• Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Publications
  • Le journal
    • L’Équipe
    • Historique
    • Distinctions
  • Abonnements & membres
  • Annoncez avec nous
  • Contactez-nous
  • Toutes les publications
  • Numéro_03

  • Le milieu scolaire à bout de souffle

    Lettre ouverte

    Le milieu scolaire à bout de souffle

  • Un nouveau souffle

    Ville de Fermont

    Un nouveau souffle

  • Générosité exemplaire d’entreprises et de leurs travailleurs

    Centraide Duplessis

    Générosité exemplaire d’entreprises et de leurs travailleurs

  • Les membres de la CSQ votent en faveur de la grève

    Défendre les services à la population

    Les membres de la CSQ votent en faveur de la grève

  • Entretien avec un contremaître

    Ville de Fermont

    Une 15 février, 2021

    Entretien avec un contremaître

Numéro_03

Le milieu scolaire à bout de souffle

Lettre ouverte

Le milieu scolaire à bout de souffle

Un nouveau souffle

Ville de Fermont

Un nouveau souffle

Générosité exemplaire d’entreprises et de leurs travailleurs

Centraide Duplessis

Générosité exemplaire d’entreprises et de leurs travailleurs

Les membres de la CSQ votent en faveur de la grève

Défendre les services à la population

Les membres de la CSQ votent en faveur de la grève

Entretien avec un contremaître

Ville de Fermont

Une 15 février, 2021

Entretien avec un contremaître

Lettre ouverte

Le milieu scolaire à bout de souffle

par Monica Chiasson

En respectant les consignes sanitaires, nous avons rencontré nos enseignantes et nos enseignants ainsi que notre personnel de soutien scolaire en décembre dernier afin de voir avec eux s’ils étaient favorables à un mandat de grève « équivalent à cinq jours à utiliser au moment jugé opportun ». Pour ce qui est du Centre de services du Fer, c’est-à-dire : Sept-Îles, Port-Cartier et Fermont, nos membres nous ont donné un mandat extrêmement clair. Le personnel de soutien scolaire a voté à 94 % en faveur du mandat de grève et les enseignants à 97%.

Maintenant, il faut que le gouvernement passe de la parole aux actes. La Coalition avenir Québec (CAQ) répète depuis des années que l’éducation est sa grande priorité, pourtant rien ne bouge aux différentes tables de négociations sectorielles et intersectorielles. Les mandats politiques ne sont pas au rendez-vous. Tout ce que nous proposons obtient une fin de non-recevoir.

Si vous demandez aux enseignantes et enseignants de Fermont quelles sont leurs priorités, ils vous parleront sans aucun doute de la complexification de la tâche, de la composition déséquilibrée des classes, des salaires les plus bas au Canada et de l’insuffisance des services pour les élèves.

Pour le personnel de soutien, il est très important de créer des postes avec le plus grand nombre d’heures possibles. Améliorer les conditions de travail et l’échelle salariale de nos membres soutien est prioritaire et devrait être urgent pour notre gouvernement afin de régler la pénurie de main-d’œuvre. Dans des régions comme les nôtres, le domaine privé est un concurrent très féroce. Donc c’est encore plus difficile de garder notre monde.

Le contrat de travail des enseignantes et des enseignants ainsi que celui du personnel de soutien scolaire sont échus depuis le 31 mars 2020. Nous ne voulions pas négocier pendant cette pandémie, nous voulions attendre, mais le gouvernement nous a forcé la main, maintenant il ne fait que gagner du temps aux tables de négociation.

Les mandats de grève feront peut-être bouger les choses. Nous avons à cœur la réussite éducative de nos élèves et ne souhaitons pas en arriver-là, mais si le gouvernement ne décide pas de faire de vraies négociations, nous le ferons. Lorsque l’employeur avec qui l’on négocie est le gouvernement, il n’y a pas énormément de façons de mettre de la pression.

Profil du SERF-CSQ

Le Syndicat de l’enseignement de la région du Fer-CSQ représente les quelque 1 500 membres des centres de services scolaires du Fer, du Littoral et de la Moyenne-Côte-Nord. Il compte parmi ses membres du personnel enseignant et du personnel de soutien scolaire de tous les secteurs. Il est affilié à la Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ), à la Fédération du personnel de soutien scolaire (FPSS-CSQ) et à la Centrale des syndicats du Québec (CSQ).

Partager

Publié le 15 février, 2021, dans la publication : Numéro_03 Volume 39

  • Centrale des syndicats du Québec
  • CSQ
  • Enseignants
  • Enseignement
  • Fermont
  • FPSS-CSQ
  • FSE-CSQ
  • Milieu scolaire
  • Monica Chiasson

Publié sur le site le 15 février 2021

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Ville de Fermont

Un nouveau souffle

par Éric Cyr

Le maire, Martin St-Laurent, est fier d’annoncer la nomination d’un nouveau directeur général à la Ville de Fermont, M. Claude Gagné, dont l’entrée en fonction est prévue pour la mi-mars. Spécialisé en gestion municipale et diplômé en administration des affaires, management et administration publique, M. Gagné a œuvré dans le milieu municipal au cours des trois dernières décennies.

Il quitte la région de Lanaudière où il dirigeait la municipalité de Sainte-Mélanie depuis quatorze ans. Auparavant, il a aussi exercé pendant douze ans les fonctions de directeur général et agent de développement pour la localité de Radisson à la Baie-James dans le Nord-du-Québec.

« Je suis particulièrement heureux de confier les responsabilités de la direction générale à M. Gagné. Il a démontré, tout au long du processus de sélection, plusieurs habiletés intéressantes. Il possède une formation générale et une expérience professionnelle très pertinente pour Fermont. M. Gagné a toute la confiance du conseil municipal et je tiens à lui souhaiter la meilleure des chances dans ses nouvelles fonctions », précise M. St-Laurent.

L’appel du Nord

« Je suis amoureux des grands espaces et du Nord et lorsque l’occasion de poursuivre ma carrière à Fermont s’est présentée, je n’ai pas hésité à postuler en souhaitant vivement obtenir le poste. Mon arrivée sur place s’accompagne d’une grande fierté et d’un désir de travailler en équipe avec les élus et les employés municipaux au service des Fermontoises et des Fermontois à qui je fais une seule promesse, celle de faire de mon mieux », explique M. Gagné qui croit beaucoup à l’importance d’être heureux au travail et de s’y plaire, à la prise en main régionale et locale, et qui est visiblement enthousiaste de relever ce nouveau défi qui s’aligne sur son parcours antérieur et sur son désir de renouer avec les grands espaces nordiques.

« Pour moi le Nord est un milieu de vie avant d’être un milieu de travail et j’avais éventuellement l’intention d’emprunter la TransQuébec-Labrador afin de découvrir le territoire même avant d’obtenir cet emploi. Il faut savoir apprivoiser l’isolement et composer avec l’éloignement géographique. J’ai déjà habité au bout de la route de la Baie-James non loin de la centrale hydroélectrique Robert-Bourassa à Radisson où la fréquence de la radio communautaire CIAU-FM 103,1 est la même qu’à Fermont. J’ai interprété ça comme un signe du destin. Je cherchais à retourner dans la taïga et j’ai insisté pour emprunter la route 389 lorsque je suis venu visiter Fermont avant mon embauche », confie l’homme de 55 ans qui adore l’hiver et les aurores boréales et qui a déjà parcouru en plus évidemment de la route de la Baie-James, la Transtaïga, la route du Nord, la route de l’Alaska, et qui s’est rendu au bout de la route 138 jusqu’à Kegaska en Basse-Côte-Nord, ce qui illustre bien que la distance n’a aucune emprise sur lui. « Mon fils est adulte et autonome, j’ai ma jeep et il me reste 10 ans d’essence dans le réservoir avant la retraite. » Bienvenue à Fermont M. Gagné.

Partager

Publié le 15 février, 2021, dans la publication : Numéro_03 Volume 39

  • Administration publique
  • Claude Gagné
  • Directeur général
  • Fermont
  • Maire Martin St-Laurent
  • Mairie
  • Milieu municipal
  • MRC de Caniapiscau
  • Ville de Fermont

Publié sur le site le 15 février 2021

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Centraide Duplessis

Générosité exemplaire d’entreprises et de leurs travailleurs

par Éric Cyr

Au début février de cette année particulièrement difficile pour l’ensemble du réseau communautaire de la région, ArcelorMittal Mines et Infrastructure Canada (AMEM) et le Syndicat des Métallos par le biais de ses cinq sections locales ont permis de remettre un généreux montant de 100 000 $ à Centraide Duplessis. Rio Tinto IOC et ses employés ont pour leur part alloué une somme de 101 179 $ à l’organisation caritative.

« En ces temps de crise, les besoins des organismes ne cessent d’augmenter. Nous sommes heureux que ce travail de collaboration et d’entraide avec nos employés nous permette de faire une réelle différence au sein de notre communauté. C’est aussi cela, concrètement, la transformation que nous avons entrepris pour notre organisation », a déclaré le président et chef de la direction d’AMEM, Mapi Mobwano.

« La solidarité est au cœur de nos actions et les bienfaits de Centraide Duplessis pour nos communautés sont inestimables. Grâce à cet organisme, on contribue à réduire les inégalités sociales », a commenté le coordonnateur régional des Métallos pour la Côte-Nord, Bas-Saint-Laurent, Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine et coprésident de la campagne de Centraide Duplessis, Nicolas Lapierre.

Du côté de Rio Tinto IOC, la campagne Centraide dans le milieu de travail aura permis d’amasser plus de 50 000 $ de la part des employés grâce aux déductions à la source auxquels l’entreprise ajoute 50 000 $ additionnels. La contribution majeure des employés et de la compagnie s’élève pour une troisième année consécutive à un montant supérieur à 100 000 $. « La mission de Centraide Duplessis est essentielle pour notre communauté. En cette période particulière, nous constatons l’essence même d’un engagement continu lorsque l’imprévisible se produit. Nous sommes heureux de réaffirmer l’engagement des employés et de la Compagnie minière IOC envers l’amélioration de la qualité de vie des gens en contexte de vulnérabilité par l’entremise des actions de Centraide Duplessis. Je tiens à remercier tous les employés pour leur générosité, ils démontrent encore une fois, par leur soutien, que le travail des organismes communautaires est essentiel et reconnu », mentionne le directeur général, Chemin de fer, Port et Énergie chez IOC, José Riopel.

« Nous sommes privilégiés de pouvoir compter sur des partenaires aussi engagés pour nous appuyer dans notre mission. Avec la crise que nous traversons actuellement, nous avons dû revisiter nos actions de sensibilisation en entreprises. La mobilisation des minières et de leurs employés s’est tout de suite ressentie et nous leur en sommes reconnaissants », affirme la directrice générale de Centraide Duplessis, Joannie Francoeur-Côté.

L’aluminerie Alouette de Sept-Îles et ses employés avaient versé 150 000 $ à Centraide Duplessis à la fin novembre 2020 à la suite de la campagne annuelle auprès des travailleurs qui a permis de recueillir des engagements totalisant plus de 50 000 $ en déduction à la source. L’entreprise a ajouté 100 000 $ soit 50 000 $ de plus que prévu en raison du contexte lié à la pandémie.

Centraide Duplessis est une organisation philanthropique autonome, gérée par un conseil d’administration bénévole. L’organisation recueille des dons auprès de la population et des entreprises de son territoire pour soutenir un vaste réseau d’organismes communautaires. Ces derniers œuvrent au quotidien à assurer l’essentiel, à bâtir des milieux de vie rassembleurs, à briser l’isolement social ainsi qu’à soutenir la réussite des jeunes. Sa mission est de contribuer au renforcement de la collectivité et à l’amélioration de la qualité de vie des gens en contexte de vulnérabilité en misant sur l’entraide, l’engagement et l’action concertée.

Partager

Publié le 15 février, 2021, dans la publication : Numéro_03 Volume 39

  • Alouette
  • Aluminerie
  • ArcelorMittal
  • Centraide Duplessis
  • Générosité Côte-Nord
  • Organisation philanthropique
  • Organisme caritatif
  • Réseau communautaire
  • Rio Tinto IOC
  • Solidarité ouvrière
  • Syndicat des Métallos

Publié sur le site le 15 février 2021

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Défendre les services à la population

Les membres de la CSQ votent en faveur de la grève

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Représentant 125 000 personnes concernées par les négociations du secteur public œuvrant en éducation, en enseignement supérieur et en santé, la Centrale des syndicats du Québec (CSQ) et ses fédérations, accompagnées de l’Association provinciale des enseignants et des enseignantes du Québec (APEQ-QPAT), rapportent que leurs membres appuient à 73 % la tenue d’une grève.

Les organisations dénoncent le statu quo qui perdure aux tables de négociations et des offres gouvernementales qui, tout en étant inflexibles, ne permettent pas de répondre aux besoins, sur le terrain, des écoles, des cégeps ainsi que des centres et des établissements de santé. Les assemblées virtuelles s’étant déroulées aux quatre coins du Québec dans le respect des consignes de la Santé publique, chaque syndicat membre de la CSQ devait se prononcer sur un mandat de grève équivalant à cinq jours à exercer au moment jugé opportun. Les membres de la CSQ se réuniront prochainement en instance décisionnelle afin de déterminer les balises de l’exercice de ces mandats.

Tendre la main aux élus

Pour la présidente de la CSQ, Sonia Éthier, les travailleuses et les travailleurs envoient un message très clair au gouvernement du Québec dans le contexte de la rentrée de l’Assemblée nationale. « C’est précisément parce que nos 125 000 membres ont à cœur la défense des services à la population, ceux de leurs élèves, de leurs étudiants et de leurs patients qu’ils appuient la grève. À l’aube de la reprise des travaux parlementaires, nous lançons un appel à l’ensemble des élus pour porter la voix de l’éducation, de l’enseignement supérieur et de la santé. » Selon cette dernière, les membres de la CSQ vivent une crise sans précédent de leurs conditions de travail au quotidien à cause de l’austérité des dernières années qui a poussé les écoles, les cégeps, les centres et établissements de santé à leur limite. Alors que la pandémie met en lumière l’incapacité du système à répondre aux besoins, le gouvernement n’offre aucune réponse structurelle aux problèmes de fond vécus depuis trop longtemps, qui rendent malade ou qui causent des démissions.

Sonia Éthier dénonce le fait que les solutions à la pièce, annoncées au jour le jour, font fi de la réalité du terrain. « Nous attendons le coup de barre promis par le gouvernement Legault pour répondre aux besoins de la population. Les travailleuses et les travailleurs n’en peuvent tout simplement plus de porter à bout de bras leurs établissements par manque de ressources, trop souvent au péril de leur santé ». La présidente de la CSQ souligne que ce n’est pas de gaieté de cœur que les membres appuient la grève, moyen de pression ultime, mais que cette solution s’impose devant la fermeture totale du gouvernement aux tables de négociations du secteur public. Malgré les promesses de la Coalition avenir Québec (CAQ), qui se sont accumulées au fil des ans, la syndicaliste se désole de constater l’intransigeance du gouvernement de François Legault qui consiste fondamentalement à voir les services publics comme des dépenses plutôt que des investissements.

« Cela fait des années que les appels à l’aide, les dénonciations et les cris de détresse sur le terrain sont ignorés par le gouvernement. Nous continuerons à porter le message de nos membres disant qu’il faut que ça change maintenant ! », conclut Sonia Éthier.

Dossiers parlementaires à suivre

La CSQ surveillera de près l’évolution de plusieurs autres dossiers durant la session parlementaire actuelle. Après avoir participé aux consultations sur la réforme de la santé et de la sécurité du travail, la Centrale souhaite que des changements soient apportés au projet de loi no. 59 dans le cadre de l’étude détaillée. Elle suivra également de près la refonte de la Charte de la langue française. Finalement, elle portera une attention particulière à l’avancement du projet de loi no. 83 sur l’accès des enfants dont les parents ont un statut migratoire précaire aux régimes d’assurance maladie et d’assurance médicaments.

Les fédérations du secteur public de la CSQ sont les suivantes :

Fédération des syndicats de l’enseignement (FSE-CSQ)

Fédération du personnel de soutien scolaire (FPSS-CSQ)

Fédération des professionnelles et professionnels de l’éducation du Québec (FPPE-CSQ)

Fédération des enseignantes et enseignants de cégep (FEC-CSQ)

Fédération du personnel de soutien de l’enseignement supérieur (FPSES-CSQ)

Fédération du personnel professionnel des collèges (FPPC-CSQ)

Fédération de la Santé du Québec (FSQ-CSQ)

L’APEQ-QPAT négocie en cartel avec la FSE-CSQ.

Partager

Publié le 15 février, 2021, dans la publication : Numéro_03 Volume 39

  • APEQ-QPAT
  • Centrale des syndicats du Québec
  • CSQ
  • Enseignants
  • Enseignement
  • FEC-CSQ
  • FPPC-CSQ
  • FPPE-CSQ
  • FPSES-CSQ
  • FPSS-CSQ
  • FSE-CSQ
  • FSQ-CSQ

Publié sur le site le 15 février 2021

  • Publication précédente
  • Prochaine publication

Ville de Fermont

Entretien avec un contremaître

par Éric Cyr

Originaire de Fermont, l’un des deux contremaîtres aux Services techniques de la Ville de Fermont, Enrick Girard, est dans son élément au garage municipal où se situe son bureau. Ce dernier, embauché à ce poste il y a un an, aime bien la polyvalence que lui permet son emploi et les tâches diversifiées qu’il doit accomplir dans le cadre de ses fonctions.

Les tâches de ce superviseur de 18 employés se concentrent principalement sur l’état des routes, l’entretien des chemins, le déneigement, l’éclairage des rues (lampadaires), la signalisation et les stationnements ainsi que la mécanique. Avant de s’orienter vers ce nouveau travail, ce dernier a travaillé à la mine de fer du Mont-Wright durant une dizaine d’années entre autres en tant que soudeur, chargé de projet, délégué en santé et sécurité. Il a aussi été auparavant compagnon, monteur-mécanicien, vitrier et charpentier-menuisier et a fondé en parallèle une entreprise en inspection de bâtiments. Il souhaitait relever un nouveau défi à échelle plus humaine et ces nouvelles fonctions lui semblaient appropriées à ses aspirations.

Le père de famille de deux enfants est très heureux dans son nouvel environnement professionnel. « J’aime l’ambiance de travail et la camaraderie qui règne au sein de l’équipe. Évidemment, il y a une certaine routine qui s’installe, mais il y a toujours des imprévus qui nécessitent une grande adaptabilité principalement à cause des caprices de dame Nature, qui exigent de prendre en considération les nouvelles réalités climatiques comme les écarts de température et le verglas, de l’éloignement géographique, et plus récemment de la Covid-19 » confie M. Girard, qui explique que la débrouillardise est de mise quand il faut composer avec certains facteurs imprévus, mais que le domaine préventif détrône les interventions d’urgence. « Mes collègues sont très proactifs et anticipent les besoins et les exigences, ce qui économise des coûts pour les contribuables. » D’ailleurs, lui et son équipe, en collaboration avec le Service des loisirs et de la culture, ont récemment travaillé à l’élaboration d’infrastructures destinées à proposer de nouvelles activités familiales extérieures en contexte de pandémie : un anneau de glace et une glissade.

« Quand je constate le sourire et la joie des enfants qui peuvent profiter de ces nouvelles installations, c’est ma récompense pour les efforts consentis par moi-même et les ouvriers que je dirige. »

Interventions diversifiées

« Les employés de la Ville se font souvent aborder par des citoyens pour toutes sortes de raisons qui peuvent aller de quelqu’un qui s’est embourbé dans la neige avec son auto à un enfant en pleurs qui s’est égaré et qui cherche ses parents, ou simplement afin de discuter de certaines problématiques particulières qui nécessitent notre attention. Nous sommes toujours ouverts au dialogue constructif, ce qui peut parfois nous amener à améliorer et à changer nos façons de procéder. Par exemple, nous avons modifié la méthode de nivellement des chemins cette année afin d’accommoder les motoneigistes. On laisse dorénavant environ 2 cm de glace ou de neige durcie pour faciliter leurs déplacements entre leur domicile et les pistes. Nous avons aussi installé des pancartes lumineuses dans le secteur du corridor scolaire afin d’inciter les automobilistes à la prudence », conclut M. Girard.

Partager

Publié le 15 février, 2021, dans la publication : Numéro_03 Volume 39

  • Cols bleus
  • Contremaître
  • Enrick Girard
  • Fermont
  • Garage municipal
  • Ouvriers
  • Services techniques
  • Superviseur
  • Ville de Fermont

Publié sur le site le 15 février 2021

  • Publication précédente
  • Prochaine publication
Journal le Trait d'Union du Nord
  • Contactez-nous
  • Devenez membre
  • Annoncer avec nous
  • Le journal
  • L’Équipe
  • Historique
  • Distinctions
  • M’inscrire à l’infolettre

Le journal est membre :

  • de l'Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ) et
  • du Conseil de la culture et des communications de la Côte-Nord (CRCCCN).

La conception de ce site Web s'inscrit de dans le cadre de la mise en oeuvre du Plan culturel numérique du Québec (www.culturenumerique.mcc.gouv.qc.ca)

 

Le média écrit aimerait remercier tous ceux qui nous ont soutenus au cours des années et qui contribuent à la pérennité de ses activités :

  • Culture et Communications Québec
  • Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ)
  • MRC de Caniapiscau
  • Ville de Fermont
  • ArcelorMittal Exploitation Minière Canada
© Journal le Trait d'Union du Nord, Tous droits réservés.
Conception mamarmite