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  • La sécurité des passagers menacée

    Transport aérien

    La sécurité des passagers menacée

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    Réouverture des écoles primaires

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    Pandémie

    Une 8 juin, 2020

    La nouvelle calamité

Numéro_11

La sécurité des passagers menacée

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Entente à l’amiable  pour la Ville de Fermont

Litige foncier

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La nouvelle calamité

Pandémie

Une 8 juin, 2020

La nouvelle calamité

Transport aérien

La sécurité des passagers menacée

par Éric Cyr

Le ministère des Transports du Canada qui gère l’aéroport régional de Wabush au Labrador a prévu de démanteler les services d’urgence-incendie qui y sont rattachés dès le 8 août prochain ce qui pourrait avoir de graves incidences sur la sécurité des nombreux passagers empruntant ce terminal aérien, parmi les plus achalandés dans les provinces atlantiques, qui dessert notamment les villes de Labrador City et de Wabush au Labrador Ouest, mais également la localité de Fermont dans la MRC de Caniapiscau au Québec.

Plusieurs travailleurs aéroportés œuvrant dans le domaine minier et qui utilisent un système de navettes par vols nolisés (fly-in/fly-out) pour se rendre sur leur lieu de travail transitent par cet aérodrome, mais aussi des patients de l’hôpital Labrador West Health Centre de Labrador City et du Centre multiservice de santé et de services sociaux de Fermont qui doivent se déplacer pour aller consulter des spécialistes à l’extérieur de la région ou lors d’un transfert médical d’urgence. L’aéroport situé au 2, rue Airport Road à Wabush appartient à Transports Canada tout comme plusieurs autres sur la Côte-Nord.

L’aérogare de Wabush auparavant considéré comme faisant partie des « petits » aéroports détenus par le gouvernement du Canada et bien qu’étant encore inscrit dans cette catégorie, semble être victime de son succès puisqu’il s’est beaucoup étendu au cours des années pour accommoder de plus en plus de passagers. Plusieurs s’insurgent contre cette suppression de services, dont le député provincial du NPD de la circonscription du Labrador-Ouest à l’Assemblée législative de Terre-Neuve-et-Labrador, Jordan Brown, qui a écrit une lettre à ce sujet au ministre fédéral des Transports, Marc Garneau, le 25 mai dernier, lui demandant d’intervenir et de faire marche arrière. Le député néodémocrate s’est dit très préoccupé de la sécurité des passagers qui utilisent cet aéroport ainsi que de celle des pompiers des municipalités de Wabush et de Labrador City qui seraient forcés de prendre le relais en cas d’incendie. « Cet aéroport est très achalandé, si une tragédie survenait sur place, qui serait là pour y faire face ? Personne. »

Déjà menacé en 2012, ce service d’urgence avait été conservé après des représentations de l’Union canadienne des employés des transports (UCET) et du maire de Wabush, Ron Barron qui qualifie cette décision d’irresponsable : « Je trouve ironique que le ministre Garneau parle de l’importance de soutenir nos transporteurs aériens ici au pays, qu’il qualifie d’essentiels, et qu’il souhaite les épauler durant la crise de la Covid-19 qui sévit actuellement alors qu’il choisit pourtant de sabrer ce service vital pour les passagers de notre région. La raison invoquée par Transports Canada est que l’achalandage aérien ne justifie pas de maintenir ce service localement. Il serait peut-être temps de revoir ces critères. Quelle est la valeur d’une vie ? Avec de plus en plus de gros transporteurs qui atterrissent et décollent de Wabush, comment ne pas imaginer que si une tragédie survenait, les services de santé et d’urgence limités dans la région ne réussiraient pas à répondre à la catastrophe adéquatement et avec efficacité ? Avec une telle logique, et si les dirigeants des villes avoisinantes avaient un raisonnement aussi farfelu que celui du ministre, ils pourraient se questionner sur la pertinence d’offrir un service municipal de prévention des incendies en considérant la faible démographie et le nombre minime d’interventions annuelles pour un feu. Une vie ici est tout aussi importante qu’une vie ailleurs. »

Le député Brown qui a déjà été pompier volontaire abonde dans le même sens : « Les pompiers volontaires ne sont pas formés pour ce genre d’intervention qui nécessite des connaissances spécifiques et spécialisées. » Le maire de Wabush n’a d’ailleurs aucune intention de mettre la vie de pompiers municipaux en jeu en les déployant à l’aéroport sans autre appui professionnel déjà formé sur les lieux. « Les pompiers municipaux peuvent constituer un renfort à des ressources sur place, mais ne peuvent remplacer un service de sauvetage et de lutte contre les incendies d’aéronefs. La Ville ne peut sciemment envoyer des pompiers au front affronter une telle situation sans avoir au préalable reçu une formation spécialisée. »

Transports Canada a déclaré dans un communiqué que la sécurité est sa priorité absolue. « Transports Canada utilise les dernières données disponibles pour prendre sa décision afin que la sécurité des utilisateurs du réseau de transport ne soit jamais compromise. » Cette décision serait basée sur le nombre de passagers transitant par Wabush qui n’aurait pas le seuil requis pour le maintien d’un tel service selon un système de collecte électronique de statistiques sur le transport aérien dont la base de données est détenue et gérée par ce même ministère. M. Brown, soupçonne que les données analysées remontent à quelques années lorsque le prix du minerai de fer était très bas et qui a depuis rebondi. Le député demande une nouvelle étude sur le trafic aérien une fois les restrictions liées à la crise de la Covid-19 levées en faisant référence à un certain nombre de projets miniers dans la région qui font venir de nombreux travailleurs par avion. Selon lui, les statistiques désuètes employées par Transports Canada ne reflètent nullement la réalité actuelle qui a beaucoup changé avec un accroissement important du transport aérien lié à l’activité économique et à la vitalité minière en forte croissance avant la pandémie.

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Publié le 8 juin, 2020, dans la publication : Numéro_11 Volume 38

  • Aéroport de Wabush
  • Maire de Wabush
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  • Ron Barron
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  • Terre-Neuve-et-Labrador
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  • UCET
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Publié sur le site le 8 juin 2020

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Éducation

Réouverture des écoles primaires

par Éric Cyr

Sur la photo, les règles de distanciation physique s’appliquent aussi dès l’arrivée et lors du départ.

Les élèves fermontois de niveau primaire de l’école Des Découvertes de la Commission scolaire du Fer ont pu retourner en classe, le 11 mai dernier, alors que ceux de la Commission scolaire anglophone Eastern Shores ont pu faire de même, le lendemain 12 mai, tout en respectant des règles strictes imposées afin de prévenir la propagation du virus de la Covid-19 qui sévit actuellement un peu partout, mais heureusement pour l’instant pas ici.

Selon la directrice de l’école Des Découvertes, Marie-Josée Murray, contactée par visioconférence, la « deuxième rentrée de l’année scolaire » est conforme aux attentes et tout se passe bien. « Toutes les règles dictées par le ministère de la Santé publique sont respectées notamment la désinfection des mains de même que l’entretien adéquat de l’établissement selon les directives émises. Les enfants ont été divisés en deux groupes distincts afin de faciliter la distanciation physique lors de l’arrivée et du départ. La nouvelle procédure est bien rodée et s’applique depuis déjà bientôt un mois » confie cette dernière qui est visiblement heureuse des résultats à ce jour. « On a instauré les recommandations tirées du guide transmis aux écoles par la CNESST (Commission des normes, de l’équité, de la santé et de la sécurité du travail) et une collaboration fructueuse règne avec les membres de la communauté et plusieurs partenaires qui nous appuient dans nos efforts de restructuration destinés à faciliter une transition harmonieuse. »

Mme Murray explique que des marques délimitent le périmètre à l’intérieur de l’école où des pastilles de couleur identifient chaque étage et des barrières ont été vissées au sol à l’extérieur de l’entrée principale avec l’aide d’employés municipaux. Les marcheurs qui se rendent à l’école à pied empruntent la cour arrière pour accéder à l’établissement alors que ceux qui s’y rendent en véhicule automobile ou en autobus passent par l’avant. Du personnel du secondaire a été appelé en renfort afin d’aider à gérer les navettes et assurer que tout se passe bien et de façon sécuritaire lorsque les écoliers divisés en deux groupes par noms de famille investissent les lieux. Les élèves de troisième cycle (5e et 6e années) ont été dispersés dans les locaux de la polyvalente Horizon-Blanc afin de mieux distancer les classes.

« Je suis très fière du personnel et des élèves qui font preuve de résilience en ces temps difficiles. Même à deux mètres de distance, on peut apercevoir des étoiles dans les yeux des enfants. »

Assurer la continuité

Bien que les parents aient le choix de garder leurs enfants à la maison, ce sont en moyenne 140 élèves de l’école Des Découvertes sur 246 qui se déplacent quotidiennement pour assister aux cours soit un taux de présence de 57 %. L’école primaire offre aussi de l’appui à distance afin de soutenir l’apprentissage et le cheminement pédagogique de ceux qui restent à domicile. Pour les élèves de la polyvalente Horizon-Blanc, des cours en ligne obligatoires, abordant les matières déterminées par le ministère de l’Éducation afin de couvrir les notions essentielles, sont offerts par les enseignants.

Du côté anglophone, ce sont 11 écoliers sur 17 qui sont généralement en classe soit une moyenne de 65 %. Une formule d’enseignement à distance a également été proposée par des professeurs avec un appui en télétravail pour ceux qui s’instruisent actuellement à partir de chez eux. Jointe au téléphone, la directrice de l’école Fermont School, Karen Kean, confie : « Tous affichaient de larges sourires et étaient heureux de renouer des liens lorsqu’ils se sont revus à l’occasion de cette nouvelle rentrée des classes. Cette petite école c’est comme une famille. Lorsque nous adoptons une attitude positive et que nous travaillons ensemble, nous pouvons relever n’importe quel défi. Je suis très fière de la bienveillance et de la compassion des élèves et des membres du personnel et de leur capacité d’adaptation aux nombreux changements qui sont survenus. »

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Publié le 8 juin, 2020, dans la publication : Numéro_11 Volume 38

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Publié sur le site le 8 juin 2020

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Litige foncier

Entente à l’amiable pour la Ville de Fermont

par Éric Cyr

Un arrangement à l’amiable est survenu entre la Ville de Fermont et les créanciers de la minière Cliffs Ressources naturelles qui a exploité la mine du Lac Bloom jusqu’en janvier 2015, Bloom Lake General Partners, le 29 mai dernier, mettant fin au différend au sujet de l’interprétation d’un article de la Loi québécoise sur la fiscalité municipale qui les opposait depuis plusieurs années.

L’Union des municipalités du Québec (UMQ), qui a accompagné Fermont depuis le début de cette cause et tout au long des procédures en mandatant un avocat par le biais de son Fonds municipal d’action juridique, se réjouit de ce dénouement qui met un point final à cette saga et à une longue bataille devant les tribunaux. La cause d’abord entendue par le Tribunal administratif du Québec (TAQ) s’est par la suite déplacée jusqu’à la Cour du Québec puis à la Cour supérieure du Québec avant de connaître son dénouement.

Sur le plan juridique, l’aboutissement de ce dossier concernant l’interprétation d’une section de l’article 65 de la Loi sur la fiscalité municipale constitue un gain majeur définitif pour les municipalités minières et industrielles du Québec dont Fermont s’est fait le porte-étendard en refusant de céder à la version large de son adversaire relative aux expressions « équipement d’une mine à ciel ouvert » et « chemin d’accès à une exploitation minière » et qui souhaitait exclure plusieurs immeubles, considérés par les créanciers comme des équipements, du rôle d’évaluation foncière. Ce règlement, qui fera jurisprudence, met donc un point final à la contestation du jugement du TAQ, qui a été maintenu par la Cour du Québec.

Les principes qui ont été défendus avec succès par la Ville de Fermont et l’UMQ, ont été acceptés sans réserve par le TAQ, puis à nouveau confirmés en appel par la Cour du Québec. C’est donc le statu quo pour l’assiette fiscale de nombreuses municipalités, dont Fermont. L’administrateur de l’UMQ pour la Côte-Nord et maire de Sept-Îles, Réjean Porlier confie : « Cette victoire est importante, car ce sont non seulement les quelque 420 municipalités minières qui en auraient souffert advenant un jugement défavorable des tribunaux, mais probablement l’ensemble des municipalités industrielles québécoises, vu l’impact potentiel sur plus de 1,3 milliard de dollars aux rôles d’évaluation foncière qui étaient ici en cause. »

Le maire de Fermont, Martin St-Laurent est soulagé que cette affaire soit enfin réglée de façon définitive. « Il est clair qu’un bâtiment ne constitue pas un équipement et l’interprétation de la loi par les tribunaux a tranché en faveur des municipalités. Il est normal de payer des taxes sur des bâtiments miniers et il y a dorénavant un jugement en ce sens. Cet accord vient confirmer que l’évaluation foncière de la Ville de Fermont de 240 M $ est bel et bien conforme et ça vient consolider le montant de réclamation de la Ville conformément à la Loi sur les arrangements avec les créanciers. » En plus de ne pas avoir à rembourser un montant de 12 M $ en taxes municipales, Fermont pourrait aller chercher environ 3 M $
additionnel.

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Publié le 8 juin, 2020, dans la publication : Numéro_11 Volume 38

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Publié sur le site le 8 juin 2020

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Pandémie

La nouvelle calamité

par Éric Cyr

Source photo : Nicholas Woolridge/Biomedical Communications

Comme tout droit sorti d’un mauvais film de série B s’installe ce que l’on a d’abord qualifié d’épidémie. Une nouvelle souche du coronavirus, la Covid-19, gagne le monde qui nage en plein inconnu. Les premiers cas apparaissent au loin en République populaire de Chine puis en Europe, en Amérique et sur tous les continents. C’est l’incertitude et l’Organisation mondiale de la santé (OMS) tarde à réagir. Les experts du domaine scientifique émettent finalement des avis au sujet de ce virus ravageur qui se propage à tout vent.

Après un décalage, la réalité fait surface et la vie est bouleversée. Il y a les anxieux, les critiques, les incrédules, les insouciants, les méfiants, les stupéfaits. Chacun tente d’expliquer le contexte ayant mené à ce fléau planétaire qui change de façon draconienne les habitudes et les mœurs. Un peu partout, des gens meurent comme des mouches. Dans l’empire du Milieu, Wuhan, une mégalopole polluée, fait la manchette autour du globe. En Italie, la « sérénissime » Venise est désertée et les gondoles se font discrètes dans la cité des Doges. Personne ne rêve plus de bâtir des châteaux en Espagne. Certains voient un parallèle avec la terrible grippe espagnole qui a sévi lors de la Première Guerre mondiale et qui a décimé dix fois plus de gens que la Grande Guerre elle-même. Pourtant cette maladie contagieuse du début du XXe siècle ne tire pas son origine en terre hispanique, mais bien du Kansas aux États-Unis. La France, berceau de la démocratie moderne, n’y échappe pas et, après l’Hexagone, l’affliction se propage progressivement à l’ensemble de l’Union européenne en Russie et jusqu’au pays de l’oncle Sam où en seulement un mois sans se « tromper », elle tue plus d’Américains que la guerre du Vietnam.

Ça va bien aller, mais des frontières ferment, des populations sont cloisonnées, confinées. Les médias ne parlent que de la nouvelle pandémie. La course au vaccin a commencé. Les savants cherchent un remède. De brillants scientifiques sont mis à contribution. Les rassemblements sont interdits : quarantaine et distanciation sociale sont des mots à la mode. Des photos circulent. Recherché virus. Créée en laboratoire ou issu de l’évolution naturelle ? Les complotistes s’opposent aux adeptes de Darwin. Pendant ce temps, des cadavres s’empilent. L’infection galopante se propage à la vitesse grand V bousculant l’ordre établi. Les normes sont ébranlées et des pays se disputent du matériel médical tant convoité. Les voisins deviennent des suspects, des politiciens improvisent des discours à la télévision, à la radio et dans les journaux et qui sont relayés sur Internet. Des mesures drastiques sont instaurées. C’est la guerre au virus et gare aux dommages collatéraux.

Des voix s’élèvent pour parler d’une éventuelle mutation virale et d’une deuxième vague encore plus mortelle. Tout bascule, les conventions se bousculent. Personne n’est invincible, nul n’est à l’abri. Pourtant, les dirigeants parlent dorénavant de déconfinement. L’économie s’oppose à la pandémie.

Le monde a changé. Des précautions d’usage sont en vigueur : poignées de main et accolades sont proscrites. Partout, des armées de masques font surface. Héros et Zoro se battent pour tenter d’enrayer la progression de l’ennemi invisible.

Des anges gardiens deviennent les meilleurs sous la terreur. Les combattants s’alignent au front et malgré la frayeur attendent le prochain chapitre qui viendra assurément, inévitablement. Seront-ils vainqueurs, serons-nous épargnés du danger ? Les philosophes auront beau discourir vitam aeternam sur les expressions du latin médiéval en opposition classique « natura naturans », la nature naturante, ou « natura naturata », la nature naturée, le phénomène est bien concret et les nombreuses dépouilles en témoignent.

Le virus se serait-il calmé où ne serait qu’une accalmie avant la tempête ? Qui vivra verra. Après avoir tué sans vergogne durant quelques années, la grippe espagnole s’est finalement dissipée. Qu’adviendra-t-il de la Covid-19 ? Bientôt un mauvais souvenir ? En attendant à vos masques, prêts, portez ! C’est la ruée vers les cagoules en tout genre. Tous veulent s’en procurer : industriels, artisanaux ou composés de plusieurs matériaux. Oui, le monde a bien changé. Pénurie de certaines denrées, c’est la panique sur les marchés. Les investisseurs se souviennent du krach boursier de 1929. Vaccin ou pas ? L’avenir le dira. En attendant de pouvoir dire : gàobié, gaddio, adios, adieu, farewell ou sayonara à cette peste moderne, protégez-vous bien et restez en sécurité.

 

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Publié le 8 juin, 2020, dans la publication : Numéro_11 Volume 38

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Publié sur le site le 8 juin 2020

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