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  • Numéro 18

  • À Fermont et partout  au Québec

    CPE en grève

    À Fermont et partout au Québec

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    Route nationale 389

    Comme un pavé dans la mare

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    Une locomotive percute un camion de transport

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    De par le vaste monde

    Une 6 novembre, 2017

    À vélo pour une noble cause

Numéro 18

À Fermont et partout  au Québec

CPE en grève

À Fermont et partout au Québec

Comme un pavé dans la mare

Route nationale 389

Comme un pavé dans la mare

Une locomotive percute un camion de transport

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À vélo pour une noble cause

De par le vaste monde

Une 6 novembre, 2017

À vélo pour une noble cause

CPE en grève

À Fermont et partout au Québec

par Éric Cyr et Louise Vachon

Légende : Les éducatrices du CPE Le Mur-Mûr de Fermont manifestent à l’entrée de la ville.

Une journée de grève a eu lieu dans 578 installations des centres de la petite enfance (CPE) dont 400 affiliées à la Confédération des syndicats nationaux (CSN), le 30 octobre dernier, à la suite de l’échec des pourparlers entre le comité national de négociations représentant 11 000 travailleuses, sans contrat de travail depuis plus de deux ans et demi, et le gouvernement du Québec.

Les membres du conseil d’administration et de la direction du CPE local dont la directrice générale intérimaire, Marie-Josée Marin et la présidente du conseil d’administration, Sophie-Andrée Fiset Soucy, ont fait connaître leur position aux parents dans une lettre datée du 24 octobre dernier : « Depuis la réouverture du CPE le Mur-Mûr à Fermont en septembre 2015, beaucoup d’efforts ont été déployés de part et d’autre afin de créer un milieu de vie agréable et chaleureux pour les enfants. Les relations de travail développées entre les éducatrices, la direction et le syndicat nous ont permis de réaliser de belles choses et d’être fiers de notre milieu. Chaque enfant qui le fréquente a la chance d’avoir des éducatrices qui ont à cœur son développement et en équipe, nous travaillons à leur offrir des services éducatifs de qualité ».

Les clauses au niveau local entre le syndicat et le CPE Mur-Mûr sont réglées toutefois, il reste encore plusieurs enjeux majeurs à la table de négociation nationale. Après 30 séances de négociation entre le Comité de négociation national et le ministère de la Famille, les enjeux suivants ne sont toujours pas réglés : le régime de retraite, les salaires, les ratios éducatrices-enfants, les assurances collectives, les heures pédagogiques ainsi que la présence des éducatrices aux rencontres du Conseil d’administration et aux assemblées générales.

La qualité des services menacée

Un mandat de grève a donc été confié au syndicat par l’ensemble des éducatrices membres de la Fédération de la santé et des services sociaux (FSSN-CSN). Six journées de grève sont donc à prévoir, dont la première a eu lieu le 30 octobre, afin d’augmenter la pression sur le gouvernement si les négociations n’avancent pas. La direction du CPE est consciente que ces journées de grève peuvent être problématiques pour les parents, mais croit fermement que les éducatrices méritent leur appui et leur reconnaissance pour le travail effectué et qu’il en va de la qualité des services offerts aux enfants d’aujourd’hui et de demain. Selon la porte-parole du comité national de négociations des CPE à la FSSS-CSN, Louise Labrie : « Les travailleuses en CPE n’accepteront jamais de participer au nivellement de la qualité des services vers le bas, voire vers la médiocrité, que tente d’imposer la partie patronale. » À Fermont, Caroline Pariseau, présidente du STT du CPE le Mur-Mûr, affirme que « La table nationale est brisée, car le gouvernement refuse de négocier les clauses restantes tant et aussi longtemps que nous n’aurons pas accepté leurs reculs proposés dans notre régime de retraite. »

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Publié le 6 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 18 Volume 35

  • Centre de la petite enfance
  • CPE Le Mur-mûr
  • Éducatrice
  • Fermont
  • FSSS-CSN
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  • Gouvernement du Québec
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  • Manifestations
  • Services éducatifs

Publié sur le site le 8 novembre 2017

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Route nationale 389

Comme un pavé dans la mare

par Éric Cyr

L’unique réseau routier reliant la Côte-Nord à Fermont et au Labrador a une fois de plus démontré son inefficacité alors que la région a été isolée à la suite de fortes pluies qui ont causé la fermeture de la route nationale 389 isolant ainsi les populations plus au nord qui ont été séparés du reste du continent, le 27 octobre dernier. Le seul lien routier de la région a été fortement éprouvé alors que la chaussée s’est effondrée à de multiples endroits causant des maux de tête aux responsables du ministère québécois des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports (MTMDET) qui tentait tant bien que mal de rétablir la situation problématique récurrente.

Dédales et soubresauts

Le MTMDET ne savait plus sur quel pied danser après avoir interdit pour une période indéterminée la circulation aux poids lourds sur le pont de Manic-2, face à l’installation hydroélectrique éponyme, le long de la route 389, en matinée le 26 octobre, à la suite de la découverte inattendue d’une cheminée qui s’est formée dans la chaussée à l’approche de l’ouvrage au kilomètre 21. Cette cavité a forcé les camions à emprunter une route de contournement improvisée, avec l’assentiment des autorités, accessible au sud par le chemin de la scierie des Outardes et au nord à la hauteur du kilomètre 22 jusqu’à ce que celle-ci soit aussi condamnée à son tour à cause de l’état piteux du chemin. « La route de contournement a dû être fermée sur toute sa longueur. C’est une route en gravier, on attend qu’elle sèche afin de pouvoir envoyer une gratte (niveleuse) » confie la conseillère en communication à la Direction générale de la Côte-Nord du MTMDET à Baie-Comeau, Sarah Gaudreault.

La déroute

Les usagers souhaitant voyager entre Baie-Comeau et Manic-5 ont aussi dû prendre leur mal en patience à la suite d’un glissement de terrain survenu au kilomètre 126, la même soirée, et attendre que le tracé soit de nouveau praticable. Selon le MTMDET, c’est une partie d’un cap composé principalement d’argile, de gravier et de cailloux qui s’est effondré en propageant des débris dans les deux voies de l’artère routière du Nord-est québécois. Compte tenu de la situation et malgré la présence d’une équipe de Baie-Comeau sur place qui a rapidement nettoyé la chaussée, les responsables ont préféré fermer cette portion de route en attendant l’arrivée d’experts en géotechnique du Ministère. Ils sont arrivés de Québec, le lendemain 28 octobre, dans le secteur touché par l’éboulement afin d’obtenir leur évaluation de la situation. Ils se sont assurés de la stabilité de la zone et de l’état de la chaussée après l’effondrement du sol à cet endroit avant de donner le feu vert à la réouverture.

« Il n’y a pas de risques à prendre. Il y avait également plusieurs restrictions sur la chaussée et des chutes d’eau un peu partout, alors, on a décidé de fermer la route. »

Elle fut d’abord interdite de Manic-3 (poste Micoua au km 94) jusqu’au Relais Gabriel (km 316) avant que le MTMDET ne se ravise et réoriente plutôt le tir jusqu’à Manic-5 (km 212) afin de faciliter l’approvisionnement stratégique en denrées essentielles et en essence pour les gens pris en otage le long de cet axe routier. Pour venir couronner le tout, une interdiction de circuler a aussi été émise aux mastodontes routiers le lendemain de Baie-Comeau (km 0) jusqu’au kilomètre 94 à cause d’inondations. Finalement, la route a été rouverte aux automobilistes, le 28 octobre, dans une certaine confusion en ce qui a trait aux camionneurs pour qui deux interdictions étaient toujours en vigueur sur Québec 511, mais qui l’ont également empruntée en utilisant deux voies de déviation. La première, pour éviter le pont de Manic-2, et la seconde, le chemin de la scierie des Outardes, pour contourner les inondations près de Baie-Comeau.

Malgré que ces fermetures récentes ont été principalement causées par des forces naturelles, ce lien interprovincial éprouve des lacunes importantes au niveau de la sécurité et comporte son lot de dangers.

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Publié le 6 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 18 Volume 35

  • Artère routière Nord-est québécois
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Publié sur le site le 8 novembre 2017

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Route nationale 389

Une locomotive percute un camion de transport

par Éric Cyr

Légende : La cabine du camion coincée entre une locomotive et un wagon au milieu de deux voies ferrées. Source photo : Gracieuseté

Une spectaculaire collision entre un train de marchandises de la minière ArcelorMittal et un poids lourd qui s’est fait emboutir en traversant un passage à niveau avant d’aller heurter un autre train stationné sur une seconde voie ferroviaire parallèle, récemment installée, est survenue à un passage à niveau traversant la route interprovinciale 389 au kilomètre 510 près du lac Audréa, le 16 octobre dernier. Selon la Sûreté du Québec, le camionneur s’en est miraculeusement tiré avec des blessures légères. Cet accident, qui n’est pas le premier du genre, a nécessité la fermeture du seul lien routier de la région dans ce secteur durant près de deux heures, mais un bris du système de communication de Québec 511 a retardé la transmission de l’information.

Panache d’acier

Après avoir été happé brusquement à cette intersection par une locomotive, le camion s’est retrouvé pris en sandwich entre celle-ci et un wagon de marchandises, les deux étant situés sur deux voies de chemin de fer distinctes. Selon les premières hypothèses qui ont circulé, le chauffeur aurait aperçu les wagons stationnés sur une voie ferrée ainsi qu’un employé à côté du train et il semblerait que les feux clignotants rouges étaient déjà en fonction à cause du premier train immobile. Il se serait alors engagé de façon imprudente en ne se doutant pas de la présence d’une seconde locomotive sur une autre voie ferrée qui roulait dans sa direction.

Il n’y avait pas de barrières à l’endroit où le foudroyant accident est survenu cependant une mention de la double voie de chemin de fer, indiquée par le chiffre 2, était bien visible sur le panneau du passage à niveau, conformément aux règles de sécurité de Transports Canada, qui exigent, en plus du système d’avertissement, que le nombre de voies ferrées soit spécifié sur les panneaux. Le chemin de fer Cartier est un lien provincial privé qui n’est pas assujetti à cette loi fédérale, mais le livre de règlements qui régit ses opérations est basé sur cette réglementation. Les lois canadiennes sont plus strictes et spécifient qu’en plus d’un passage à niveau avec système d’avertissement, un panneau supplémentaire indiquant par un chiffre le nombre de voies à franchir doit être installé lorsqu’il y a plus d’une voie ferrée à un passage à niveau.

Multiples passages à niveau

Une douzaine de passages à niveau jonchent, sur une courte distance de 67 kilomètres, le tracé routier problématique Fire Lake/Mont-Wright qui ne respecte pas les normes minimales de sécurité. Selon la conseillère en communication au ministère des Transports, de la Mobilité durable et de l’Électrification des transports (MTMDET) à la Direction de la Côte-Nord à Baie-Comeau, Caroline Rondeau : « Les systèmes d’avertissement des passages à niveau font partie intégrante des équipements ferroviaires. La responsabilité de l’entretien de ces signaux revient donc au propriétaire dans le cas présent, à l’entreprise ArcelorMittal. Par ailleurs, la sécurité est une responsabilité partagée entre les compagnies de chemin de fer et les autorités routières, notamment lorsqu’il s’agit de la surface de croisement et des lignes de visibilité. » Selon le MTMDET, la chaussée était dégagée, mais mouillée. La directrice des communications d’ArcelorMittal Exploitation minière Canada, Dina Guralnik, précise que cette collision impliquant un train de la compagnie qu’elle représente et un camion-remorque d’un transporteur privé est survenue à la hauteur du point militaire 242 (borne le long du tracé de chemin de fer qui indique les miles) et qu’il n’y a jamais eu de barrières à cet endroit. « L’accident n’a heureusement causé aucune blessure au conducteur du camion ni aux membres de l’équipage du train. L’enquête menée par les services de santé et sécurité de l’entreprise a permis d’établir que les signaux lumineux et sonores qui bordent le passage à niveau fonctionnaient au moment de la collision et que le convoi respectait toutes les règles reliées à la circulation à un passage à niveau. »

Pour plus de renseignements sur la réglementation ferroviaire fédérale : www.tc.gc.ca/fra/securiteferroviaire/normes-passages-niveau-325.htm

 

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Publié le 6 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 18 Volume 35

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Publié sur le site le 8 novembre 2017

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De par le vaste monde

À vélo pour une noble cause

par Éric Cyr

Légende : Le cycliste Dravis Bixel, lors de son passage au bureau du journal, à peine descendu de son vélo tout souriant après avoir survécu à la route 389.

Sur les traces de Thomas Stevens, le premier cycliste d’aventure qui a parcouru le monde en 1886, Dravis Bixel a déjà sillonné l’Europe, l’Afrique, où il a pédalé dans 19 pays il y a sept ans, l’Australie et l’Asie. En 2016, il a décidé d’effectuer un circuit à vélo de 20 000 miles et son parcours s’est échelonné sur 23 pays et plusieurs continents afin de relever un défi personnel, mais aussi pour amasser des fonds pour l’organisme de bienfaisance Médecins sans frontières. Il était de passage dans la région après avoir bravé la sinueuse route nationale 389 dans le cadre de son incroyable épopée à bicyclette. Il s’est arrêté à Fermont, le 17 octobre dernier, où un couple lui a offert l’hospitalité. Le conseiller municipal, Bernard Dupont, et sa conjointe, l’enseignante Marie-Pierre Brodeur, l’ont accueilli. L’adepte de cyclisme fermontois lui a aussi prêté son garage pour effectuer la maintenance de son vélo. L’athlète aguerri a séjourné deux jours sur place avant de poursuivre son escapade vers le Labrador Ouest et la Trans-Labrador vers Happy Valley-Goose Bay.

Une planète à découvrir

Employé dans les technologies de l’information et messager à vélo à Seattle aux États-Unis, c’est à 30 ans, après avoir perdu sa blonde, son emploi et son appartement, que Dravis Bixel décide de partir à la découverte du monde à bicyclette. Celui qui est né en Alaska n’a pas peur d’affronter les climats arctiques. D’ailleurs, il avait envisagé de rejoindre cet état américain à la fin de son long trajet en Eurasie en passant sur un pont de glace de 80 kilomètres à partir du district fédéral extrême-oriental de Tchoukotka à l’extrémité nord-est de la Russie, mais son objectif n’a pu se concrétiser pour des raisons politiques. Son périple impressionnant d’un an et demi a commencé au Portugal d’où il a rejoint l’Espagne puis la France et l’Italie avant d’atteindre la Slovénie. Par la suite, ce fut au tour de la Croatie, la Bosnie Herzégovine, la Serbie, la Bulgarie et la Turquie. La Géorgie et l’Arménie suivirent tout comme l’Azerbaïdjan et l’Iran avant l’Asie centrale incluant le Turkménistan, l’Ouzbékistan, le Tadjikistan, le Kirghizistan et le Kazakhstan avant une brève incursion en Russie qui le mena ensuite en Mongolie. Suivra une autre percée en Russie où il a tenté d’avancer vers le Nord avant de devoir se résigner à rentrer aux États-Unis faute de ne pas avoir réussi à obtenir les autorisations nécessaires du gouvernement Poutine.

De retour chez sa mère à Seattle dans l’état de Washington, il se décide rapidement à repartir à l’aventure. Il traverse alors l’Alaska en longeant le fameux passage historique, l’Iditarod Trail, jusqu’à Fairbanks à l’opposé des fameuses courses de chiens de traîneau qui viennent de se terminer. Puis il traverse au Canada par le Yukon et la Colombie-Britannique jusqu’à Dawson Creek, Edmonton en Alberta, Saskatoon en Saskatchewan et Winnipeg au Manitoba où il apprend une mauvaise nouvelle qui l’ébranle. Son père vient de mourir d’une crise cardiaque. Il ne peut abandonner sa famille en ces moments difficiles et repart donc à Seattle durant un certain temps afin de vivre son deuil durant l’été.

Après avoir participé au championnat mondial des coursiers à vélo qui se déroulait à Montréal en août, il se rend de nouveau à Winnipeg au début septembre où il se remet en selle en direction de l’Est canadien en passant par le Québec jusqu’à la Côte-Nord et la 389, qui a parfois des allures de certaines routes des pays du Tiers Monde qu’il a empruntées. Son objectif, Cape St Charles près de Mary’s Harbour au Labrador, le point le plus à l’est de l’Amérique du Nord continental, avant d’aller rendre visite à sa tante dans le Maine.

Nomadisme à l’état pur

Éternel nomade, Dravis Bixel, décrit les paysages magnifiques qu’il a eu la chance d’apercevoir durant ses expéditions à bicyclette. Il se nourrit de ses riches expériences d’exploration à vélo, qui lui permettent un rapprochement avec les populations, un véritable contact avec les gens, des êtres humains tout comme lui, qui selon ses dires ont beaucoup plus d’affinités et de points communs que de différences culturelles. « J’ai eu la chance de faire de nombreuses rencontres très enrichissantes durant mes multiples excursions. Ça me donne l’occasion de mieux comprendre les coutumes et traditions des peuples que je croise sur ma route. Je me souviens d’un épisode en Iran où j’étais un peu nerveux après avoir été intercepté par un policier qui m’a demandé mon passeport. J’avoue que j’étais plutôt stressé et que je m’attendais au pire. Il est revenu en me disant : oh, tu es Américain. Je t’aime ! » Il raconte quelques anecdotes savoureuses comme celle où il suivait un sentier montagneux de chèvres en Mongolie et où il s’est perdu. « J’ai demandé la direction à un passant qui m’a dit : soit tu rebrousses chemin, soit tu traverses cette montagne. Je me suis retrouvé au sommet, j’ai installé ma tente au milieu de nulle part puis une tempête s’est levée avec une pluie torrentielle, du tonnerre et des éclairs. J’étais seul face aux éléments, mais heureux et en sécurité » raconte ce dernier.

« Le monde est si vaste et il y a tant à découvrir. La plus grande tragédie c’est que je ne pourrai jamais tout voir », déplore-t-il avec regret.

Pour consulter le site internet du grand voyageur incluant plusieurs superbes photos de ses tournées et un récit détaillé (en anglais) de ses aventures ou pour faire un don à Médecins sans frontières : www.theendsoftheearth.org

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Publié le 6 novembre, 2017, dans la publication : Numéro 18 Volume 35

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Publié sur le site le 8 novembre 2017

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