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  • Le Parti québécois et la CSN unissent leurs voix

    Transport aérien régional

    Le Parti québécois et la CSN unissent leurs voix

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    Aéroport de Wabush

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    Une seconde manifestation dans la région

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    Traîneau à chiens

    Une 28 février, 2022

    Une Fermontoise repart en trombe

Numéro_4

Le Parti québécois et la CSN unissent leurs voix

Transport aérien régional

Le Parti québécois et la CSN unissent leurs voix

Les dangers se multiplient

Aéroport de Wabush

Les dangers se multiplient

Une seconde manifestation dans la région

Mesures sanitaires

Une seconde manifestation dans la région

Une Fermontoise  repart en trombe

Traîneau à chiens

Une 28 février, 2022

Une Fermontoise repart en trombe

Transport aérien régional

Le Parti québécois et la CSN unissent leurs voix

par Éric Cyr

Source photo : Pixabay

Au cours d’une conférence de presse qui s’est tenue, le 15 février dernier, à l’Assemblée nationale, la Conférence des syndicats nationaux (CSN), de concert avec le Parti québécois, a pressé le gouvernement du Québec de soutenir la coopérative de transport aérien régional (TREQ), un projet qui permettrait d’améliorer le service aérien en région, de réduire les tarifs et de rétablir la concurrence sur les vols intérieurs.

L’appel de la CSN, appuyé par le Parti québécois, fait écho à la pétition déposée la semaine précédente à l’Assemblée nationale par le par le chef parlementaire et porte-parole du Parti québécois en matière de transports, le député des Îles-de-la-Madeleine, Joël Arseneau, qui a récolté 4561 signatures. L’élu péquiste ne compte plus les sorties qu’il a faites pour demander au gouvernement de la Coalition avenir Québec (CAQ) de préciser ce qu’il entend mettre en avant pour améliorer la fiabilité, l’accessibilité et, surtout, pour assurer la pérennité des services aériens dans les régions du Québec. « Les citoyens des régions attendent avec impatience le plan de relance depuis près d’un an et demi, ça suffit ! Ce n’est pas exagéré ni prématuré de dire que dans ce dossier, la CAQ est aux abonnés absents; si elle souhaite agir, c’est maintenant ! Le transport aérien régional a besoin d’un signal fort, les pistes de solution sont connues et le projet TREQ en fait partie », a déclaré avec conviction le politicien madelinot.

Le leader parlementaire du Parti québécois, le député de René-Lévesque, Martin Ouellet, a également une nouvelle fois réclamé que le gouvernement caquiste donne enfin un appui clair et concret à la coopérative TREQ, dont le modèle novateur contribuerait à restructurer les services régionaux de transport aérien au grand bénéfice de la population. M. Ouellet soutient que le modèle d’affaires coopératif de TREQ mérite assurément d’être évalué, considéré, voire encouragé et soutenu. Selon l’élu nord-côtier, cette approche créative saurait possiblement répondre à un certain nombre de besoins, notamment en ce qui concerne la fréquence, le coût et la régularité des vols.

« Sur la Côte-Nord, TREQ a déjà obtenu l’appui d’élus, de gens d’affaires et de milliers de membres. Les gens sont mobilisés et souhaitent que le gouvernement emboîte enfin le pas ! Chez nous, le transport aérien, c’est nécessaire non seulement pour le développement économique, mais aussi pour la sécurité des citoyennes et des citoyens », a insisté Martin Ouellet.

Appuyer une initiative citoyenne

La CSN est pour sa part convaincue de la pertinence de la présence d’une coopérative régionale qui permettrait à terme d’augmenter l’offre de transport aérien, d’abaisser les tarifs souvent prohibitifs et de ramener la concurrence dans des marchés trop souvent contrôlés par des monopoles malsains pour la vitalité des régions. « La prospérité économique du Québec repose en grande partie sur le dynamisme des régions. Qu’attend le gouvernement Legault pour participer au montage financier du projet avec les autres partenaires publics et privés qui sont prêts à investir ? », a demandé la troisième vice-présidente de la CSN, Katia Lelièvre, qui dénonce le fait qu’actuellement le gouvernement Legault subventionne des billets vendus hors de prix. « Québec doit cesser de subventionner les transporteurs privés et appuyer une initiative citoyenne qui profitera à tous les Québécois et à toutes les Québécoises. » Cette dernière conclut : « À titre de gouvernement, Québec doit assumer sa souveraineté sur son territoire et doit aussi donner aux régions les moyens d’exploiter leur plein potentiel. Aujourd’hui, l’avion attend en bout de piste le moment du décollage. Et un seul passager manque encore à l’appel. »

Service essentiel en région

Selon la CSN, un service aérien de qualité peut apporter de nouveaux investissements en région, faciliter l’attraction et la rétention d’une main-d’œuvre de qualité et contribuer au plein essor de l’industrie touristique québécoise. Le président du Conseil central Côte-Nord-CSN, Guillaume Tremblay confie : « Les dessertes aériennes constituent des services essentiels pour les régions du Québec, ne serait-ce que pour obtenir des soins de santé spécialisés dispensés seulement dans les grands centres. C’est aussi un des moyens les plus efficaces pour freiner l’exode des populations qui prive les régions d’une partie de leurs ressources et de leurs talents. »

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Publié le 28 février, 2022, dans la publication : Numéro_4 Volume 40

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Publié sur le site le 28 février 2022

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Aéroport de Wabush

Les dangers se multiplient

par Éric Cyr

À l’instar de la Ville de Wabush lors du démantèlement des services d’urgence-incendie à l’aéroport régional de Wabush par Transports Canada, en août 2020, La Ville de Labrador City s’est également dissociée des interventions de lutte contre les incendies en cas de catastrophe aérienne, le 4 février dernier. La Ville de Fermont a pour sa part adopté une résolution relative à la sécurité incendie à cette aérogare lors de la réunion du conseil municipal du 14 février.

La Ville de Labrador City a informé les citoyens de la région de son retrait des services d’incendie de l’aéroport dans un communiqué publié sur sa page Facebook. « Les sapeurs-pompiers sont engagés dans une activité intrinsèquement dangereuse et ont donc tendance à accepter que les aléas du métier fassent inévitablement partie de leurs tâches. Cependant, lorsque vous avez des pompiers correctement formés qui respectent toutes les normes liées à la profession, ces menaces peuvent être considérablement réduites. Les responsables des services d’incendie qui adoptent des mesures destinées à limiter les facteurs de risques reconnaissent que la sécurité des pompiers, la responsabilité légale et la gestion des dangers sont des concepts interreliés : une fois que vous en aurez amélioré un, les deux autres seront automatiquement influencés. »

Selon la directrice générale de la municipalité, Cathy Etsell, le Service de prévention des incendies de Labrador City est fier de son haut niveau de préparation lui permettant d’agir de façon efficace dans le cadre de plusieurs situations périlleuses. Cependant dans le cas d’un déploiement lié à une tragédie aérienne, il est important d’avoir les capacités, les compétences et les connaissances spécialement axées sur les accidents et les incendies d’avion, car ce type d’intervention spécialisée comporte de nombreux défis. Mme Etsell explique que la formation est essentielle afin d’assurer la sécurité de tous et que le sauvetage et la lutte contre les incendies d’aéronefs (SLIA) est un domaine particulier qui ne fait pas partie de l’enseignement offert pour les intervenants des services d’incendie structurels. Par conséquent, les pompiers municipaux peuvent ne pas être familiarisés avec les procédures à suivre dans le cas de la gestion d’un tel événement, ce qui peut gravement compromettre leur santé et leur sécurité physique et psychologique.

« Nous sommes au regret d’informer les citoyens que la Ville de Labrador City se retire des services d’intervention et de lutte contre les incendies à l’aéroport de Wabush en raison du manque de formation dans le domaine du SLIA dont nos pompiers disposent », peut-on lire dans le communiqué qui précise que c’est l’exploitant d’aéroport, en l’occurrence Transports Canada, qui est responsable, en vertu du Règlement de l’aviation canadien (RAC), de fournir un plan d’intervention d’urgence. « Depuis la suppression des services de lutte contre les incendies (par le gouvernement du Canada) à l’aéroport, en 2020, la direction de l’aéroport s’est engagée à nous fournir ce plan d’urgence et à ce jour, rien n’a été reçu et aucune réunion n’a été organisée pour en discuter davantage », conclut le document.

La Ville de Labrador City, qui continue à plaider pour le rétablissement des services d’incendie à temps plein à l’aéroport de Wabush, s’est engagée à travailler avec Transports Canada et la direction du terminal aérien pour trouver des solutions à court et à long terme dès que possible pour protéger les pompiers et sauver des vies.

Fermont solidaire

Après avoir pris connaissance d’une lettre rédigée, le 7 janvier 2022, par le vice-président régional de l’Union canadienne des employés des transports (UCET), Chrius Bussey, soulevant diverses dérogations à la règlementation fédérale au sujet de l’absence d’opérations de sécurité incendie aéroportuaire à l’aéroport de Wabush et d’une lettre écrite, le 28 janvier 2022, par le député provincial néodémocrate du Labrador Ouest, Jordan Brown, demandant au ministre canadien des Transports, Omar Alghabra, le rétablissement d’un service de sécurité incendie aéroportuaire conforme aux normes fédérales à l’aéroport de Wabush, la Ville de Fermont a jugé la situation préoccupante et a convenu d’adopter une résolution afin de tenter de faire bouger les choses. Voici un extrait de cette résolution qui a été transmise au ministre fédéral des Transports, Omar Alghabra : « Considérant que l’aéroport de Wabush dessert la région du Labrador Ouest et les communautés de Labrador City, de Wabush et de Fermont et que cet aéroport est une infrastructure stratégique pour le transport des biens, des personnes, les vols nolisés de l’industrie minière du Labrador et du Québec ainsi que pour la diversification économique régionale…Il est résolu à l’unanimité de demander au ministre des Transports du Canada, Omar Alghabra, le rétablissement d’un service de sécurité incendie aéroportuaire conforme aux normes fédérales à l’aéroport de Wabush, d’appuyer les demandes des Villes de Labrador City et de Wabush ainsi que de la circonscription du Labrador Ouest et de solliciter l’appui de la députée bloquiste de Manicouagan, Marilène Gill… » La résolution a aussi été acheminée au député provincial du Labrador Ouest, Jordan Brown, à la députée fédérale du Labrador, la libérale Yvonne Jones, à la mairesse par intérim de Labrador City, Belinda Adams, et au maire de Wabush, Ron Barron. La balle est dans le camp du gouvernement Trudeau…

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Publié le 28 février, 2022, dans la publication : Numéro_4 Volume 40

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Publié sur le site le 28 février 2022

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Mesures sanitaires

Une seconde manifestation dans la région

par Éric Cyr

Un second rassemblement pacifique en appui au convoi « de la liberté » rassemblant des citoyens de Fermont et de l’Ouest du Labrador, mais aussi quelques travailleurs d’entreprises et de l’extérieur de la région favorables à ce mouvement populaire, s’est tenu dans le stationnement des camionneurs adjacent au Centre des mesures d’urgence, qui abrite la caserne 12 des pompiers, à Fermont, le 12 février dernier.

La barrière linguistique n’a pas freiné l’élan des quelque deux cents participants et sympathisants très motivés, informés de l’événement grâce aux réseaux sociaux, qui se sont succédé et dont certains sont venus un moment afin d’encourager les participants alors que d’autres se sont agglutinés, debout ou assis sur des chaises pliantes, autour d’un feu de camp par une très froide soirée hivernale en écoutant de la musique et en dansant. Un appareil de cuisson sur le gril (barbecue) était disponible sur place afin que les gens qui le souhaitaient puissent se cuisiner un repas. Du chocolat chaud et des hot-dogs étaient offerts.

Pour la fin des mesures sanitaires

Selon les organisatrices de cette autre manifestation régionale, Mélanie L’Amoreaux, Isabelle Grenier et Sharon Derosby-Dugas, dont le leitmotiv est la liberté individuelle et qui souhaitent la fin des décrets de l’état d’urgence sanitaire dans les provinces et les territoires au pays, l’objectif de ce deuxième regroupement du genre au sud du 52e parallèle est de faire connaître le mécontentement, voire l’exaspération, d’une grande partie de la population face aux mesures sanitaires imposées par les gouvernements fédéral et provinciaux qui perdurent depuis bientôt deux ans dans le cadre de la pandémie de Covid-19 et qu’elles souhaitent voir disparaître.

L’organisatrice principale, Mme L’Amoreaux, confie : « Cette manifestation familiale, festive et joviale s’adressait à tous. Ça fait deux ans qu’on nous interdit toute forme de plaisir et nous avons décidé de témoigner notre appui à la cause du mouvement national, Le convoi de la liberté, amorcé par des camionneurs. Nous manifestons en faveur de l’abolition des mesures sanitaires abusives et discriminatoires qui vont, selon nous, à l’encontre des droits de la personne. Nous sommes pro-choix et nous valorisons les décisions individuelles de chacun dans le respect mutuel. Nous considérons que nos droits et libertés sont brimés par ces dispositions censées nous protéger. Dans une société démocratique, les citoyens devraient pouvoir prendre leurs propres décisions de façon éclairée. Nous ne sommes pas contre la vaccination, je suis moi-même triplement vaccinée, mais nous sommes pour la liberté de choisir sans devoir subir de discrimination et de jugement comme dans les commentaires insultants lancés par le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, qui méprise ceux qui ne pensent pas comme lui. Nous sommes fatigués d’être contrôlés, intimidés et menacés par certains élus. Nous exprimons notre ras-le-bol en nous tenant debout ! Nous prônons des valeurs de tolérance. Il est grand temps que la vie reprenne son cours normal. »

Comme pour célébrer un inévitable vent de changement, des feux d’artifice lancés du mont Daviault et orchestrés par l’artificier, Sébastien Gauthier, ont clôt l’événement.

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Publié le 28 février, 2022, dans la publication : Numéro_4 Volume 40

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Publié sur le site le 28 février 2022

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Traîneau à chiens

Une Fermontoise repart en trombe

par Éric Cyr

Source photo : Jocelyn Blanchette

La meneuse de chiens fermontoise de 16 ans, Florence Shaw, de l’équipe du chenil Shawnil a remporté la victoire durant la course annuelle de traîneau à chiens Wilderness, qui se tenait à Greenville dans le Maine aux États-Unis, le 5 février dernier, en se classant en tête de l’épreuve de 70 miles. Double exploit, la jeune athlète s’est également démarquée en devenant la seule femme à avoir franchi la première le fil d’arrivée de cette épreuve sportive qu’elle a complétée en 7 heures, cinq minutes et 30 secondes devançant sa plus proche rivale originaire du Maine et habituée à ce type de terrain, Ashley Patterson, qui a terminé deuxième avec un temps de 7 heures, 28 minutes et une seconde.

S’élançant de la ligne de départ avec son attelage de dix chiens, Florence Shaw a réussi à maintenir le rythme durant le parcours montagneux difficile parsemé d’embûches et à naviguer au milieu des Appalaches sur une piste molle défoncée à plusieurs endroits et couverte de 13 pouces (1 pied) de neige tombée la veille. « C’était vraiment à pic et dans le punché pour utiliser le jargon des mushers », confie la conductrice de chiens de traîneau qui était impatiente de reprendre la compétition après une pause forcée de deux ans durant la pandémie de Covid-19. « Je suis très heureuse de pouvoir enfin recommencer les courses. » Selon la présidente de l’Association de traîneaux à chiens de Wilderness qui organise les courses annuelles de l’endroit, Amy Dugan, citée dans un article publié dans le quotidien Bangor Daily News, la victoire de Shaw était impressionnante puisqu’elle a dû affronter des vétérans endurcis qui ont entraîné des chiens et couru pendant des années, des habitués de ce type de trajet exigeant.

Parcours remarquable

Florence Shaw prenait part à 12 ans au Défi Taïga 200. Le cofondateur de cet événement fermontois, Michel Lécuyer, la décrivait alors ainsi « Florence a tout ce qu’il faut pour réussir. Elle fait preuve de courage, de débrouillardise, de détermination et de ténacité, des qualités essentielles à tout bon musher. Sa passion et son amour pour ses chiens combinés à sa volonté de triompher de l’adversité n’altèrent en rien son bon jugement. »

Elle a acquis de l’expérience depuis sa première compétition en 2018 lors de la course d’Eagle Lake dans le Maine aux États-Unis où elle s’était classée en 10e place dans la course Mad Bomber 30, un parcours de mi-distance de 30 miles. Elle a aussi terminé au huitième rang à seulement 13 ans lorsqu’elle a pris part en 2019 à la course Willard Jalbert Jr. Can-Am 100, une épreuve de 100 miles. La même année elle a remporté la première place lors de la toute première édition de la compétition internationale de traîneaux à chiens Tchitogama 30 à Lamarche au Saguenay-Lac-Saint-Jean et la 3e position l’année suivante. En 2020, elle termine 6e à la compétition internationale Irving Woodlands Can-Am Crown 250 à Fort Kent dans le Maine. La Fermontoise est inscrite au Willard Jalbert Jr. Can-Am 100 qui se déroulera à Fort Kent au Maine dans la cadre du Irving Woodland Can-Am Crown 250, le 5 mars, et à la première édition de la course Chic-Chocs en Gaspésie du 18 au 20 mars dont la distance totale parcourue sera de 280 km (175 miles).

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Publié le 28 février, 2022, dans la publication : Numéro_4 Volume 40

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Publié sur le site le 28 février 2022

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