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  • Les journĂ©es de la culture  Ă  Fermont

    Célébration culturelle

    Une 17 octobre, 2022

    Les journées de la culture à Fermont

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    Musique

    En Barque… sur le traversier

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    Monde musical

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Les journées de la culture  à Fermont

Célébration culturelle

Une 17 octobre, 2022

Les journées de la culture à Fermont

En Barque… sur le traversier

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En Barque… sur le traversier

L’accordeur-technicien de pianos

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Célébration culturelle

Les journées de la culture à Fermont

par Éric Cyr

Plusieurs activités ont été orchestrées par la Ville de Fermont dans le cadre des journées de la culture, qui se déroulaient du 30 septembre au 2 octobre 2022. Cette renaissance culturelle locale postpandémique a attiré un public éclectique heureux de prendre part aux différentes facettes du bouillonnement culturel chapeauté par le Service des loisirs et de la culture de la municipalité et la MRC de Caniapiscau.

Parmi les choix proposés aux citoyens durant l’événement, il y a eu le vernissage d’une exposition de photographie intitulée « Exotisme nordique » regroupant quatre photographes chevronnés locaux, Jocelyn Blanchette, Myriam Desjardins-Malenfant, Kathleen Dubé et Frédérique Marinier, qui a attiré de nombreux visiteurs à la salle Aurora (ancien centre multifonctionnel).

Des ateliers étaient offerts dans les venelles communautaires à l’étage supérieur du 12, venelle 11, incluant « Viens mettre ta couleur » où une immense œuvre d’art a été conçue à partir d’archives du journal Le Trait d’union du Nord par l’artiste Isabelle Grenier. Plusieurs petits tableaux originaux de formes différentes, destinés à accompagner cette grande toile qui met en valeur des moments marquants de l’histoire de Fermont, ont été réalisés sous la direction des peintres Isabelle Grenier et Nathalie Desjardins. Au rez-de-chaussée, les potières Louise Vachon et Nadia Brouillard ont pour leur part dirigé de la peinture sur céramique en enseignant les rudiments de cet art. De la création de bandes dessinées s’est aussi déroulée au 6, venelle 11 en compagnie de Lisa Melanson.

De l’improvisation était au programme à la Maison des jeunes Alpha, mais a malheureusement dû être annulée puisqu’il n’y avait pas suffisamment d’inscriptions.

Une manifestation festive et gastronomique dans un format de fête multiculturelle incluant une dégustation de menus de différents continents, de la musique et de la danse, a été organisée au chalet de service par Guy-Romain Kouam et la MRC. Cette initiative concrétisée par la paroisse de la Résurrection de Fermont soutenue par la MRC a connu un grand succès. Des mets typiques de pays africains notamment du Maroc, au Maghreb, concoctés par Hamza Mousti (rôti d’agneau), du Cameroun préparés par Josée Alvine Tchouta (ragoût de poulet DG et beignets) et du Sénégal cuisinés par Samba Diop (yassa au poulet), ont été prisés tout comme des saveurs d’Amérique du Sud en provenance de la Colombie apprêtées par Ana Maria Rengifo et des familles amies (galettes de maïs arepas farcies au poulet et à la viande, friandises cocada o panela de coco, biscuits aux amandes mazapan, pain au lait pan dulce) et des recettes du Pérou mijotées par Esmar Jacobo (poulet au piment aji de gallina) ont également attisé les papilles gustatives des participants qui ont aussi pu déguster des plats québécois/canadiens offerts par Nancy Hardy et Micheline Lepage (soupe aux légumes et riz, pain de viande avec légumes, macaroni à la viande, pâtés au saumon et au poulet, dessert grands-pères au sirop d’érable).

L’écrivaine fermontoise Noémie Hovington dont le nom de plume est Noémie H, a participé à une séance de dédicaces de son premier livre, Taste of love, à la bibliothèque municipale au grand bonheur des adeptes de ce type de lecture. Le roman, destiné aux jeunes adultes de 16 ans et plus, est en vente depuis le 26 août dernier.

Journées de la culture

Une exposition photo exotique…

Une exposition de photographies intitulée « Exotisme nordique » orchestrée par la MRC de Caniapiscau, mettant en valeur des œuvres de quatre talentueux photographes locaux s’est tenue, le 30 septembre dernier, à la salle Aurora (ancien centre multifonctionnel) à Fermont dans le cadre des Journées de la culture. Une soixantaine de visiteurs se sont rendus sur place pour admirer les images proposées par les artistes visuels.

Résident depuis 34 ans à Fermont, Jocelyn Blanchette, se définit comme un photographe de phénomènes astronomiques, météorologiques et de nature. C’est un passionné qui aime étudier et comprendre l’environnement qui l’entoure et qui lui permet de s’épanouir dans son art en immortalisant les moments précieux de son coin de pays nordique.

Myriam Desjardins-Malenfant aime pour sa part croquer des rencontres animalières, ce qui lui permet de demeurer en harmonie avec le milieu naturel ambiant tout en restant branchée sur la vie dans sa plus grande simplicité. Elle adore partir en randonnée en forêt avec son matériel photographique en restant à l’affut du monde animal qui la fascine. Elle se fait discrète afin de ne pas perturber la faune tout en cherchant à percer ses secrets.

Kathleen Dubé considère que la photographie est un médium de communication et d’expression qui n’a pas de limites puisqu’il y a toujours quelque chose à photographier. Elle explore des sujets et des thèmes variés qui lui permettent d’apprendre et d’expérimenter. La nature et le territoire constituent pour elle une source infinie de découvertes et de beautés à saisir dans toute leur splendeur.

Frédérique Marinier est spécialisée en portrait et en boudoir. Son univers photographique vise à faire ressortir la beauté intérieure et extérieure de ses sujets en leur faisant découvrir leur authenticité grâce à l’image. Elle juge que cette démarche a un pouvoir réparateur qui propulse l’être vers l’acceptation et la confiance en soi. Elle réussit à capter de façon unique la brillance du regard, le reflet de l’âme.

Pour ceux qui ont raté le vernissage et qui aimeraient découvrir cette splendide présentation artistique et culturelle, les photographies seront à l’affiche encore un certain temps à la salle Aurora.

Pages Facebook des artistes :

Fred TĂĽluak, Photographe.

Kathleen Dubé photographie.

Myriam Desjardins-Malenfant photographie 52e parallèle nord.

Jocelyn Blanchette Photographie.

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Publié le 17 octobre, 2022, dans la publication : Numéro_17 Volume_40

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Publié sur le site le 17 octobre 2022

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Musique

En Barque… sur le traversier

par Éric Cyr

Source photo : En Barque

Directement affectés par les déboires de la traverse maritime Côte-Nord-Matane, les jeunes musiciens de la formation port-cartoise En Barque s’en sont inspirés de bonne guerre. Comme cette incroyable saga touche plusieurs personnes en région, leur pièce musicale La Saga fait fureur depuis la publication d’une vidéo filmée à l’aéroport de Mont-Joli et diffusée gratuitement en direct sur les réseaux sociaux, le 31 mars dernier. Son succès est déjà confirmé puisqu’un monoplage (single) joue déjà sur les ondes de plusieurs stations de radio.

Écrite et composée à la Saint-Valentin par deux des fondateurs du groupe formé en 2014, Louis-Joseph et Roméo Vacher, alors qu’ils étaient à bord du navire Apollo lors de sa première traversée entre les deux rives du fleuve Saint-Laurent, cette nouvelle chanson est tout à fait d’actualité et décrit bien les déboires récurrents de la Société des traversiers du Québec (STQ) et de la desserte aérienne. Selon l’aîné des deux frères, Louis-Joseph Vacher, cette situation a occasionné beaucoup de problèmes pour les artistes qui doivent constamment se déplacer en tournée afin d’offrir des spectacles un peu partout et qui ont dû modifier leur parcours au moins une douzaine de fois en faisant le grand détour terrestre par Québec pour aller jouer sur la rive-sud, entre autres à Rimouski.

En plein dans le mille

L’auteur-compositeur et parolier explique que le lancement improvisé de La Saga a connu un certain engouement, ce qui a attiré l’attention médiatique découlant en une vingtaine d’entrevues dont certaines dans de grands médias conventionnels urbains moussant leur popularité déjà en ascension : « On savait que c’était un sujet chaud, mais on ne s’attendait pas à une telle réaction. On décrit une réalité populaire et on transforme nos frustrations en humour tout en dénonçant cette situation inacceptable où on dirait que les personnes des régions sont considérées comme des citoyens de second ordre. » Les frères Vacher sont quelque peu dissidents, cependant toutefois intègres. Ils ont refusé un contrat de spectacles plutôt que de renoncer à cette chanson, ce qui s’est finalement avéré un choix judicieux considérant sa popularité. Louis-Joseph Vacher est très heureux qu’il y ait toujours du monde qui se déplace pour assister aux spectacles : « On est assez intenses, on se consacre corps et âme à notre passion. L’argent, c’est le dernier de nos soucis pourvu que les projets marchent et qu’il y a du monde qui assiste à nos performances. On est des aventuriers et on aime ça jouer dans des endroits isolés avec une mentalité rurale ou minière. J’aime terriblement le Nord et j’ai adoré mon expérience à Fermont durant la fête nationale de la Saint-Jean-Baptiste l’été dernier. On espère avoir l’occasion d’y retourner bientôt. »

Les musiciens autodidactes au tempérament bohème sont très populaires sur la Côte-Nord où ils ont défilé dans la plupart des localités de Natashquan jusqu’à l’île d’Anticosti. Ils ont aussi arpenté les quatre coins du Québec jusqu’à Chapais, Matagami et Radisson à la Baie-James, en plus de se produire également dans les provinces atlantiques et à l’international : ils étaient aux Journées mondiales de la jeunesse au Panama en janvier dernier et un concert est prévu dans la collectivité d’outre-mer territoriale française de Saint-Pierre-et-Miquelon en juin.

En Barque a produit un premier album, Deux pieds sur mer, et s’est fait connaître avec la chanson Les Charrues, qui risque fort d’être détrônée par La Saga le premier extrait de leur deuxième opus à paraître au printemps 2020 et qui a de fortes chances d’atteindre le palmarès.

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Publié le 13 mai, 2019, dans la publication : Numéro_09 Volume 37

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Publié sur le site le 13 mai 2019

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Monde musical

L’accordeur-technicien de pianos

par Éric Cyr

Légende : L’accordeur et musicien Philippe Gallant : « Certains tombent dans le panneau, moi j’aime mieux tomber dans le piano! »

Le célèbre piano Steinway de Fermont a déjà vécu des jours plus heureux et a même presque sombré dans l’oubli à une certaine époque. Un Steinway qui ferait l’envie de bien des musiciens. C’était avant qu’un groupe de citoyens conscients de sa valeur patrimoniale et de son riche passé ne se mobilise pour lui redonner ses lettres de noblesse. Grâce à eux, celui-ci occupe dorénavant une place de choix sur la scène musicale quand un pianiste vient se produire dans la région.

L’appel des notes

Un bon piano se doit d’être accompagné d’un accordeur de pianos. Qu’à cela ne tienne, le musicien professionnel multi-instrumentiste, professeur d’instruments qui est de plus accordeur-technicien de pianos, Philippe Gallant s’est établi depuis une dizaine d’années à 22 km à l’est de Sept-Îles sur la Côte-Nord attiré par le grand air et la possibilité d’enseigner dans de petites écoles de musique. Il a ce qu’on appelle l’oreille absolue, un talent rare, et offre ses services en région éloignée. C’est lui qui vient cajoler l’instrument de musique avant l’arrivée des artistes afin de bien le préparer avant la représentation.

Dès l’enfance

« Ma passion pour le piano s’est développée dès mon jeune âge. À 4-5 ans, jouer du piano « à l’oreille » devenait mon « Game Boy. » Originaire de Saint-Alexis-de-Matapédia, je suis le cadet d’une famille de 15 enfants. Avant l’avènement de la télévision, le meilleur amusement dans une maison c’était un harmonium ou un piano. Toute la famille jouait de la musique traditionnelle : violon, piano, guitare, accordéon, etc. Quand j’étais petit, un vieil accordeur de pianos est venu sur la ferme accorder notre instrument. Il m’a transmis le goût du métier et le premier piano sur lequel je m’essayais fut celui de mon enfance, un excellent piano droit de marque Lindsay fabriqué ici au Québec vers 1910. » C’est lors de son parcours scolaire qu’une religieuse découvre son talent musical et lui conseille de s’inscrire au conservatoire de musique de Rimouski. « Au conservatoire, je n’ai pas pu choisir le piano comme premier instrument, car ils ont jugé qu’il me manquait de bagage musical. J’ai toutefois pu en jouer comme second instrument. »

Ce métier est plutôt une passion et M. Gallant a suivi quelques sessions de perfectionnement étalées sur quelques années en plus d’être membre associé de la Piano Technicians Guild. « Je poursuis dans cette voie depuis 1985 tout en continuant d’enseigner à jouer des instruments de la famille des bois : clarinette, saxophone, flûte traversière et flûte à bec. »

Tomber dans le piano

Doté d’un sens de l’humour aiguisé et doué également pour les jeux de mots inspirés de Marc Favreau (Sol), M. Gallant lance à la blague : « Certains tombent dans le panneau, mais moi j’aime mieux tomber dans le piano ! » C’est son deuxième séjour à Fermont, la première fois c’était pour le spectacle de Gregory Charles et par la suite pour celui de Marc Hervieux. Revenons au Steinway. « C’est de la grande qualité, mais la mécanique commence à être engourdie. J’utilise de la poudre de graphite pour lubrifier les petits pivots. S’il y a un nouveau talent, donnez-lui accès au piano, car celui-ci devrait servir un peu plus régulièrement. C’est moins agréable pour un pianiste chevronné d’utiliser un piano qui a sommeillé trop longtemps. »

NDLR Le prodige fermontois Emmanuel Bernier qui a commencé le piano de manière autodidacte à l’âge de 15 ans a par la suite obtenu une maîtrise au Conservatoire de musique de Québec et poursuit aujourd’hui une carrière musicale. Pour contacter M. Gallant : philgaccpiano@gmail.com

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Publié le 26 juin, 2017, dans la publication : Numéro 12 Volume 35

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Publié sur le site le 26 juin 2017

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