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  • Numéro 09

  • Des ateliers dans les écoles de Fermont

    Musique folklorique traditionnelle

    Des ateliers dans les écoles de Fermont

  • Le Mont-Wright en substance  et en informatique

    Site minier et réalité virtuelle

    Le Mont-Wright en substance et en informatique

  • Beaucoup plus  qu’une option scolaire

    Volet alternatif à Fermont

    Beaucoup plus qu’une option scolaire

  • Le Québec et le Labrador pavent la voie

    Réseau routier et mines

    Une 14 mai, 2018

    Le Québec et le Labrador pavent la voie

Numéro 09

Des ateliers dans les écoles de Fermont

Musique folklorique traditionnelle

Des ateliers dans les écoles de Fermont

Le Mont-Wright en substance  et en informatique

Site minier et réalité virtuelle

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Beaucoup plus  qu’une option scolaire

Volet alternatif à Fermont

Beaucoup plus qu’une option scolaire

Le Québec et le Labrador pavent la voie

Réseau routier et mines

Une 14 mai, 2018

Le Québec et le Labrador pavent la voie

Musique folklorique traditionnelle

Des ateliers dans les écoles de Fermont

par Éric Cyr

Le musicien André Varin a effectué, au début avril, un survol de la tradition musicale au pays en initiant les élèves fermontois de l’école Des Découvertes, de la polyvalente Horizon-Blanc et de la commission scolaire anglophone Eastern Shores à des airs folkloriques, au chant, à la danse, et à certains instruments parfois méconnus et inusités.

Troubadour des temps modernes

Très demandé depuis plusieurs années dans le cadre du programme La culture à l’école, l’auteur-compositeur-interprète, chanteur et guitariste a lancé son premier album country à 12 ans et a déjà participé à l’émission télévisée Pour l’amour du country. « Je m’amuse, j’ai du plaisir à faire ça. » Ce véritable pédagogue polyvalent réussit à intéresser les jeunes aux chansons à répondre, à la turlutte, à la guimbarde, aux cuillères de bois, au bonhomme gigueur, à la planche à laver et à la tradition terre-neuvienne du ugly stick. Il entraîne son jeune public dans la danse et fait véritablement revivre les sets carrés (quadrilles canadiens) endiablés à l’aide de la technique de podorythmie (taper du pied) en plus d’accompagner sa musique d’un harmonica (appelée communément musique à bouche par les Québécois et ruine-babines par les Acadiens).

Père de cinq enfants, il aime contribuer à inciter les jeunes à développer un intérêt pour la musique. « Le folklore d’ici est unique au monde. Cette musique est en voie de disparition chez les Occidentaux et j’essaie de la ressusciter et de préserver ce trésor à ma façon en tentant de transmettre la flamme à la relève. »

Ce passionné a participé à de nombreux festivals de musique à travers le monde et a beaucoup d’anecdotes savoureuses à raconter dont celle de la fois où il a reçu en cadeau un instrument à cordes d’un musicien malgache, un valiha, une variété de cithare tubulaire en bambou du Madagascar et le moment où il a entendu pour la première fois le son du ehru, une vièle chinoise verticale qui se compose de deux cordes et a été inventée il y a plus d’un millénaire. « Quand tu pratiques ce style de musique là, tu dois accepter de beaucoup voyager. »

FolkloFolie

Ancien membre du groupe Chakidor, André Varin évolue aujourd’hui au sein de la formation, FolkloFolie, qu’il a fondée en 2014 avec sa compagne, la violoniste Marie-Claude Gagnon, qui l’a accompagné dans la région. Cette ancienne enseignante a une maîtrise en biologie moléculaire et a étudié le violon classique avec Angèle Dubeau. Le duo de Gatineau en Outaouais a d’ailleurs offert un spectacle énergique et dynamique durant la partie de sucre annuelle de l’Association francophone du Labrador à Labrador City où jeunes et moins jeunes s’en sont donnés à cœur joie au son de cette musique festive et rythmée, le 15 avril dernier. FolkloFolie a produit deux albums Vivement Noël et FolkloFolie. André Varin a aussi sorti un album solo Belle éclaircie.

Pour plus d’info, consultez la page Facebook : Folklofolie et le site internet : https://andrevarin.com/wp/folklofolie/

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Publié le 14 mai, 2018, dans la publication : Numéro 09 Volume 36

  • André Varin
  • Ateliers scolaire
  • Commission scolaire anglophone Eastern Shores
  • école Des Découvertes
  • Élèves fermontois
  • Fermont
  • FolkloFolie
  • Marie-Claude Gagnon
  • Musique folklorique traditionnelle
  • Polyvalente Horizon-Blanc
  • Projet La culture à l'école

Publié sur le site le 14 mai 2018

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Site minier et réalité virtuelle

Le Mont-Wright en substance et en informatique

par Éric Cyr

Une foule d’activités ont été organisées dans toutes les régions du Québec afin de célébrer le dynamisme et la vitalité de son secteur minier dans le cadre de la semaine minière 2018, une initiative de l’Association minière du Québec (AMQ), qui s’est déroulée du 30 avril au 6 mai. La minière ArcelorMittal a pris part avec enthousiasme à cet événement annuel. Des élèves de troisième secondaire du cours Projet personnel d’orientation (PPO) ont eu l’occasion de visiter les installations minières de la mine du Mont-Wright, le 3 mai dernier, et la population a été par la suite invitée à vivre une expérience de réalité virtuelle à la Maison des jeunes Alpha, en compagnie de représentants des relations publiques de l’entreprise.

Le public principalement composé d’enfants et d’adolescents accompagnés de leurs parents a pu  découvrir « l’univers gigantesque de la mine du Mont-Wright » située à proximité de Fermont, en visionnant des images en trois dimensions (3D) de celle-ci grâce à des lunettes spéciales adaptées, dont deux paires plus sophistiquées qu’on aurait dit sorties tout droit d’un film de science-fiction.

Le futur est à nos portes

« Il nous tient à cœur d’être au plus proche de nos communautés d’appartenance et de partager avec elles le monde géant de notre mine du Mont-Wright, ainsi que nos expertises, métiers et formations. De plus, nous souhaitons être un acteur du changement et de la transformation par le numérique. L’utilisation de la réalité virtuelle n’est qu’une première étape dans notre virage technologique. Nous sommes heureux et fiers d’avoir pu faire vivre une expérience immersive en 360 à notre communauté de Fermont », explique une porte-parole du service des communications d’ArcelorMittal AMEM / AMIC, Marjorie Sittler. Cette opération de relations publiques cache à peine un objectif sous-jacent qui est de stimuler l’intérêt de la relève en révélant toute la splendeur et la grandeur de l’une des plus grosses mines à ciel ouvert au pays grâce à cette technologie futuriste qui sert d’outil pédagogique d’avant-garde.

Les jeunes ont évidemment été impressionnés de pouvoir admirer en détail les différentes facettes des opérations minières, en réel et en virtuel, et ont pu poser des questions et échanger avec les intervenants sur place ou entre deux bouchées de hors-d’oeuvre.

On pourrait dire sans employer de mauvais jeu de mots que leur champ oculaire pourrait les diriger vers un champ de compétence recherché par l’industrie minière qui est en mode séduction afin d’attirer de nouveaux talents. C’est en effet un monde de possibilités de carrières et de foyers d’innovations qui présentent des défis emballants dans une industrie à la fine pointe de la technologie, à des années-lumière de l’image dépassée que certains s’en font encore, qui attend ceux qui démontrent un intérêt pour le domaine minier et qui ont la motivation de faire des études orientées en ce sens.

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Publié le 14 mai, 2018, dans la publication : Numéro 09 Volume 36

  • AMEM
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  • Association minière du Québec
  • Cours Projet personnel d'orientation
  • Fermont
  • Maison des jeunes Alpha
  • Mine Mont-Wright
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  • Secteur minier
  • Semaine minière 2018
  • Univers gigantesque

Publié sur le site le 14 mai 2018

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Volet alternatif à Fermont

Beaucoup plus qu’une option scolaire

par Éric Cyr

Le comité fondateur pour un volet alternatif à l’école Des Découvertes a invité un conférencier qui a été directeur d’écoles alternatives durant plus de 36 ans, Michl Nicholson, pour une journée de formation et d’informations. Celui-ci s’est d’abord entretenu avec l’équipe-école durant la journée avant de participer à une rencontre et discussion avec la population, suivie de la présentation du film documentaire de Jacynthe René, Grandir heureux, traitant de ce concept unique d’enseignement, le 27 avril dernier au Centre multifonctionnel Cliffs.

L’école alternative semble un sujet riche et inspirant pour les cinéastes puisque l’an dernier, c’est la réalisatrice Liane Simard, qui avait présenté à Fermont son documentaire Il était 6 fois, retraçant le parcours d’enfants d’une école alternative sur une période de six ans. « Une école alternative c’est une école très structurée, mais non structurante. Dans notre école, la gestion participative est au cœur de nos paroles et de nos gestes », confie M. Nicholson qui explique que ce type d’approche se démarque du modèle classique et se veut un milieu de vie chaleureux qui repose sur cinq grands principes : la démocratie, l’engagement, le sens communautaire, l’innovation et la réalisation de soi. « C’est aussi un milieu de vie humaniste où l’intervention est éducative plutôt que punitive, répressive ou coercitive. Le rapport adulte-enfant est quelque peu remodelé puisque l’approche de cette philosophie est centrée sur la complémentarité au lieu du rôle d’autorité traditionnel. »

Siffler en apprenant…

L’école alternative est centrée sur l’élève parce qu’elle a foi en son potentiel et veut que celui-ci demeure l’artisan de son propre devenir et honore son originalité afin qu’il puisse contribuer à la progression du monde par sa créativité. Une particularité pédagogique de cette formule innovatrice qui respecte le rythme de chacun est que chaque élève construit ses formations à partir de ses intérêts, de ses besoins et de ses préoccupations et le projet de l’élève occupe une grande place au sein des activités vécues à l’école. Comme c’est le cas dans les autres institutions d’enseignement conventionnelles, les apprentissages prescrits dans le programme de formation de l’école québécoise sont obligatoires, mais le chemin pour y arriver diffère.

« Réussir sa vie, c’est être heureux. Pour être heureux, je dois l’être à l’école, à la maison, avec les amis, dans mes loisirs, etc. L’école est un outil et non pas le tremplin ultime pour réussir ma vie. L’école actuelle mise sur les résultats et la performance, mais l’élève est-il heureux à l’école? Que fait-on du développement global de l’enfant? Quelle importance accordons-nous à l’estime de soi, à la confiance en soi, aux relations sociales? L’élève a-t-il donné son maximum (dans une école alternative, respecter le rythme de l’élève signifie donner son maximum); si oui, peu importe les résultats, je lui lève mon chapeau. Il est facile de s’activer les babines (paroles), mais que fait-on des bottines (gestes) et du style d’intervention? Il ne faut pas perdre de vue qu’un élève est avant tout un enfant. Il doit performer pour qui? Ses parents, la commission scolaire, le 1 à 2 % de la population mondiale qui possède la quasi-totalité de la richesse? Réussir sa vie ça signifie quoi? C’est d’abord être heureux! Il s’agit ici de réussir à créer des situations favorisant le plaisir et le bonheur tout en apprenant. Il s’agit de respecter les enfants dans ce qu’ils sont capables de donner. Cette méthode d’enseignement n’est pas opposée à l’évaluation, qui fait partie de l’apprentissage, mais contre la notation. »

Pour plus d’info, consultez la page Facebook : volet alternatif – école Des Découvertes et le site internet du Réseau des écoles publiques alternatives du Québec : repaq.org

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Publié le 14 mai, 2018, dans la publication : Numéro 09 Volume 36

  • Commission scolaire du fer
  • Concept unique d'enseignement
  • École Des Découvertes à Fermont
  • Fermont
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  • Réseau des écoles publiques alternatives du Québec
  • Volet alternatif

Publié sur le site le 14 mai 2018

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Réseau routier et mines

Le Québec et le Labrador pavent la voie

par Éric Cyr

Les gouvernements du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador unissent leurs forces pour mettre en valeur la fosse du Labrador, une région géologique riche en gisements minéraux, dont du fer et des terres rares, et pour améliorer et développer leurs infrastructures routières. Les deux gouvernements travailleront dorénavant de concert afin d’accroître leurs économies respectives et ont conclu une entente de coopération à ce sujet, le 12 avril dernier.

Les premiers ministres du Québec, Philippe Couillard, et de Terre-Neuve-et-Labrador, Dwight Ball, ont procédé à l’annonce de ce nouveau partenariat à Québec. « Cette collaboration facilitera le développement du potentiel minier et fera la promotion de la création d’emplois de haute qualité qui bénéficieront à l’ensemble des populations concernées, tant autochtones que non autochtones, du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador », peut-on lire dans un communiqué émanant du bureau du premier ministre québécois.

Cette entente prévoit des travaux conjoints visant à améliorer la collaboration dans plusieurs secteurs d’intérêts notamment l’information géotechnique et l’aménagement du territoire, les infrastructures du secteur minier, la main-d’œuvre et les compétences, le développement des télécommunications et l’amélioration des processus gouvernementaux et du soutien aux entreprises.

Eurêka! La boucle

Les économies du Québec (en particulier de la Côte-Nord) et du Labrador sont intimement liées et la logique veut que le développement du territoire nordique passe nécessairement par des infrastructures adéquates de transports afin de créer un corridor économique favorable entre les deux provinces. Cet accord inclut l’amélioration et l’extension des infrastructures routières, dont la poursuite, par le gouvernement du Québec, des travaux de construction de la route 138 et l’amélioration de la route 389, qui rejoignent toutes deux le Labrador et qui pourraient former une boucle, l’autoroute transquébeclabrador, au cours des prochaines années.

D’abord la 389 ensuite la 138

Le dernier budget de Québec prévoit un montant de 232 millions de dollars pour le prolongement de la 138 dans le cadre du Plan Nord. Le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador, qui dispose déjà d’une excellente route asphaltée au Labrador, la 500, s’engage quant à lui à poursuivre les améliorations en chantier de la route 510 qui rejoint la 500 pour former l’autoroute translabradorienne et a également publié une étude de faisabilité qui évalue les possibilités relatives à la construction d’une liaison fixe, un tunnel, entre le Labrador et l’île de Terre-Neuve et dont le projet est évalué à 1,7 milliard de dollars.

Relation géographique stratégique

« La relation que nous entretenons avec Terre-Neuve-et-Labrador franchit aujourd’hui une nouvelle étape. Nous partageons une vision commune et celle-ci se traduit par la signature de cette entente. Les collaborations annoncées dans les secteurs des mines et du transport permettront de faire croître nos économies », confie Philippe Couillard qui compte sur le fort potentiel minier de la fosse du Labrador afin d’alimenter les infrastructures de la Société ferroviaire et portuaire de Pointe-Noire à Sept-Îles sur la Côte-Nord et notamment le fameux quai multiusager.

Pour sa part, son homologue terre-neuvien Dwight Ball parle d’un : « accord de coopération qui offre un potentiel excitant. En travaillant ensemble, nous pouvons tirer parti des forces de notre industrie minière internationalement reconnue pour inviter de nouveaux investissements, accroître l’activité minière et susciter la création d’emplois. Nous sommes également mieux placés pour faire progresser les infrastructures de transport qui renforcent les corridors commerciaux et favorisent le développement économique et communautaire. Je suis optimiste quant au potentiel qui découlera de cet accord. »

Le ministre québécois de l’Énergie et des Ressources naturelles et responsable du Plan Nord, Pierre Moreau, explique que ce partenariat permettra de concrétiser des projets communs en facilitant entre autres l’accès au secteur plus au nord en créant « un corridor de transport terrestre entre le Québec et Terre-Neuve-et-Labrador ».

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Publié le 14 mai, 2018, dans la publication : Numéro 09 Volume 36

  • Fosse du Labrador
  • Gouvernement du Québec et de Terre-Neuve-et-Labrador
  • Infrastructures routièresRégion géologique riche
  • Relation géographique
  • Réseau routier Canadien
  • Route 389
  • Terre-Neuve-et-Labrador

Publié sur le site le 14 mai 2018

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