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  • Améliorer l’efficacité des turbines

    Hydroélectricité

    Améliorer l’efficacité des turbines

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    Relier le Labrador par voie terrestre

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    Enquête publique

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    Budget municipal

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  • Début de l’audience  publique à Fermont

    Nouveaux bassins d’eau au Mont-Wright

    Une 22 janvier, 2018

    Début de l’audience publique à Fermont

Numéro 01

Améliorer l’efficacité des turbines

Hydroélectricité

Améliorer l’efficacité des turbines

Pour véritablement boucler la boucle

Relier le Labrador par voie terrestre

Pour véritablement boucler la boucle

Le fiasco de Muskrat Falls

Enquête publique

Le fiasco de Muskrat Falls

Aucune majoration de taxes à Fermont

Budget municipal

Aucune majoration de taxes à Fermont

Début de l’audience  publique à Fermont

Nouveaux bassins d’eau au Mont-Wright

Une 22 janvier, 2018

Début de l’audience publique à Fermont

Hydroélectricité

Améliorer l’efficacité des turbines

par Éric Cyr

Le laboratoire des machines hydrauliques de l’Université Laval de Québec a récemment annoncé le lancement du projet Tr-Francis, une vaste étude qui vise à améliorer la performance et la fiabilité des turbines productrices d’électricité au cœur des barrages hydroélectriques canadiens. Le projet disposera d’un financement de plus de 6,6 M $ réparti sur cinq ans qui sera assuré par le Consortium en machines hydrauliques, le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) et Innovation en énergie électrique (InnovÉÉ).

La directrice du laboratoire qui est aussi professeure à la Faculté des sciences et de génie de l’Université Laval, Claire Deschênes, explique que l’hydroélectricité constitue la première source d’énergie renouvelable au monde et représente 59 % de la production électrique canadienne et 94,5 % de la production québécoise, la majorité étant produite par des turbines de type Francis.

« Au cours des 20 dernières années, cette production d’énergie a évolué pour s’adapter à la déréglementation du marché et à l’introduction d’autres sources d’énergies renouvelables intermittentes sur le réseau électrique. Les turbines électriques doivent maintenant être démarrées et arrêtées beaucoup plus souvent et doivent passer un temps considérable dans des conditions non optimales où les contraintes mécaniques sont plus élevées. Ces changements entraînent des pertes de production et des coûts d’entretien accrus en raison d’un vieillissement prématuré des équipements. »

C’est à cette problématique particulière que le projet s’intéressera. L’équipe étudiera les interactions entre l’écoulement de l’eau et les éléments mobiles des turbines fonctionnant en régimes transitoires et sans charge à l’aide de simulations numériques et de mesures expérimentales sur modèle réduit. Selon cette dernière, les connaissances ainsi acquises permettront d’optimiser la puissance électrique produite, d’améliorer la fiabilité des équipements, de réduire les temps d’arrêt pour l’entretien et d’augmenter la durée de vie des machines.

Le Québec, un chef de file

L’expertise québécoise en la matière est unique en Amérique du Nord grâce notamment au Laboratoire de machines hydrauliques (LAMH) situé au Département de génie mécanique de l’Université Laval. Celui-ci permet aux étudiants et aux chercheurs de mener des expériences à l’aide de turbines dont la taille varie de 1/8 à 1/15 de celles utilisées dans les grandes centrales du Québec. La boucle d’essai du LAMH permet de recréer en laboratoire les débits d’eau et les hauteurs de chute semblables à ceux d’un barrage hydroélectrique, toutes proportions gardées.

Expertise et savoir de pointe

Le lancement de ce projet a eu lieu à l’occasion d’une cérémonie soulignant le renouvellement du Consortium en machines hydrauliques, un centre de recherche inauguré en 2007 qui regroupe plusieurs des plus importants partenaires publics et privés dans le domaine de l’hydroélectricité au pays, notamment Hydro-Québec, Andritz Hydro, GE Énergies renouvelables Canada, Voith Hydro et Électricité de France (EDF). La porte-parole des partenaires du consortium et chercheure à l’Institut de recherche d’Hydro-Québec, Anne-Marie Giroux, confie que ce projet permettra des avancées importantes en matière de fiabilité et de pérennité des équipements de production hydroélectriques et confirmera le leadership international du LAMH et du Consortium dans le domaine. Le directeur général d’InnovÉÉ, André St-Pierre, parle de l’éclosion d’un maillage stratégique entre des acteurs clés de la filière électrique au Québec.

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Publié le 22 janvier, 2018, dans la publication : Numéro 01 Volume 36

  • Consortium en machines hydrauliques
  • Développement électrique
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  • Muskrat falls
  • Nalcor Energy
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  • Turbines productrices d'électricité

Publié sur le site le 22 janvier 2018

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Relier le Labrador par voie terrestre

Pour véritablement boucler la boucle

par Éric Cyr

Source photo : Jocelyn Blanchette

Les élus de la Côte-Nord relancent Québec qui a annoncé le prolongement de la route nationale 138 en Basse-Côte-Nord lors de la visite du premier ministre Philippe Couillard en août dernier. Les représentants de la région demeurent sceptiques et mettent en doute les réelles intentions de ce gouvernement surtout que la réfection de la route nationale 389 et en particulier la construction du nouveau tracé anticipé Fire Lake-Fermont, une priorité en 2009, s’étire depuis près d’une décennie.

Un catalyseur économique

Selon Radio-Canada, les élus de la Côte-Nord font preuve d’impatience en ce qui a trait au calendrier proposé par le gouvernement libéral et les craintes demeurent quant à ce dossier qui mobilise l’ensemble des acteurs régionaux pour qui le prolongement du réseau routier fait partie des enjeux majeurs à propulser à l’avant-plan. Le ministre responsable de la région de la Côte-Nord qui est aussi membre du Comité des priorités et des projets stratégiques, Pierre Arcand, croit que le processus devrait s’effectuer par étapes au cours des prochaines années, un pas à la fois avant « d’éventuellement » atteindre Blanc-Sablon.

Le préfet de la MRC de Sept-Rivières et maire de Sept-Îles, Réjean Porlier, rêve pour sa part du jour où il pourra finalement emprunter la route pour se rendre dans cette municipalité isolée de la Basse-Côte-Nord et souhaiterait obtenir un véritable échéancier décrivant les étapes précises du chantier incluant une date du début et de la fin anticipée des travaux ainsi qu’un budget qui y serait consacré. Selon ce dernier, la région a été trop longtemps uniquement simplement associée à l’extraction des ressources naturelles et on doit s’attaquer activement à la problématique des transports qui freine le développement de la Côte-Nord. Il cite en exemple le coût très élevé des billets d’avion.

Le fédéral à la rescousse ?

Les économies du Québec et du Labrador sont intimement liées et le préfet de la MRC de la Minganie, Luc Noël, interpelle Ottawa qui devrait selon lui s’engager dans cette démarche permettant ainsi au Québec de conclure une entente avec Terre-Neuve-et-Labrador, ce qui accélérerait le processus d’obtention d’une route nationale au nord du fleuve Saint-Laurent. Ce nouvel axe routier reliant en boucle les routes 138 et 389 au Québec aux routes 510 et 500 (totalement asphaltée) au Labrador désenclaverait ainsi le territoire des deux côtés de la frontière provinciale et stimulerait l’économie et le tourisme en plus de favoriser l’accès au territoire.

Pont sur la rivière Saguenay

Les élus misent aussi sur un autre élément important de l’équation soit l’implantation d’un bureau de projet pour la construction d’un pont sur la rivière Saguenay, la porte d’entrée de la Côte-Nord, qui permettrait de comparer les coûts et les bénéfices et ainsi constater la viabilité du projet.

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Publié le 22 janvier, 2018, dans la publication : Numéro 01 Volume 36

  • Côte-Nord
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  • Labrador
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Publié sur le site le 22 janvier 2018

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Enquête publique

Le fiasco de Muskrat Falls

par Éric Cyr

Source photo : Nalcor Energy

Une vérification juricomptable qui se penchera sur les dépassements de coûts et les retards des échéanciers du mégaprojet de développement électrique de Muskrat Falls au Labrador, un compétiteur direct d’Hydro-Québec, devait commencer ce mois-ci. C’est le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, le libéral Dwight Ball, qui a fait l’annonce de la tenue de cette commission à la fin de l’année dernière sans rater l’occasion d’écorcher au passage les quatre précédents gouvernements provinciaux progressistes-conservateurs.

Le stade olympique du Labrador

C’est le premier ministre progressiste-conservateur Dany Williams qui, avant de quitter l’arène politique en 2010, a été l’instigateur de cette démarche initialement estimée à 6,2 milliards de dollars lors de son approbation en 2012. La construction de Muskrat Falls aura par la suite gonflé à 12,7 milliards, soit plus du double de ce qui avait été anticipé. Selon l’actuel PDG de Nalcor Energy, le vis-à-vis d’Hydro-Québec dans cette province, Stan Marshall, une fois le projet de Muskrat Falls enclenché, la province ne pouvait plus faire marche arrière malgré l’explosion des coûts puisqu’elle aurait dû débourser encore de grosses sommes pour l’annuler sans obtenir de gains énergétiques. Bien que la centrale hydroélectrique soit pratiquement terminée, elle ne devrait atteindre sa pleine capacité de production d’électricité qu’en 2020 avec près de trois ans de retard et des dépassements de coûts exorbitants. M. Mashall nommé par les libéraux après leur élection en 2015 pour tenter de redresser le tir a qualifié Muskrat Falls de « gâchis » et de « trou financier » après avoir pris le relais de son prédécesseur.

Injustice

Le gouvernement québécois a déjà dénoncé cette « concurrence déloyale » et exigé une compensation du gouvernement fédéral (qui a absorbé une partie de cette somme notamment grâce à une garantie de prêt de 9,3 milliards de dollars) étant donné qu’Hydro-Québec n’a jamais obtenu de telles garanties ni bénéficié d’une pareille aide de la part d’Ottawa lors de ses grands chantiers.

Les véritables perdants

Bien que le premier ministre Dwight Ball souhaite minimiser les déboires occasionnés par cette débandade monumentale, une famille moyenne à Terre-Neuve-et-Labrador pourrait tout de même payer 18 % d’augmentation ou environ 150 $ de plus par mois pour son électricité à partir de 2022.

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Publié le 22 janvier, 2018, dans la publication : Numéro 01 Volume 36

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Publié sur le site le 22 janvier 2018

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Budget municipal

Aucune majoration de taxes à Fermont

par Éric Cyr

Le maire de Fermont, Martin St-Laurent, élu par acclamation lors des élections municipales générales du 5 novembre dernier, espère concrétiser quelques projets d’importance durant son second mandat qu’il a amorcé en réussissant à boucler un nouveau budget sans avoir recours à des augmentations de taxes malgré une importante baisse de revenus anticipée pour cette année. Le taux demeure donc inchangé pour l’instant et aucune hausse n’est prévue pour les entreprises, commerces et résidences.

La Ville de Fermont, qui a récemment adopté ses prévisions budgétaires pour l’exercice se terminant le 31 décembre 2018, devra pourtant composer avec une baisse de revenus significative de plus de 4 millions de dollars par rapport à l’année précédente. Ce sont les contestations des évaluations foncières des deux minières, ArcelorMittal et Minerai de fer Québec (MFQ), une filiale de Champion, qui font mal et sont les principaux responsables de cette situation.

L’imbroglio demeure

Fermont qui a entamé des discussions avec les deux compagnies a finalement réussi à signer une entente avec ArcelorMittal qui s’est soldée par une dépréciation de revenus annuelle de 556 000 $ pour la municipalité. Les pourparlers avec MFQ sont toujours en cours et la Ville a dû estimer le montant d’une éventuelle entente grâce à un calcul approximatif des installations de l’entreprise sur son territoire incluant la phase 2. Cette analyse effectuée par l’évaluateur municipal se chiffrait à 318 M $, un écart important avec la minière qui souhaite plutôt soumettre une requête à 50 M $. La Ville a construit son budget comme si elle disposait d’un accord à 200 M $ en prévoyant une provision financière en raison de l’incertitude engendrée par cette contestation toujours en litige.

Un mince surplus

Alors que les dépenses de l’administration municipale devraient bondir de plus de 1 226 000 $ en 2018, le surplus accumulé afin de parer aux imprévus fond comme neige au soleil et les coffres se vident rapidement. Selon le maire, cette réserve a baissé durant le dernier mandat, principalement à cause de la fermeture de la mine du lac Bloom, qui a de plus engendré une importante baisse de revenus pour la Ville qui a aussi dû émettre un chèque de 1 196 000 $ à ArcelorMittal puisé à même cet excédent à la suite de la récente révision pour les années 2016-2017. Le déficit de la Ville de Fermont s’est tout de même grandement amoindri puisqu’avant la dernière conciliation fiscale, il représentait 6 500 000 $ en 2017 et il s’est allégé à 1 226 000 $ en 2018, un rabaissement considérable.

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Publié le 22 janvier, 2018, dans la publication : Numéro 01 Volume 36

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Nouveaux bassins d’eau au Mont-Wright

Début de l’audience publique à Fermont

par Éric Cyr

La commission d’enquête du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) mandatée par le gouvernement Couillard a tenu la première partie des séances d’audiences publiques sur le « Projet d’aménagement de nouveaux bassins d’eau de procédé et de sédimentation à la mine du Mont-Wright à Fermont » par ArcelorMittal au Centre multifonctionnel Cliffs dans le mur-écran, les 19 et 20 décembre dernier.

Première partie : s’informer

Le président du BAPE, Philippe Bourke, a nommé un président de la commission, Michel Germain, et un commissaire Georges Lanmafankpotin, qui se sont déplacés à Fermont et se sont assurés que les différents intervenants, dont certains de l’extérieur, ainsi que les membres du public souhaitant le faire, puissent s’exprimer sur le sujet à tour de rôle et obtiennent des réponses satisfaisantes à leurs questions de la part du promoteur et des personnes-ressources (spécialistes) et organismes convoqués à cet effet.

Plusieurs représentants étaient sur place notamment pour le Québec, le ministère du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, le ministère de l’Énergie et des Ressources naturelles et le ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs. Le ministère de la Sécurité publique ainsi que le ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports ont aussi été invités mais ont choisi de répondre aux questions à distance par écrit tout comme Pêches et Océans Canada et Changement climatique Canada pour le fédéral.

Des délégués de l’entreprise minière et des instances syndicales et municipales incluant le préfet de la MRC de Caniapiscau et maire de Fermont, Martin St-Laurent, ont pris part à la commission tout comme un porte-parole de la nation innue et des organismes incluant l’Association de protection de la rivière Moisie. D’autres ont participé à distance dont la Coalition pour que le Québec ait meilleure mine, Mining Watch Canada et le Réseau québécois des groupes écologistes. Les échanges étaient filmés et diffusés en direct sur le site Internet du BAPE où ils peuvent être consultés.

Deuxième partie : s’exprimer

La seconde partie de l’audience publique débutera le 23 janvier 2018 à Fermont au même endroit pour se déplacer à Sept-Îles le lendemain. La commission recueillera alors l’opinion et les suggestions du public. Elle entendra les participants qui désirent s’exprimer sur le projet sous forme de mémoire ou de présentation verbale.

En résumé, ArcelorMittal a l’intention d’entamer la construction d’un bassin d’eau de procédé et d’un bassin de sédimentation à la mine de fer du Mont-Wright afin de permettre de stocker 825 millions de tonnes de résidus miniers jusqu’en 2045 assurant ainsi la pérennité de ses opérations minières à Fermont. Les travaux pourraient commencer dès l’été 2018 si l’autorisation est obtenue. Les coûts de l’ensemble des infrastructures du projet et de la gestion de l’eau sont estimés à 458 M $.

La documentation sur le projet est mise à la disposition de la population à la bibliothèque publique de Fermont et l’ensemble du dossier est également disponible dans le site Web du BAPE à l’adresse : www.bape.gouv.qc.ca. Vous pouvez aussi vous informer par téléphone en composant sans frais le 1 800 463-4732. Le BAPE est un organisme consultatif et neutre qui rédige un rapport public. C’est au gouvernement que revient la décision d’accorder l’autorisation d’un tel projet.

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Publié le 22 janvier, 2018, dans la publication : Numéro 01 Volume 36

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Publié sur le site le 22 janvier 2018

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