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  • Tacora Resources investit à Wabush

    Mine Scully

    Tacora Resources investit à Wabush

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    Mine de fer du Lac Bloom

    Une 7 juin, 2021

    Entente de principe entre les Métallos et MFQ

Numéro_11

Tacora Resources investit à Wabush

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Entente de principe entre les Métallos et MFQ

Mine de fer du Lac Bloom

Une 7 juin, 2021

Entente de principe entre les Métallos et MFQ

Mine Scully

Tacora Resources investit à Wabush

par Éric Cyr

source photo : Mine Scully

La minière canadienne Tacora Resources qui a acquis en 2017 et relancé à l’été 2019, la mine de fer Scully à Wabush au Labrador qu’elle exploite depuis, a annoncé, le 12 mai dernier, qu’elle a émis des billets garantis d’une valeur de 175 millions de dollars américains afin de refinancer la dette garantie de la société contractée lors du démarrage et pour financer le fonds de roulement et les besoins généraux de l’entreprise.

Tacora Resources vise l’atteinte de la capacité nominale d’extraction de ce site minier dont le fer est expédié par le chemin de fer QNS&L jusqu’au Port de Sept-Îles sur la Côte-Nord. L’objectif est d’augmenter la production annuelle pour atteindre six millions de tonnes de concentré de fer et d’évaluer les options de croissance des installations de Wabush.

« Notre stratégie de refinancement consistait à réduire nos coûts d’emprunt, garantir une liquidité adéquate et offrir une flexibilité financière à l’entreprise », a déclaré le vice-président à la direction et chef des services financiers de Tacora, Joe Broking.

« La nouvelle structure fournira à Tacora le capital indispensable pour poursuivre les investissements et la flexibilité essentielle pour envisager une croissance durable. »

« L’achèvement de cette initiative de financement place la société et nos employés dévoués dans une position enviable où nous pouvons faire preuve d’une plus grande souplesse dans le déploiement du capital nécessaire pour atteindre la capacité de production nominale à la mine Scully et assurer la progression de l’entreprise de façon responsable. Un meilleur bilan était la première étape vers l’atteinte de nos objectifs stratégiques qui comprennent également une amélioration de la productivité et des options de croissance à la mine Scully, ainsi que le développement et le redémarrage de la mine Sydvaranger en Norvège »,
conclut le président et chef de la direction, Thierry Martel.

En janvier dernier, la société a annoncé l’acquisition de la mine Sydvaranger qui peut produire annuellement quatre millions de tonnes de concentré à haute teneur en fer. La mine située au-delà du cercle polaire arctique ayant arrêté ses activités depuis 2015, Tacora présentera un projet de relance à ses actionnaires d’ici le début de 2022.

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Publié le 7 juin, 2021, dans la publication : Numéro_11 Volume 39

  • Chemin de fer QNS&L
  • Joe Broking
  • Labrador
  • Labrador Ouest
  • Mine de fer Scully
  • Port de Sept-Îles
  • Tacora Resources
  • Thierry Martel
  • Wabush

Publié sur le site le 7 juin 2021

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Entreprise d’économie solidaire

Inauguration officielle de La Brocante

par Éric Cyr

Après quelques mois de préparation, le nouveau local de la friperie La Brocante située dans le centre commercial du mur-écran de Fermont a ouvert ses portes à la population dans le cadre d’une cérémonie officielle présidée par l’évêque du diocèse de Baie-Comeau, Mgr Jean-Pierre Blais, qui a procédé à la coupe du ruban suivie d’un discours, du dévoilement d’une plaque et de la bénédiction de l’endroit en compagnie de l’abbé Jimmy Delalin et de bénévoles venus assister à l’événement.

Mgr Blais a fait l’éloge du travail de bénévolat qui a mené à la concrétisation de cette initiative rassembleuse pour la collectivité et a également parlé de l’importance, pour les paroisses, de ne pas se consacrer uniquement à la vie sacramentelle, mais aussi de s’ouvrir à la dimension sociale.

Partage

« Il y a des familles qui ont des objets à offrir et d’autres qui leur trouvent une utilité. C’est un service inspiré du partage, une œuvre qui aide à la fois les citoyens et la paroisse et qui répond à une nécessité tout en donnant une seconde vie à des objets réutilisables, ce qui est aussi favorable à l’environnement. Il s’agit de s’occuper de la personne considérée dans son ensemble et de ses besoins particuliers, de placer la personne dans son dénuement humain au cœur de nos préoccupations dans une formule de charité pour tous », confie l’ecclésiastique qui remercie les différents partenaires du milieu qui ont collaboré à la réussite de cette entreprise notamment la MRC de Caniapiscau, Les Placements Monfer, la loge des Moose, le Syndicat des Métallos, Panoramique52 et Andrée-Anne Cormier, ainsi que les bénévoles qui se sont investis dans la démarche entre autres le président des marguilliers du conseil de la fabrique de la paroisse La Résurrection de Fermont, Guy Kouam, Alain Bouchard, qui a réalisé de nombreux travaux, la famille Truchon, Marilou Morin-Lévesque, Nancy Hardy et Micheline Lepage, sans qui le projet n’aurait pas abouti.

Donner au suivant

Pour M. Bouchard, qui s’est impliqué dans la rénovation du local depuis le début, il s’agit de donner au suivant dans un concept d’entraide.

« J’ai vécu des problèmes de santé importants qui m’ont ébranlé durant un certain temps et, en plus des soins de santé que j’ai reçus localement et du volet spirituel que je retrouvais à l’église, j’ai obtenu une aide précieuse d’un organisme caritatif, Cancer Fermont, qui m’a beaucoup épaulé durant cette période difficile, ce qui m’a redonné espoir et m’a permis de reprendre courage alors quand j’ai repris des forces et retrouvé une certaine énergie, j’ai décidé à mon tour de redonner à la communauté en m’employant à aider mon prochain et j’ai jugé que cette cause qui rejoint mes valeurs était une belle occasion de témoigner ma gratitude et ma reconnaissance pour le milieu fermontois et les gens qui le composent. »

La responsable de La Brocante, Micheline Lepage, remercie Carmen Jenniss qui l’a précédée durant 15 ans et vous invite à venir la rencontrer. L’horaire est du mardi au jeudi de 13 h 30 à 16 h 30.

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Publié le 7 juin, 2021, dans la publication : Numéro_11 Volume 39

  • Alain Bouchard
  • Diocèse de Baie-Comeau
  • Économie solidaire
  • Église catholique
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  • Friperie
  • La Brocante
  • Mgr Jean-Pierre Blais
  • Paroisse La Résurrection

Publié sur le site le 7 juin 2021

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ArcelorMittal

Des négociations au point mort

par Éric Cyr

Une rencontre virtuelle visant à expliquer les revendications et les doléances des travailleurs ainsi que les motifs ayant mené au conflit de travail, déclenché le 10 mai 2021, s’est tenue entre la haute direction d’ArcelorMittal et les comités de négociation du Syndicat des Métallos, le 14 mai dernier. Le président de la multinationale, Lakshmi Mittal, et le président et chef de la direction de la division d’exploitation minière de l’entreprise au Canada, Mapi Mobwano, ont assisté à cet entretien qui ne se voulait pas une tribune de négociation, mais qui a cependant semé l’espoir d’un dialogue constructif.

Quatre jours plus tard, le conciliateur convoquait les belligérants à un retour à la table de négociation. Les premiers pourparlers officiels depuis le début de la grève se sont donc déroulés, le 20 mai, à Sept-Îles. La conjoncture n’a malheureusement pas donné de résultats concluants et les négociations ont rapidement achoppé. Force est de constater que la partie patronale et la partie syndicale sont encore loin d’un compromis. L’impasse demeure puisque cet exercice n’a pas permis d’en arriver à un dénouement.

« La séance a permis de constater de façon évidente qu’il n’y a pas de terrain d’entente possible à l’heure actuelle. La grève se poursuit donc dans l’ensemble des installations d’ArcelorMittal à Fermont, à Fire Lake et à Port-Cartier. Nous ne succomberons pas au chant des sirènes », confie le coordonnateur du Syndicat des Métallos pour la Côte-Nord, Nicolas Lapierre, qui explique de façon métaphorique qu’avant d’en venir à un accord, il faudrait au préalable évoluer sur la même patinoire et qu’avant d’attacher les lacets des bottines, il faut défaire les nœuds. Selon les Métallos, les principaux points en litige concernent les assurances, les primes, le régime de retraite, les salaires et l’horaire de travail de 14 jours consécutifs, suivis de 14 jours de congé, inspiré du système de navettage aérien des travailleurs qui favorise l’exode à l’extérieur de la Côte-Nord.

La directrice des communications d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada, Annie Paré, juge que rien ne permet de croire à un retour à la table de négociation puisqu’il n’y a eu aucune évolution depuis la rencontre. Mme Paré explique que l’entreprise minière se prépare à un conflit qui pourrait se prolonger.

« Malgré tous nos efforts, nous n’avons pas été en mesure de trouver un terrain d’entente avec le Syndicat des Métallos. Nous avons tendu la main pour faire évoluer la conversation, mais ne pouvions malheureusement pas poursuivre les discussions dans un contexte où la partie syndicale refuse de négocier et maintient une position de « tout ou rien » sans démontrer d’ouverture. Nous avons donc interrompu les négociations pour le moment. Considérant l’impact majeur à divers niveaux sur tous nos employés, qu’ils soient syndiqués ou cadres, et sur la communauté dans son ensemble, cette situation ne profite à personne. Nous demeurons disposés à négocier, de façon raisonnable, constructive et ouverte. »

Le conciliateur a convoqué les deux parties à la table de négociation, le 3 juin. Le président et chef de la direction d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada et président du comité de gestion d’ArcelorMittal Infrastructure Canada, Mapi Mobwano, y prendra part.

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Publié le 7 juin, 2021, dans la publication : Numéro_11 Volume 39

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Publié sur le site le 7 juin 2021

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Mine de fer du Lac Bloom

Entente de principe entre les Métallos et MFQ

par Éric Cyr

Source photo : MFQ

Une entente de principe a été conclue, le 24 mai 2021, entre le comité de négociation de la section locale 9996 du Syndicat des Métallos et Minerai de fer Québec (MFQ), une filiale de Champion Iron, qui exploite la mine de fer du Lac Bloom située à proximité de Fermont.

L’unité locale 9996 du Syndicat des Métallos représente près de 390 travailleurs de l’entreprise MFQ. Après une soixantaine de rencontres de discussions échelonnées sur une période de six mois, les parties patronale et syndicale se sont entendues sur les grands enjeux du renouvellement de la convention collective des employés syndiqués. À la suite des pourparlers, le comité de négociation de ce bureau syndical suggère à ses membres de se rallier à l’option négociée. Les représentants syndicaux jugent l’entente digne d’être entérinée et préconisent son acceptation.

Contexte favorable

Le contexte actuel est très différent de celui qui régnait lors de la première convention collective qui avait été négociée à l’époque avec le promoteur du site minier, la société de développement Champion. Les travailleurs avaient alors laissé une certaine marge de manœuvre à l’employeur afin de permettre une relance des activités minières. Le porte-parole syndical, Dany Maltais, considère que l’entente est ciblée sur les besoins des membres et respecte ce que l’employeur est en mesure d’accorder. Il estime que le moment est actuellement opportun puisque le prix du fer est en constante progression et que l’entreprise, en excellente posture financière, envisage même de doubler sa production.

« L’entente de principe est à la satisfaction du comité de négociation. On recommandera fortement aux membres de l’adopter lors des assemblées générales. Nous travaillons maintenant à l’organisation d’assemblées générales dans les plus brefs délais ».

M. Maltais est à l’aise avec le contenu de l’accord de principe qui répond selon lui aux attentes des syndiqués et croit qu’il obtiendra leur assentiment. L’entente sera d’abord présentée et expliquée aux membres lors d’assemblées générales prévues à la fin juin et ceux-ci pourront par la suite se prononcer à son sujet dans le cadre d’un vote. La nouvelle convention collective ne pourra être adoptée qu’à la suite d’un résultat favorable lors du scrutin. MFQ ne souhaite pas faire de commentaires avant le résultat du suffrage.

C’est la seconde convention collective à être négociée depuis que MFQ a entrepris le redémarrage des installations et repris l’exploitation de la mine du Lac Bloom, en 2018, succédant ainsi à Cliffs Natural Resources après sa faillite.

Le complexe minier de MFQ poursuit sa progression et est actuellement en phase d’expansion avec pour objectif de doubler sa capacité d’extraction qui passerait à une production annuelle de 15 millions de tonnes de minerai de fer. Cette démarche est appuyée par de solides paramètres économiques actuels relatifs au marché du fer, son champ d’expertise.

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Publié le 7 juin, 2021, dans la publication : Numéro_11 Volume 39

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Publié sur le site le 7 juin 2021

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