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    La Côte-Nord prise en otage

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    Architecture

    Une 16 décembre, 2019

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Numéro_21

La Côte-Nord prise en otage

Transports

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En croisade pour faire respecter ses droits

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Une 16 décembre, 2019

Une carrière teintée de l’influence nordique

Transports

La Côte-Nord prise en otage

par Coalition Union 138, Assemblée des MRC de la Côte-Nord et Société du Pont sur le Saguenay

Source photo : Le Manic

Au cours des derniers mois, la Coalition Union 138, qui regroupe la société civile de divers horizons et les élus régionaux (Côte-Nord et Charlevoix) accompagnée de la Société du Pont sur le Saguenay ont fait la démonstration claire auprès du gouvernement Legault que la situation actuelle dans le dossier du désenclavement de la Côte-Nord est totalement inacceptable.

De nombreuses demandes de rencontre ont été faites pour informer le ministre québécois des Transports, monsieur Bonnardel, sur la pertinence de lancer l’étude déjà prévue du bureau de projet du pont sur le Saguenay et de l’achèvement de la route 138. Malgré nos demandes et d’autres actions, c’est finalement l’incident où un traversier a percuté le quai de Baie-Sainte-Catherine qui l’a forcé à sortir de son mutisme et commenter la situation. Sa position est claire. Désenclaver la Côte-Nord ne figure pas dans la liste de ses priorités.

Les acteurs politiques impliqués dans le dossier du désenclavement accueillent ce refus avec déception. Selon le député de René-Lévesque, Martin Ouellet : « Malgré le fait que le gouvernement actuel se targue d’être celui des régions et qu’en mai dernier l’Assemblée nationale adoptait une motion unanime pour annoncer un échéancier au terme duquel la route 138 serait achevée, il n’y a toujours que les deux tronçons planifiés qui apparaissent dans un quelconque horizon et le bureau de projet pour le pont est au point mort. »

« Le choix politique du ministre des Transports est extrêmement frustrant et inacceptable. C’est de revenir à la case départ et d’assister une fois de plus au jour de la marmotte » explique le président de l’Assemblée des MRC de la Côte-Nord, Marcel Furlong.

« Même si monsieur Bonnardel annonce qu’il priorise le prolongement de la route 138, il n’y a rien de concret à ce qui est déjà prévu. Pour nous, les deux dossiers sont liés. Le ministre des Transports doit agir concrètement et non de tenter d’acheter du temps » estime pour sa part le maire de Sept-Îles et préfet de la MRC des Sept-Rivières, Réjean Porlier.

Le président de la Société du Pont sur le Saguenay, Marc Gilbert, considère que « nous sommes face à un abus de confiance de la part du gouvernement. On continue de faire rire de nous et ça dure depuis trop longtemps. » C’est également en ce sens que les porte-paroles de la Coalition Union 138, messieurs Guillaume Tremblay et Steeve St-Gelais abondent. « Les citoyens et entreprises de la Côte-Nord en ont assez d’être pris en otage. La Coalition avenir Québec (CAQ) doit respecter ses engagements politiques et agir de façon responsable envers nous. »

Après avoir franchi rigoureusement toutes les étapes nécessaires pour obtenir la collaboration de notre gouvernement, on peut s’attendre à ce que la mobilisation citoyenne pose de nouvelles actions prochainement. Le désenclavement c’est maintenant!

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Publié le 16 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_21 Volume 37

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Publié sur le site le 16 décembre 2019

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Droits linguistiques

En croisade pour faire respecter ses droits

par Éric Cyr

Fervent adepte de la langue française, Michel Thibodeau a passé une partie de son enfance et son adolescence dans la défunte ville de Gagnon dans le Nord-du-Québec et aussi à Labrador City où il était déjà impliqué au sein de l’Association francophone du Labrador. Ce dernier est devenu par la force des choses un champion en matière de respect des droits linguistiques au pays.

L’homme, dont le père a fondé la Chambre de commerce de Fermont, est un ancien fonctionnaire fédéral qui a des racines acadiennes au Havre-Saint-Pierre. Il admet qu’il doit certainement être l’un des plus opiniâtres défenseurs de la langue de Molière parmi les francophones hors Québec. Celui-ci fait preuve de ténacité exemplaire depuis une mésaventure en 2000 où lui et sa conjointe ont pris un avion commercial entre Montréal et Ottawa dans lequel il a commandé une boisson gazeuse à une agente de bord unilingue, qui a été incapable d’offrir un service en français. Constatant également que les annonces de vol faites par les membres d’équipage étaient aussi uniquement en anglais, il a demandé à parler au capitaine. À la suite de cet événement, des policiers l’attendent à son atterrissage dans la capitale fédérale où il habite. Se sentant lésé et voulant défendre sa réputation, le père de famille se bat depuis avec acharnement afin de s’assurer que les droits de la minorité linguistique au Canada sont bien protégés.

Des convictions inébranlables

Considérant que l’entreprise Air Canada est assujettie à la Loi sur les langues officielles en tant qu’ancienne société d’État et est donc tenue d’offrir un service en français, M. Thibodeau et son épouse Lynda entament des démarches juridiques et accumulent les plaintes auprès du commissaire aux langues officielles contre le transporteur aérien. Plus d’une décennie plus tard, en 2011, un jugement de la Cour fédérale donne raison aux plaignants, en caractérisant de systémique les problèmes de non-respect de la loi par Air Canada, qui a de façon répétée manqué à ses obligations en interprétant la loi de façon réductrice. La Cour d’appel casse partiellement cette décision l’année suivante, en 2012. Qu’à cela ne tienne, les deux irréductibles portent l’affaire jusqu’à la Cour suprême du Canada, qui tranche finalement la question dans un jugement rendu en 2014, où Air Canada obtient gain de cause. Le plus haut tribunal statue que la Loi sur les langues officielles n’a pas préséance sur la Convention de Montréal qui régit déjà les dédommagements qui peuvent être exigés par les passagers de vols internationaux. La décision de la Cour suprême fait en sorte que les passagers n’ont droit à aucune compensation financière pour violation de leurs droits linguistiques sur des vols internationaux. Cependant, selon l’interprétation de la plus haute instance judiciaire au pays, la violation des droits linguistiques sur les vols intérieurs peut donner droit à des dommages-intérêts selon la Loi sur les langues officielles.

Question de principe

M. Thibodeau, qui souhaite s’assurer que la langue française et les droits de ses locuteurs sont respectés au sein de l’appareil fédéral, a récidivé jusqu’en Cour fédérale dans un autre dossier à propos de fontaines d’eau potable de la colline du Parlement à Ottawa dont les boutons métalliques ne comportent qu’une mention « push » en anglais et en braille sans son équivalent de « pousser » en français. La Cour fédérale a conclu en novembre dernier que ses droits linguistiques avaient été brimés. Le Sénat du Canada ne portera pas la décision en appel.

Selon M. Thibodeau : « C’est une grande victoire pour tous les francophones du pays. La Cour fédérale a répété, encore une fois, que les droits linguistiques existent et qu’ils doivent être protégés. Mon message aux francophones est celui-ci : il faut se tenir debout, il faut se battre et défendre notre droit de vivre en français dans ce pays qui est aussi le nôtre. »

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Publié le 16 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_21 Volume 37

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Publié sur le site le 16 décembre 2019

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Monts Groulx

En solitaire parmi les aurores boréales

par Éric Cyr

Quiconque a déjà emprunté la fameuse route interprovinciale 389 a déjà aperçu les monts Groulx. Mais admirer leurs sommets enneigés à l’horizon et affronter leur rigueur durant la saison hivernale c’est une tout autre paire de manches. Installé dans une tente de prospecteur avec un poêle de camp, c’est pourtant ce qu’a entrepris le sapeur-pompier professionnel à la retraite, Philippe Guimon, afin de réaliser un rêve qu’il caresse depuis longtemps.

Aux antipodes du pensionné

Aujourd’hui grand-père, l’aventurier français a déjà fait partie d’un régiment d’élite de l’armée de terre française durant son service militaire et d’une escouade de secours spécialisée en plongée souterraine (spéléoplongée). D’ailleurs, il a failli se noyer dans le cadre d’une mission alors qu’il est resté coincé dans une étroiture. Le parcours inusité de l’homme, qui habite sur une île au confluent de la rivière Maine et de la Loire, dernier fleuve sauvage d’Europe, a cependant commencé le jour où sa mère a eu la bonne idée de l’inscrire chez les scouts, point de départ de son amour pour la nature qui a guidé sa vie. Que dire de sa période « baba cool » à l’époque de la révolution culturelle de mai 1968 en France où, après avoir fréquenté l’École d’agriculture, il gardait des moutons de façon idyllique. M. Guimon a conservé la rigueur des pompiers de Paris et n’a pas peur de relever des défis : pèlerinage de Compostelle, tour de l’Hexagone à cheval qui a duré quatre mois, il collectionne les voyages d’exploration comme celui en Alaska, où il est tombé nez à nez avec un ours grizzli qu’il souhaitait photographier sur une plage. Nulle raison d’en douter il porte un gilet de Kodiak Island. Il a aussi visité la seconde plus grande réserve naturelle aux États-Unis après Yellowstone, le parc Denali où il a vu le fameux bus du film Vers l’inconnu (Into the Wild) adapté du récit Voyage au bout de la solitude et a fait face à un loup noir famélique.

Dans les Groulx

M. Guimon, qui a été bien aiguillé par le guide d’aventure, Guy Boudreau, a choisi d’affronter le froid en passant l’hiver dans la solitude de ces hautes montagnes nommées Uapishka par les Innus, ce qui signifie sommets blancs puisqu’ils sont enneigés presque à l’année. Après avoir observé une martre qui dansait autour de son camp et qui s’est mise à courser un lièvre, il a voulu rendre hommage au mustélidé en baptisant sa tente du mot innu-aimun désignant cet animal : wapishtan. Rencontré lors d’un ravitaillement à Fermont, il explique qu’il mène en parallèle une démarche d’écriture où il relate son expérience « Je suis une victime des écrits de Jack London. » Selon lui, sa présence dans l’immensité naturelle des monts Groulx, qu’il considère comme un lieu de ressourcement, se résume un peu à un voyage intérieur en harmonie avec les éléments et l’environnement le tout orienté vers l’essentiel, mais où il met son mental à rude épreuve.

« Le quotidien se fond dans le basique : se réchauffer, manger et se protéger, donc survivre. Ça tourne autour du fondamental, mais dans le respect de cet espace grandiose et merveilleux qui fait partie des dernières terres virginales à protéger. Il faut absolument préserver le cachet naturel de ce joyau écologique si convoité des amateurs de plein air à travers le monde. C’est plus qu’un devoir, c’est une obligation. »

Les monts Groulx font partie de la réserve de la biodiversité Uapishka constituée par le gouvernement du Québec en 2009. Cette aire protégée englobe le tiers ouest du massif montagneux. L’ensemble des monts Groulx, incluant le réservoir Manicouagan et la rivière Manicouagan, ont aussi été reconnus en 2007 comme faisant partie de la Réserve mondiale de la biosphère Manicouagan-Uapishka (RMBMU), une désignation internationale de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO).

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Publié le 16 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_21 Volume 37

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Publié sur le site le 16 décembre 2019

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Architecture

Une carrière teintée de l’influence nordique

par Éric Cyr

Source photo : Blanchette Architectes

L’architecte engagé et primé d’origine fermontoise, Patrick Blanchette, a un itinéraire professionnel impressionnant. Membre de l’Ordre des architectes du Québec, il est aujourd’hui architecte associé principal pour la firme Blanchette Architectes. Considéré comme un acteur de premier plan dans le développement de projets résidentiel et commercial, il a œuvré depuis le début de sa carrière à la direction artistique et au déploiement d’ouvrages d’envergure totalisant plusieurs milliards de dollars. Il a aussi eu l’occasion de se rendre dans d’autres pays dans le cadre de sa profession notamment en Scandinavie et au Royaume-Uni.

Né à Labrador City, Patrick Blanchette a habité 14 ans à Fermont avant de partir, après avoir terminé son 2e secondaire, à la suite du malheureux décès de son père. Il se définit comme quelqu’un qui n’a pas un parcours linéaire puisqu’il a étudié en design intérieur et en cinéma avant de se tourner vers sa profession actuelle qui est également une passion. Son implication et son expertise touchent la conception, le développement urbain ainsi que la redéfinition des habitats et des milieux de vie. Par un heureux « hasard », il a commencé sa carrière chez Desnoyers, Mercure et Associés (DMA), qui ont imaginé la ville de Fermont, en s’inspirant d’un projet d’habitation pour une mine de cuivre au-dessus du cercle polaire arctique à Kiruna en Laponie suédoise, de l’architecte Ralph Erskine en 1962. « Je vivais dans le quartier Saint-Henri de Montréal quand j’ai remarqué le bureau de DMA, fondé en 1957, dont les deux architectes principaux ont conçu les plans de Fermont. J’ai interprété ça comme un signe. J’ai par la suite travaillé avec André Mercure et Maurice Desnoyers avec qui j’ai souvent eu des conversations au sujet de leur travail de conception de cette ville nordique. Je considère d’ailleurs que le mur-écran devrait obtenir un statut patrimonial particulier afin de le protéger. »

Nordicité et approche sociale

La notion de nordicité a toujours accompagné M. Blanchette au cours de son cheminement et dans l’élaboration de ses conceptions artistiques.

« L’urbanité est à une nouvelle ère et je cherche à développer une approche plus accessible mettant en scène notre nordicité. Mon profil artistique a vu le jour à Fermont. Cette ville influence ma pratique depuis que j’ai constaté que la nordicité doit être un leitmotiv dans le développement des grandes agglomérations urbaines. La concrétisation de la ville de Fermont, et en particulier du mur-écran, constituait un projet écologique radical et très avant-gardiste pour l’époque qui demeure à ce jour une réussite d’un point de vue fonctionnel. J’ai tout de même certaines réserves quant aux aspects sociaux de l’ouvrage. »

M. Blanchette explique que la portée sociale de l’architecte est beaucoup plus forte que celui de l’acte de construire et que celui-ci doit tenir compte de plusieurs paramètres notamment les aspects sociaux et environnementaux, mais également de la luminosité qui joue un rôle primordial en influençant grandement les stimulants et l’environnement. « En modulant l’éclairage, on peut moduler l’humeur, l’ambiance et accentuer une mise en valeur des bâtiments. L’architecte a un rôle qui a un impact énorme sur les humains en façonnant leurs milieux de vie. »

Formation et distinctions

Après l’obtention d’un baccalauréat en design architectural et d’une maîtrise en architecture à l’Université de Montréal sous la direction de la professeure titulaire à l’École d’architecture, Alessandra Ponte, membre du groupe de recherche Future North dans le cadre d’un partenariat entre l’École de paysage et d’urbanisme AHO (Oslo, Norvège) et l’Institut de Barents, M. Blanchette a étudié à l’Université Sci-Arc de Los Angeles en Californie aux États-Unis, le temps d’une session universitaire. Il a participé à la rénovation majeure du gratte-ciel situé au 2020, rue Robert-Bourassa à Montréal ayant remporté les prix « Immeuble de l’année 2015-2016 » lors du concours des Prix Boma qui reconnaît l’excellence et l’innovation en immobilier à l’échelle provinciale, nationale et internationale et la distinction « bâtiment exceptionnel » dans la catégorie rénovation lors des Prix Toby en 2015, le programme le plus prestigieux et le plus complet en son genre dans l’industrie de l’immobilier commercial. M. Blanchette a été lauréat d’un Grand Prix Habitat Design en 2017, a participé à la « Design Week » de la Future London Academy à Londres en Angleterre et a siégé à un comité-conseil en architecture qui a encadré la Ville de Lac-Mégantic dans le processus de reconstruction de son centre-ville historique à la suite d’une tragédie ferroviaire. Il a très envie de retourner éventuellement dans la ville qui a bercé sa jeunesse dans le cadre d’une conférence afin d’expliquer sa profession et ses engagements.

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Publié le 16 décembre, 2019, dans la publication : Numéro_21 Volume 37

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