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  • Numéro 8

  • Champion et les Innus s’entendent

    Mine du lac Bloom

    Champion et les Innus s’entendent

  • Un ouvrage sur Fermont paraîtra bientôt

    L’attrait de la nordicité

    Un ouvrage sur Fermont paraîtra bientôt

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    Festi-Mur

    Une kermesse et du plaisir mur à mur

  • Une première édition mémorable et irréprochable

    Soirée-bénéfice pour Cancer Fermont

    Une 1 mai, 2017

    Une première édition mémorable et irréprochable

Numéro 8

Champion et les Innus s’entendent

Mine du lac Bloom

Champion et les Innus s’entendent

Un ouvrage sur Fermont paraîtra bientôt

L’attrait de la nordicité

Un ouvrage sur Fermont paraîtra bientôt

Une kermesse et du plaisir mur à mur

Festi-Mur

Une kermesse et du plaisir mur à mur

Une première édition mémorable et irréprochable

Soirée-bénéfice pour Cancer Fermont

Une 1 mai, 2017

Une première édition mémorable et irréprochable

Mine du lac Bloom

Champion et les Innus s’entendent

par Éric Cyr

La société Champion, par l’intermédiaire de sa filiale Minerai de fer Québec (MFQ), s’est entendue avec le Conseil innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam (ITUM) pour la reprise des activités de la mine de fer du lac Bloom située près de Fermont. La nation Uashaunnuat représentée par ce conseil de bande est composée des Innus des communautés d’Uashat et de Mani-Utenam à Sept-Îles. En vertu de la conclusion de cet accord sur les répercussions et avantages concernant les activités futures de ce gisement minier, MFQ peut ainsi envisager un redémarrage des opérations suspendues depuis la faillite de Cliffs ressources naturelles.

La signature de cette entente, valide pour la durée de vie de la mine évaluée à plus d’une vingtaine d’années, témoigne du soutien du peuple Uashaunnuat pour le projet et permettra aux Innus de prendre part à celui-ci de façon concrète grâce à des mesures concernant la formation, les emplois et des possibilités de contrats pour les membres de cette collectivité amérindienne, en plus de leur garantir des avantages financiers et socio-économiques. Cet arrangement contient également des dispositions qui reconnaissent et appuient la culture, les traditions et les valeurs des Uashaunnuat, dont leur lien avec l’environnement naturel. Par cette signature, ITUM et MFQ reconduisent et bonifient le cadre de travail qui avait été approuvé en 2008 par les Innus lors d’un référendum. L’engagement de type « répercussions-avantages » demeure confidentiel et prévoit des redevances au conseil de bande. Il représente selon ITUM une nette amélioration par rapport à l’accommodement initial conclu avec les prédécesseurs en ce qui a trait aux moyens de limiter les impacts négatifs sur l’environnement ainsi que sur le suivi qui sera assuré sur ces aspects notamment par la création d’un comité environnemental incluant des inspections sur le site minier.

Pour le chef de Uashat mak Mani-utenam, Mike McKenzie, les éléments les plus importants sont reliés à l’écologie. « Au-delà de l’enjeu économique et des retombées pour la communauté, la protection de l’environnement est fondamentale. L’équilibre entre le développement durable et la préservation du territoire reflète nos valeurs et nous sommes satisfaits de travailler en ce sens », a-t-il mentionné.

Ce dernier considère que cet apport contribuera à raviver l’espoir des jeunes de sa communauté. Un autre membre du conseil de bande, Antoine Grégoire, affirme pour sa part qu’il est très satisfait de l’issue des négociations et que les erreurs du passé ont permis d’améliorer les aspects relatifs à l’emploi, à la formation et à l’environnement. ITUM rappelle que la nation innue est incontournable lorsqu’il est question d’exploiter des ressources sur son territoire et que le droit international reconnaît la légitimité des peuples autochtones, notamment en ce qui a trait au consentement libre, préalable et éclairé sur l’exploitation de leur territoire ancestral. « Pour nous, la règle est claire : si une entreprise souhaite exploiter nos ressources naturelles, elle doit le faire en respectant nos droits comme premier héritier du Nitassinan. Certaines [compagnies] s’entêtent à ne pas respecter notre position, alors que d’autres, comme Champion, se comportent en citoyens corporatifs responsables et sont respectueux des lois et des Premières Nations. Le partenariat avec Champion demeure un exemple positif de collaboration entre les Premières Nations et l’industrie », poursuit M. McKenzie.

Enthousiasme réciproque

Le chef innu Mike McKenzie et le président et chef de la direction de Champion et de MFQ, Michael O’Keeffe, ont tous deux manifesté un grand enthousiasme relativement à cet engagement, qui officialise le début d’une période de collaboration mutuelle, de dialogue constructif et de négociation féconde. Pour Champion, il était important de conclure cet accord avec le peuple autochtone qui a des revendications sur le territoire touché par le projet d’extraction de fer. « La signature de l’entente renforce la relation déjà positive entre Champion, Minerai de fer Québec et le peuple Uashaunnuat, et nous espérons que le projet du lac Bloom, qui est maintenant prêt à passer à la phase suivante après une étude de faisabilité réussie, aura des répercussions bénéfiques pour toutes les parties dans le futur. Elle nous permet de franchir une étape importante vers la réouverture de la mine du lac Bloom. » Le chef des opérations, David Cataford, confie qu’il était essentiel de s’entendre avant d’amorcer la relance des activités. « C’est un enjeu majeur pour nous. On voulait travailler avec les communautés locales et Uashat-Maliotenam est l’une des parties prenantes les plus importantes à nos yeux. »

La minière s’engage à assurer une formation, garantit la création d’une cinquantaine d’emplois destinés aux Innus et prévoit l’octroi de certains contrats aux entreprises autochtones.

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Publié le 1 mai, 2017, dans la publication : Numéro 8 Volume 35

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  • Fer
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  • Minerai de fer Québec
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Publié sur le site le 1 mai 2017

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L’attrait de la nordicité

Un ouvrage sur Fermont paraîtra bientôt

par Éric Cyr

Légende : Lena et Antonin de passage sur une des rues de Fermont lors de leur exploration « des Nords ».

Un couple d’artistes universitaires vivant en Allemagne prépare un livre qui traite de Fermont et qui devrait être publié en 2018-2019. L’héliograveur et chercheur Antonin Pons Braley de France et la photographe chercheure Lena Gudd de Berlin se sont déplacés dans la région, sur plus d’un an cumulé durant les cinq dernières années, pour récolter images, enregistrements, témoignages et données dans le cadre de Tumuult, un laboratoire d’art et de recherche dédié « aux Nords » dirigé par ces derniers.

Selon Lena Gudd : « Il n’y avait pas de projet défini a priori. Nous avons d’abord entendu parler du mur-écran fermontois et avons décidé de nous rendre sur place. C’était en 2012. C’est Fermont qui nous a offert notre sujet de recherche. Ce sont ensuite nos séjours successifs qui ont naturellement fait de Fermont un des piliers de notre traversée nordique. » Le travail des chercheurs, qui se consacre aux régions subarctiques et arctiques, consiste à développer une archive des Nords, à la fois « celle d’un milieu et de l’idée de ce milieu. » Au carrefour des sciences sociales et de l’anthropogéographie, des arts et de l’artisanat d’art, la démarche vise à créer une sorte de relevé de ce qui se cache derrière le simple regard. Pour bien s’imprégner de la vie fermontoise, ils ont vécu dans le mur, dans les venelles ainsi qu’en forêt. C’est la première fois qu’une étude aussi longue et ciblée est produite sur Fermont. « Nous étudions l’interrelation de l’homme à son milieu. Il y a évidemment une réalité minière, monoindustrielle, confinée dans le Grand Nord, cependant ce n’est pas la mine elle-même que nous plaçons au centre des recherches, mais plutôt le jeu intime entre l’homme et les éléments, une forme d’interdépendance faite de visible et d’invisible. La mine constitue une présence, mais pas un sujet. L’architecture planifiée, la place de la femme dans la société, la monoindustrie, comment l’habitant vit-il le retranchement et comment s’approprie-t-il l’immensité, constituent quelques aspects de notre étude. » Selon ces derniers, bien que l’on retrouve des schémas similaires dans le monde, la spécificité de Fermont offre un cachet particulier.

Fermont, au sud du Nord

Le duo s’intéresse à l’entité nordique en tant que territoire magnétique, mais aussi à sa part mentale et géographique afin de brosser une idée Nord dans le prolongement de celle déjà abordée par le célèbre pianiste et compositeur Glenn Gould pour qui le Nord tenait lieu de métaphore à l’isolement.

Ce dernier parlait de son expérience en ces termes : « C’était une austère réflexion sur les répercussions de l’isolement sur l’homme…très rares sont les gens qui, étant rentrés en contact avec le Grand Nord, en émergent tout à fait indemnes. Quelque chose de bizarre se produit en effet chez la plupart de ceux qui se sont rendus dans le Nord. Ils prennent au moins conscience des occasions créatrices que le phénomène du contact physique avec la région suscite, et finissent par mesurer leur travail et leur existence en fonction de ces stupéfiantes possibilités créatrices : ils deviennent, au fond, des philosophes. »

Selon Antonin Pons Braley, l’idée Nord et notre perception des légendes qui s’y rattachent exerce une fascination intrinsèque à l’humanité depuis bien avant l’Antiquité. Au VIIIe siècle avant Jésus-Christ, ne retrouve-t-on pas les premières mentions de l’Hyperborée, territoire habité par ce peuple mythique, vivant « par-delà les souffles du froid de Borée (le vent du nord) ». « Bien au-delà du territoire, Fermont est bien plus grand que Fermont, le Nord est bien plus grand que le Nord, composé de paysages extérieurs et intérieurs. » Il évoque aussi le dramaturge Wajdi Mouawad qui a déjà ancré son processus de création à Fermont et s’en est inspiré pour une pièce de théâtre sans pourtant y avoir mis les pieds. Il dit avoir été attiré par la charge symbolique de ce mur dans lequel vivent les habitants de la ville. M. Pons Braley poursuit : « Fermont est à la croisée des Nords mental et géographique, mais également d’un Nord stratégique, celui des nouvelles routes, des nouveaux passages. C’est un bastion situé aux portes du Nord, un carrefour de la direction nord. Fermont, au nord du Sud à sa construction en 1974 est aujourd’hui au sud du Nord au lendemain de son quarantième anniversaire. » Selon ce dernier, on assiste actuellement à une mutation de cette société où beaucoup, arrivés pour quelques mois, sont en passe de rester pour une vie. « Alors qu’il n’y a plus de maternité et pas encore véritablement de cimetière à Fermont, il est fascinant d’observer dans ce contexte les facteurs à l’attachement, dicible et indicible, ce qui semble de plus en plus s’imposer au Fermontois comme une perspective d’implantation durable. Au Nord, ce ‘mont de fer’ est indéniablement magnétique, il polarise, induit, forge. »

Pour en savoir plus : tumuult.com
Prochaine publication, De l’idée Nord : tumuult.com/larevue

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Publié le 1 mai, 2017, dans la publication : Numéro 8 Volume 35

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Publié sur le site le 1 mai 2017

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Festi-Mur

Une kermesse et du plaisir mur à mur

par Éric Cyr

La troisième édition consécutive du Festi-Mur s’est déroulée les 22 et 23 avril dernier dans le centre commercial du mur-écran de Fermont au grand bonheur des nombreuses familles invitées à festoyer. C’est dans une ambiance des plus joyeuses que cette fête populaire annuelle regroupant plusieurs participants, dont des artistes et artisans, des organismes et des commerçants était organisée par l’Association des marchands de Fermont (AMF) avec la collaboration de partenaires du milieu dont la radio CFMF 103,1 qui a assuré l’animation de l’évènement familial rassembleur.

Multiples activités

Une nouveauté était au programme cette année, une grande kermesse où les enfants ont pu s’exercer à de nombreux jeux d’adresse et d’habileté. Des structures gonflables installées dans l’ancienne cafétéria du centre commercial ont aussi suscité un grand intérêt parmi les tout-petits qui s’en sont donnés à cœur joie en sautillant avec énergie sur les coussins gonflés d’air. La traditionnelle randonnée dans le petit train du Nord, un héritage du défunt conseil des chevaliers de Colomb local, a aussi beaucoup plu aux bambins qui se relayaient pour embarquer à bord. Les jeunes ont aussi pu déguster du maïs soufflé et de la barbe à papa gracieuseté du Club Optimiste et du Comité de spectacles. Le président du Club photo Caniapiscau Marc-André Martin a présenté une nouvelle publication d’un regroupement d’artistes fermontois, La Taïga, dans le cadre de la deuxième édition de l’ExpoBiblio. Cette revue regroupe 17 jeunes auteurs locaux avec un choix de poèmes et des illustrations de cinq photographes bien d’ici. La commerçante Marie-Pierre Leduc de Home Design + avait organisé une dégustation de produits du terroir québécois. Plusieurs artistes et artisans ont exposé leurs créations originales. Parmi ceux-ci, on retrouvait Geneviève Larouche avec de la peinture sur bois et des capteurs de rêves, Claude Bélair avec des bijoux, colliers, bracelets et boucles d’oreilles, l’artiste-peintre Isabelle St-Laurent avec ses tableaux, l’artisane-potière Louise Vachon et ses œuvres et Création Malou de Marie-Louise Babin avec des bijoux, boucles d’oreilles, cartes de souhaits, peinture sur vaisselle et sur bois. Cette dernière a aussi offert des séances de photos familiales.

Des retombées locales

Les profits étaient destinés à des organismes locaux dont la Maison des jeunes Alpha, les conseils d’élèves de l’école Des Découvertes et de la polyvalente Horizon-Blanc, le club de judo de Fermont et l’AMF. L’agente de promotion de l’AMF, Marie-Philippe Couture, est très satisfaite. « Tout s’est très bien déroulé. La participation des gens de Fermont et du Labrador a été particulièrement appréciée et je remercie la population de sa générosité, les nombreux bénévoles et les partenaires, la MRC de Caniapiscau, la Ville de Fermont et ArcelorMittal. »

Le Festi-Mur, lancé en 1999 à l’occasion du 25e anniversaire de la ville de Fermont a pris une pause en 2010 avant de renaître en 2015.

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Publié le 1 mai, 2017, dans la publication : Numéro 8 Volume 35

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Publié sur le site le 1 mai 2017

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Soirée-bénéfice pour Cancer Fermont

Une première édition mémorable et irréprochable

par Éric Cyr

La première édition du souper-bénéfice de crabe au profit de Cancer Fermont qui s’est tenue le 22 avril dernier fut un succès sur toute la ligne et a permis d’amasser près de 12 000 dollars pour les personnes atteintes du cancer et leurs proches. L’événement festif et gastronomique organisé par les policiers de la Sûreté du Québec, qui assuraient le service, et le citoyen Dave Bouchard, l’instigateur du rassemblement culinaire, a réuni 250 personnes ravies de prendre part au festin pour une bonne cause.

Une réussite incontestable

En plus des agents de police, dont Kerry Aubé qui s’est particulièrement investi, de nombreux bénévoles ont mis la main à la pâte afin d’assurer la réussite de cette grande manifestation de solidarité et dont les retombées contribueront à alléger les souffrances des Fermontois qui luttent courageusement contre le cancer. Le concept innovateur a interpellé plusieurs organismes et entreprises de la région et même de l’extérieur qui ont généreusement contribué à la concrétisation de ce beau succès. Véritable ralliement populaire, cette mobilisation caritative et gustative a connu un engouement indéniable au sein de la communauté locale puisque les billets se sont envolés comme des petits pains chauds.

Un rayonnement exemplaire

Des personnalités politiques ont tenu à témoigner leur appui à Cancer Fermont notamment la députée de Duplessis, Lorraine Richard, du Parti québécois qui a fait parvenir un mot pour l’occasion qui a été lu aux convives durant le repas en réitérant son intention de remettre la médaille de l’Assemblée nationale à l’organisation, le 4 mai prochain à Québec. La députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, qui était sur place, a aussi souligné la vitalité et le bel exemple de Cancer Fermont pour la Côte-Nord en s’adressant à l’auditoire attentif et réceptif à son allocution. Un conseiller municipal de la Ville de Fermont, Danny Bouchard, s’est aussi adressé à la foule au nom du préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, avant de céder la place au président fondateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, visiblement ému du retentissement de l’organisme de bienfaisance qu’il a contribué à créer et de l’appui indéfectible de la population face au fléau que constitue le cancer. L’instigateur du Défi Taïga et véritable figure emblématique du Nord, Michel Lécuyer, a aussi prononcé quelques mots tout comme le capitaine Michel Pelchat de la Sûreté du Québec dont les troupes ont grandement agrémenté la soirée par un service impeccable, assistés des élèves de 5e secondaire et dont les recettes d’un tour de chapeau contribuera à financer leur bal de finissants. L’équipe composée de Manon Bouchard, Gina Beaudoin et Sylvie Chamberland s’occupait du bar, un service de raccompagnement était évidemment assuré, cela va de soi.

Le réputé peintre paysagiste figuratif Yves Downing, qui habite aujourd’hui à Fermont, a aussi fait preuve de grande générosité par le don d’un tableau magistral qu’il a produit, La côte Saint-Thomas à Saint-Irénée de Charlevoix, évalué à près de 3000 $, qui a été dévoilé durant la soirée. Cette toile fera l’objet d’un tirage afin de recueillir des fonds pour Cancer Fermont et les gens peuvent se procurer des billets pour courir la chance de gagner cette oeuvre de l’artiste jusqu’au 14 octobre prochain en composant le numéro de téléphone du président de Cancer Fermont, Denis Grenier : 709 280-7557.

Des tirages d’autres prix très attrayants ont d’ailleurs été effectués durant la soirée dont une paire de billets offerte par Provincial Airlines (PAL) vers toute destination desservie par l’entreprise aérienne, remportée par David Gagné, un chèque-cadeau de 250 $ d’Ameublements Tanguay et un casque d’écoute sans fil d’une valeur de 100 $ fourni par La Source ainsi que deux paires de billets offerts par le Comité de spectacles. Après le copieux repas, les musiciens Sébastien Ouellet et Yvon Durette ont réchauffé la foule en leur permettant de danser.

Considérant toute l’ampleur du souper-bénéfice, les organisateurs, qui ont dû refuser une centaine de personnes, envisagent déjà d’étendre son envergure afin d’accueillir beaucoup plus de monde l’an prochain dans le cadre d’une seconde édition.

Selon M. Grenier : « Cela a été un succès de A à Z et je tiens à remercier les organisateurs et les bénévoles. En espérant que la mission de Cancer Fermont puisse s’étendre ailleurs au Québec en inspirant d’autres localités à instaurer un tel organisme. Longue vie à Cancer Fermont ! »

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Publié le 1 mai, 2017, dans la publication : Numéro 8 Volume 35

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Publié sur le site le 1 mai 2017

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