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  • Numéro 15

  • Un attrait indéniable  pour Fermont

    Camion en ville

    Un attrait indéniable pour Fermont

  • Le drapeau du Labrador officiellement reconnu

    Identité culturelle

    Le drapeau du Labrador officiellement reconnu

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    Activité sportive et caritative

    Tournoi de golf des Moose

  • Manifestation à Fermont

    Monde syndical

    Une 12 septembre, 2016

    Manifestation à Fermont

Numéro 15

Un attrait indéniable  pour Fermont

Camion en ville

Un attrait indéniable pour Fermont

Le drapeau du Labrador officiellement reconnu

Identité culturelle

Le drapeau du Labrador officiellement reconnu

Tournoi de golf des Moose

Activité sportive et caritative

Tournoi de golf des Moose

Manifestation à Fermont

Monde syndical

Une 12 septembre, 2016

Manifestation à Fermont

Camion en ville

Un attrait indéniable pour Fermont

par Éric Cyr

Le parc Jean Fortin a été inauguré en septembre 2006 et le Camion en ville qui y siège est vite devenu un symbole touristique associé à la ville de Fermont et à la MRC de Caniapiscau. Le mastodonte minier se dresse fièrement depuis ce jour à l’entrée de la municipalité nordique du 52e parallèle devant l’œuvre architecturale du mur-écran, autre figure emblématique de la région ayant acquis ses lettres de noblesse. L’œuvre du temps ayant quelque peu terni cette figuration minière, une revitalisation était nécessaire.

Un champion minier

En 2005, la compagnie minière Québec Cartier (aujourd’hui ArcelorMittal) établissait un nouveau record mondial de performance des camions Caterpillar modèle 789 et le camion de production numéro 172, d’une capacité de 190 tonnes courtes, opérant à la mine de fer du Mont-Wright depuis le 7 février 1988 a atteint une performance exceptionnelle de 105 630 heures, un exploit de longévité, avant d’être volontairement mis hors service afin de prêter main-forte à la cause touristique le 11 octobre 2005. La monture d’acier aurait pu poursuivre son règne minier encore longtemps aux côtés de ses frères d’arme mais il fut désigné ambassadeur par excellence de la région. Ce camion qui a transporté un total de 34 000 tonnes de minerai de fer et de stérile a gagné ses épaulettes et accueille dorénavant les visiteurs de son monticule attrayant.

Une cuirasse solide

À la suite de son inauguration au parc Jean Fortin en septembre 2006, ce chevalier d’acier a monté la garde sur la forteresse du mur-écran et a dû essuyer quelques attaques de vandales malfaisants écorchant à peine son armure mais se tient toujours vaillamment debout toujours prêt à « faire front, faire face » entouré de diverses sentinelles minérales. Après le repli des barbares dévastateurs ayant tout de même laissé quelques traces, une noble dame a décidé de panser ses blessures superficielles, d’embellir son image et de redorer son blason.

Revitalisation

Un projet de revitalisation du parc Jean Fortin était prévu à l’été 2015, une décennie après son inauguration et après avoir complété l’embellissement du mont Daviault durant la période estivale 2014, mais plusieurs imprévus ont empêché sa mise en chantier selon l’horaire prévu. La réfection du Camion en ville se voulait au départ une résolution du Centre local de développement (CLD) de Caniapiscau qui a depuis été aboli par le gouvernement libéral Couillard en décembre 2015 entrainant dans son sillage la disparition de plusieurs initiatives locales. Les employés et les actifs du défunt CLD ont été réaffectés à la MRC chargé de prendre la relève. L’agente de développement touristique de l’époque Pascale Castilloux a été mutée au poste d’agente de développement local avant de se métamorphoser en agente de développement touristique et de développement social. Trouvant dommage de sacrifier tous les efforts déployés, cette dernière qui tenait mordicus à la mise en valeur du Camion en ville a redéposé le projet déjà entamé à la MRC, son nouvel employeur et celui-ci a finalement été retenu.

« Il restait du financement accordé par la minière ArcelorMittal et la MRC a déboursé le reste. »

De l’ordre et du lustre

Le camion a été totalement revampé grâce au travail minutieux et à l’apport de plusieurs partenaires. La Ville de Fermont a contribué en nettoyant d’abord le périmètre immédiat du camion. « Il y avait des fuites d’huile au sol et la municipalité a dégraissé le camion et enlevé les composantes mécaniques et hydrauliques, ce qui n’avait pas été fait lors du déplacement du camion. La Ville a aussi nettoyé le site et le camion. » Une quinzaine de bénévoles de l’Association du hockey mineur de Fermont ont gratté et utilisé un polissoir avant de repeindre la carrosserie et l’habitacle et les abris pour les tables de pique- nique afin d’amasser des fonds pour leur organisation. La peinture et les autocollants Caterpillar Hewitt avec le numéro du camion étaient une gracieuseté de Hewitt Équipement qui a aussi fourni un dispositif de levage à ciseaux qui a été transporté gratuitement par Remorquage Fermont pour peinturer le haut du camion. L’entreprise Pousse partout! a été embauchée afin de désherber, de nettoyer les plates bandes et étaler le quartz. L’ingénieure géologue Aline Morin a contribué à identifier la trentaine de minéraux dont une partie avait été déplacée et mélangée. Trois chargements de quartz dont le chargement et le transport ont été assurés à titre gracieux par Lesage Transport ont été fournis gratuitement par la carrière boréale de quartz Polycor. À la suite d’actes de vandalisme il a aussi été  prévu de remplacer le plexiglass de la cabine ainsi que des phares (lumières) du camion qui ont été cassés. La Ville a aussi replacé de gros minéraux, qui avaient été déplacés et laissés pêle-mêle, à l’aide d’une chargeuse.

À venir

Un budget a été alloué pour un gros panneau d’identification à l’entrée du parc, l’installation de trois pancartes avec une description des minéraux qui côtoieront une autre affiche avec l’historique du Camion en ville et son instigateur. Il a aussi été prévu d’ajouter des bancs, des poubelles et de nouvelles tables de piquenique. Le tout devrait se concrétiser bientôt.

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Publié le 12 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 15 Volume 34

  • 52e parallèle
  • ArcelorMittal
  • Camion 190 tonnes
  • Champion minier
  • Cuirasse solide
  • Fermont
  • Figure emblématique
  • Mont-Wright
  • Parc Jean Fortin
  • Revitalisation
  • Tourisme

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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Identité culturelle

Le drapeau du Labrador officiellement reconnu

par Éric Cyr

Le drapeau du Labrador adopté en 1974 flotte désormais aux frontières avec le Québec et a été reconnu de façon officielle par le gouvernement de Terre-Neuve-et-Labrador. Plusieurs citoyens avaient hissé en douce cet étendard à la frontière à de multiples reprises au cours des années afin de signifier leur caractère distinct et les particularités culturelles et géographiques du Labrador. Un mat artisanal en bois avait même été installé à côté des trois autres drapeaux officiels afin d’accueillir le symbole dissident jusqu’à ce que le gouvernement provincial se décide finalement à accorder une place à cette figuration qui côtoiera désormais les drapeaux du Canada, de Terre-Neuve-et-Labrador et le Union Jack britannique.

Attribut en tissu

Le premier ministre de Terre-Neuve-et-Labrador, le libéral Dwight Ball a pris part à la cérémonie d’intronisation du drapeau labradorien à la frontière avec le Québec à la fin de la route nationale 389 et le début de l’autoroute Nichols-Adams, la 500, dans l’ouest du Labrador, le 19 aout dernier.

« Le drapeau du Labrador qui était auparavant source de débats politiques dans cette province sera officiellement hissé aux frontières avec le Québec avec l’appui des autorités gouvernementales…celui-ci met en relief la spécificité et le caractère unique de ce territoire et fait valoir la culture de ses habitants. »

La députée fédérale libérale pour le Labrador, Yvonne Jones était sur place en compagnie du député provincial libéral de l’ouest du Labrador, Graham Letto afin de souligner cet évènement historique d’envergure. La députée provinciale libérale Lisa Dempster pour Cartwright-L’Anse-au-Clair et le ministre provincial des Transports, Al Hawkins, ont participé à une autre levée du drapeau simultanée au sud du Labrador également à la frontière avec le Québec. Le précédent gouvernement conservateur de cette province avait refusé catégoriquement d’envisager une telle éventualité prétextant que cette représentation était source de division plutôt que d’unité. La députée Jones a souligné que les combats menés par les citoyens du Labrador depuis des années pour faire reconnaitre cette marque identitaire ont finalement porté fruit.

Un peu d’histoire

Cet emblème représentant le territoire du Labrador a été conçu en 1974 par Michael S. Martin un député provincial du Labrador afin de mettre en évidence le caractère singulier des citoyens de cette région dans le cadre du 25e anniversaire de l’adhésion de Terre-Neuve à la confédération canadienne en 1949 et pour dénoncer par la même occasion l’indifférence de l’ancien premier ministre terre-neuvien (et principal instigateur de cette affiliation avec le Canada), Joey Smallwood, par rapport au Labrador. Il a été adopté rapidement par les habitants de l’endroit jusqu’à devenir même un symbole sécessionniste associé au Labrador Party, un parti provincial défendant les intérêts des résidents de cette région géographique.

Signification du drapeau

La bande blanche du haut représente les neiges, l’élément qui a coloré cette culture nordique, la bande bleue, les eaux des rivières des lacs et des deux océans qui bordent le Labrador alors que la bande verte au centre symbolise la terre verte et abondante qui se veut l’élément connecteur unissant les trois cultures de ce territoire. Les trois branches de la brindille d’épinette évoquent les trois races du territoire. Les Inuits, les Autochtones et les colons européens.  La brindille poussant d’une seule souche désigne l’origine commune de tous les peuples sans égard à la race.

Une autre figure identitaire et culturelle, le drapeau acadien adopté le 15 aout 1884 a aussi été reconnu officiellement par le gouvernement du Nouveau-Brunswick en 1982.

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Publié le 12 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 15 Volume 34

  • Confédération canadienne
  • Drapeau du Labrador
  • Frontières
  • Identité culturelle
  • Terre adondante
  • Terre-Neuve
  • Territoire
  • Trois races

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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Activité sportive et caritative

Tournoi de golf des Moose

par Louise Vachon

Le Club social des Moose tenait son 15e tournoi de golf annuel, le 27 aout dernier, au Club de golf Tamarack de Labrador City. En plus de faire profiter aux membres d’une journée d’activité sportive et sociale, ce tournoi amical a pour but d’amasser des fonds en vue d’offrir des bourses d’études aux enfants des membres Moose étudiant à l’extérieur. Dame nature était de la partie pour cette journée puisque soleil et chaleur étaient au rendez-vous.

C’est lors du souper à la loge que l’on a dévoilé par tirage au sort, le nom des gagnants d’une bourse. Pour cette édition spéciale, la Loge a vraiment mis le paquet afin d’offrir le plus de bourses possible aux étudiants, ainsi 19 jeunes pourront bénéficier d’une bourse de 500 $. Pour amasser tant d’argent, l’équipe n’a pas chômé : des déjeuners et des tirages moitié-moitié ont été organisés, des commanditaires ont été sollicités et pour le souper du golf, le bénévolat pour la main-d’œuvre et les dons de nourriture pour les mets ont contribué à ajouter des bourses.

Les lauréats sont :

Mélanie Dionne,
Isabelle Boucher,
Sarah-Anne Bergeron,
Guillaume Boulay-Lavoie,
Ashley Élizabeth Joncas,
Raphaël Soucy,
Mélina Ruel,
Léane St-Gelais,
Yoan Aspirot,
Josiane Rioux,
Marianne Bisson,
Simon Harvey-Boissé,
Camille Morin,
Samuel Pelletier,
Anthyme Bastien,
Alex Bond-Ouellet,
Xavier St-Pierre,
Geneviève Rioux et
Yan Labbé.

Les jeunes devront fournir une preuve qu’ils ont fréquenté une institution scolaire à l’automne 2016, en cas d’incapacité à rencontrer l’exigence, les noms de quatre substituts ont été tirés. Félicitations aux jeunes et aux parents, à qui profitera cette aide financière.

Un tournoi demeure quand même un tournoi si amical soit-il. Le plus long coup chez les femmes fut frappé par Brigitte Poitras et par Charles Bouchard chez les hommes. Chez les femmes, Diane Mainville a frappé sa balle le plus près de la coupe et Marcel Lanouette a fait de même chez les hommes. De nombreux prix de présence offerts par les commanditaires ont agrémenté la soirée qui se prolongea par de la danse au son de la musique d’Éric Ouellet.

Cette année, le comité organisateur était composé de Gina Beaudoin, Sylvie Scheeans, Michel Dupéré et Manon Bouchard. Mme Gina Beaudoin, animatrice de la soirée, a profité du moment pour remercier les commanditaires, les organisateurs ainsi que les nombreux bénévoles, qui ont travaillé à l’organisation, à la décoration, au repas et relance l’invitation pour l’an prochain.

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Publié le 12 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 15 Volume 34

  • Activité caritative
  • Activité sportive
  • Bourse d'études
  • Cause communautaire
  • Club de golf Tamarack
  • Club social des Moose
  • Moose de Fermont
  • Tournoi de golf

Publié sur le site le 6 octobre 2016

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Monde syndical

Manifestation à Fermont

par Éric Cyr

La section locale 7401 du syndicat des Métallos a tenu une manifestation à l’intersection du boulevard Jean-Claude Ménard à l’entrée de la ville de Fermont, le 2 septembre dernier en matinée, afin de dénoncer la réduction de la semaine de travail de 40 heures à 36 heures pour 27 salarié(e)s fermontois(e)s, principalement des femmes, à l’emploi de la minière ArcelorMittal. Les manifestant(e)s qui remettaient des tracts aux automobilistes, composés surtout de travailleurs et d’entrepreneurs se rendant à la mine du Mont-Wright, n’ont pas obstrué la circulation.

La nouvelle mesure implantée par le principal employeur de la localité, affecte plusieurs employé(e)s de bureau (commis) à Fermont et à Port-Cartier. Le coordonnateur régional des Métallos pour la Côte-Nord, Bas-Saint-Laurent, Gaspésie et les Îles-de-la-Madeleine, Nicolas Lapierre, s’était déplacé à Fermont pour l’occasion. Le président de la section locale 5778 qui regroupe près de 1200 membres, Joël Dumont, était aussi à la protestation en compagnie du vice-président

de cette même section, Mario Lepage, et du président de la section locale 7401 qui compte près d’une centaine de membres, Dominic Bisson, accompagné du vice-président, Martin Jomphe. Un représentant syndical du district 6 des Métallos/Steelworkers de l’Atlantique, Euclide Haché, en poste à la section 5795 à Labrador City est aussi venu discuter avec les représentants du noyau syndical nord-côtier sur les lieux à la fin de cette démonstration de solidarité.

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Respecter la convention collective

Le coordonnateur des Métallos est très fier des actions pacifiques posées par la section 7401 :

« Les syndiqués fermontois revendiquent leurs droits légitimes et se tiennent debout. » Selon M. Lapierre :

« Il y a des dispositions enchâssées dans la convention collective où l’employeur s’engage à respecter la semaine de travail de 40 heures. Cette lettre d’entente fait partie intégrante de la convention depuis 1987, soit depuis 29 ans, et y avait été insérée pour pallier au fait qu’ArcelorMittal avait réduit l’horaire de travail à 32 heures/semaine à cette époque. »

Ce dernier affirme que le syndicat des Métallos n’est pas contre l’idée de réduire les couts, mais les solutions doivent être envisagées de concert avec les employés et ajoute que l’automne dernier, le Syndicat a suggéré de mettre sur pied des comités dans chaque département pour tenter de trouver des moyens de réduire les dépenses de façon générale. L’employeur n’a pas fait la sourde oreille à cette proposition, mais n’a jamais donné suite à cette requête.

« La direction d’ArcelorMittal a plutôt opté pour réduire les heures de certains employés. Cette décision a été appliquée de façon unilatérale et sans consultation et a été annoncée durant la période de vacances estivales. C’est ça qui choque les travailleurs », précise-t-il.

M. Lapierre qui a aussi été désigné comme porte-parole pour les prochaines négociations de Fermont et de Port-Cartier ajoute que cette mesure soutire 8000 $ par année à chaque salarié(e) touché(e) et que par le fait même, cet argent n’est pas réinvesti dans l’économie locale et sociale.

« Le revenu principal de ces employé(e)s, majoritairement des femmes à Fermont (26 sur 27), est amputé injustement. L’entreprise tente de faire des économies de bout de chandelle et met de l’huile sur le feu à l’approche des négociations. »

Position de l’entreprise

Le porte-parole d’ArcelorMittal, Paul Wilson, affirme pour sa part que :

« Cette mesure touche une cinquantaine d’employés de bureau à Fermont et à Port-Cartier. C’est dans notre droit, c’est une décision légitime qui respecte la convention collective telle que signée et qui vise à augmenter l’efficacité. »

La nouvelle mesure est entrée en vigueur le 5 septembre 2016.

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Publié le 12 septembre, 2016, dans la publication : Numéro 15 Volume 34

  • ArcelorMittal
  • Convention collective
  • Manifestation
  • Métallos
  • Monde syndical
  • Négociation
  • Revendication
  • Section locale 7401

Publié sur le site le 22 septembre 2016

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