuelle propriétaire de l’usine de bouletage et d’une voie ferrée d’environ 38 kilomètres ayant précédemment appartenu à Cliffs Natural Resources reliant le chemin de fer principal Quebec North Shore and Labrador (QNS&L) en provenance du Labrador à Pointe-Noire à partir de la jonction Arnaud. La SFPPN dispose aussi d’équipements de chargement et de déchargement de navires-minéraliers, d’aires d’entreposage de matériel situées à proximité des installations portuaires ainsi que de terrains industriels localisés non loin des infrastructures hydroélectriques, ferroviaires et portuaires en plus de pouvoir compter sur des équipements roulants, de manutention et de stockage.

Le chemin de fer QNS&L accommode déjà Tata Steel à Schefferville, Rio Tinto IOC à Labrador City et Minerai de fer Québec à Fermont et devrait également éventuellement servir à Tacora Resources à Wabush au Labrador. Plusieurs de ces minières pourraient possiblement être intéressées à faire transformer une partie de leur minerai de fer en boulettes avant de l’exporter.

Bedrock Industries s’est porté acquéreur de l’aciérie Stelco, anciennement US Steel Canada, en 2017.

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Publié le 18 mars, 2019, dans la publication : Numéro 5 Volume 37

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  • Nicolas Lapierre
  • Pointe-Noire
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Publié sur le site le 18 mars 2019

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Documentaire

Une histoire de Fermont sous les projecteurs

par Éric Cyr

Le réalisateur Philippe Belley aurait pu choisir la stabilité en travaillant pour le diffuseur public Radio-Canada où il a déjà été réalisateur, animateur et chroniqueur radio. Il a plutôt choisi de relever des défis de taille en démarrant son entreprise de création de contenu audiovisuel qui se spécialise dans la production de documentaires, Les Films de La Baie, où il met sa riche expertise à profit depuis 2011.

Sa passion et sa volonté de raconter l’histoire de façon sensible et rigoureuse l’ont guidé vers son plus récent projet. En collaboration avec la Société d’histoire du Lac-Saint-Jean, il s’est déplacé à Fermont pour y produire un documentaire sur les villes champignons qui ont poussé avec l’implantation d’entreprises minières, qui sera intégré à une exposition itinérante sur les villes de compagnies qui sera présentée en tournée à travers le Québec.

Oser s’investir

L’un des secrets de sa réussite est bien évidemment son talent, mais aussi le fait qu’il a su bien s’entourer. Celui qui a d’abord réalisé des courts-métrages comiques avant de s’orienter vers le documentaire en produisant Roger, Paulo et la suite ainsi que La reine du sébaste et son royaume qui ont remporté un vif succès dans différents festivals de cinéma, est mieux connu pour le film autobiographique qui relate le destin de son père disparu, L’usine et ma vilaine mémoire de 9 ans. Il est actuellement diffusé sous forme d’une série web de cinq épisodes sur le site internet de la chaîne de télévision internationale de langue française TV5 au www.tv5.ca et télédiffusé sur la chaîne UNIS. Il a obtenu pour ce film une reconnaissance lui ouvrant des perspectives d’avenir intéressantes.

Le fondateur des Films de La Baie mise beaucoup sur la polyvalence de son équipe, qui compte sept passionnés, et qui lui a permis de produire des vidéos promotionnelles dont La noblesse boréale au Saguenay-Lac-Saint-Jean qui présente l’hiver inspirant de cette région québécoise de façon poétique sous son véritable jour et qui a été choisie en 2018 parmi les trois finalistes du concours mondial de court-métrage en tourisme d’aventure, Adventure in Motion. Des documentaires, des courts-métrages, des vidéos promotionnelles, des publicités et le cinéma d’animation (bande dessinée) font partie des différentes facettes déjà abordées par la petite société qui gagne en popularité.

Sous la loupe

À Fermont, le cinéaste a réalisé des entrevues avec des personnes choisies minutieusement afin de bien cerner et de mieux faire comprendre le milieu de vie de la localité nordique d’hier à aujourd’hui, notamment une artisane-potière, un journaliste de la presse écrite, une serveuse de restaurant fraîchement débarquée, une famille fermontoise et des travailleurs migrateurs aéroportés en plus d’immortaliser des scènes de la vie courante et des paysages locaux.

Philippe Belley était accompagné durant son séjour dans la région du réalisateur, caméraman et monteur, Ken Allaire, très apprécié dans le monde des vidéoclips officiels d’artistes et de groupes de musique. « On trouve ça cool Fermont, les gens sont sympathiques, accueillants et simples. »

Pour en savoir plus, consultez le site internet lesfilmsdelabaie.com et la page Facebook Les Films de la Baie.

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Publié le 18 mars, 2019, dans la publication : Numéro 5 Volume 37

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Publié sur le site le 18 mars 2019

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Désenclavement de la Côte-Nord

D’autres alliés stratégiques se manifestent

par Éric Cyr

Source photo : Randy Jones. Légende photo : Transport scolaire sur la Basse-Côte-Nord.

Le front commun historique pour désenclaver la Côte-Nord qui regroupe déjà l’ensemble des élus de cette région, de Tadoussac jusqu’à Blanc-Sablon, issus des paliers politiques fédéral, provincial et municipal incluant les préfets et les maires, les chefs autochtones innus et même l’ensemble des maires du Labrador dans la province voisine, peut dorénavant compter sur de nouveaux appuis de taille dans le dossier du prolongement et du parachèvement de la route 138 jusqu’à Blanc-Sablon afin de relier le Labrador en boucle via la Trans-Québec-Labrador jusqu’à la route 389.

Municipalités en renfort

La deuxième plus grande région du Québec, trop longtemps délaissée par les gouvernements successifs tant à Ottawa qu’à Québec dans ce dossier qui s’étire en longueur depuis plus d’un demi-siècle, obtient la collaboration d’une majorité des autres régions québécoises qui ont signifié leur solidarité à la coalition pour le désenclavement de la Côte-Nord. Une quarantaine de maires et de mairesses de partout au Québec ont officiellement exprimé à l’unanimité leur appui aux municipalités de la Côte-Nord dans le dossier du prolongement et du parachèvement de la route 138 jusqu’à Blanc-Sablon en Basse-Côte-Nord lors de la réunion du conseil d’administration de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) qui s’est tenue à Lévis, le 22 février dernier, dans le cadre des discussions des priorités pour la négociation du nouveau pacte fiscal avec le gouvernement du Québec. Le président de l’UMQ et maire de Drummondville, Alexandre Cusson, a tenu à préciser l’importance pour le Québec de développer ses régions.

« Autour de la table, nous avons entendu de vibrants témoignages de municipalités qui vivent des réalités qui sont trop souvent ignorées. À titre d’exemple, l’enclavement de la Côte-Nord, décrit par le président des MRC de la Côte-Nord et maire de Sept-Îles, monsieur Réjean Porlier, était révélateur du déficit d’attention des gouvernements envers les régions. L’UMQ s’assurera que personne n’oublie que le développement du Québec passe par un développement de nos régions, notamment par leur désenclavement », a affirmé M. Cusson.

Ottawa et Québec : la sourde oreille

La Côte-Nord attend toujours un signal des gouvernements à la suite du passage du ministre de l’Infrastructure et des Collectivités du Canada, François-Philippe Champagne, dans la région, le 23 janvier dernier. Le ministre du cabinet Trudeau avait mentionné que : « C’est à Québec de prioriser le dossier et le fédéral répondra présent le cas échéant. » Les préfets, maires, mairesses et chefs des communautés autochtones de la région ont alors demandé au premier ministre du Québec François Legault, au ministre québécois des Transports, François Bonnardel et au ministre responsable de la région, Jonathan Julien, une rencontre extraordinaire afin de connaître les intentions de Québec dans le dossier du prolongement de la route 138 vers Blanc-Sablon qui permettrait de relier le Labrador en boucle jusqu’à la route 389. N’ayant toujours pas reçu d’engagement clair en ce sens, les élus municipaux sont surpris que le gouvernement « se fasse tirer l’oreille » dans ce dossier prioritaire pour la Côte-Nord alors que le consensus régional n’a jamais été aussi fort et unanime. D’autant plus que la route ouvrira la voie aux échanges avec la province voisine de Terre-Neuve-et-Labrador, en plus d’assurer une occupation dynamique du territoire en désenclavant les communautés isolées.

Iniquité et injustice

« Nous sommes bien conscients que l’on parle d’un investissement avoisinant les 1,5 milliard de dollars, mais à combien s’élèvent les retombées engendrées par l’exploitation des ressources naturelles de la Côte-Nord et du Labrador depuis toutes ces années? On n’a qu’à penser aux énormes profits dégagés par Hydro-Québec chaque année et pour lesquels la Côte-Nord contribue à environ 40 %. Tout ce que les élus nord-côtiers demandent, c’est le retour de l’ascenseur afin de pouvoir enfin passer au 21e siècle comme toutes les autres régions du Québec » affirme le responsable du dossier pour l’Assemblée des MRC de la Côte-Nord, Réjean Porlier qui souhaite que les gouvernements considèrent de façon sérieuse l’appui unanime du Caucus des cités régionales à ce sujet et qui s’est dit heureux de constater que ses collègues comprennent bien toute l’importance de compléter le réseau routier nord-côtier. Pour sa part, le préfet de la MRC du Golfe-du-Saint-Laurent et maire de Gros-Mécatina, Randy Jones, espère ne pas revivre avec le nouveau gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) le même supplice de la goutte d’eau auquel est soumise sa population depuis des décennies.

« Nous sommes allés à Ottawa, comme nous l’avait fortement suggéré le précédent gouvernement du Québec. Pour la première fois, nous en sommes revenus avec de l’espoir. Est-ce que Québec va éteindre cet espoir ou bien investir pour enfin terminer cette route dans un délai raisonnable et obliger Ottawa à répondre aux attentes créées? La conjoncture étant excellente pour nous, c’est maintenant ou jamais! »

Autochtones déçus

De leur côté, les chefs innus commencent à mettre en doute la réelle volonté du gouvernement du Québec de construire des ponts avec leurs communautés. Selon le chef de Uashat mak Mani-Utenam, Mike McKenzie : « Voilà un projet structurant pour nos communautés qui désenclavera les plus isolées de la région et servira à leur donner du travail tout en resserrant les liens entre elles. Qu’est-ce que Québec attend alors que tout le monde n’espère que leur signal ? On est beaucoup plus vite pour parler de troisième lien, de métro ou de nouvelles autoroutes! On dirait qu’il y a deux vitesses; une pour les grandes villes et une pour nos communautés. »

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Publié le 18 mars, 2019, dans la publication : Numéro 5 Volume 37

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Publié sur le site le 18 mars 2019

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