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Élection fédérale 2025

Les candidats pour les circonscriptions de la région

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Au moment de la fin de la période de candidature, le 7 avril 2025, six candidats avaient été officiellement confirmés pour l’élection fédérale du 28 avril 2025 dans la circonscription Côte-Nord-Kawawachikamach-Nitassinan (anciennement Manicouagan), l’une des 343 divisions géographiques du territoire reconnues par Élections Canada et déterminées en fonction des modalités relatives au scrutin.

La députée sortante du Bloc québécois (BQ), Marilène Gill, qui occupe le poste depuis 2015, l’aspirante députée du Parti conservateur du Canada (PCC), Mélanie Dorion, le candidat du Parti Rhinocéros, une formation utopique vouée à la satire de la politique conventionnelle, Sébastien Beaulieu, et un candidat indépendant sans affiliation politique, Gilles Babin, tenteront de recueillir un maximum de voix afin de se faire élire et de représenter les citoyens de leur région à l’Assemblée législative fédérale du Canada au Parlement à Ottawa.

D’autres candidats ne sont apparus sur la liste officielle de la circonscription qu’à la toute dernière minute comme un nouveau venu pour le Parti libéral du Canada (PLC), un avocat de 30 ans résidant à Sept-Îles depuis six ans, Kevin Coutu, qui s’est manifesté tardivement ainsi que la représentante du Nouveau Parti démocratique (NPD), Marika Lalime, qui n’habite pas sur la Côte-Nord et qui a été parachutée in extremis dans la circonscription par son organisation politique pour afficher les couleurs néo-démocrates. Celle-ci, qui ne fera pas campagne sur le territoire nord-côtier, s’était présentée dans la circonscription de Sherbrooke lors de la dernière élection fédérale et en est à sa troisième tentative de se faire élire pour son parti.

Voir une présentation ailleurs dans cette édition du journal des candidates du BQ, Marilène Gill (p. 10) et du PCC, Mélanie Dorion (p. 11). Comme le parti qui a déclenché l’élection, le PLC, n’a fait connaître son candidat qu’à la dernière minute, il a été impossible de rédiger un article à son sujet avant l’impression. Même scénario pour le NPD.

Au Labrador

Pour la seule circonscription électorale fédérale du Labrador, la moins populeuse au Canada, la députée sortante, Yvonne Jones, qui représentait ses concitoyens depuis plus d’une décennie et qui avait été élue pour la première fois au fédéral sous la bannière libérale lors d’une élection partielle en 2013 avant d’être par la suite réélue à trois reprises en 2015, 2019 et 2021, ne sollicitera pas de nouveau mandat. Des candidats de trois partis ont été confirmés. Le PLC sera représenté par Philip Earle, le NPD par Marius Normore et le PCC par Ella Wallace.

Faites entendre votre voix en allant voter.

 

Élection fédérale 2025

La candidate bloquiste Marilène Gill

Bien ancrée dans la circonscription où elle fut la première femme à être élue, la députée sortante du Bloc québécois (BQ) Marilène Gill a occupé des fonctions importantes dans son parti et tout au cours de sa carrière politique notamment au sein d’associations, de comités parlementaires et de groupes interparlementaires. Élue pour la première fois dans le cadre de la 42e législature fédérale en tant que députée de Manicouagan (aujourd’hui Côte-Nord-Kawawachikamach-Nitassinan) en 2015, elle a par la suite été réélue pour les 43e et 44e législatures en 2019 en 2021. Elle sollicite la confiance des électeurs pour lui accorder un quatrième mandat.

Whip adjointe du Bloc québécois depuis 2019, Marilène Gill est très influente parmi sa formation politique. Née à Sorel, elle a terminé des études universitaires à l’Université du Québec à Trois-Rivières (UQTR) avant de s’établir sur la Côte-Nord où sont nés ses trois enfants et où elle réside depuis. Ancienne enseignante en littérature au cégep de Baie-Comeau, celle qui s’est investie dans les causes féministes et syndicales n’hésite pas à défendre les droits des travailleurs. Mme Gill a une impressionnante feuille de route et est connue pour sa détermination et sa fougue à défendre les dossiers qui lui tiennent à cœur. Elle ne craint pas de se lever à la Chambre des communes à Ottawa pour faire valoir ses arguments et défendre ses convictions et de revenir à la charge tant qu’elle n’a pas obtenu satisfaction. Bien au fait de la diversité et des réalités de ses commettants, elle a, dans le cadre de ses fonctions, sillonné le vaste territoire nord-côtier et connaît très bien les enjeux relatifs à ses concitoyens et elle les défend bec et ongle sur toutes les tribunes qu’elles soient médiatiques ou politiques. La parlementaire demeure accessible et proche des gens du milieu qu’elle côtoie chaque fois que son horaire très chargé le lui permet.

« Les Nord-Côtiers sont la raison même de mon engagement. Si je leur demande de me faire confiance, c’est parce que je veux et peux défendre et promouvoir leurs intérêts. Je l’ai montré en protégeant les fonds de pension des faillites des entreprises. Je veux être celle qui se tiendra debout, ferme et sans peur, devant le gouvernement canadien, mais aussi devant l’administration américaine. Je ne laisserai pas l’intimidation paralyser les citoyens ou notre économie. Au contraire, je continuerai le travail sans relâche, avec énergie ! »

Pour en connaître davantage sur Marilène Gill, consulter le site internet blocquebecois.org/candidates-et-candidats, noscommunes.ca/members/fr/marilene-gill et la page Facebook Marilène Gill, députée de Manicouagan.

 

La candidate conservatrice Mélanie Dorion

Originaire de Port-Cartier, la candidate du Parti conservateur du Canada (PCC), Mélanie Dorion, n’est pas une inconnue de la sphère politique puisqu’elle a déjà fait ses premiers pas sur la scène municipale à Sept-Îles où, souhaitant s’investir davantage dans sa communauté, elle a été élue conseillère en 2021, jusqu’à ce qu’elle tente sa chance comme candidate à la mairie en 2023. Cette expérience dans le monde municipal lui a permis de défendre les intérêts de ses concitoyens et de contribuer à plusieurs projets pour sa collectivité. Elle se sent prête à faire le saut dans l’arène fédérale.

Celle qui a passé son enfance à Rivière-Vachon sur la Côte-Nord, où sa famille issue des milieux du commerce et de la construction exploitait un élevage de visons, a déménagé à Sept-Îles durant la crise économique du début des années 1980. Elle y a bâti un foyer et y réside toujours avec son fils. Diplômée en gestion au collégial, elle s’est lancée en affaires, une sphère où elle a appris à relever des défis quotidiens en développant des idées et en trouvant des solutions concrètes aux problèmes imprévus qui pouvaient survenir. Mélanie Dorion qui a entrepris, en parallèle à son travail, des études universitaires en économie et en science politique à l’Université Laval, se considère comme une personne dynamique et énergique qui affiche un parcours entrepreneurial.

Économie et services régionaux

« Je suis profondément reconnaissante de vivre dans une région aussi vaste, magnifique et libre que la nôtre. Protéger et développer notre coin de pays est au cœur de mon engagement en politique fédérale. Je crois fermement qu’il est essentiel de soutenir nos petites et moyennes entreprises, de renforcer notre économie régionale et de garantir l’accès à des services de qualité pour que nos régions restent dynamiques et vivantes », confie Mme Dorion qui est honorée d’avoir été choisie par le chef conservateur Pierre Poilievre, qu’elle a eu l’occasion de rencontrer, pour représenter les couleurs et les valeurs de ce parti dans la circonscription de Côte-Nord-Kawawachikamach-Nitassinan et qui invite les électeurs à lui faire confiance pour « bâtir ensemble un avenir encore plus fort » pour leur région. « Je sollicite l’appui et la confiance des citoyens afin de bien les représenter et de véhiculer leurs intérêts et leurs préoccupations au gouvernement à Ottawa. »

Pour en connaître davantage sur Mélanie Dorion, consulter le site internet melaniedorion.ca et la page Facebook Mélanie Dorion, candidate dans Côte-Nord Kawawachikamach Nitassinan.

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Publié le 15 avril, 2025, dans la publication : Numéro_7 Volume_43

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Publié sur le site le 15 avril 2025

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Démission de Justin Trudeau

Un héritage néfaste pour le Québec

par Éric Cyr

Source photo : https://www.pm.gc.ca/

La députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, dresse un bilan positif des réalisations de son parti et souligne le travail réalisé malgré une session parlementaire chaotique et un gouvernement usé et dysfonctionnel dont le règne a culminé par la démission de la vice-première ministre et ministre des Finances, Chrystia Freeland, le jour même de sa présentation de l’énoncé économique, qui fut suivie de peu de celle du premier ministre Justin Trudeau.

La députée nord-côtière considère que le Bloc québécois est demeuré bien ancré à ses convictions et solide en se démarquant par sa rigueur et sa capacité à promouvoir et à faire progresser les priorités des Québécois alors que le gouvernement libéral s’effritait de toutes parts. Elle prend acte de la décision prise par M. Trudeau, de quitter ses fonctions de chef du parti libéral du Canada (PLC), le 6 janvier 2025, et enjoint le PLC à choisir son nouveau chef le plus rapidement possible afin que ce dernier puisse déclencher des élections dès son entrée en poste lors de la reprise des travaux parlementaires ce printemps. « C’est fini pour le gouvernement Trudeau. Le premier ministre a tout misé sur des bonbons électoralistes que les Québécois ne veulent pas, ce qui a conduit à la démission de Mme Freeland. Elle s’ajoute au départ de huit autres ministres et à la mutinerie de dizaines de députés libéraux. Justin Trudeau a perdu le contrôle de son équipe ministérielle et n’a plus la légitimité pour gouverner. Il a fait le bon choix en quittant ses fonctions. L’histoire jugera M. Trudeau, mais il appartiendra aux Québécois de juger le bilan du parti libéral. Depuis 2015, nous avons vu à l’œuvre un gouvernement extraordinairement centralisateur, dont les ingérences ont été incessantes. Un gouvernement dont la seule contribution à la lutte au réchauffement climatique a été l’achat d’un pipeline ; un gouvernement qui n’a eu de cesse de s’opposer aux choix légitimes du Québec par son rejet de la laïcité et son déni du déclin de la langue française ; un gouvernement dont la nonchalance en matière de gestion des frontières et ses politiques migratoires irresponsables ont eu de graves conséquences sur notre capacité d’accueil. À présent, la personne qui succédera à Justin Trudeau devra déclencher des élections dès son entrée en fonction pour que le parti libéral s’expose au jugement des électeurs », confie la députée Gill.

Vers l’avenir

« De notre côté, nous sommes prêts pour la suite des choses. Nous avons à maintes reprises répété que nous voterons en faveur des motions visant à faire tomber ce gouvernement dès que l’occasion se présentera, et ce, tant que le libellé proposé va dans le sens des intérêts des Québécois. Nous tiendrons parole. Il est plus que temps que les Québécois et les Canadiens puissent faire entendre leur voix et aient l’occasion de composer un nouveau gouvernement. Quelle qu’en soit sa composition, nous avons prouvé qu’avoir le plus d’élus bloquistes possible pour s’occuper des priorités du Québec est de loin le meilleur choix. Nous allons continuer à travailler fort et bien, à demeurer fidèles à qui nous sommes, et aux Québécois. C’est notre engagement ; il restera intact », conclut la députée de Manicouagan.

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Publié le 21 janvier, 2025, dans la publication : Numéro_1 Volume_43

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Publié sur le site le 21 janvier 2025

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Aéroport de Wabush

Réinstauration des services d’urgence-incendie

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, l’ancienne caserne des pompiers aéroportuaires de Transports Canada adjacente à l’aéroport de Wabush reprendra du service à compter de l’an prochain.

Les services d’urgence-incendie à l’aéroport régional de Wabush qui avaient été démantelés par le ministère des Transports du Canada, en août 2020, ce qui avait suscité une vague d’indignation et un tollé au sein de la population locale, seront finalement réintroduits plus de quatre ans et demi plus tard, mettant fin à l’insécurité et au grand mécontentement des utilisateurs de la desserte aérienne au sujet de l’absence de mesures adéquates de sécurité.

Le retrait du service de sauvetage et de lutte contre les incendies d’aéronefs de l’aéroport, qui avait été vivement dénoncé à l’époque, a refait surface dans l’actualité à la suite de la récente manifestation citoyenne qui critiquait la piètre qualité du service offert à l’aérogare local ainsi que le coût extrêmement élevé des billets d’avion non subventionnés. La situation, qui était préoccupante pour l’ensemble des élus municipaux ainsi que des intervenants du milieu des deux côtés de la frontière notamment pour le député provincial néo-démocrate du Labrador Ouest, Jordan Brown, et pour la députée bloquiste de Manicouagan (Côte-Nord), Marilène Gill, avait mobilisé les instances régionales qui se sont unies afin d’exiger le rétablissement d’un service de sécurité incendie aéroportuaire conforme aux normes fédérales. La Ville de Fermont avait alors adopté une résolution qu’elle a fait parvenir au ministre fédéral des Transports afin de tenter de faire bouger les choses.

Réintroduction

C’est la députée fédérale du Labrador, faisant partie du gouvernement Trudeau, qui avait consenti à la disparition des services de sécurité incendie à cet aérodrome, la libérale Yvonne Jones, qui a fait l’annonce de cette réinstallation très attendue sur sa page Facebook, le 20 novembre 2024.

« Je suis ravie d’annoncer que les services d’urgence aéroportuaires seront redéployés à l’aéroport de Wabush. Je suis enthousiaste de vous informer que Transports Canada rétablira sur place les activités et les infrastructures destinées à lutter contre les incendies et de secours. Ce service essentiel garantira une sécurité accrue pour les voyageurs et le personnel de l’aérogare, offrant ainsi une tranquillité d’esprit à notre communauté et aux visiteurs du Labrador. La nouvelle équipe fonctionnelle sera en place d’ici la nouvelle année marquant un progrès important pour maintenir des normes de sécurité de classe mondiale (sic) dans ce nécessaire pôle de transport. Merci à ceux qui ont plaidé en faveur de ce service indispensable et à Transports Canada pour avoir reconnu la nécessité de cet investissement dans notre région. Ensemble, nous construisons un avenir plus fort et plus sûr pour les Labradoriens. »

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Publié le 3 décembre, 2024, dans la publication : Numéro_20 Volume_42

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Publié sur le site le 3 décembre 2024

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Conférence

Comment ralentir dans nos vies

par Éric Cyr

Légende : Sur la photo, la conférencière (cinquième à partir de la gauche) entourée de participants.

Le réseau d’éclaireurs a présenté, en collaboration avec la Maison d’aide et d’hébergement de Fermont (MAHF) et le Centre intégré de santé et de services sociaux (CISSS) de la Côte-Nord, la conférence « Ralentir, prendre le temps ! » au café Entracte situé au 8, venelle 11 dans les venelles communautaires, le 5 novembre 2024.

L’événement qui faisait partie du mois thématique « Contrer les blues de l’automne » a regroupé une douzaine de participants. La démarche animée par l’agente de relations humaines, Marianne Creysson, visait la transmission d’outils destinés à améliorer la gestion du temps notamment grâce à des échanges interactifs et des exercices dirigés par la conférencière.

Les sujets abordés durant l’activité étaient multiples et traitaient notamment de l’harmonisation du temps, des changements à apporter à nos habitudes de vie et à notre train-train personnel incluant les tâches quotidiennes routinières ainsi que d’une meilleure perception de la notion de performance afin de réussir à diminuer le stress et à ralentir le rythme pour éviter un épuisement éventuel. D’autres notions ont également été présentées comme l’importance de bien définir les priorités et de ne pas les confondre avec les urgences, qui ne peuvent être repoussées.

Selon l’animatrice communautaire, l’idéal est de ne pas effectuer deux tâches de façon simultanée, mais plutôt de les réaliser par séquences pour éviter de brûler de l’énergie inutilement et de provoquer l’émergence d’un sentiment d’envahissement et de dépassement puisque le cerveau ne peut gérer qu’une seule chose à la fois. « La plupart du temps, on pense à autre chose que ce que l’on fait et cela nuit à notre concentration. Il s’agit d’appuyer sur la pédale de frein afin de se donner un répit dans l’exécution de nos occupations afin d’obtenir de meilleurs résultats. », confie celle qui prône plutôt une approche de pleine conscience centrée sur le moment.

« Il faut réussir à se ramener à ici et maintenant afin de savourer et de vivre l’instant présent ce qui permet généralement de nous apaiser en dissipant l’anxiété et à accorder de la valeur à ce que l’on est en train de faire en actualisant cette action ou cette besogne et en la rendant agréable le plus possible. »

Mme Creysson a aussi parlé du principe de désencombrement qui consiste à se départir d’objets qui occupent de l’espace et dont on ne fait plus usage en les recyclant par exemple, ce qui aide à se libérer d’un lien d’attachement matériel. Elle a aussi insisté sur la nécessité à l’occasion de faire le vide grâce à une déconnexion du monde virtuel en débranchant les appareils électroniques environnants comme la télévision, les ordinateurs et les téléphones portables pour lesquels les gens sont souvent victimes d’une forte dépendance. « Il s’agit de se trouver des passions destinées à créer de nouvelles habitudes plus saines et de se réguler en faisant des activités qui vont nous ressourcer. Un bon moyen d’y parvenir est d’agir en fonction de nos valeurs en faisant preuve d’autodétermination et de contrôle de soi en prenant soin de définir nos limites et en ne se laissant pas embrigader par les flatteries de la reconnaissance », conclut Mme Creysson.

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Publié le 19 novembre, 2024, dans la publication : Numéro_19 Volume_42

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Publié sur le site le 19 novembre 2024

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Imposition fédérale

La Côte-Nord pénalisée

par Éric Cyr

Le Bloc québécois (BQ) dénonce le manque de formation des employés fédéraux qui travaillent à l’Agence de revenu du Canada (ARC) en ce qui a trait aux déductions fiscales relatives aux régions éloignées comme la Côte-Nord, ce qui entraîne constamment et de façon récurrente des méandres administratifs inutiles pour un très grand nombre de contribuables qui produisent de toute bonne foi leurs déclarations d’impôts sur le revenu comme ceux de Fermont et de Schefferville.

La députée de Manicouagan, Marilène Gill, affirme que la Côte-Nord est désavantagée par l’ARC en raison de son éloignement, que le gouvernement fédéral ne comprend pas la réalité des Nord-Côtiers et que ceux-ci en subissent les désagréments. Selon l’élue de la formation indépendantiste, les agents de l’ARC ne sont pas formés pour répondre aux besoins et aux déductions fiscales particulières qui s’appliquent à la Côte-Nord, notamment en ce qui a trait à la déduction pour les voyages des résidents de régions éloignées.

« Lorsque les citoyens nord-côtiers réussissent à joindre l’ARC, après un temps d’attente trop souvent démesuré, les agents, bien qu’ils soient bien intentionnés, n’ont pas de connaissances spécifiques concernant les déductions fiscales auxquelles les Nord-Côtiers ont droit. Évidemment, des erreurs dans le traitement de leurs demandes s’en suivent et ce sont les contribuables qui écopent, n’ayant pas accès à des montants d’argent qui leur sont pourtant dus. Nous sommes pénalisés, encore une fois, en raison de la méconnaissance des réalités de notre milieu », explique la députée du Bloc québécois.

« La déduction pour les voyages des habitants de régions éloignées est un exemple flagrant. Le gouvernement fédéral offre une déduction d’impôts pour venir en aide aux citoyens qui doivent quitter leur village par avion pour obtenir des soins médicaux, par exemple. Or, au lieu de calculer la déduction sur la totalité du prix du billet d’avion, l’ARC a instauré le concept de « ville désignée la plus proche ». Ce faisant, lorsque cela correspond à la possibilité la moins chère, l’ARC calcule la déduction en fonction d’un hypothétique déplacement vers cette localité, qui ne correspond à aucune réalité concrète, ou même géographique. Par exemple, la ville désignée pour une personne qui partirait de l’aéroport de Blanc-Sablon en Basse-Côte-Nord est St-John, à Terre-Neuve-et-Labrador, ce qui est absolument aberrant. Le concept de ville désignée la plus proche ne sert donc qu’à faire économiser de l’argent à Ottawa aux dépens des contribuables sans tenir compte des frontières géographiques même celles du Québec », mentionne la politicienne bloquiste.

« Le gouvernement fédéral place les Nord-Côtiers dans un dédale administratif alors que leur demande est pourtant simple : être compris et avoir droit à ce qui leur revient. Le calcul de déduction pour les voyages des habitants de régions éloignées devrait donc être fait selon le véritable trajet effectué et non en se basant sur des données fictives qui ne représentent que du vent pour nous. Vous pouvez compter sur moi pour exprimer notre voix et faire entendre raison au gouvernement fédéral », conclut Mme Gill.

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Publié le 19 novembre, 2024, dans la publication : Numéro_19 Volume_42

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Publié sur le site le 19 novembre 2024

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Réécrire l’avenir…

Pour en finir une bonne fois pour toutes avec Cliffs

par Éric Cyr

Sur les photos, la nouvelle affiche installée à l’entrée de la Salle Aurora à Fermont.

Après la disparition de l’ancien nom du Centre multifonctionnel Cliffs à Fermont, qui a été rebaptisé Salle Aurora et dont l’affiche a été remplacée durant la période estivale, voici que le nom de Cliffs qui était inscrit sur une pancarte installée sur le pont d’étagement (viaduc) qui surplombe la route 500 entre Labrador City et Wabush au Labrador, a aussi été retiré de l’ouvrage architectural, le 2 octobre dernier, afin de le remplacer par celui de Minerai de fer Québec/Quebec Iron Ore, qui a redémarré, en 2018, les activités minières de son prédécesseur.

De pénibles souvenirs

Dans la foulée du retrait de l’entreprise Cliffs Natural Resources au pays, qui a laissé des souvenirs amers dans la région, la Ville de Fermont avait fait appel au tribunal administratif du Québec et à la Cour du Québec avec l’aide de l’Union des municipalités du Québec (UMQ) avant d’obtenir gain de cause dans le cas de la contestation de l’évaluation foncière des installations minières dans le cadre du processus de liquidation de Cliffs. Des retraités de Cliffs qui ont travaillé toute leur vie à la sueur de leur front et dont la pension avait été charcutée ne réussissaient plus à joindre les deux bouts. À l’époque, certains sous-traitants ayant subi des séquelles financières avaient aussi dû déclarer faillite.

Le maire de Fermont, Martin St-Laurent, ne s’émeut pas de la disparition du nom de Cliffs : « Je suis heureux de tourner la page grâce au nouveau nom donné à la Salle Aurora. »

Le maire de Wabush, Ron Barron, se réjouit pour sa part de cet effacement : « La seule évocation du nom de Cliffs rappelait une période douloureuse pour plusieurs citoyens de l’Ouest du Labrador et en particulier dans ma petite ville qui a souffert de la fermeture de la mine de fer Scully en 2014 et des pertes d’emplois subséquents en plus de l’amputation d’un pourcentage des prestations des fonds de pension des travailleurs de l’entreprise à la suite de sa faillite qui a fait mal à plusieurs résidents. Cette disparition ne manquera pas à grand monde. Heureusement que la minière Tacora Resources a depuis repris le flambeau. »

La riposte

Ces tristes événements auront motivé un long combat mené de front durant près d’une décennie par la députée fédérale de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, qui est revenue à la charge à de multiples reprises à ce sujet, de concert avec le syndicat des Métallos, afin de faire changer les choses en protégeant les rentes des retraités. La loi C-228 concernant la protection des retraites en cas de faillites fut finalement adoptée par le Sénat du Canada en avril 2023 afin de protéger les travailleurs qui deviennent ainsi des créanciers prioritaires en cas de faillite d’une compagnie.

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Publié le 16 octobre, 2023, dans la publication : Numéro_17 Volume_41

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Publié sur le site le 16 octobre 2023

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Cancer Fermont

Un jalon important se dessine

par Éric Cyr

Sur la photo, la ministre caquiste, Kateri Champagne Jourdain, attentive aux propos du président de Cancer Fermont, Denis Grenier, lors d’une discussion au Centre de santé de Fermont. Source photo : Kathleen Dubé

Le président fondateur de Cancer Fermont, Denis Grenier, a discuté avec des élues représentant les citoyens de la région aux gouvernements fédéral et provincial dans le cadre de deux rencontres officielles qui se sont tenues à Fermont lors de leur récent déplacement qui coïncidait avec une importante activité de financement de l’organisme de charité.

La première rencontre, celle avec la députée fédérale de Manicouagan, Marilène Gill, a eu lieu à la mezzanine de l’hôtel Fermont, le 15 avril 2023, et le lendemain, le 16 avril, une seconde réunion se déroulait au centre de santé local avec la ministre québécoise de l’Emploi, ministre responsable de la Côte-Nord, et députée de Duplessis, Kateri Champagne Jourdain.

Vers une prolifération du concept

Le but de la démarche était de présenter la mission, la vision, et les objectifs de l’organisme caritatif qui célèbrera son 19e anniversaire cette année et d’expliquer aux représentants politiques les visées de l’œuvre de bienfaisance qui souhaite tendre la main à des bénévoles d’autres communautés afin de les aider à reproduire son modèle ailleurs au Québec et au Canada. M. Grenier est très heureux d’avoir eu l’occasion d’exposer la formule à succès de Cancer Fermont et espère que cet exemple pourra se multiplier dans d’autres localités. « Ces conversations ont été fructueuses et devraient éventuellement aboutir sur de nouvelles rencontres avec des personnalités publiques à Ottawa et à Québec. »

Des échanges prolifiques

À la suite des discussions avec la députée Marilène Gill du Bloc québécois, une ambassadrice de Cancer Fermont, celle-ci a suggéré qu’une rencontre pourrait être organisée entre M. Grenier et la sénatrice d’origine nord-côtière Michèle Audette, que ce dernier a déjà eu l’occasion de côtoyer lors de son passage à Fermont avant sa nomination au sénat, afin d’explorer les possibilités d’expansion de cette mission ailleurs au pays comme ce fut récemment le cas pour Cancer Labrador Ouest.

Durant le dialogue entre M. Grenier (qui était accompagné de l’infirmière pivot Angèle Kenny) et la ministre de la Coalition avenir Québec (CAQ), Kateri Champagne Jourdain, il a été question d’implanter d’autres organisations similaires inspirées du modèle de Cancer Fermont sur la Côte-Nord pour éventuellement atteindre également le reste du Québec. Une rencontre avec le premier ministre québécois, François Legault, pourrait être envisagée afin de lui présenter les aspirations et les idéaux de l’organisme philanthropique qui espère voir des reproductions ailleurs.

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Publié le 8 mai, 2023, dans la publication : numéro_09 Volume_41

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Cancer Fermont

Retour en force de la soirée-bénéfice

par Éric Cyr

De gauche à droite sur la photo, Marie-Manon Gauthier de Pascan, le PDG d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada, Mapi Mobwano, la ministre Kateri Champagne Jourdain, le président de Cancer Fermont Denis Grenier, la députée de Manicouagan Marilène Gill, le PDG de Minerai de fer Québec David Cataford, l’élu innu Kenny Régis et la représentante de Tacora Resources Melissa Reid. Source photo : Kathleen Dubé

Après trois années de report à cause de la pandémie, la très attendue troisième édition du souper de crabe au profit de l’organisme Cancer Fermont s’est tenue à la salle Aurora (anciennement centre multifonctionnel) à Fermont, le 15 avril 2023. L’événement de financement, qui a attiré des gens de tous les horizons, fut un véritable succès et a permis d’amasser près de 140 000 dollars pour les personnes atteintes du cancer localement. Véritable tour de force, cette manifestation altruiste a regroupé des représentants des trois des plus importantes minières de la région, du jamais vu. Le rassemblement culinaire festif organisé par les policiers de la Sûreté du Québec, qui assuraient le service, a réuni plus de 250 convives ravis de prendre part à ce repas pour une bonne cause.

Solidarité exemplaire

En plus des agents de police, dont Kerry Aubé qui s’est investi depuis les débuts, des bénévoles ont mis la main à la pâte afin d’assurer un service impeccable et la réussite de ce grand élan philanthropique dont les retombées contribueront à aider financièrement des Fermontois qui luttent courageusement contre le cancer en répondant de façon flexible à leurs divers besoins. En effet, le concept innovateur de Cancer Fermont, qui a fait ses preuves au cours des 18 dernières années, a interpellé plusieurs citoyens, organismes et entreprises de la région et même de l’extérieur qui ont généreusement contribué à la concrétisation de ce franc succès. Véritable ralliement populaire, cette mobilisation caritative et gustative animée par Karl Gagné Côté de la radio CFMF 103,1 a connu un engouement indéniable au sein de la communauté locale et au-delà.

Rayonnement élargi

Le président de Cancer Fermont, Denis Grenier, visiblement ému du retentissement de l’organisme de bienfaisance qu’il a contribué à créer et de l’appui indéfectible de la population pour sa mission, s’est d’abord adressé avec ferveur et passion à l’auditoire réceptif à son allocution. En plus des présidents directeurs généraux d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada, Mapi Mobwano et de Champion Iron/Minerai de fer Québec, David Cataford, qui se sont amicalement taquinés lors de leurs discours respectifs, des représentants d’entreprises, notamment Melissa Reid de la minière Tacora Resources, étaient sur place. Des personnalités politiques se sont également déplacées pour l’occasion et ont tenu à témoigner leur appui à l’organisme de charité. La députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, la ministre de l’Emploi, ministre responsable de la Côte-Nord et députée de Duplessis, Kateri Champagne Jourdain, l’élu politique innu de Uashat mak Mani-utenam (Sept-Îles), Kenny Régis, ont aussi prononcé quelques mots de circonstance tout comme la déléguée du transporteur aérien Pascan, Marie-Manon Gauthier. Le maire de Wabush au Labrador, Ron Barron, qui a salué la foule a été chaudement applaudi. Cette brochette de dignitaires témoigne du dynamisme et de la vitalité de Cancer Fermont dont le concept a récemment dépassé la frontière. Une délégation de Cancer Labrador Ouest, inspiré directement du modèle fermontois, était aussi présente. Des tirages de prix intéressants offerts par des donateurs ont été effectués durant la soirée. La Maison des jeunes Alpha a été sollicitée par Cancer Fermont pour donner un coup de main au vestiaire, au service aux tables et à la vaisselle, ce qui lui a permis de recueillir une somme d’argent pour financer son voyage à New York. Après le copieux repas, les musiciens Julie Fournier et Yvon Durette ont réchauffé la foule en l’incitant à danser. Un service de raccompagnement a été offert dans un véhicule de la compagnie East to West par le bénévole David Tremblay.

Considérant le nouvel engouement pour l’activité de collecte de fonds, les organisateurs envisagent déjà de renouveler l’expérience l’an prochain dans le cadre d’une quatrième édition. Selon M. Grenier : « Ça a été un succès retentissant et je tiens à remercier du fond du cœur les organisateurs et les bénévoles qui sont trop nombreux pour tous les énumérer. Je ne me pardonnerais cependant pas de passer sous silence le travail de ma conjointe Marlène Rioux et de mon adjointe Caroline Boudreau, qui s’investissent pour cette cause depuis de nombreuses années. En espérant que la mission de Cancer Fermont pourra éventuellement s’étendre ailleurs au Québec en inspirant d’autres localités à instaurer un tel organisme. »

Voir photos en page 20 dans la version papier et numérique du journal TDN Volume 41_No 8_ 24 avril 2023

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Publié le 24 avril, 2023, dans la publication : Numéro_08 Volume_41

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Mine de fer du Mont-Wright

Une nouvelle usine de traitement des eaux

par Éric Cyr

Légende photo : De gauche à droite sur la photo, le directeur général de la MRC de Caniapiscau Jimmy Morneau, la députée de Manicouagan Marilène Gill, le PDG d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada Mapi Mobwano, la ministre Kateri Champagne Jourdain, le représentant innu Kenny Régis et le préfet de la MRC et maire de Fermont Martin St-Laurent lors de l’inauguration. Source photo : Patrick Canuel

ArcelorMittal Exploitation minière Canada a officiellement inauguré une nouvelle usine de traitement des eaux à son complexe minier de Mont-Wright, le 15 avril 2023. L’événement s’est tenu en présence de dignitaires incluant la ministre de l’Emploi, ministre responsable de la région de la Côte-Nord et députée provinciale de Duplessis, Kateri Champagne Jourdain, la députée fédérale de Manicouagan, Marilène Gill, l’élu politique pour Innu Takuaikan Uashat mak Mani-utenam (ITUM), Kenny Régis et le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent.

En hommage au peuple innu et au territoire du Nitassinan sur lequel elle a été érigée, l’usine portera le nom de « Nipi », qui signifie « eau » en langue innue. « Dans le même esprit que nous travaillons à atteindre la carboneutralité de l’ensemble de nos opérations d’ici 2050, la protection de l’environnement est au cœur de toutes nos actions. Cet investissement de 65 millions de dollars canadiens que nous avons consacré à la construction de l’usine Nipi en est un bon exemple », a déclaré le président et chef de la direction d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada, Mapi Mobwano, qui poursuit : « Depuis 2018, nous avons mis en place un vaste programme quinquennal d’investissement de plus de 300 millions de dollars canadiens pour des projets qui touchent l’environnement et la gestion de l’eau, et nous allons continuer de travailler sans relâche à réduire notre empreinte environnementale. »

Conformité et efficacité

Les travaux de construction de l’usine Nipi se sont échelonnés d’avril 2021 à mars 2023. La phase de mise en service est en cours depuis la mi-mars et l’exploitation à pleine échelle commencera d’ici quelques semaines. La société Nordikeau, qui travaille en partenariat avec la nation innue, sera responsable du fonctionnement de l’infrastructure. La mise en œuvre de ce projet fait partie d’un important programme de gestion des eaux de cette mine visant à permettre l’adaptation aux changements climatiques et à garantir la conformité avec les lois et réglementations en matière d’environnement. Le projet de l’usine Nipi a consisté à développer un système de canaux et de bassins autour des haldes existantes et celles anticipées dans l’avenir afin de capter et de traiter toutes les eaux de ruissellement et de surface au sud de la mine du Mont-Wright en un seul effluent final. L’usine assurera ainsi une qualité d’eau conforme à la réglementation à cet effluent terminal.

« Améliorons l’efficacité pour diminuer les risques environnementaux et éliminer la contamination des sols. Cette usine répond au besoin de filtration des eaux de ruissellement du site minier et nos communautés doivent continuer de travailler ensemble pour trouver des solutions innovantes qui permettent de maintenir un environnement sain », a ajouté le représentant innu, Kenny Régis.

L’usine Nipi traitera environ 10 millions de mètres cubes d’eau par année, soit 1,8 mètre cube à la seconde, en fonction des précipitations annuelles (fonte des neiges, pluies). Elle a été conçue pour une récurrence de 100 ans. Sa construction a nécessité 270 000 heures de travail et plus de 4000 mètres cubes de béton y ont été coulés.

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Publié le 24 avril, 2023, dans la publication : Numéro_08 Volume_41

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Publié sur le site le 24 avril 2023

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Information

Le rédacteur en chef du journal honoré

par Journal TDN

Source photo : Jocelyn Blanchette

Le rédacteur en chef du bimensuel Le Trait d’union du Nord, Éric Cyr, a été honoré en recevant la médaille de la députée de Manicouagan, Marilène Gill, pour la représentation de sa communauté et son travail dans le domaine médiatique, le 21 juin 2022, dans le cadre de la seconde édition de l’événement.

Marilène Gill :

Chers récipiendaires, c’est une grande fierté pour moi de vous remettre cette médaille. La Côte-Nord, terre d’immensité et de générosité, vous a modelés à son image et votre engagement indéfectible au développement culturel, économique et social des vôtres a fait rayonner la Côte-Nord ici comme ailleurs. Vous nous rendez fiers d’appartenir à cette grande, riche et vibrante communauté ! a déclaré Marilène Gill dans le cadre d’une visioconférence où elle a remis, en présence virtuelle des lauréats et de leurs proches, des distinctions à huit Nord-Côtiers, entreprises et organismes qui, par leur engagement envers le rayonnement et le développement de la région, se sont démarqués durant la 43e législature.

« C’est cet amour de l’autre que je sens dans tout ce qu’il écrit, tout ce qu’il transmet qui lui a valu cette reconnaissance », a témoigné Mme Gill au sujet du journaliste en précisant que le lauréat de la MRC de Caniapiscau a véhiculé les besoins de sa communauté de nombreuses fois auprès de la députée.

« J’ai eu l’honneur de remettre à Éric Cyr, rédacteur en chef du journal fermontois Le Trait d’union du Nord, la médaille de la députée pour la qualité continue de son travail journalistique. Pendant la dernière législature, nous avons affronté plusieurs défis de taille, une pandémie mondiale n’étant pas le moindre, et les transmetteurs de l’information comme lui, fiables, fidèles au poste, ont joué un rôle de premier plan. Merci Éric », a confié plus tard Mme Gill.

M. Cyr, qui a été à la barre du journal des villes nordiques depuis plus d’une décennie, soit de 2005 à 2009 et depuis 2016, a confié avoir été ému et surpris de cet hommage auquel il ne s’attendait pas et se dit très heureux que, malgré l’isolement géographique et la concentration médiatique dans les grandes agglomérations urbaines, son travail journalistique dans une petite localité nordique soit reconnu. « Ça fait chaud au cœur que la qualité de mes articles soit remarquée par une grande passionnée de la langue française qui, avant son entrée dans l’arène politique, a poursuivi des études doctorales en lettres et publié des recueils de poésie. »

Un autre Fermontois, le fondateur de l’organisme caritatif Cancer Fermont, Denis Grenier, a aussi reçu ce prix pour la MRC de Caniapiscau lors de la première édition en 2019.

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Publié le 22 août, 2022, dans la publication : Numéro_13 Volume_40

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Publié sur le site le 22 août 2022

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Projet de loi C-223

Protéger le français, langue commune au Québec

par Éric Cyr

Source photo : BQ

Alors que l’actualité révèle au grand jour le déclin de la langue française dans la métropole québécoise et particulièrement dans le Grand Montréal, le Bloc québécois défendra à la Chambre des communes son projet de loi qui exige une connaissance suffisante comme condition à l’obtention de la citoyenneté canadienne pour les résidents permanents du Québec. Le parti politique qui défend les intérêts du Québec semble vouloir utiliser cette sorte de baromètre pour mesurer la sincérité ou l’hypocrisie du gouvernement canadien en matière de protection de cette langue.

« Pour se comprendre, il faut être capable de se parler. Au Québec, la langue commune, c’est le français. Demander que les résidents permanents connaissent le français s’ils veulent obtenir la citoyenneté, ce n’est rien d’autre que de demander qu’ils aient les outils pour participer pleinement à la société québécoise. L’intégration des nouveaux arrivants au Québec, ça passe par le français », affirme la députée nord-côtière de Manicouagan, Marilène Gill.

Déclin anticipé du français

Les plus récentes projections de Statistique Canada démontrent que le poids démographique de la population utilisant le français comme langue d’usage au Québec diminuera de 8 % dans le prochain quart de siècle. En parallèle durant les 25 prochaines années, la population choisissant l’anglais comme première langue officielle parlée grimperait de 29 %, principalement avec l’adhésion de nouveaux arrivants.

« Le Québec constitue une minorité linguistique en Amérique du Nord. Lorsque de nouveaux arrivants font le choix du Québec, la langue commune devient le ciment de leur intégration. La connaissance du français pour l’obtention de la citoyenneté est une façon d’assurer que le Québec et ses nouveaux arrivants ne deviennent pas, à l’instar du Québec et du Canada, deux solitudes qui s’ignorent », souligne le député bloquiste de Rimouski-Neigette-Témiscouata-Les Basques, Maxime Blanchette-Joncas.

Le projet de loi C-223 déposé par le Bloc québécois entraîne trois modifications importantes à la loi sur la citoyenneté, soit de faire passer de 55 à 65 ans l’âge minimal auquel un résident permanent qui demande la citoyenneté canadienne est tenu de démontrer une connaissance d’une des deux langues officielles canadiennes, l’anglais ou le français; exiger qu’un résident permanent demeurant au Québec démontre sa connaissance du français et non de l’une ou l’autre des langues officielles canadiennes et enfin assurer que le test de citoyenneté se fasse obligatoirement en français.

Langue commune

« Ce projet de loi permettra aux nouveaux arrivants au Québec de faire du français leur langue commune. Il favorise une société québécoise inclusive et cohérente, et ce, pour tous les citoyens et citoyennes du Québec », ajoute Mme Gill. « Ottawa doit contribuer à la valorisation du français au Québec. Un Canada bilingue est impossible sans un Québec français et ça, le fédéral ne peut que l’admettre », fait pour sa part valoir M. Blanchette-Joncas.

Le Parti libéral du Canada et son allié, le Nouveau Parti démocratique voteront contre la motion…

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Publié le 30 novembre, 2020, dans la publication : Numéro_20 Volume 38

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Publié sur le site le 30 novembre 2020

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25e anniversaire du référendum de 1995

La députée Marilène Gill souligne l’événement

par Éric Cyr

Source photo : BQ

À l’occasion du 25e anniversaire du référendum de 1995, le chef du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, et la députée nord-côtière de Manicouagan et responsable de la circonscription de Gaspésie-Les Îles-de-la-Madeleine, Marilène Gill, ont tenu à souligner cet événement historique en faisant preuve d’optimisme.

Le 30 octobre dernier, il y a 25 ans, les Québécois votaient « Oui » à 49,9 %, faisant largement progresser l’option souverainiste comparativement aux 40 % obtenus au premier référendum de 1980. « Dans mon esprit, ce ne fut pas la fin de l’idée indépendantiste, mais bien un moment de progression extraordinaire. Notre devoir maintenant, en tant que Québécois et souverainistes, est de continuer d’avancer et de comprendre ce qui aurait pu être fait autrement, pour que la prochaine fois soit la bonne », a déclaré Yves-François Blanchet dont le parti politique fait la promotion de l’indépendance et de la défense des intérêts du Québec.

Viabilité et vitalité

« Il faut démontrer la viabilité, voire la vitalité d’un Québec qui se voudrait prospère et écologique, qui miserait sur la création de richesses dans nos régions, sur notre innovation et nos PME (petites et moyennes entreprises) et qui se développerait à partir de nos richesses naturelles et de notre énergie propre », a renchéri Marilène Gill. Vingt-cinq ans après le second référendum sur l’avenir du Québec, la députée de Manicouagan, qui avait voté « Oui », se remémore le dénouement serré de ce second référendum, tout en précisant que l’avenir du mouvement n’est pas hypothéqué en soi, loin de là.

En route vers l’avenir

« La jeunesse énergique du nouveau chef du Parti québécois (Paul St-Pierre-Plamondon), le nationalisme affirmé du gouvernement de la CAQ (Coalition avenir Québec) et la présence forte du Bloc québécois à Ottawa ainsi que les agressions répétées du gouvernement fédéral contre le Québec plantent un décor où le Québec pourra de nouveau mettre en scène sa marche vers la souveraineté », a affirmé la députée bloquiste. « L’indépendance, nous la ferons parce que les gens qu’on aime, la culture et les valeurs qui nous forgent et la langue qui nous définit méritent de s’épanouir en toute liberté, dans un Québec qui se distingue en Amérique du Nord et dans le monde. Vive l’indépendance du Québec ! » a conclu Mme Gill.

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Publié le 16 novembre, 2020, dans la publication : Numéro_19 Volume 38

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Publié sur le site le 16 novembre 2020

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Assurance-emploi

Importante victoire du Bloc québécois

par Éric Cyr

Source photo : BQ

Une motion du Bloc québécois concernant le rallongement des prestations spéciales d’assurance-emploi a été adoptée, le 20 février dernier, par la Chambre des communes à Ottawa qui a voté en faveur de l’augmentation des semaines admissibles en cas de maladies graves, qui étaient au préalable de 15 courtes semaines et qui passeront à 50 dans le prochain budget fédéral.

La députée de Manicouagan, Marilène Gill, dont c’était l’un des chevaux de bataille, est satisfaite que la motion du Bloc québécois à l’effet d’augmenter les prestations des travailleurs dans des situations de maladies graves comme le cancer ait été adoptée. « C’est une victoire pour le Bloc québécois et pour les prestataires de l’assurance-emploi », déclare la politicienne nord-côtière.

Corriger une iniquité

Les députés bloquistes n’entendaient pas se contenter de la maigre proposition du gouvernement libéral de Justin Trudeau qui souhaitait faire passer le seuil de semaines admissibles à seulement 26 semaines. Le Bloc québécois en a donc appelé au principe même de l’équité afin que les travailleurs plus vulnérables qui cotisent au programme de l’assurance-emploi dans leur combat pour le retour à la santé n’aient pas à s’inquiéter pour leur avenir.

L’exemple fermontois

La présentation de la motion faite par le Bloc québécois a certainement été moussée par l’émouvante intervention à la Chambre des communes de l’ancienne Fermontoise et députée du Bloc québécois de Beauport-Limoilou, Julie Vignola, qui a inévitablement contribué à faire pencher la balance en citant l’exemple du vigoureux combat mené contre le cancer par une de ses amies, une courageuse Fermontoise, Joan Rhéaume, qui nous a malheureusement quittés récemment.

« Se battre contre la maladie est le combat d’une vie et les soucis financiers ne doivent pas miner les forces des combattants. »

Le combat se poursuit

Selon Mme Gill : « Ça fait maintenant 30 ans qu’on exige que le programme de l’assurance-emploi soit pensé pour notre monde, non pas pour les besoins du gouvernement, mais pour ceux des nôtres, ceux qui nous ont donné le privilège de les représenter. » La députée de Manicouagan qui s’était engagée lors de la dernière campagne électorale à travailler à la réforme de l’assurance-emploi se réjouit évidemment de cette victoire dans le dossier, mais rappelle que, dans un même ordre d’idées, l’objectif de mettre fin à la période du trou noir, qui touche aussi particulièrement les travailleurs de l’industrie saisonnière de l’est du Québec, demeure plus que jamais au cœur de ses priorités.

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Publié le 2 mars, 2020, dans la publication : Numéro_04 Volume 38

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Publié sur le site le 2 mars 2020

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Circonscription de Manicouagan

Victoire incontestable de Marilène Gill

par Éric Cyr

Source photo : Bloc québécois

À peine réélue par une écrasante majorité de 54 % des voix, lors du scrutin du 21 octobre dernier, la députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois (BQ) effectue un retour en force en entamant son second mandat avec optimisme et détermination. Combative, elle a déjà repris le flambeau des intérêts nord-côtiers afin d’assurer la continuité des dossiers à Ottawa et souhaite mettre en branle des états généraux sur la Côte-Nord afin de briser son isolement, une idée qui est très bien accueillie par ses concitoyens.

Fourbir les armes

La politicienne bloquiste se dit satisfaite de la campagne électorale qu’elle a menée avec énergie et remercie les électeurs de lui faire confiance. Elle explique que l’objectif de tenir des états généraux sur la Côte-Nord et son désenclavement en particulier est principalement de permettre d’entendre les groupes nord-côtiers et d’expliquer les grands enjeux auxquels est confrontée la région tout en lui donnant de la crédibilité et de la visibilité. Il s’agit de brosser un portrait d’ensemble de la situation actuelle, de faire le point et de transmettre l’information exacte aux citoyens afin qu’ils comprennent bien le processus dans une perspective globale avant d’enclencher des actions concrètes structurantes et déterminantes qui mèneront éventuellement à l’aboutissement des prépondérances régionales et de la priorité évidente qu’est le désenclavement.

L’épaule à la roue

La dynamique a complètement changé dans le contexte de cette nouvelle législature puisque le BQ, qui a effectué une remarquable remontée en récoltant 32 sièges, affiche toute sa légitimité. Le Québec n’a jamais été aussi fort à Ottawa en plus d’une décennie et le BQ détient la balance du pouvoir au Québec. Mme Gill se veut rassembleuse et amorce son nouveau mandat en demeurant près des aspirations légitimes de ses concitoyens tout en étant convaincue que son parti ira chercher des gains significatifs pour la Côte-Nord et pour le Québec.

« Le Bloc québécois est le seul parti qui défend et qui promeut les intérêts du Québec, rien que du Québec, et cela, sans compromis. Que ce soit dans les dossiers économiques, sociaux ou environnementaux, nous veillons à ce que le Québec soit respecté et à ce qu’il reçoive sa juste part du fédéral. Nous sommes un parti indépendantiste et cela suppose nécessairement que nous soyons résolument nationalistes. C’est pourquoi les Nord-Côtiers peuvent également compter sur nous pour défendre les consensus de l’Assemblée nationale du Québec ainsi que pour porter des dossiers qui touchent directement à notre nation, tels que la laïcité (loi 21), la langue française ou encore la culture. En résumé, c’est simple : le Québec, c’est nous ! » rappelle la députée nord-côtière qui considère que les gens ont voté avec leur cœur.

« Je suis fière d’avoir pris plusieurs engagements qui m’ont été demandés sur le terrain par les Nord-Côtiers. Que ce soit entre autres pour le désenclavement de la Côte-Nord, pour la protection des fonds de pension et des assurances des travailleurs et des retraités, pour les demandes des Premières nations et pour la réforme de l’assurance-emploi, le travail que je propose d’effectuer vise à donner toute la place à la population de façon à contribuer à son mieux-être. Je suis également fière que le Bloc québécois les ait inscrits dans sa plateforme électorale nationale. Cela montre toute l’importance que nous accordons à nos régions », conclut la députée bloquiste.

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Publié le 4 novembre, 2019, dans la publication : Numéro_18 Volume 37

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  • Côte-Nord
  • Députée bloquiste
  • Élection fédérale 2019
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Publié sur le site le 4 novembre 2019

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Cancer Fermont

Une autre prestigieuse distinction

par Éric Cyr

Source photo : Bloc québécois

Il semble bien que les grands honneurs et Cancer Fermont soient indissociables puisque c’est la quatrième fois en moins de six ans que l’organisme caritatif est honoré par des instances gouvernementales pour son travail de bienfaisance unique au pays.

On ne saurait disjoindre le fondateur et actuel président de Cancer Fermont, Denis Grenier, de cette œuvre charitable dont il incarne le visage depuis sa naissance en 2005. C’est d’ailleurs lui qui a reçu des mains de la députée de Manicouagan, Marilène Gill, du Bloc québécois, la Médaille de la députée pour la 42e législature de la Chambre des communes au Château Arnaud à Sept-Îles, le 26 juin dernier, aux côtés de six autres personnalités nord-côtières s’étant démarquées par leur implication communautaire et sociale.

L’union fait la force

Marilène Gill, ambassadrice par excellence de Cancer Fermont dont elle ne tarit pas d’éloges, a bien pris soin de choisir les personnes éloquentes par leur engagement marqué envers leurs concitoyens avant de dévoiler les sept lauréats retenus. Elle en a désigné un pour chaque municipalité régionale de comté (MRC) de la Côte-Nord et Denis Grenier a reçu la médaille pour Caniapiscau. « Tout au long de mon mandat, aux quatre coins de la Côte-Nord, j’ai fait la rencontre de gens dont l’engagement envers les Nord-Côtiers est aussi total qu’indéfectible. J’ai vu l’effet de leur œuvre autour d’eux. Ces gens m’ont grandement inspirée. Ce sont de véritables géants dans leur communauté! C’est donc pourquoi j’ai souhaité leur témoigner humblement à la fois mon admiration et ma reconnaissance. Je suis fière d’instaurer cette reconnaissance symbolique, car c’est ensemble que nous décuplons nos forces et augmentons ainsi notre capacité d’agir sur le monde. Les lauréats sont une source d’inspiration pour moi et leur rendre hommage est l’un des moyens de les faire mieux connaître, pour que nous nous en inspirions tous. Puissions-nous suivre leur exemple édifiant pour arriver à atteindre ce à quoi nous aspirons comme Nord-Côtiers! » a déclaré la députée bloquiste.

La fondation à nulle autre pareille (pour l’instant puisque le concept d’aide financière directe aux personnes atteintes d’un cancer a de fortes chances d’être reproduit ailleurs bientôt) vient en aide aux personnes atteintes du cancer et à leurs proches dans la communauté qu’elle sert. M. Grenier insiste sur l’apport précieux et indispensable des nombreux bénévoles qui se dévouent à cette cause assurant ainsi son indéniable succès.

« Je suis très honoré de ce nouvel hommage, mais je ne peux garder sous silence l’implication des nombreux bénévoles qui ont grandement contribué à la réussite et à la pérennité de Cancer Fermont et que je remercie tout comme je tiens à souligner le travail de Mme Gill, une femme engagée qui facilite la promotion et le rayonnement de notre organisme dont le modèle, nous le souhaitons, va éventuellement déployer ses ailes et être imité dans d’autres régions. »

En plus de cette nouvelle reconnaissance, Cancer Fermont a reçu à ce jour le Prix du gouverneur général pour l’entraide, la Médaille de l’Assemblée nationale et un certificat honorifique de la Chambre des communes. La députée sera sur place dans le cadre du demi-marathon des Champions au profit de Cancer Fermont, le 7 septembre prochain.

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Publié le 26 août, 2019, dans la publication : Numéro_13 Volume 37

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Publié sur le site le 26 août 2019

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