• Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
  • Toutes les publications
  • Chambre des communes

  • Protéger le français, langue commune au Québec

    Projet de loi C-223

    Protéger le français, langue commune au Québec

  • Le Bloc québécois exige des excuses officielles

    Loi sur les mesures de guerre

    Le Bloc québécois exige des excuses officielles

  • Cancer Fermont honoré à Ottawa

    Reconnaissance nationale

    Une 28 mai, 2018

    Cancer Fermont honoré à Ottawa

Chambre des communes

Protéger le français, langue commune au Québec

Projet de loi C-223

Protéger le français, langue commune au Québec

Le Bloc québécois exige des excuses officielles

Loi sur les mesures de guerre

Le Bloc québécois exige des excuses officielles

Cancer Fermont honoré à Ottawa

Reconnaissance nationale

Une 28 mai, 2018

Cancer Fermont honoré à Ottawa

Projet de loi C-223

Protéger le français, langue commune au Québec

par Éric Cyr

Source photo : BQ

Alors que l’actualité révèle au grand jour le déclin de la langue française dans la métropole québécoise et particulièrement dans le Grand Montréal, le Bloc québécois défendra à la Chambre des communes son projet de loi qui exige une connaissance suffisante comme condition à l’obtention de la citoyenneté canadienne pour les résidents permanents du Québec. Le parti politique qui défend les intérêts du Québec semble vouloir utiliser cette sorte de baromètre pour mesurer la sincérité ou l’hypocrisie du gouvernement canadien en matière de protection de cette langue.

« Pour se comprendre, il faut être capable de se parler. Au Québec, la langue commune, c’est le français. Demander que les résidents permanents connaissent le français s’ils veulent obtenir la citoyenneté, ce n’est rien d’autre que de demander qu’ils aient les outils pour participer pleinement à la société québécoise. L’intégration des nouveaux arrivants au Québec, ça passe par le français », affirme la députée nord-côtière de Manicouagan, Marilène Gill.

Déclin anticipé du français

Les plus récentes projections de Statistique Canada démontrent que le poids démographique de la population utilisant le français comme langue d’usage au Québec diminuera de 8 % dans le prochain quart de siècle. En parallèle durant les 25 prochaines années, la population choisissant l’anglais comme première langue officielle parlée grimperait de 29 %, principalement avec l’adhésion de nouveaux arrivants.

« Le Québec constitue une minorité linguistique en Amérique du Nord. Lorsque de nouveaux arrivants font le choix du Québec, la langue commune devient le ciment de leur intégration. La connaissance du français pour l’obtention de la citoyenneté est une façon d’assurer que le Québec et ses nouveaux arrivants ne deviennent pas, à l’instar du Québec et du Canada, deux solitudes qui s’ignorent », souligne le député bloquiste de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas.

Le projet de loi C-223 déposé par le Bloc québécois entraîne trois modifications importantes à la loi sur la citoyenneté, soit de faire passer de 55 à 65 ans l’âge minimal auquel un résident permanent qui demande la citoyenneté canadienne est tenu de démontrer une connaissance d’une des deux langues officielles canadiennes, l’anglais ou le français; exiger qu’un résident permanent demeurant au Québec démontre sa connaissance du français et non de l’une ou l’autre des langues officielles canadiennes et enfin assurer que le test de citoyenneté se fasse obligatoirement en français.

Langue commune

« Ce projet de loi permettra aux nouveaux arrivants au Québec de faire du français leur langue commune. Il favorise une société québécoise inclusive et cohérente, et ce, pour tous les citoyens et citoyennes du Québec », ajoute Mme Gill. « Ottawa doit contribuer à la valorisation du français au Québec. Un Canada bilingue est impossible sans un Québec français et ça, le fédéral ne peut que l’admettre », fait pour sa part valoir M. Blanchette-Joncas.

Le Parti libéral du Canada et son allié, le Nouveau Parti démocratique voteront contre la motion…

Partager

Publié le 30 novembre, 2020, dans la publication : Numéro_20 Volume 38

  • Bloc québécois
  • Chambre des communes
  • Langue français
  • Marilène Gill
  • Nouveau parti démocratique
  • Parti libéral du Canada
  • Projet de loi C-223
  • Protéger le française
  • Statistique Canada

Publié sur le site le 30 novembre 2020

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Loi sur les mesures de guerre

Le Bloc québécois exige des excuses officielles

par Éric Cyr

Le Bloc québécois a déposé, le 29 octobre dernier, une motion à la Chambre des communes exigeant que le gouvernement fédéral présente des excuses officielles aux 497 Québécoises et Québécois qui ont injustement subi les exactions de la loi sur les mesures de guerre promulguée, le 16 octobre 1970, par Ottawa.

Voici le texte de la motion déposée par le Bloc québécois : « Que la Chambre réclame des excuses officielles du premier ministre au nom du gouvernement du Canada pour la promulgation, le 16 octobre 1970, de la loi sur les mesures de guerre et le recours à l’armée contre la population civile du Québec afin d’arrêter de façon arbitraire, d’incarcérer sans accusation et d’intimider près de 500 Québécoises et Québécois innocents. »

Il y a cinquante ans, le 16 octobre, et dans les jours qui ont suivi, des soldats de l’armée canadienne et des policiers ont fait irruption dans des milliers de foyers québécois pour procéder à des perquisitions et des arrestations. Près de 500 citoyens innocents ont été arrêtés sans mandat et des dizaines de milliers d’autres ont été interpellés. « Le Bloc québécois est contre toute forme de violence. En octobre 1970, le gouvernement Trudeau a suspendu les droits et libertés au Québec et a lancé l’armée contre la population du Québec », rappelle le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet.

Injustement écroués

« Des citoyens innocents ont été menacés, intimidés à la pointe d’une mitraillette, arrêtés et incarcérés dans des conditions qui sont réservées à de grands criminels. Imaginez un seul instant que des soldats armés s’introduisent avec fracas dans votre maison, en pleine nuit, et vous interpellent à la pointe d’une mitraillette… Il s’agit bien ici, d’une violence politique indigne d’une société démocratique », a signalé la députée de Manicouagan, Marilène Gill. « Le gouvernement fédéral, ce même gouvernement qui se proclame contre la violence et l’extrémisme à travers le monde, doit faire montre de compassion à l’égard des 497 citoyens québécois ainsi qu’à leurs familles qui ont vécu des moments de terreur et qui ont dû composer avec les séquelles de ces agressions. C’était inadmissible il y a 50 ans et ça l’est toujours aujourd’hui. Ottawa doit s’excuser », a conclu la députée bloquiste nord-côtière.

Malgré la demande officielle du Bloc québécois et bien qu’un demi-siècle se soit écoulé depuis l’application injustifiée de la loi sur les mesures de guerre, en octobre 1970, le gouvernement fédéral s’entête à ne pas présenter d’excuses aux Québécois pour les centaines d’arrestations arbitraires menées au Québec durant la crise d’Octobre. Le gouvernement Trudeau choisit donc de perpétuer encore aujourd’hui une injustice historique grave commise envers la nation québécoise et fait preuve d’un manque total de compassion. Le député bloquiste de Montarville, Stéphane Bergeron, qui, lors du dépôt de la motion, a directement interpellé le fils de celui qui était à l’époque premier ministre du Canada et qui avait autorisé la mise en œuvre des mesures de guerre, en lui demandant de rendre justice aux victimes s’exprimait aussi à la suite du vote, le 2 novembre. « Le premier ministre Trudeau est pourtant prompt à faire preuve de contrition lorsque cela sert ses desseins politiques et s’inscrit dans cette perspective multiculturaliste qu’il privilégie. Les seuls, en fait, auxquels le parti libéral fédéral a toujours refusé de présenter des excuses sont les Acadiens, les Métis et les Québécois ! Et pour comble d’insulte, Justin Trudeau ne s’est même pas donné la peine de se présenter au vote, laissant ses députés porter l’odieux de cette inique décision. »

Un mensonge

Le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet a aussi pris la parole : « La ligne de fracture est claire entre la nation québécoise et les provinces canadiennes. Les députés de la Chambre des communes ont adhéré à une version de l’histoire du Canada qui semble pour le mieux biaisée. Le fondement de ce mensonge institutionnel repose sur la fausse croyance que la loi sur les mesures de guerre a été promulguée en réponse à l’enlèvement et à l’assassinat du ministre Pierre Laporte, que nous condamnons et déplorons sans équivoque, et pour contrer une insurrection armée dirigée par nul autre que René Lévesque, entre autres…Évidemment tel que la GRC l’avait bien dit au premier ministre Trudeau père, tout cela est faux. La mort de Pierre Laporte a suivi la promulgation et ne l’a pas précédé. Elle sert encore aujourd’hui de prétexte pour justifier l’injustifiable soit la suspension des libertés civiles. » Le Bloc québécois est par la suite revenu à la charge sur cette question lors de sa journée d’opposition aux Communes pour demander à la Chambre de sommer le gouvernement canadien de s’excuser d’avoir promulgué la loi sur les mesures de guerre en 1970.

 

Partager

Publié le 16 novembre, 2020, dans la publication : Numéro_19 Volume 38

  • Bloc québécois
  • Chambre des communes
  • Excuses officielles
  • Gouvernement du Canada
  • Gouvernement fédéral
  • Loi sur les mesures de guerre
  • Motion
  • Ottawa

Publié sur le site le 16 novembre 2020

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Reconnaissance nationale

Cancer Fermont honoré à Ottawa

par Éric Cyr

Légende : Caroline Boudreau, Denis Grenier et la députée Marilène Gill. Source photo : Chambre des communes

Le président fondateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, a été honoré sur la colline du Parlement à Ottawa par la députée fédérale de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, le 11 mai dernier, pour sa grande contribution communautaire et sociale dans sa collectivité grâce à la mission de cet organisme caritatif. C’est le troisième hommage de ce genre en moins de cinq ans pour l’homme qui a déjà reçu des mains de la députée de Duplessis, Lorraine Richard, du Parti québécois, la médaille de l’Assemblée nationale, l’an dernier à Québec, pour les mêmes raisons et qui a aussi obtenu une distinction similaire, le Prix du Gouverneur général pour l’entraide, remise par le gouverneur général du Canada, David Johnston, lors de son passage à Fermont en 2014 à l’occasion du 40e anniversaire de cette municipalité.

Reconnaissance méritée

La leader parlementaire du Bloc québécois, Marilène Gill, a présenté à la Chambre des communes cet homme altruiste et déterminé avant de lui remettre un certificat honorifique : « Monsieur le président. Aujourd’hui, c’est avec une fierté et une émotion certaines que j’ai le bonheur de recevoir à Ottawa un grand Nord-Côtier, M. Denis Grenier, le président et fondateur de Cancer Fermont auquel je tiens à rendre hommage. Depuis plus d’une décennie, cet homme au leadership indéniable aussi visionnaire que créatif, dont le dynamisme et la ténacité tout comme la générosité sont devenus légendaires, qui œuvre la nuit comme le jour sans relâche, sans compter, et cela sans rien attendre en retour sinon le mieux-être de sa communauté. Vous savez, dans cette communauté nordique isolée qu’est Fermont, M. Grenier amasse chaque année des dons afin d’adoucir la vie des gens, des Fermontois aux prises avec la maladie. Des dons destinés aux gens afin de rendre les traitements accessibles, réunir les familles, réaliser des rêves. Je lui souhaite que Cancer Fermont rayonne au-delà de chez-nous en inspirant d’autres grands hommes et grandes femmes à suivre son exemple édifiant. Au nom de tous les gens de Manicouagan, M. Grenier, je vous remercie du fond du cœur. » Marilène Gill a ensuite remis la distinction à Denis Grenier visiblement très ému.

Sur le certificat honorifique, on peut lire : « Pour la créativité, l’audace et la générosité dont vous avez fait montre en fondant Cancer Fermont. Pour votre engagement pérenne et indéfectible envers vos concitoyens et votre contribution aussi essentielle qu’exceptionnelle à votre milieu. Recevez l’expression de mon admiration et de toute ma gratitude. Marilène Gill, 11 mai 2018. »

Exemple de persévérance

M. Grenier était accompagné pour l’occasion de sa conjointe, Marlène Rioux, qui l’a toujours soutenu dans son cheminement et d’une bénévole de longue date, Caroline Boudreau, ainsi que d’une de ses sœurs et d’un beau-frère qui les ont rejoints à Ottawa. M. Grenier confie : « L’étau se resserre actuellement sur le système de santé et mon souhait le plus cher est que ce concept unique soit reproduit ailleurs à grande échelle sur la base de l’exemple du modèle fermontois. Je tiens à remercier les nombreux bénévoles dont je suis très fier, et qui se sont investis dans cette cause au cours des années, pour leur apport inestimable. Sans eux, rien de cela n’aurait pu se concrétiser. Je songe en particulier à Angèle Kenny, à Christine Dionne et à tous ceux qui les ont précédées, mais aussi à toutes les personnes, associations et entreprises qui ont contribué de près ou de loin au retentissement de Cancer Fermont, incluant les précieux donateurs qui permettent de poursuivre cette œuvre essentielle et qui contribuent ainsi à alléger les souffrances des personnes atteintes du cancer en leur permettant un peu de répit durant cette épreuve difficile. Le courage et la détermination des gens qui se battent contre la maladie ont toujours été et seront toujours pour moi une source d’inspiration et de motivation. »

Le leitmotiv de cette fondation, qui œuvre localement, se démarque par son approche d’aide financière directe aux personnes atteintes d’un cancer, un concept unique au pays. L’organisme de bienfaisance a déjà remis plus d’un demi-million de dollars aux personnes atteintes du cancer et à leur famille à Fermont depuis sa fondation en 2005.

Partager

Publié le 28 mai, 2018, dans la publication : Numéro 10 Volume 36

  • Assemblénationale
  • Bloc québécois
  • Cancer
  • Cancer Fermont
  • Chambre des communes
  • Charité
  • Denis Grenier
  • Députée Marilène Gill
  • Entraide
  • Fermont
  • Oeuvre de bienfaisance
  • Organisme caritatif
  • Ottawa
  • Reconnaissance nationale

Publié sur le site le 28 mai 2018

  • Publication précédente
  • Prochaine publication
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Contactez-nous
  • Devenez membre
  • Annoncer avec nous
  • Le journal
  • L’Équipe
  • Historique
  • Distinctions
  • M’inscrire à l’infolettre

Le journal est membre :

  • de l'Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ) et
  • du Conseil de la culture et des communications de la Côte-Nord (CRCCCN).

La conception de ce site Web s'inscrit de dans le cadre de la mise en oeuvre du Plan culturel numérique du Québec (www.culturenumerique.mcc.gouv.qc.ca)

 

Le média écrit aimerait remercier tous ceux qui nous ont soutenus au cours des années et qui contribuent à la pérennité de ses activités :

  • Culture et Communications Québec
  • Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ)
  • MRC de Caniapiscau
  • Ville de Fermont
  • ArcelorMittal Exploitation Minière Canada
© Journal le Trait d'Union du Nord, Tous droits réservés.
Conception mamarmite