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  • Numéro 16

  • Une foire agricole réussie

    Le marché des fermiers

    Une foire agricole réussie

  • Un terreau fertile  à Fermont

    Cultiver l’avenir

    Un terreau fertile à Fermont

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    Nature et environnement

    Des Éco héros à Fermont

  • Période d’information et de consultation des renseignements

    Deux nouveaux bassins à la mine du Mont-Wright

    Une 9 octobre, 2017

    Période d’information et de consultation des renseignements

Numéro 16

Une foire agricole réussie

Le marché des fermiers

Une foire agricole réussie

Un terreau fertile  à Fermont

Cultiver l’avenir

Un terreau fertile à Fermont

Des Éco héros à Fermont

Nature et environnement

Des Éco héros à Fermont

Période d’information et de consultation des renseignements

Deux nouveaux bassins à la mine du Mont-Wright

Une 9 octobre, 2017

Période d’information et de consultation des renseignements

Le marché des fermiers

Une foire agricole réussie

par Éric Cyr

Légende : L’entreprise agricole Pousse partout! a fièrement représenté Fermont lors du marché des fermiers au Labrador.

La première édition du marché des fermiers (Farmers Market) qui s’est tenue en face du lac Tanya, à la Légion royale canadienne et à la loge des scouts sur la rue Baden Powell non loin du centre commercial Mall à Labrador City a attiré une foule nombreuse de plusieurs centaines de personnes, le 30 septembre dernier, malgré une température très froide. Des cultivateurs, des producteurs maraîchers, des boulangers et des pâtissiers de la région ont pu exposer et faire connaître leurs produits à un vaste public. Un volet artistique a aussi été présenté incluant des artistes et artisans et de la musique.

Plusieurs résidents du Labrador ont découvert la jardinerie Pousse partout! qui proposait des arbustes et vivaces ainsi que des fines herbes en pots pour l’occasion. La propriétaire Francine Marcoux était heureuse d’être ambassadrice de Fermont : « Ce rassemblement nous a permis de faire rayonner l’entreprise au Labrador. » Elle était accompagnée d’une bénévole bilingue, Johanne Beaulieu, dont l’appui a été très apprécié. Les membres des Jardins communautaires du Labrador Ouest ont fait don d’une partie de leurs récoltes (surtout des patates et des carottes) afin de les mettre en vente dans le cadre d’une collecte de fonds pour la banque alimentaire du Labrador Ouest et les Olympiques spéciaux. Ils ont amassé un montant de 2 251 $ qui sera divisé à parts égales entre ces deux organismes caritatifs.

Des pommes de terre seront aussi ensachées et distribuées aux plus démunis. Le trésorier de l’organisme, Yves Cyr, tient à remercier les cultivateurs locaux et ceux qui ont contribué à ces causes en achetant ces produits spécifiques. Deux producteurs de Happy Valley-Goose Bay étaient aussi sur place, Des Sellers de Nature’s Best Farm avec un choix varié de légumes biologiques et Tom Angiers de Spruce Meadow Farms qui s’occupe aussi de Noah’s Arc Petting Barn, une grange composée d’animaux de ferme domestiqués dont quelques-uns étaient sur place au grand bonheur des enfants.

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Publié le 9 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 16 Volume 35

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Publié sur le site le 11 octobre 2017

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Cultiver l’avenir

Un terreau fertile à Fermont

par Éric Cyr

Légende : Le groupe fier de ses apprentissages et d’avoir terminé la préparation pour l’hivernation des trois buttes en permaculture du jardin qui sera semé au printemps.

La jardinerie Pousse partout!, située dans le parc industriel de Fermont, a accueilli un agronome, le 1er octobre dernier, dans le cadre du projet innovateur de coopérative de solidarité agroalimentaire que souhaitent implanter des citoyens fermontois. Laurier Tremblay qui travaillait auparavant à Agriculture, Pêcheries et Alimentation Québec (MAPAQ) a été mandaté par Permanord, qui aide au démarrage de projets locaux et dont l’objectif est de mettre en place une nouvelle approche communautaire développée dans les années 1970 et qui prend de plus en plus d’essor au Québec, la permaculture. Cette méthode permet de dynamiser le secteur maraîcher et de répondre aux besoins de diversification d’un marché local et régional. Le spécialiste est venu enseigner les rudiments de la permaculture aussi appelée agriculture permanente. Ce dernier était épaulé par un technicien, Philippe Arnaud-Tremblay, d’Agriboréal Service-conseil, qui offre une expertise en agriculture partout sur la Côte-Nord et la Basse-Côte-Nord.

Une quinzaine de bénévoles locaux ont pu profiter d’une formation pratique où ils ont été initiés à l’adoption de pratiques de conservation inspirées d’une philosophie qui prône de travailler de concert avec la nature plutôt que contre celle-ci grâce à une approche agroécologique. Celle-ci vise l’amélioration de la biodiversité et une cohabitation harmonieuse avec le milieu incluant la gestion des matières fertilisantes et la protection des cours d’eau. La permaculture est une approche favorisant l’aménagement des écosystèmes « artificiels »  ou « cultivés » basée sur les structures et les interrelations qui existent déjà dans la nature. Cette stratégie s’oriente vers la conception et la réalisation d’aménagements écologiques, socialement équitables et économiquement viables puisqu’une production agricole basée sur les principes de la permaculture doit absolument être rentable tout en tenant compte de la notion d’équité, autrement, elle n’est pas durable. Pour être durable, elle doit également être écologiquement soutenable tout en permettant une intégration des activités humaines avec les écosystèmes naturels. En bref, c’est un instrument de développement d’une agriculture basée sur une approche systémique qui tient compte de l’impact de l’humain sur la terre et ses ressources et qui regroupe plusieurs disciplines dont l’agronomie, la science des sols, la microbiologie, l’économie et les sciences sociales entre autres.

La permaculture vise l’adaptation des systèmes de production aux écosystèmes locaux en privilégiant le recyclage, la réutilisation des intrants et l’utilisation des ressources disponibles sur place. Les produits issus de la permaculture s’inscrivent dans les tendances actuelles : produits locaux, frais, santé, exempts de pesticides et d’OGM.

Les bénévoles ont réalisé, dans le cadre d’une formation pratique, un premier jardin qui constituera un échantillon représentatif qui pourra servir à faire la promotion de leurs aspirations. Selon l’agronome Laurier Tremblay, qui envisage de revenir cet hiver afin de donner un enseignement théorique : « Le principe est associé à ce qui se passe en forêt et s’inspire d’un modèle forestier. C’est une agriculture axée sur la performance, mais adaptée au milieu avec le moins d’intervention possible tout en respectant l’écosystème et en utilisant les intrants sur place. »

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Publié le 9 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 16 Volume 35

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Publié sur le site le 11 octobre 2017

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Nature et environnement

Des Éco héros à Fermont

par Éric Cyr

Légende : Linus, la buse de Harris a volé la vedette aux présentateurs en émerveillant les enfants fermontois.

Deux représentants de l’organisme Éco héros (Earth Rangers) étaient de passage au gymnase du Centre éducatif de Fermont, le 25 septembre dernier, dans le cadre d’une présentation pour sensibiliser les enfants à l’importance de l’environnement, de la biodiversité et du développement durable. La mission de l’association consiste à responsabiliser et à inciter la relève de demain à adopter des comportements durables tout en lui donnant les moyens de devenir directement impliquée dans la protection des animaux et de leurs habitats. Cette activité scolaire inspirante destinée aux élèves fait la promotion de programmes de conservation qui aident à protéger la faune canadienne en proposant les outils nécessaires pour participer à cette cause.

Rescaper la nature grâce à l’éducation

Saviez-vous que 25 % de la forêt boréale, la plus grande superficie au monde, se retrouve au Canada et abrite des millions d’animaux? Un total de 4 milliards d’oiseaux migrateurs s’y retrouve aussi durant leur périple. La nouvelle génération est plus sensibilisée et renseignée sur les enjeux environnementaux. Les enfants adorent les animaux et veulent contribuer à les protéger, c’est la raison pour laquelle plus de 100 000 enfants de partout au Canada, qui compte 39 parcs nationaux d’une superficie de 300 000 km2, ont signé pour devenir des éco héros certifiés. Ce programme éducatif incite les jeunes à adopter des mesures concrètes pour sauvegarder les animaux et leurs habitats. La présentatrice et dresseuse d’animaux Carine Nolet, qui a étudié en environnement et conservation, a choisi de s’orienter en éducation afin d’avoir un impact et transmettre sa passion : « Il est gratifiant de constater que les jeunes prennent conscience de l’importance de rescaper la nature et développent un sentiment d’appartenance à une vaste communauté de préservation toujours en expansion grâce à un site internet et un blogue. » Le présentateur Vincent Corbin qui a étudié en zoologie souhaitait aussi inspirer la jeunesse à l’importance de préserver l’environnement et œuvrer à la protection de la vie sauvage. Il explique l’importance de présenter des animaux vivants, des ambassadeurs de leur milieu qui sont nés en captivité dans des zoos ou issus de programmes de reproduction, pour créer un contact réel avec les enfants qui sont émerveillés de pouvoir admirer quelques représentants du règne animal.

« Les espèces menacées que l’on présente varient. Les animaux migrateurs chevauchent plusieurs pays et c’est un enjeu mondial, mais notre énergie est orientée vers les espèces menacées sur notre territoire. L’an passé, on a protégé les abeilles et les pollinisateurs. Cette année on parle du béluga et de la salamandre à points bleus. »

Un total de cinq équipes composées de deux présentateurs bilingues de Éco héros sillonnent le pays selon la demande et visitent annuellement en moyenne 800 écoles. Les jeunes fermontois ont pu découvrir Shelly, la tortue peinte de Midland, Millie, le tatou à trois bandes, un insectivore qui a été la mascotte des Jeux olympiques d’été de Rio de Janeiro au Brésil en 2016, Linus, la buse de Harris et Silva le martin-chasseur géant dans le cadre de la présentation. Quel ne fut pas l’étonnement des enfants aux yeux admiratifs de pouvoir observer les oiseaux prendre leur envol devant eux. Cette présentation scolaire a été rendue possible grâce à ArcelorMittal.

Pour en savoir plus sur ce projet réalisé avec l’appui financier d’Environnement et Changement climatique Canada : https://www.ecoheros.ca/ et https://www.ecoheros.ong/a-propos/

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Publié le 9 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 16 Volume 35

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Publié sur le site le 11 octobre 2017

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Deux nouveaux bassins à la mine du Mont-Wright

Période d’information et de consultation des renseignements

par Éric Cyr

Source : Archives CMQC

Le Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) a dévoilé, le 26 septembre dernier, l’étude d’impact et l’ensemble du dossier relatif au projet d’aménagement de nouveaux bassins d’eau de procédé et de sédimentation à la mine du Mont-Wright que souhaite implanter ArcelorMittal Exploitation minière Canada (AMEM) près de Fermont et qui aura une incidence sur la faune et la flore de la région en plus d’engendrer la destruction de 11 lacs, 15 étangs et 25 ruisseaux. Les documents sont accessibles à la population dans le cadre de la période d’information et de consultation des renseignements par le public jusqu’au 10 novembre 2017.

La publication de l’étude d’impact par le BAPE constitue une des étapes prévues dans le processus que doit franchir le projet. Durant cette période d’information de 45 jours, tout citoyen, tout groupe, toute municipalité ou tout organisme qui désire que le dossier soit discuté et évalué publiquement peut réclamer la tenue d’une audience publique auprès du ministre québécois du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, en transmettant une demande écrite. Si une telle démarche est entreprise et que la revendication est considérée [Une seule requête jugée recevable (non frivole) par le ministre de l’Environnement peut justifier la tenue d’une audience publique], le ministre confiera alors au BAPE le mandat d’enquêter et de consulter la population sur le projet dans le cadre d’une audience publique à laquelle tous les citoyens et organismes peuvent participer.

Ces séances devraient normalement se dérouler à Fermont comme ce fut le cas par le passé dans d’autres dossiers. Le ministre pourrait aussi décider de confier au BAPE le mandat d’enquêter et, si les circonstances s’y prêtent, de procéder à une médiation en environnement. Ce mandat se déroule, en principe, entre la ou les personnes ayant adressé une demande d’audience publique et le promoteur du projet.

Selon une porte-parole du BAPE, Alexandra Barbeau, le BAPE ne prend pas de décisions, mais émet des recommandations au Conseil des ministres (le principal organe décisionnel du gouvernement qui est présidé par le premier ministre Philippe Couillard à qui appartient la prérogative de nommer ceux et celles qui le forment), qui prend les décisions finales.

Le projet

ArcelorMittal veut entreprendre l’aménagement de deux nouveaux réservoirs au complexe minier du Mont-Wright. Ce projet, visant à optimiser la gestion de l’eau, comprend la construction d’un bassin d’eau de procédé (bassin B+), qui aurait une superficie d’environ 3 610 000 m2, et d’un bassin de sédimentation du futur parc à résidus nord-ouest (bassin nord-ouest) d’environ 420 m2. La construction de canaux intercepteurs, de canaux d’eaux rouges et de chemins est également prévue. Le promoteur envisage de commencer les travaux de construction à l’été 2018 et ceux-ci devraient se poursuivre jusqu’en 2025. Les coûts de l’ensemble des infrastructures reliées au projet et de la gestion de l’eau jusqu’en 2045 sont estimés à 458 M$ et permettraient de poursuivre l’exploitation de la mine jusqu’à cette date.

Répercussions et mesures d’atténuation

Selon l’étude du BAPE, les principaux enjeux concernent la stabilité des sols qui peuvent entraîner des déversements accidentels, l’émission de poussières et de contaminants, ainsi que la perturbation d’habitats naturels pour la faune. En ce qui concerne le milieu physique, les activités de la mine en phase d’exploitation modifieraient le régime hydrologique et pourraient altérer la qualité de l’eau de surface surtout dans le cas d’une rupture accidentelle de digue ainsi que la qualité de l’eau souterraine dans le cas de contamination dans le sol. Afin de limiter ces risques, ArcelorMittal prévoit réaliser des inspections périodiques et, en cas d’accident, restaurer le milieu naturel.

Pour le milieu biologique, le projet engendrerait la destruction de 11 lacs, 15 étangs et 25 ruisseaux, causant une perte de l’habitat du poisson sur une superficie de 104 hectares (ha) et l’empiétement sur 205,9 ha de milieux humides. Le promoteur propose la restauration de près de 92 ha d’habitat du poisson et la création ou la restauration de 91,1 ha de nouveaux milieux humides dans le secteur de l’ancien site minier du lac Jeannine. Le projet impliquerait également des pertes d’habitats pour la faune aviaire (oiseaux) et pour certains mammifères (incluant le gros gibier). Selon l’étude d’impact, le déboisement se ferait en dehors des périodes de nidification afin d’empêcher la destruction de nids. Sur le plan humain, les activités de construction et d’exploitation pourraient modifier le climat sonore et la qualité de l’air pour les villégiateurs et les utilisateurs du territoire.

Consultation des documents

Les citoyens peuvent se renseigner en consultant l’étude d’impact réalisée par le promoteur et les autres documents décrivant le projet et, entre autres, ses répercussions sur l’environnement jusqu’au 10 novembre prochain aux endroits suivants : bibliothèque publique de Fermont, 10, rue le Carrefour et Conseil de la Nation innue de Matimekush-Lac John, 170, Pearce Lake, Schefferville. L’ensemble du dossier est aussi disponible sur le site internet du BAPE au www.bape.gouv.qc.ca sous la rubrique « Mandats en cours » et au bureau du BAPE à Québec au 575, rue Jacques Parizeau, bureau 2.10 ainsi qu’à Montréal à la bibliothèque des sciences juridiques de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) Pavillon Hubert-Aquin, au 400, rue Sainte-Catherine Est.

Les personnes désireuses d’obtenir plus de renseignements peuvent communiquer avec Alexandra Barbeau au 418 643-7447 ou sans frais au 1 800 463-4732 poste 532 ou par courriel à l’adresse suivante : bassins-mont-wright@bape.gouv.qc.ca

Comment requérir une audience publique

Toute personne, tout groupe, toute municipalité ou tout organisme peut faire une demande d’audience publique. Le demandeur décrit les motifs de sa requête et son intérêt par rapport au milieu touché par les mesures proposées. La demande doit être faite par écrit et transmise au plus tard le dernier jour de la période d’information et de consultation du dossier par le public soit le 10 novembre 2017. La demande comprend les coordonnées complètes et est acheminée par la poste au ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte contre les changements climatiques, Édifice Marie-Guyart, 30e étage, 675 boulevard René-Lévesque Est, Québec (Québec) G1R 5V7.

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Publié le 9 octobre, 2017, dans la publication : Numéro 16 Volume 35

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Publié sur le site le 11 octobre 2017

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